Francesco Storace

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Modèle:Voir homonymes

Modèle:Infobox Personnalité politique

Francesco Storace, né le Modèle:Date de naissance- à Cassino, dans le Latium, est un homme politique italien de droite.

Journaliste au sein de la publication du MSI Secolo d'Italia, il est élu en Modèle:Date- député de Rome sous les couleurs de l'Alliance nationale (AN), un mandat qu'il conserve en Modèle:Date-. Il est alors choisi pour présider la commission parlementaire de contrôle de la télévision publique.

En Modèle:Date-, il mène le centre droit à la victoire aux élections régionales dans le Latium. Il n'accomplit qu'un seul mandat puisqu'il est battu par le centre gauche en Modèle:Date-. Peu après, il devient ministre de la Santé dans le [[Gouvernement Berlusconi III|gouvernement Berlusconi Modèle:III]]. Accusé d'espionnage électoral, il démissionne en Modèle:Date-.

Cela ne l'empêche pas d'être élu au Sénat de la République le mois suivant. En Modèle:Date-, il quitte l'AN pour créer La Droite. Il échoue à conserver son siège aux [[Élections générales italiennes de 2008|élections générales de Modèle:Date-]]. Toujours présent sur la scène politique, il fonde en Modèle:Date- le Mouvement national pour la souveraineté (MSN) avec Gianni Alemanno.

Biographie

Débuts en politique

Il est d'abord chauffeur de Giorgio Almirante, secrétaire du Mouvement social italien - Droite nationale (MSI-DN). Il devient ensuite journaliste au quotidien de la droite radicale Secolo d'Italia, publication officielle du MSI-DN. Il est ensuite nommé directeur du service de presse du Mouvement social italien.

Député

Aux [[Élections générales italiennes de 1994|élections générales anticipées des Modèle:Date--Modèle:Date-]], il postule dans le Modèle:21e électoral de la circonscription Latium-1, Modèle:Citation. Il totalise plus de Modèle:Unité, soit 49,9 % des suffrages<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et se trouve ainsi élu à la Chambre des députés à Modèle:Unité. Il rejoint alors le groupe de l'Alliance nationale (AN), qui remplace le MSI et dont il dirige également le service de presse.

Il conserve son mandat lors des [[Élections générales italiennes de 1996|élections générales du Modèle:Date-]] avec environ Modèle:Unité, ce qui correspond à 49,6 % des exprimés. Il ne devance la candidate du centre gauche que deux points<ref>Modèle:Lien web.</ref>. À la Chambre, il est porté à la présidence de la commission parlementaire de surveillance de la radiotélévision publique (RAI)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Président du Latium

Pour les élections régionales du Modèle:Date-, il se présente au poste de président de la Région Latium comme chef de file de la coalition Modèle:Citation (Modèle:En lang), principalement formée par l'Alliance nationale, Forza Italia (FI) et le Centre chrétien-démocrate (CCD). Avec 51,3 % des voix, il est élu président de la Région tandis que l'alliance qui le soutient remporte Modèle:Unité sur 60 au conseil régional après avoir réuni 53,2 % des suffrages<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Après cinq ans au pouvoir, il mène le centre droit italien à la défaite au cours des élections du Modèle:Date-. Alors que la coalition entre l'AN, la FI et l'Union des démocrates chrétiens et de centre (UCD) totalise 50,27 % des voix contre 48,5 % pour L'Union de centre gauche, il ne remporte personnellement que 47,4 % des exprimés alors que son adversaire Piero Marrazzo obtient 50,7 % des suffrages<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Ministre de la Santé

Le Modèle:Date-, à neuf jours de son remplacement par Marrazzo, Francesco Storace est nommé à Modèle:Unité ministre de la Santé dans le troisième gouvernement du président du Conseil Silvio Berlusconi, assermenté le même jour.

Il remet sa démission le Modèle:Date-, après moins d'un an en fonction et à un mois des élections générales auxquelles il postule au Sénat de la République dans le Latium. Il est accusé d'avoir organisé tenté d'espionner Piero Marazzo et Alessandra Mussolini dans le cadre de la campagne des élections régionales de l'année précédente, des accusations qu'il réfute<ref>Modèle:Article.</ref>.

Un responsable de la droite dure

Élu sénateur, il siège au groupe de l'Alliance nationale jusqu'au Modèle:Date-. Il rejoint le lendemain qui suit le groupe mixte<ref>Modèle:Lien web.</ref>, après avoir fondé le Modèle:Date- le parti nationaliste et conservateur La Droite (La Destra). Aux [[Élections générales italiennes de 2008|élections générales anticipées des Modèle:Date- et Modèle:Date-]], il se représente au titre de la coalition Modèle:Citation de Daniela Santanchè mais échoue à se faire réélire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En Modèle:Date-, il rencontre Marine Le Pen Modèle:Incise au siège du Front national. Tandis que la présidente du FN explique que la rencontre se fait à la demande de Storace et qu'elle a accepté car Modèle:Citation, lui dit espérer un Modèle:Citation<ref>Modèle:Article.</ref>. Il lance le Modèle:Date- le Mouvement national pour la souveraineté (MNS), qui rassemble La Droite et l'Action nationale de l'ancien maire de Rome Gianni Alemanno, lui aussi ancien responsable de l'Alliance nationale.

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Articles connexes

  • [[Gouvernement Berlusconi III|Gouvernement Berlusconi Modèle:III]]

Liens externes

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