Georges Guiai Bi Poin

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox Personnalité militaire

Georges Guiai Bi Poin (né le Modèle:Date de naissance- à Gounela<ref>Modèle:Lien web</ref>) est un général de division de la gendarmerie ivoirienne, qui dirigeait l'école de gendarmerie d'Abidjan et le Centre de commandement des opérations de sécurité Cecos (unités spéciales)<ref>Modèle:Lien brisé</ref>.

Biographie

Georges Guiai Bi Poin est un général de division de gendarmerie ivoirien qui dirige le Centre de commandement des opérations de sécurité (Cecos)

En novembre 2004, il est présent lors des manifestations hostiles à la France après le bombardement d'un cantonnement de l'armée française à Bouaké, bombardement ayant entraîné, en riposte, la destruction de l'aviation ivoirienne. Il commandait les soixante gendarmes chargés de maintenir l'ordre. C'est l'un des principaux témoins cités par les médias accusant l'armée française d'avoir délibérément ouvert le feu sur des civils ivoiriens désarmés qui assiégeaient l'Hôtel Ivoire.

Crise politique 2010-2011

Modèle:Loupe En décembre 2010, il prête serment d'allégeance envers Laurent Gbagbo<ref>Article « abidjan.net », 6 décembre 2010</ref>, à l'issue de sa réélection face à Alassane Ouattara.

La situation politique finit par déboucher sur une reprise des combats entre forces pro-Gbagbo et les FRCI. Abidjan étant encerclé le Modèle:Date-, Philippe Mangou, chef d'état-major des armées se réfugie alors à l'ambassade d'Afrique du Sud<ref>Article lci.tf1.fr, 31/03/2011]</ref>. Les généraux Georges Guiai Bi Poin, commandant du Cecos, et Bruno Dogbo Blé, commandant de la garde républicaine se chargent de la défense d'Abidjan jusqu’à l'intervention internationale d'unités de l'ONUCI et de la Force Licorne.

Décorations

Références

Modèle:Références

Annexes

Liens externes

Modèle:...

Modèle:Portail