Gerbépal
Modèle:Infobox Commune de France
Gerbépal (Modèle:MSAPI<templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}, en vosgien de la montagne Modèle:MSAPI) est une commune du Nord-Est de la France, dans le département des Vosges et le canton de Corcieux, en région Grand Est.
Géographie
(carte postale Adolphe Weick.)
Le village s'étend sur Modèle:Unité le long du CD8, à Modèle:Unité de Gérardmer et 17 de Saint-Dié-des-Vosges, entre le col du Plafond (Modèle:Unité) et le col de Martimpré (Modèle:Unité). Son relief global est incliné vers le nord - nord-ouest, allant de Modèle:Unité à la Croix Hanzo à Modèle:Unité lorsque le Neuné, affluent de la Vologne, rejoint Corcieux.
Les glaciers de calotte qui ont façonné les hautes vallées par leur masse et les basses vallées surtout par leurs volumineuses eaux de fonte saisonnières ont laissé quelques dépressions plus ou moins aplanies, parfois occupées par des tourbières et deux petits étangs au lieudit Martimpré.
C'est une des 188 communes<ref>Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, Modèle:3e Charte 2012 - 2024</ref> du parc naturel régional des Ballons des Vosges.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Neune, le ruisseau de la Goulle, le ruisseau le Rayrand, le ruisseau de Lenvergoutte, le ruisseau de Martimpre, le ruisseau des Bouleaux et le ruisseau le Lourdon<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
Le Neuné, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune et se jette dans la Vologne en limite de Laveline-devant-Bruyères, Herpelmont, Beauménil et Champ-le-Duc, après avoir traversé Modèle:Nobr<ref>Modèle:Sandre</ref>.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Gerbépal est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gérardmer, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,4 %), prairies (23,4 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,3 %), terres arables (1,8 %), zones urbanisées (1,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Girbespath en 1152, Gerbepals en 1378, Gerbelpaul au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)</ref>.
Il s'agit d’un type de formation toponymique médiévale fréquente dans la région et dans le Nord de la France, composée d’un anthroponyme (le plus souvent d’origine germanique) + un appellatif toponymique roman ou germanique romanisé. Ainsi trouve-t-on dans la région Martimpré, Gérardmer, Habeaurupt, etc.
Le premier élément Girbes-, Gerbe- s’analyse comme le nom d’homme germanique Gerbertus<ref>Ernest Nègre, Op. cit.</ref> qui a donné le prénom et le nom de famille Gerbert. La nature du second élément -path, -pals est plus complexe. Ernest Nègre suppose une cacographie pour -pach (T et C étant par ailleurs souvent confondu dans la documentation ancienne), variante de Bach « ruisseau » de *bakiz, par ailleurs très bien représenté dans la toponymie de la France du nord (cf. -bet, -baix, -bais, -bez, etc.)<ref>Ibidem.</ref>. Le L final est dû à l'adjonction du suffixe diminutif germanique -le, variante de -lein cf. allemand Bächlein « ru, petit ruisseau », d'où *-pachle, francisé en -pasle > -pals > -pal.
Même phénomène pour Rehaupal qui n'est attesté qu’au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sous la forme Raihaupaulz qui pourrait représenter un anthroponyme germanique en -bald pris absolument. Il est possible qu’une influence réciproque explique l'analogie des deux terminaisons -pal.
Le gentilé de Forfelet est partagé par les habitants de Corcieux, les limites de communes ayant été très mouvantes au fil des siècles.
Histoire
Gerbépal dépendait anciennement des mairies de Corcieux et de Vichibure et faisait partie de la seigneurie de Martimprey. Il est parlé de la seigneurie de Gerbepaux dans un titre de 1663. Par une sentence du Modèle:Date-, l'official de Toul désunit Gerbépal de Corcieux, et l'érigea en titre de cure et de bénéfice perpétuel. D'après un ancien titre, l'église de Gerbépal existait déjà comme chapelle vers le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. C'est sur le territoire de cette commune qu'était situé le château de Martinpré qui appartenait à la famille du En. En 1790, le territoire actuel était partagé entre les municipalités de Vichibure et de Martimpré. En 1792, le hameau de Vichibure fut inclus dans la commune de Corcieux et la commune de Gerbépal fut créée, englobant Martimpré<ref>Charles Charton, Le département des Vosges: statistique historique et administrative, Volume 2, Peiffer, 1845, pages 239-240.</ref>.
La commune était plus peuplée qu'aujourd'hui, dépassant le millier d'habitants au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
La commune a été décorée, le Modèle:Date-, de la Croix de guerre 1939-1945<ref>Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945 </ref>.
Le Modèle:Date-, une tornade de type EF2 a sévi sur la commune<ref>« Tornade EF2 à Gerbépal (Vosges) le 13 mai 2015 », Keraunos</ref>.
Le fief de Martimprey
(carte postale Adolphe Weick.)
La seigneurie de Martimprey remonte au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Le territoire de la seigneurie de Martimprey est situé dans une région de moyenne montagne très boisée. Il s’étend du col du Plafond (Modèle:Unité) au nord au col de Martimpré (Modèle:Unité) au sud, du col d’Osseux (Modèle:Unité) à l’est au Mont Plaisir (Modèle:Unité) à l’ouest. Son point culminant est la croix Hanzo à Modèle:Unité d’altitude. Les chaumes d’origine anthropique sont situées sur le flanc oriental du vallon resserré et elles servent de pâturages et d’estives pour les innombrables écarts et fermes acensées de la seigneurie : le Haut des Frêts (Modèle:Unité), le pré Petit Jean (Modèle:Unité) et les Grandes Gouttes (Modèle:Unité).
Gerbépal (Modèle:Unité) est le chef-lieu communal dont dépendent de multiples hameaux et écarts. Parmi les hameaux, on compte celui de Martimpré décomposée en trois parties : Martimpré-la-Plaine, Martimpré-la-Basse et Martimpré-le-Haut. Le château, la fonderie, la chapelle seigneuriale et les dépendances des seigneurs de Martimprey se trouvaient à Martimpré-le-Haut juste en dessous du col. Le minerai de la fonderie située au sommet de la montagne qui sépare Gerbépal de Gérardmer était extrait en face au Haut des Frets et aux abords du lac de LongemerModèle:Sfn.
La seigneurie est traversée par de nombreux petits cours d’eau qui alimentaient de nombreuses scieries, notamment pendant les hautes eaux. Le Narouël, le ruisseau de Lenvergoutte et le Ravrand sont des affluents de la Goutte qui se jette dans le Neuné. Topographiquement, la seigneurie est tournée vers Corcieux et Bruyères par la vallée du Neuné. En descendant les cols, l’accès se fait vers Saint-Dié-des-Vosges via la vallée de la Meurthe ou vers Xonrupt-Longemer en rejoignant le Saut des Cuves de la Vologne. La seigneurie se situait dans la prévôté, puis le bailliage de Bruyères.
Au spirituel, Gerbépal dépendait de la cure de Corcieux et de la Principauté ecclésiastique de l'insigne église collégiale de Saint-Pierre<ref name="Louis">Modèle:Ouvrage.</ref>. Par la suite, Gerbépal reçut l’autorisation de se désunir de la cure de Corcieux le Modèle:Date-<ref name="Pouillé">Modèle:Ouvrage, réimprimé par Modèle:Ouvrage.</ref>, mais le chapitre des chanoinesses de Remiremont conserva son droit de collation à la cure de Gerbépal<ref name="Louis" />. Les cures de Corcieux et Gerbépal dépendaient de l’évêché de Toul<ref name="Pouillé" /> qui relevait de l’archevêque métropolitain de Trèves, aujourd’hui en Allemagne.
Le hameau de Martimpré caractérisé par une forte dispersion en trois écarts distincts, dont celui où fut érigé le château seigneurial, appartient aujourd’hui encore à la commune de Gerbépal dont le blason communal a repris les armes des Martimprey en l'accompagnant en chef d’une gerbe de blé d’or.
Les seigneurs de Martimprey possédaient également en tant que coseigneurs le village de Cornimont et son annexe Xoulces, quelques fermes et granges dans la commune de Gérardmer et la moitié du lac de Retournemer<ref name="Louis" />. Initialement, les localités lorraines actuelles du Val d'Ajol, de Cornimont et de Xoulces appartenaient à la seigneurie de Fougerolles dans la baronnie de Faucogney et donc au comté de Bourgogne. Elles sont des terres de surséance entre la Lorraine et la Bourgogne<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. Les Martimprey en sont devenus copropriétaires. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Cornimont appartenait en effet à Hugues de Faucogney, fils cadet du vicomte de Vesoul, Gislebert de Faucogney, relevant de la seigneurie de Fougerolles. Puis elle passa à la maison d’Inteville, qui en partageait la propriété avec les seigneurs de Fontaine et Fougerolles jusqu’en 1580. Après cette date, Xoulces et Cornimont tombèrent sous la vassalité des seigneurs de Martimprey pour la part que possédait le seigneur d’Inteville. En 1792, la localité appartenait encore à la princesse Lislebonne, descendante de Martimprey, qui payait encore redevance aux seigneurs de Fontaine, Fougerolles et de Château-Lambert<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Le château fut détruit pendant la guerre de Trente Ans en 1635<ref name="Louis" /> par les troupes protestantes, dites suédoises, alliées du royaume de France contre les troupes impériales catholiques. Un nouveau château fut reconstruit après la fin des conflits ; il subsiste jusqu’en 1835. Il change de propriétaire en l’an II<ref name="Louis" />.
La chapelle Sainte-Anne de Martimpré fut construite en 1606 aux abords du château. Le Modèle:Date-, l'évêché de tutelle autorise les baptêmes dans la chapelle Sainte-Anne; auparavant, les cérémonies de baptême, mariage et d'enterrement avaient lieu quelques kilomètres plus bas en l'église paroissiale de GerbépalModèle:Sfn. Elle existe encore aujourd’hui et elle dépend de la paroisse Notre-Dame-de-Corcieux<ref>Modèle:Lien web.</ref> ; un pèlerinage s'y tient chaque année fin juillet<ref>Modèle:Article.</ref>.
Politique et administration
Budget et fiscalité 2015
En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune Modèle:Lien archive.</ref> :
- total des produits de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des ressources d’investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des emplois d’investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- endettement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 20,32 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,36 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 23,00 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 19,10 %.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Un circuit de karting y est installé (Manacha Kart<ref>Modèle:Lien web.</ref>).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Chapelle Sainte-Anne à Martimpré, construite en 1606, inscrite au titre des Monuments historiques par arrêté du Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Église Saint-Jean-Baptiste, fin Modèle:S mini-, remaniée.
- Chapelle Saint-Marc.
- La Croix de Bémont<ref>la Croix de Bémont</ref>.
- Monuments commémoratifs<ref>Monument aux morts</ref>,<ref>Monuments commémoratifs : Monument aux Morts 1914-1918, Monument aux Morts 1939-1945, Stèle ou plaque, église - Plaque commémorative 1914-1918</ref>. Il est décoré avec la statue du Poilu victorieux, un des motifs les plus répandus.
- Patrimoine rural. Le patrimoine rural de la commune a fait l’objet d’une enquête thématique régionale (architecture rurale des Hautes-Vosges) par le service régional de l’inventaire<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Scieries hydrauliques à cadre<ref>Les scieries hydrauliques à cadre du canton de Corcieux</ref>.
-
L'église Saint-Jean-Baptiste.
-
Crucifix.
-
La chapelle Sainte-Anne.
-
Monument aux morts.
Gerbépal dans les arts
Gerbépal est citée dans le poème d’Aragon, Le conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale<ref>Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (Modèle:2e). Modèle:ISBN, Modèle:P.373-375</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Joseph Christophe, futur évêque de Soissons, y reçoit en 1837 la croix de chevalier de la Légion d'honneur pour un acte de bravoure.
- Maurice Lemaire, dirigeant des chemins de fer et homme politique, est né à Gerbépal en 1895.
- Eugène Barthélémy Joseph Morel, ecclésiastique<ref>
Modèle:Lien web.</ref>.
Héraldique
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes
Références
Modèle:Crédit d'auteurs Modèle:Références
Pour approfondir
Bibliographie
- E dépôt 201. Archives communales de Gerbépal (1618-an VI). Répertoire numérique détaillé établi par Delphine Souvay, Archives départementales des Vosges, Épinal, 2006, 6 p.
- À l'ombre de mon clocher (bulletin paroissial de Gerbépal, entre 1915 et 1919, avec des lacunes, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/{{{n}}}%7C{{ #if: |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}})
- Jack Chollet, Ces bons messieurs de Martimprey et les francs-maçons de Bruyères, Éditions Gérard Louis, Haroué, 2018, Modèle:ISBN.
- Les villes et villages des Vosges : Gerbépal
- Modèle:Ouvrage.
- Henri Lepage et Charles Charton, « Gerbépal », in Le Département des Vosges : statistique historique et administrative, deuxième partie, Peiffer, Nancy, 1845, Modèle:P.
- Cavités souterraines : Galerie des Faônes, Ancien réservoir des Faônes
- Migmatite de Bergéval, page 14
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
Modèle:Autres projets Modèle:Liens
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Lorraine
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Carte globale Lorraine CARMEN - DREAL Lorraine