Grotte de Dargilan

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox Grotte

La grotte de Dargilan, (surnommée « la grotte rose du Causse noir ») est située en Lozère à proximité de Meyrueis.

Elle est découverte à la fin de l'automne 1880 par Sahuquet, un jeune berger alors à la poursuite d'un renard, mais il faut attendre 1888 pour que le spéléologue Édouard-Alfred Martel en fasse une exploration complète.

C'est la première grotte en France aménagée et ouverte au public, dès 1890, avant le gouffre de Padirac<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Spéléométrie

La dénivellationModèle:Note de la cavité est de Modèle:Unité (-80,50 ; + 26,50) pour un développementModèle:Note de Modèle:Unité<ref>Modèle:Article.</ref>.

Géologie

La grotte s'ouvre dans les calcaires du Bathonien supérieur (Jurassique).

Description

Encore en activité, la grotte de Dargilan est réputée pour la variété des concrétions qu'elle renferme. Outre les spéléothèmes classiques, tels que stalactites et stalagmites, deux colonnes âgées de Modèle:Unité se détachent sur une paroi de Modèle:Unité de long et Modèle:Unité de hauteur qui est entièrement recouverte de draperies.

Au plafond de la salle supérieure, marquée par un effondrement vieux de Modèle:Unité, pendent des multitudes de fistuleuses ou macaronis, concrétions tubulaires qui précèdent la naissance des stalactites.

Plusieurs salles inférieures suivent l'ancien cours d'une rivière qui se trouve actuellement à Modèle:Unité au-dessous de la grotte et se jette ensuite dans la Jonte. L'eau s'y accumule encore dans des gourgs peu profonds, avant de rejoindre par infiltration le cours actuel de la rivière.

La grotte de Dargilan est également connue pour ses couleurs. L'oxyde de fer la teinte ici en rose, plus loin dans un brun soutenu. L'oxyde de manganèse mêle du gris à ces couleurs chaudes. On peut voir aussi divers ocres et du blanc.

Galerie

Classement et listes

La grotte de Dargilan est un site classé depuis le Modèle:Date-.

En 1999, un dossier de 18 sites et 24 grottes à concrétions du Sud de la France est proposé pour une inscription sur la liste indicative du patrimoine mondial naturel, antichambre de la liste du patrimoine mondial<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En Modèle:Date- un avis défavorable est émis par l'union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Fin 2005, l'État français pense représenter une demande d'inscription. En 2007, le projet est retiré et l'Association de valorisation des cavités françaises à concrétions (AVCFC) regroupant 23 cavités du Sud de la France est créée<ref>Modèle:Article.</ref>.

Bibliographie

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Articles connexes

Dans la région :

Lien externe

Modèle:Palette Modèle:Portail