Guerre des Duchés

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Modèle:Infobox Conflit militaire

La guerre des Duchés (également appelée seconde guerre de Schleswig ou seconde guerre prusso-danoise) est un conflit qui oppose la Confédération germanique puis l'empire d'Autriche et le royaume de Prusse au Danemark, du mois de janvier à octobre 1864.

La guerre est causée par la succession à la tête des duchés, qui avait déjà provoqué la première guerre de Schleswig en 1848.

Le Modèle:Date, le décès de Frédéric VII de Danemark, successeur de Christian VIII, précipite les événements. Frédéric VII n'ayant pas de descendance masculine, les deux duchés risquent en effet de sortir du giron familial à sa mort. La famille Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Augustenbourg en hériterait alors et non l'héritier de la couronne danoise Christian de Glücksbourg. Celui-ci, devenu Christian IX, promulgue une nouvelle constitution afin de conserver les deux duchés, en contravention avec le traité de Londres de 1852 qui avait mis fin à la première guerre. La Confédération germanique s'y oppose fermement et décide le Modèle:Date- d'envahir le Holstein.

Cela fait, la Prusse et l'Autriche décident de poursuivre l'invasion dans le Schleswig pour forcer la main au Danemark. Ce dernier utilise le Danevirke pour sa défense. Cependant la bataille décisive de Dybbøl du Modèle:Date- donne la victoire aux Prussiens. Après des débuts de négociations qui achoppent et la bataille navale de Heligoland qui donne le Danemark vainqueur, les Prussiens envahissent l'île d'Als début juillet. Le Danemark doit céder lors du traité de Vienne du Modèle:Date les deux duchés. Par la suite, la convention de Gastein du Modèle:Date entre les deux puissances allemandes traite de leur répartition des pouvoirs dans les duchés. Les duchés de Schleswig et de Saxe-Lauenbourg sont administrés par la Prusse, celui de Holstein par l'Autriche. Toutefois, des tensions entre ces deux grandes puissances germaniques provoqueront en 1866 la guerre austro-prussienne.

Contexte

Fichier:Karte Deutsch-Dänischer Krieg-fr.svg
En bleu clair, les duchés de Schleswig, de Holstein et de Lauenbourg.

Situation des duchés par rapport à l'Allemagne et au Danemark

Les duchés de Holstein, de Saxe-Lauenbourg et de Schleswig sont tous trois des duchés principalement agricoles, sous la coupe du roi du Danemark. Le traité de Ribe datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle empêche leur fusion, ce qui entraîne avec le temps quelques disparités entre les différents duchés. Ainsi les deux premiers font partie de la Confédération germanique, contrairement au Schleswig. Les règles de succession sont généralement les mêmes dans les trois duchés et au Danemark, toutefois dans les duchés la loi salique s'applique, empêchant la transmission par les femmes. Dans les années 1840, le prince héritier du Danemark, le futur Frédéric VII, est toujours sans descendance, et l'éventualité d'une séparation de la couronne du Danemark de ses duchés devient probable. Pour éviter cela, le roi du Danemark Christian VIII rédige la Modèle:Citation Modèle:Langue en 1846, qui contourne la loi salique pour réaffirmer les droits du Danemark sur les duchés. Cela évince la maison allemande de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Augustenbourg, héritière des duchés et crée un mouvement de patriotisme parmi les nationalistes allemands<ref name="clark562">Modèle:Harvsp</ref>.

En effet, depuis l'époque napoléonienne le nationalisme et le libéralisme montent en Europe. Les duchés ne font pas exception. Les concepts de patrie et de peuple ont remplacé les questions dynastiques. Les privilèges et un souverain de droit divin sont quant à eux mal acceptés par les libéraux. En Schleswig, l'allemand est alors la langue du droit et de l'élite. Les Danois n'acceptent plus cette situation, considérant que le danois doit prévaloir<ref name="zank">Modèle:Article</ref>.

La première guerre de Schleswig (1848-1850)

Fichier:Christian IX af Henrik Olrik.jpg
Christian IX de Danemark

Modèle:Article détaillé Le Modèle:Date, peu après sa montée sur le trône, Frédéric VII publie une nouvelle constitution pour le Danemark qui prévoit l'annexion des trois duchés. Cela ne laisse pas indifférent le ministre des Affaires étrangères prussien Armin-Suckow qui presse son roi d'intervenir. Le Modèle:Date, le nouveau gouvernement danois annexe le Schleswig. Provoqués par les mouvements nationaux de 1848, les duchés s'insurgent. Les troupes prussiennes, alliées à quelques autres États allemands, et sous mandat de la Confédération germanique, entrent le Modèle:Date- en Schleswig<ref name="clark562"/>.

Un cessez-le-feu unilatéral de la Prusse, l'armistice de Malmö, est signé le Modèle:Date- sous la pression russe et britannique. Tout d'abord refusé par le parlement de Francfort, chargé de l'unification de l'Allemagne, ce dernier est confronté à son absence de moyens afin de continuer la guerre et finit par entériner le traité le Modèle:Date-<ref name="clark562"/>.

La trêve est rompue par le Danemark le Modèle:Date-, mais la paix est signée à Berlin le Modèle:Date-. Un mois plus tard, le protocole de Londres est signé, qui réhabilite les distinctions entre les duchés et le Danemark<ref name="l212">Modèle:Harvsp</ref>. Un deuxième protocole est signé à Londres en 1852, qui accorde la succession des duchés au royaume du Danemark et garantit l'autonomie de ceux-ci. Cependant le nationalisme allemand fait pression pour l'entrée des duchés dans la confédération<ref name="zank"/>.

Le conflit

Déclenchement

Le Modèle:Date le roi de Danemark Frédéric VII meurt sans descendance masculine au trône. Christian de Glücksbourg accède alors à la couronne du Danemark par descendance féminine, mais la question des duchés est de nouveau ouverte. Les précédents traités affirment que les duchés doivent être attribués selon les mêmes règles que celles ayant prévalu pour son prédécesseur. De son côté, Frédéric-Auguste de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Augustenbourg revendique en 1863 l'héritage des deux duchés. Il dispose certes théoriquement des droits, mais son père Christian-Auguste de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Augustenbourg y a renoncé en 1852 en signant le traité de Londres. Frédéric ne se sent toutefois pas concerné par les engagements de son père, et il est en cela soutenu par les nationalistes allemands. Le Modèle:Date-, ils sont 20 000 à se rassembler à Elmshorn pour le Modèle:Citation de Frédéric VIII. Il est soutenu par la Saxe et le Hanovre<ref name="zank"/>. De son côté Christian IX doit faire face aux nationalistes danois réclamant la défense du duché de Schleswig. Afin de les apaiser, il renouvelle, dans la constitution de 1863, les intentions de 1848 d'annexer ce duché au royaume du Danemark, ceci en contradiction avec les traités de Londres. Le Modèle:Langue décide donc le Modèle:Date d'intervenir militairement dans le Holstein : on parle de Modèle:Langue. Otto von Bismarck, le ministre-président de Prusse, souhaite le respect des traités, c'est-à-dire une position intermédiaire entre les Danois et les nationalistes allemands. S'il y a rupture du statu quo, cela doit être en faveur de la Prusse. Cette décision permet également de placer Christian IX dans le rôle de l'empêcheur de tourner en rond. Il convainc les Autrichiens de soutenir également cette ligne. Le Modèle:Date- le Modèle:Langue confirme son vote et lance le début des opérations<ref name="zank"/>,<ref name="clark598">Modèle:Harvsp</ref>,<ref name="gott">Modèle:Ouvrage</ref>. Le Modèle:Date le roi de Danemark Frédéric VII meurt sans descendance masculine au trône. Christian de Glücksbourg accède alors à la couronne du Danemark par descendance féminine, mais la question des duchés est de nouveau ouverte. Les précédents traités affirment que les duchés doivent être attribués selon les mêmes règles que celles ayant prévalu pour son prédécesseur. De son côté, Frédéric-Auguste de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Augustenbourg revendique en 1863 l'héritage des deux duchés. Il dispose certes théoriquement des droits, mais son père Christian Auguste de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Augustenbourg y a renoncé en 1852 en signant le traité de Londres. Frédéric ne se sent toutefois pas concerné par les engagements de son père, et il est en cela soutenu par les nationalistes allemands. Le Modèle:Date-, ils sont 20 000 à se rassembler à Elmshorn pour le Modèle:Citation de Frédéric VIII. Il est soutenu par la Saxe et le Hanovre<ref name="zank"/>. De son côté Christian IX doit faire face aux nationalistes danois réclamant la défense du duché de Schleswig. Afin de les apaiser, il renouvelle, dans la constitution de 1863, les intentions de 1848 d'annexer ce duché au royaume du Danemark, ceci en contradiction avec les traités de Londres. Le Modèle:Langue décide donc le Modèle:Date d'intervenir militairement dans le Holstein : on parle de Modèle:Langue. Otto von Bismarck, le ministre-président de Prusse, souhaite le respect des traités, c'est-à-dire une position intermédiaire entre les Danois et les nationalistes allemands. S'il y a rupture du statu quo, cela doit être en faveur de la Prusse. Cette décision permet également de placer Christian IX dans le rôle de l'empêcheur de tourner en rond. Il convainc les Autrichiens de soutenir également cette ligne. Le Modèle:Date- le Modèle:Langue confirme son vote et lance le début des opérations<ref name="zank"/>,<ref name="clark598" />,<ref name="gott" />.

Débuts

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Frédéric von Wrangel, commandant des troupes prussiennes

Le Modèle:Date-, un contingent de Modèle:Unité hommes de la Confédération germanique, principalement composé de Hanovriens et de Saxons, passe la frontière danoise sans rencontrer de grande résistance et occupe la plus grande partie du duché de Holstein et du Saxe-Lauenbourg. Des divergences au Modèle:Langue apparaissent quant à la suite à donner aux événements et sur la question de la poursuite de l'invasion dans le Schleswig. Celle-ci ne peut être réalisée sans le soutien des deux grandes puissances allemandes, qui agissent à l'unisson et de manière indépendante de la confédération comme elles l'annoncent le Modèle:Date- après le vote du Modèle:Langue. Elles considèrent l'invasion du Schleswig comme un moyen de pression sur le Danemark<ref>Modèle:Citation étrangère</ref>,<ref name="muller"/>,<ref name="clark600"/>,<ref name="gott"/>.

Le Modèle:Date, la Prusse et l'Autriche envoient un ultimatum au Danemark, dans lequel elles lui demandent de respecter ses engagements et de renoncer à sa constitution dans les 48 heures<ref name="muller"/>. Le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande et l'Empire russe préviennent Christian qu'il ne faudrait cette fois-ci pas compter sur leur aide<ref name="zank"/>. Cependant cette union entre l'Autriche et la Prusse n'est qu'apparente. La première cherche à discréditer le mouvement national de Francfort et à éviter l'annexion des duchés par la Prusse seule, annexion vraisemblablement soutenue par Napoléon III. La seconde au contraire veut à long terme annexer les duchés, et à court terme éviter que la fusion du Holstein et du Schleswig donne naissance à un État hostile à la Prusse, remettant ainsi en cause sa suprématie dans le nord de l'Allemagne<ref name="clark600">Modèle:Harvsp</ref>.

Le Danemark rejette l'ultimatum, espérant que la Grande-Bretagne ou la Russie changent d'avis. Modèle:Unité de l'armée danoise sont rassemblés dans le Danevirke, imposant ouvrage militaire composé de 27 redoutes et équipé de Modèle:Unité<ref name="zank"/>.

Déroulement

Fichier:Karte Deutsch-Dänischer Krieg Militärereignisse.png
Les campagnes militaires
Fichier:1864 erstuermung-der-dueppeler-schanzen-deutsch-daenischer-krieg.jpg
Bataille de Dybbøl

Le Modèle:Date-, les troupes prussiennes franchissent l'Eider sans l'aval du Modèle:Langue<ref name="muller">Modèle:Ouvrage</ref>. Dans le Sud, elles sont perçues comme libératrices. Des drapeaux bleu-blanc-rouge, couleur du Schleswig-Holstein, flottent dans les rues<ref name="zank"/>. Le même jour, elles tentent, en vain et au prix de lourdes pertes, de franchir le Schlei au niveau de Missunde. Les Autrichiens, de leur côté, franchissent la Modèle:Lien pour s'approcher à Modèle:Unité du Danevirke. Le commandement des troupes prussiennes est pris par le Generalfeldmarschall Frédéric von Wrangel, âgé alors de Modèle:Unité. Ce choix est avant tout politique, l'âge du général l'empêchant de commander efficacement ses troupes. Ainsi ce sont les troupes autrichiennes qui prennent Oberselk et Jagel le Modèle:Date, puis Översee Modèle:Unité plus tard. Après la prise de Selk, des combats éclatent et causent la mort de 16 officiers et 66 soldats autrichiens. Un monument est donc érigé en 1864 en leur honneur sur le Modèle:Langue<ref name="clark602">Modèle:Harvsp</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Sur le plan stratégique, les Autrichiens doivent attaquer de front les Danois, tandis que les Prussiens doivent contourner le Schlei près de Missunde et les prendre de revers. La tentative à Missunde ayant échoué, ces derniers franchissent finalement le Schlei du côté d'Arnis le Modèle:Date-. Les Danois n'avaient pas encore fini leur préparation défensive en ce point. Le commandant en chef danois, Christian Julius de Meza, décide alors de faire évacuer le Danevirke, afin d'éviter l'encerclement. Ce retrait est soutenu par l'artillerie présente à Flensbourg. L'abandon de cet ouvrage défensif, symbolique pour les Danois, cause un choc dans l'opinion publique. De Meza est démis de ses fonctions<ref name="zank"/>. Sa manœuvre permet cependant de sauver l'armée, qui se replie sur l'île d'Als après des affrontements proches d'Översee. Les troupes autrichiennes, sous le commandement du général Ludwig von Gablenz, continuent alors leur marche vers le nord, tandis que les troupes prussiennes progressent vers l'est, en prenant appui sur la presque-île de Modèle:Lien pour s'approcher du détroit d'Als. Les Danois se sont retranchés dans la forteresse de Dybbøl.

Fichier:Londonkonferencen Grænseforslag.png
Propositions pour une division
Fichier:1866 Camphausen Crossing to Alsen anagoria.JPG
Invasion de l'île d'Als par les Prussiens

Bismarck de son côté veut absolument éviter que les troupes, dans leur élan, n'envahissent le Jutland danois. Cela aurait en effet transformé cette guerre aux buts limités en guerre d'invasion du Danemark, et aurait selon toute vraisemblance entraîné les autres grandes puissances dans la guerre. Wrangel envoie tout de même un commando dans le Jutland au milieu du mois de février, s'attirant les foudres du chancelier qui le remplace mi-mai comme commandant en chef des Armées. Bismarck décide également de lancer les troupes contre Dybbøl, proche de Sønderborg, pourtant bien défendue : encore une fois le politique prend le pas sur le militaire lors de cette guerre. Frédéric-Charles de Prusse, qui dirige les troupes, émet d'ailleurs ses doutes quant à l'opportunité de cette attaque. La bataille débute le Modèle:Date- avec un bombardement intensif du fort. Les généraux danois veulent éviter le pire et effectuer une nouvelle retraite, mais le ministre de la Guerre Modèle:Lien décide le Modèle:Date- de tenir Dybbøl coûte que coûte. Les Prussiens, quant à eux, construisent un réseau de tranchées afin de s'approcher à Modèle:Unité de la forteresse. L'assaut est donné le 18 et ne dure que quelques heures avant la victoire prussienne. Les Danois coupent alors le pont flottant les reliant à Als<ref name="zank"/>,<ref name="clark602"/>,<ref name="clark604">Modèle:Harvsp</ref>.

Les pourparlers entre belligérants débutent le 29 à Londres. La bataille navale de Heligoland qui se déroule le 9 mai se solde certes par une victoire danoise, mais cela n'a pas d'influence sur la suite. Le Modèle:Date-, un cessez-le-feu est décidé à Londres. En Modèle:Date-, la pétition Arnim-Boitzenburg réclame en Prusse l'annexion des deux duchés au royaume et est signée par Modèle:Unité personnes, principalement conservatrices et libérales<ref name="clark604"/>. Toutefois le Danemark refuse les conditions proposées et la guerre reprend. Les Prussiens bombardent Sønderborg à partir de Dybbøl. Le 29 juin, les troupes austro-prussiennes occupent alors l'île d'Als. Au même moment, des contingents prussiens atteignent le nord du Jutland. Le Danemark doit céder<ref name="zank"/>.

Issue

Fichier:Det østrigske flagskib Schwartzenberg brænder.jpg
La bataille de Heligoland n'a que peu de conséquences malgré la défaite prussienne

Le traité de Vienne est signé le Modèle:Date par le Danemark, la Prusse et l'Autriche et marque la fin du conflit. Le Danemark renonce à ses droits sur les duchés<ref name="zank"/>. Par la suite la convention de Gastein du Modèle:Date entre les deux puissances allemandes traite de la répartition de leurs pouvoirs dans les duchés. Les duchés de Schleswig et de Saxe-Lauenbourg sont administrés par la Prusse, celui de Holstein par l'Autriche. La Prusse voit cela comme une étape pour l'annexion, alors que l'Autriche n'administre le Holstein que par concession<ref name="gott"/>.

Conséquences

Fichier:Karte Deutsch-Dänischer Krieg Gebietsveränderungen.svg
Carte des modifications territoriales

La guerre des Duchés a placé la Prusse sur les rails de l'unité allemande, en compétition avec l'Autriche hésitante. En 1866, Bismarck, Premier ministre du Royaume de Prusse, en dénonçant une mauvaise gestion des duchés par l'Autriche, envahit le Holstein et déclenche ainsi la guerre austro-prussienne, écartant l'Autriche du futur Empire allemand.

Pour le Danemark, la défaite signifie une seconde perte significative de sa puissance au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. En effet, le traité de Kiel l'avait déjà dépossédé le Modèle:Date de la Norvège au profit de la Suède. Même si le royaume en lui-même reste inchangé, les duchés en union personnelle sont perdus. Par la suite, le roi Christian IX demande à Guillaume {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de faire entrer le Danemark dans la Confédération germanique. Ce dernier rejette cependant la demande<ref>Modèle:Article</ref>.

Sur le plan stratégique, la guerre des Duchés, tout comme la guerre de Sécession, marque le début d'une nouvelle ère. Les chemins de fer montrent leur importance pour la rapidité de la mobilisation générale. Les canons Krupp et les fusils Dreyse sont pour la première fois utilisés et démontrent leur efficacité.

La guerre des duchés dans la culture

Ce conflit est illustré dans la série télévisée danoise 1864.

Notes et références

Modèle:Traduction/Référence Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

Modèle:Autres projets Modèle:Légende plume

  • Modèle:Ouvrage, édition allemande utilisée pour la pagination des sources.
  • Modèle:OuvrageModèle:Plume
  • Modèle:OuvrageModèle:Plume
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien u. a. (Hrsg.): 1864 – Menschen zwischen den Mächten. 1864 – Mennesker mellem magterne. Hamburg University Press, Verlag der Staats- und Universitätsbibliothek Hamburg Carl von Ossietzky, Hamburg 2015, Modèle:ISBN.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Tom Buk-Swienty: Schlachtbank Düppel: 18. April 1864. Die Geschichte einer Schlacht. (Originaltitel: Slagtebaenk Dybbøl, übersetzt von Ulrich Sonnenberg). Osburg, Berlin 2011, Modèle:ISBN.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien: Entscheidung 1864, das Gefecht bei Düppel im Deutsch-Dänischen Krieg und seine Bedeutung für die Lösung der deutschen Frage. Bernard & Graefe, Bonn 1996, Modèle:ISBN.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Jan Schlürmann: „Ein Schlachtfeld wird besichtigt“: Das Jahr 1864 und die nationale, regionale und europäische Dimension des Erinnerns / „En slagmark inspiceres“: Året 1864 og erindringens nationale, regionale og europæiske dimension. In: 1864 Mennesker i krigen / Menschen im Krieg. hrsg. von der Schleswig-Holsteinischen Landesbibliothek und dem Museum Sønderjylland/Museum Sønderborg Slot, Kiel/Sønderborg: 2014, S. 7–11.
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  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Jürgen Angelow: Von Wien nach Königgrätz. Die Sicherheitspolitik des Deutschen Bundes im europäischen Gleichgewicht (1815–1866). (= Beiträge zur Militärgeschichte. Band 52). Oldenbourg, München 1996, Modèle:ISBN.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien: Geschichte des Krieges gegen Dänemark 1864, Rockstuhl 2011, Modèle:ISBN.

Liens externes

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