Jacques Le Marois
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Jacques Le Marois (né le Modèle:Date de naissance<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>) est un entrepreneur et un des promoteurs des nouvelles technologies en France. Il est notamment cofondateur de la société Mandriva, de Geneanet<ref name="jdn">Modèle:Lien web.</ref> et de GeneaBank<ref name="liberation">Modèle:Lien web.</ref>.
Biographie
Jacques Le Marois est ancien élève de l'École normale supérieure (1990 s) et diplômé du Collège des ingénieurs<ref name="jdn" />.
En 1994, il travaille chez L'Oréal, au sein de la société Gemey, comme chef de projet responsable du lancement des coffrets de fin d'année. De 1994 à 1995, chez Aluminium Pechiney où il participe au lancement d'une nouvelle activité de trading de lingots d'aluminium. De 1995 à 1997, il travaille comme consultant en organisation chez Andersen Consulting où participe d'abord au lancement d'une nouvelle entité du groupe Danone puis sur la mise en œuvre d'un système de reporting sur l'occupation des bureaux virtuels d'Andersen Consulting à Paris<ref name="jdn" />,<ref name="mandrakesoft">Modèle:Lien web.</ref>.
Il cofonde en 1996 Geneanet, site destiné aux passionnés de généalogie. En 1999, il participe à la création de l'entreprise qui gère le site, en prend la présidence en 2001 et rejoint l'entreprise à temps plein comme président salarié en 2006, position qu'il occupe<ref name="rfg">Modèle:Lien web.</ref>jusqu’au 11 avril 2023<ref>Modèle:Lien web</ref>date de sa démission pour se consacrer à la Fondation pour l’étude et le développement des Biothérapies.
En 1998, il s'implique de plus en plus comme évangéliste des logiciels libres et de Linux. Avec d'autres personnes, via le projet "linux-matos", il essaye de convaincre des revendeurs de proposer Linux en pré-installation<ref name="lesnumeriques">Modèle:Lien web.</ref>. Le 10 octobre 1998, il organise une linux party géante impliquant 35 villes et plusieurs milliers de participants<ref name="mandrakesoft" />,<ref name="lesnumeriques" />.
Il cofonde le Modèle:Date- la société Mandrakesoft devenue par la suite Mandriva<ref name="jdn" />. Il en est président-directeur général de 1998 à mai 2000 et d'avril 2001 à 2004. Il en est président de 2000 à 2001 puis de 2004 jusqu'à sa démission en Modèle:Date-<ref name="01net2">Modèle:Lien web.</ref>. De mai 2000 jusqu'en avril 2001, Il laisse le poste directeur général à un manager américain, Modèle:Lien<ref name="lesnumeriques" />,<ref name="businessweek"> Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="01net1">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="01net3">Modèle:Lien web</ref>,<ref>Glyn Moody, Rebel Code: Linux and the Open Source Revolution, Hachette UK, 2009</ref> et à partir de 2004, à François Bancilhon<ref name="lesnumeriques" />.
Fin 2001, il change les modèles économiques de Geneanet et de Mandrakesoft. Le 2 octobre 2001, il lance le "Club Privilège" chez Geneanet<ref name="bloggeneanet">Modèle:Lien web</ref>, et le 28 novembre 2001 le Club Mandrake Linux chez Mandrakesoft, "Ces clubs sont des hybrides entre le denier du culte et le club du Reader’s Digest"<ref name="01net4">Modèle:Lien web</ref>.
Il fonde également des sites web consacrés à la généalogie : GeneaBank en 1997<ref>Magazine Ça m'intéresse, Généalogie, une passion mondiale, janvier 1998</ref> et en 2007, le projet Familles parisiennes dont l'objectif est de numériser et indexer des fonds d'archives en vue de reconstituer les généalogies des familles parisiennes. Le projet est enregistrée en tant qu'association en 2019<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Jacques Le Marois quitte la présidence de Geneanet en avril 2023, afin de consacrer son temps au développement d’une cause qui lui tient particulièrement à cœur : la création de la Fondation pour l’étude et le développement des Biothérapies.
