Jean-Claude Moreau
Modèle:Autre Modèle:Infobox Personnalité militaire
Jean-Claude Moreau, né le Modèle:Date de naissance à Lyon (Lyonnais) et mort le Modèle:Date de décès à La Tronche (Isère), est un général français de la Révolution et de l’Empire.
États de service
Il entre en service le Modèle:Date-, comme soldat dans l’ancien régiment de Custine-dragons, et en sort par congé acheté le Modèle:Date-. Le Modèle:Date-, il reprend du service comme fusilier au régiment de Rouergue-infanterie, et il quitte ce corps par congé acheté le Modèle:Date-.
Le Modèle:Date-, il s’engage dans le [[4e bataillon de volontaires du Mont-Blanc|Modèle:4e de volontaires du Mont-Blanc]], il passe adjudant-major le Modèle:Date-, capitaine le Modèle:Date-, et chef de ce bataillon le Modèle:Date-. Il fait les campagnes de l’an II et de l’an III à l’armée des Pyrénées orientales, et il obtient le grade de chef de brigade honoraire le Modèle:Date- dans la [[11e régiment d'infanterie|Modèle:11e d’infanterie de ligne]].
Le Modèle:Date-, Bonaparte le nomme chef de brigade titulaire à la [[14e régiment d'infanterie (France)|Modèle:14e d’infanterie]], nomination confirmé par arrêté du Premier consul en date du Modèle:Date-. Il sert aux armées d’Italie et des Grisons, et il se distingue à l’affaire de Lignago le Modèle:Date- où il reçoit un coup de feu à l’épaule.
Il est promu général de brigade le Modèle:Date-, et il fait partie du camp de Saint-Omer en l’an XII et en l’an XIII, sous les ordres du maréchal Soult. Il est fait chevalier de la Légion d’honneur le Modèle:Date-, et commandeur de l’ordre le Modèle:Date-. Il prend un commandement dans la Modèle:3e du corps d’armée centre, et il passe le Modèle:Date- à l’armée des côtes de l’Océan, puis l’année suivant au Modèle:1er de l’armée de réserve.
Le Modèle:Date-, il commande l’avant-garde du corps des gardes nationales du Nord, et le Modèle:Date-, il est employé dans la Modèle:24e militaire. Le Modèle:Date-, il rejoint la Modèle:11e militaire et le Modèle:Date- il est appelé à l’armée d’Italie. Le Modèle:Date-, il prend le commandement supérieur de la place d’Ancône, et il est créé baron de l’Empire le Modèle:Date- suivant.
Le Modèle:Date-, il est nommé commandant du département du Var, et le Modèle:Date-, il est attaché au Modèle:2e de la Grande Armée. Il se distingue dans plusieurs combats et notamment au passage de la Bérézina le Modèle:Date-, où il est grièvement blessé. Le Modèle:Date-, il est élevé à la dignité de grand officier de la Légion d’honneur par une faveur spéciale de l’Empereur, qui lui confie le commandement du département de l’Yonne le Modèle:Date-.
Le Modèle:Date-, lors de la campagne de France, il reçoit du duc de Trévise l’ordre de prendre le commandement de la ville de Soissons. La ville est mal fortifiée et a peu de troupes, mais ce sont des unités polonaises aguerries, et l’artillerie est bien servie. Le Modèle:Date-, lorsque la ville est attaquée de toutes parts, il songe à préserver la ville d’un assaut et à sauver sa garnison. Après une négociation avec le général Von Bülow, il remet la ville à l’ennemi et il se retire sur Villers-Cotterêts avec son artillerie et ses bagages.
Le Modèle:Date- l’Empereur apprenant la reddition de Soissons, ordonne son arrestation et sa traduction devant un conseil de guerre. Arrêté et conduit à Paris, il est écroué à la prison de l’Abbaye en attendant son jugement. Il ne doit sans doute son salut qu’aux événements du mois d’Modèle:Date-, et si la révolution du Modèle:Date- lui sauve sa tête et son honneur, il n’en est pas moins condamné par toute l’armée française, qui ne doute pas que, sans la reddition de Soissons, c’en était fait de l’armée de Blücher dont la destruction devait entraîner la retraite de toutes les forces de la coalition.
Il est mis en congé le Modèle:Date-, et le roi Louis XVIII, lui donne le commandement du département de l’Indre le Modèle:Date- et le fait chevalier de Saint-Louis.
Le Modèle:Date-, l’Empereur le maintient dans son poste, et il est remplacé le Modèle:Date- suivant avant d’être admis à la retraite le Modèle:Date-.
Il meurt le Modèle:Date-, à La Tronche près de Grenoble.
Dotation
- Le Modèle:Date-, donataire d’une rente de Modèle:Unité sur les biens réservés à Rome.
Armoiries
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Modèle:Armoiries avec ornements communs | Armes du baron Jean-Claude Moreau et de l'Empire, décret du Modèle:Date-, lettres patentes du Modèle:Date-, Grand officier de la Légion d'honneur
Coupé au premier parti adextré d'or à la tête de lion arrachée de sable au comble d'azur chargé de deux étoiles en fasces d'argent à sénestre des barons tirés de l'armée, au deuxième de sable à la tête de cheval d'or bridé de gueules - Livrées : les couleurs de l'écu. |
Voir aussi
Bibliographie
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