Jean Leonetti

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Confusion Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique

Jean Leonetti est un homme politique français, né le Modèle:Date à Marseille (Bouches-du-Rhône).

Ancien vice-président du Parti radical puis de l'UMP et des Républicains, il est maire d'Antibes depuis 1995 et président de la communauté d'agglomération Sophia Antipolis depuis 2002.

Il est principalement connu pour être à l'origine de la [[loi Leonetti du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie|loi du Modèle:Date- relative à la fin de vie]], qui porte son nom.

Député des Alpes-Maritimes entre 1997 et 2017, il a été ministre chargé des Affaires européennes du Modèle:Date- au Modèle:Date-, et président par intérim des Républicains entre juin et Modèle:Date-.

Biographie

Après des études à l'université de la Méditerranée Aix-Marseille II, Jean Leonetti devient médecin cardiologue.

Il est maire de la ville d'Antibes depuis 1995. Il devient député de la [[Septième circonscription des Alpes-Maritimes|Modèle:7e des Alpes-Maritimes]] à l’issue des élections législatives de 1997, recueillant au deuxième tour 72,96 % des suffrages exprimés dans un duel face au candidat du Front national Robert Crépin (27,04 %)<ref>Résultats des élections législatives de 1997 - Antibes (Modèle:7e) Alpes-Maritimes (6), sur assemblee-nationale.fr, le site de l'Assemblée nationale. Consulté le 30 juin 2012.</ref>. Il est réélu député de la Modèle:7e des Alpes-Maritimes au premier tour lors des législatives de 2002 avec 53,1 %<ref>Résultats des élections législatives 2002 - Antibes (Modèle:7e) Alpes-Maritimes (6), sur assemblee-nationale.fr, le site de l'Assemblée nationale. Consulté le 30 juin 2012.</ref>, des législatives de 2007 avec 63,99 % des voix<ref>Résultats des élections législatives 2007 - Alpes-Maritimes (06) - Modèle:7e, sur interieur.gouv.fr, le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 30 juin 2012.</ref>, et des législatives de 2012 avec 51,10 %<ref>Résultats des élections législatives 2012 - Alpes-Maritimes (06) - Modèle:7e, sur interieur.gouv.fr, le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 11 juin 2012.</ref>.

Il est l'un des vice-présidents du groupe UMP de l'Assemblée nationale au cours de la [[XIIIe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIIe{{#if:|  }} }} législature de la Cinquième République]]<ref>Jean-Baptiste Garat, « Borloo mesure ses soutiens », Le Figaro, Modèle:Date.</ref>. Il est reconduit à ce poste le Modèle:Date-, pour la [[XIVe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIVe{{#if:|  }} }} législature]], avec huit autres députés<ref>« Assemblée nationale : Philippe Vitel vice-président du groupe UMP », Nice-Matin, Modèle:Date. Consulté le 30 juin 2012.</ref>. Sur les douze députés du Parti radical, il fait partie des sept qui siègent dans le groupe UMP plutôt que dans le groupe de l'Union des démocrates et indépendants (UDI) présidé par Jean-Louis Borloo.

Longtemps vice-président du Parti radical<ref>Sophie Rambure, « Pourquoi Leonetti n’est plus vice-président du Parti radical », Nice-Matin, Modèle:Date.</ref>, il démissionne de ce poste le Modèle:Date-, n'étant plus en accord avec la ligne du parti qui revendique son autonomie vis-à-vis de l'UMP<ref name="afp_29062012">« Leonetti quitte la vice-président du Parti radical à la demande de Borloo », AFP, sur leparisien.fr, le site du Parisien, Modèle:Date. Consulté le 30 juin 2012.</ref>,<ref>« Leonetti n'est plus vice-président du PR », AFP sur lefigaro.fr, Modèle:Date. Consulté le 5 juillet 2012.</ref>. Jean Leonetti est en effet partisan du maintien du PR dans l'UMP<ref name="afp_29062012"/>. Il reste membre du Parti radical<ref name="afp_29062012"/>.

Le Modèle:Date-, il est nommé ministre chargé des Affaires européennes, auprès du ministre d'État, ministre des Affaires étrangères et européennes dans le troisième gouvernement François Fillon. Il est remplacé à l'Assemblée nationale par son suppléant Michel Rossi.

Il soutient François Fillon lors du congrès de 2012 pour la présidence de l'UMP<ref>Leonetti : "Je soutiendrai François Fillon", Le Figaro, 20 août 2012.</ref>. Par ailleurs, il dépose avec d'autres personnalités la déclaration de principe du mouvement France moderne et humaniste<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le Modèle:Date-, il est nommé vice-président de l'UMP (au titre des « mouvements ») et membre de la commission de révision des statuts du parti<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En vue du congrès de 2014 pour la présidence de l'UMP faisant suite à la démission de Jean-François Copé, il soutient la candidature de Bruno Le Maire<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il se prononce pour Alain Juppé lors de la primaire présidentielle des Républicains de 2016<ref>Ludovic Vigogne, « Primaire à droite: la liste des premiers soutiens parlementaires », lopinion.fr, 20 avril 2016.</ref>.

Début 2018, il devient président du conseil national des Républicains, succédant à Luc Chatel. Il devient en outre, le Modèle:Date-, vice-président délégué du parti, en remplacement de Virginie Calmels<ref>Communiqué de presse sur le fil Twitter des Républicains.</ref>. Après démission de Laurent Wauquiez, le Modèle:Date-, il devient président des Républicains par intérim<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il assure cette fonction jusqu'à la tenue d'un congrès visant à élire un nouveau président du parti<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Christian Jacob lui succède le Modèle:Date-.

Travaux parlementaires

Modèle:Article connexe Très impliqué dans les questions d'éthique, notamment médicales, Jean Leonetti a présidé la « Mission parlementaire sur l’accompagnement de la fin de vie » en 2004, qui a conduit à la rédaction d'un rapport Léonetti 1, le Modèle:Date-. Ce rapport contient entre autres les besoins des professionnels de santé et de la population concernant la fin de vie.

Ce premier rapport conduit à la « loi relative aux droits des malades et à la fin de vie » n° 2005-370 du Modèle:Date dont il était le rapporteur au Parlement<ref>Proposition de loi relative aux droits des malades et à la fin de vie nº1882 du 26 octobre 2004 sur le site officiel de l'Assemblée nationale.</ref>. Cette mission lui avait été confiée par le président Jacques Chirac et le gouvernement Raffarin à la suite de l'affaire Vincent Humbert de 2003.

Le Modèle:Date-, il est à l'origine d'une proposition, non discutée à l'époque, de reconnaître « l'œuvre positive de l'ensemble de nos citoyens qui ont vécu en Algérie pendant la période de présence française », cosignée par 107 autres députés<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 2008, à la suite de l'affaire Chantal Sébire, Jean Léonetti rédige un deuxième rapport pour évaluer la loi du Modèle:Date-.

Détail des fonctions et des mandats

Au gouvernement
  • Modèle:Date - Modèle:Date : ministre auprès du ministre d'État, ministre des Affaires étrangères et européennes, chargé des Affaires européennes
À l'Assemblée nationale
Au niveau local
Au sein de partis politiques
Autres

Publications

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

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