King Kong (film, 1933)

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King Kong est un film américain réalisé et produit par Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack, sorti en 1933. Le scénario de James A. Creelman et Ruth Rose a été développé à partir d'une idée de Merian C. Cooper et Edgar Wallace. Il raconte l'histoire d'un réalisateur, Carl Denham (Robert Armstrong), menant une expédition sur une île perdue afin de tourner un film et dont le lieu se révèle être peuplé de créatures préhistoriques. L'actrice principale Ann Darrow (Fay Wray) se fait enlever par des indigènes et est offerte à un gorille géant nommé Kong qui s'éprend de la jeune femme. Le marin Jack Driscoll (Bruce Cabot) va alors tenter de la sauver.

Le film utilise de l'animation en volume supervisée par Willis O'Brien et sa bande originale est composée par Max Steiner. Il est sorti à New York le Modèle:Date, a reçu des critiques largement positives et a été un très grand succès qui lança un mythe important dans la culture populaire américaine. Il est considéré depuis comme un des meilleurs films américains de tous les temps. Une suite, Le Fils de Kong, est rapidement sortie la même année et le film connut deux reprises, en 1976 et 2005, ainsi qu'un redémarrage en 2017. En 1991, King Kong est sélectionné par le National Film Registry de la Bibliothèque du Congrès des États-Unis pour y être conservé, en raison de son « importance culturelle, historique ou esthétique ».

Synopsis

Dans les années 1930, le réalisateur Carl Denham envisage de tourner un film sur la mystérieuse « Île du Crâne » après être entré en possession d'une carte mentionnant son existence au large de Sumatra. Après avoir embauché à New York une jeune femme au chômage, Ann Darrow, Denham embarque avec son équipe sur le navire SS Venture commandé par le capitaine Englehorn, qui fait route vers l'océan Indien. Durant le voyage, Ann tombe amoureuse du second de l'équipage, Jack Driscoll.

Les explorateurs découvrent bientôt l'Île du Crâne, bout de terre peuplé d'animaux préhistoriques féroces. Après avoir interrompu une cérémonie indigène, l'équipe de Denham retourne à bord. Mais les autochtones enlèvent Ann sur le cargo pour la donner en sacrifice à leur dieu Kong, un monstre gigantesque. Driscoll et les autres marins se lancent aussitôt sur ses traces.

Kong, qui s'avère être un gorille humanoïde géant, emporte Ann dans son repaire au sommet de la plus haute montagne de l'île. Tandis que la moitié de ses compagnons trouvent la mort en traversant l'île infestée de dinosaures, Jack réussit à délivrer la jeune femme. Denham décide alors de capturer le gorille avec l'aide du capitaine Englehorn et de bombes de gaz soporifique. Ils capturent Kong et le ramènent vers la civilisation, à New York.

Enchaîné dans un théâtre comme une bête de foire, vendu au public comme la « Huitième Merveille du monde », King Kong s'échappe et part à la recherche d'Ann en pleine ville. Traqué par l'armée, il trouve la jeune femme et l'emporte au sommet du plus haut gratte-ciel de la ville, l'Empire State Building. Pris au piège, il affronte bravement l'aviation militaire avant d'être mortellement blessé et de tomber de la tour pour s'écraser dans la rue.

Fiche technique

Distribution

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Apparence

Bien que simiesque en apparence, cette version de King Kong peut toutefois marcher debout de manière anthropomorphique et semble avoir une certaine intelligence. Ce fut un choix de l'animateur Willis O'Brien, magicien des effets spéciaux et de la stop-motion, qui voulait en faire un « homme-singe » plus qu'un véritable gorille. Dans le film, le personnage de Carl Denham décrit le monstre comme étant « ni Bête ni Homme » (« no Beast, no Man »). Sa taille varie durant le film : on peut l'estimer à Modèle:Unité dans l'île, un peu plus de 7 sur les scènes se déroulant à New York et presque 20 en haut de l'Empire State Building. Ses origines restent un mystère.

Autour du film

Version colorisée

En 1989, Ted Turner a fait coloriser King Kong pour la télévision. Cette version est sortie en VHS aux États-Unis et France (Édition Montparnasse - 1991), et en DVD en Italie et Royaume-Uni.

Citations

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Notes et références

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Annexes

Bibliographie

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Littérature

Articles connexes

Liens externes

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