La Trimouille

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Modèle:Infobox Commune de France

La Trimouille est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Anciennes variantes orthographiques : La Trémoïlle, La Trémouille.

Géographie

Localisation

La Trimouille se situe dans l'est du département de la Vienne (à environ Modèle:Unité de Montmorillon), à la limite des départements de l'Indre et de la Haute-Vienne.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

La région de La Trimouille présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées, de bocages et de vallées.

Le terroir se compose<ref>Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007</ref> :

  • de vallées fluviales étroites et encaissées pour 10 % ;
  • de groies superficielles pour 2 % sur les plaines calcaires (Les groies sont des terres du sud-ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de Modèle:Unité d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière mais elles s’assèchent vite ;
  • de terres de brandes pour 81 % et de sols limoneux sur altérite pour 5 % sur les plateaux du seuil du Poitou ;
  • de sols sur diorites pour 3 % et de sols sur granite à deux micas pour moins de 1 % sur les collines et les plateaux des massifs anciens.

Hydrographie

La commune est traversée par Modèle:Unité de cours d'eau dont les principaux sont la Benaize sur une longueur de Modèle:Unité et l'Asse sur une distance de Modèle:Unité.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 6,4 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Journet », sur la commune de Journet, mise en service en 1993<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Voies de communication et transports

La commune est traversée par la RD 675, qui la relie à Le Blanc, situé au nord à Modèle:Unité, et à Bellac, situé au sud à Modèle:Unité, ainsi que par la D 727, qui permet de rejoindre Montmorillon, à Modèle:Unité à l'ouest, et Bélâbre, à Modèle:Unité au nord-est. Elle était également desservie par la ligne de chemin de fer déclassée de Montmorillon à Saint-Aigny - Le Blanc, avec la gare de La Trimouille (le bâtiment voyageurs est toujours présent).

Urbanisme

Typologie

La Trimouille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montmorillon, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,8 %), terres arables (28,3 %), zones agricoles hétérogènes (21,6 %), forêts (8,7 %), zones urbanisées (2,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de La Trimouille est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Fichier:86273-La Trimouille-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Trimouille.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 68,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :

  • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
  • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
  • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2006, 2010 et 2016, par la sécheresse en 1996, 2016, 2018 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010<ref name=Géorisques/>.

Histoire

En 1848, avec la révolution française de 1848 et le retour de la République, deux arbres de la liberté sont plantés, place de l’Église et place du champ de foire, le neuf avril<ref>Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, Modèle:P..</ref>.

Durant la Seconde Guerre mondiale, la section locale de la légion française des combattants (association unique d’anciens combattants vichyssoise) est la troisième plus importante de la Vienne, avec Modèle:Nobr<ref>Roger Picard, La Vienne dans la guerre 1939/1945 : la vie quotidienne sous l'Occupation, Lyon : Horvath, 1993. 264 pages. Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.

La Lyre trimouillaise a été créée en 1906 sous le nom de Lyre ouvrière. Elle est à cette période simple clique, avec tambours et clairons. Ce n’est qu'au début des années 1990, alors devenue Lyre de la Trimouille, qu’elle s’ouvre aux instruments d’harmonie et évolue vers un répertoire plus varié.

Politique et administration

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Instances judiciaires et administratives

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics

Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Démographie

Modèle:Population de France/section En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de Modèle:Unité, contre Modèle:Unité pour le département, Modèle:Unité pour la région Poitou-Charentes et Modèle:Unité pour la France.

La diminution de 7 % de la population de la commune de 1999 à 2006 s’intègre dans une évolution générale à l’ensemble des communes rurales du département de la Vienne. Les zones rurales perdent de leurs habitants au profit d’une vaste région circonscrite autour des deux grandes métropoles du département : Poitiers et Châtellerault, et plus particulièrement au profit des cantons limitrophes de la préfecture.

Économie

Agriculture

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes<ref name="draf.poitou-charentes.agriculture.gouv.fr">Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne</ref>, le nombre d'exploitations est identique sur la période 2000-2010.

Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté de 32 % et sont passées de Modèle:Unité en 2000 à Modèle:Unité en 2010<ref name="draf.poitou-charentes.agriculture.gouv.fr"/>. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre identique, ici exceptionnel, d’exploitations. Cette tendance est conforme à l'évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne Modèle:Nobr<ref>Agreste – Enquête Structure 2007</ref>.

25 % des surfaces sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 9 % pour les oléagineux (colza et tournesol), moins de 1 % pour les protéagineux, 37 % pour le fourrage et 24 % reste en herbes.

Neuf exploitations en 2010 (contre sept en 2000) abritent un élevage de bovins en forte expansion (Modèle:Unité en 2010 contre Modèle:Unité en 2000)<ref name="draf.poitou-charentes.agriculture.gouv.fr"/>. C’est un des troupeaux de bovins les plus importants de la Vienne qui rassemblent Modèle:Unité en 2011<ref name="ReferenceB">Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013</ref>.

Douze exploitations en 2010 comme en 2000 abritent un élevage d'ovins en extension (Modèle:Unité en 2010 contre Modèle:Unité en 2000)<ref name="draf.poitou-charentes.agriculture.gouv.fr"/>. Cette évolution du cheptel est à l'inverse de la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007<ref name="ReferenceB"/>.

Un petit élevage de volailles est apparu durant cette décennie : Modèle:Nobr réparties sur quatre fermes en 2010<ref name="draf.poitou-charentes.agriculture.gouv.fr"/>.

Industrie

De 1963 à 2006, le principal employeur du village était l'usine Aubade, qui employait une cinquantaine de personnes. Maintenant, le plus gros employeur est une entreprise de charpente-couverture qui emploie au moins cinquante employés ; voir mairie de La Trimouille et liste des artisans.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Équipement culturel

Patrimoine civil

  • Le château de la rivière.

Patrimoine religieux

Patrimoine naturel

La commune abrite deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)<ref>Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011</ref> :

  • la vallée du Corchon, qui est aussi un espace naturel qui bénéficie des protections issues d'engagements internationaux relevant de la directive habitats-faune-flore ;
  • la vallée du Salleron.
La vallée du Corchon

La vallée du Corchon est un site classé zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). Il comprend l’ensemble du réseau hydrographique du Corchon qui est un petit affluent de la Benaize. Il s’agit d’une petite rivière de région bocagère, aux eaux d’excellente qualité, à fond de sédiments fins (sables et limons), alimentée par de nombreux petits ruisseaux qui prennent leur source au sein des prairies et des landes couvrant les coteaux riverains.

L’intérêt biologique du site qui justifie son classement et sa protection réside dans la présence importante de la Lamproie de Planer qui est un poisson menacé de disparition dans toute l’Europe. La Lamproie de Planer exige des eaux de très bonne qualité et des sédiments à granulométrie moyenne à grossière pour vivre et se reproduire. De nos jours, les principales menaces sur cet environnement fragile sont : un ralentissement anormal du courant qui modifierait le tri mécanique des sédiments, ou une pollution chimique (toxiques, métaux lourds) ou organique (eutrophisation par surcharge des eaux en nutriments provoquant une pullulation d’algues et une réduction de l’oxygène dissous). La création d’étangs destinés à la pêche le long du cours du Corchon constitue un risque important du aux vidanges des étangs qui pourraient transférer des maladies aux lamproies, qui réchaufferait l’eau de la rivière et qui pourrait introduire des espèces piscicoles exotiques. De même, la transformation des prairies naturelles du bassin versant en cultures céréalières intensives pourrait avoir d’importantes répercussions sur la balance trophique et sédimentaire des eaux (apport d’engrais et de produits phytosanitaires), voire, en cas d’irrigation, sur les débits en période d’étiage.

La vallée du Salleron

La vallée du Salleron est un site classé zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). Le site intègre une grande partie du cours de la rivière qui est un affluent de l’Anglin ainsi que ses affluents. Le Salleron est une petite rivière d’eaux vives avec une forte dénivellation depuis ses sources jusqu’à la confluence avec l’Anglin. Ses eaux sont de bonne qualité et bien oxygénées. Son lit est riche en sédiments grossiers (sables et graviers). Son bassin versant est à dominante forestière et bocagère et il est encore peu touché par l’intensification agricole.

Comme pour la vallée du Corchon, l’intérêt biologique du site qui justifie son classement et sa protection, réside dans la présence importante de la Lamproie de Planer qui est un poisson menacé de disparition dans toute l’Europe. Les menaces qui pèsent sur son environnement sont les mêmes que pour la vallée du Corchon.

La présence d’une petite population de Cistude d'Europe, une espèce de tortue, est un autre facteur important justifiant la protection du site. Cette tortue aquatique connaît en effet un déclin alarmant dans toute l’Europe de l’Ouest, victime de la disparition des zones humides ou de leur fragmentation, de la dégradation de la qualité des eaux et de l’introduction d’espèces exotiques telles que la tortue de Floride, les écrevisses américaines,ou les ragondins.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Article détaillé

Modèle:Blasonnement

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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