Le Docteur Ox (opéra bouffe)

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Modèle:Infobox Opéra (œuvre)

Le Docteur Ox est un opéra bouffe en 3 actes et 6 tableaux de Jacques Offenbach, livret d'Arnold Mortier et Philippe Gille d'après une nouvelle de Jules Verne, Une fantaisie du docteur Ox (1874), créé le Modèle:Date aux Variétés.

L'œuvre

Contexte

Le Docteur Ox est créé le Modèle:Date- dans une période très chargée pour Jacques Offenbach. Son livre Notes d’un musicien en voyage, dans lequel il raconte avec humour sa tournée triomphale aux États-Unis en 1876, paraît le Modèle:Date-<ref name="lefigaro-18770118"/>, huit jours avant la première du Docteur Ox. Et quinze jours plus tard, La Foire Saint-Laurent est créée, le Modèle:Date-, aux Folies Dramatiques<ref>Le Figaro du 10 février 1877</ref>. Adrien Marie couvre pour L'Illustration la représentation du Modèle:Date- au Théâtre des Variétés dont il illustre la page de titre<ref>Alexandre Tarrieu, Adrien Marie (1848-1891), in Bulletin de la Société Jules Verne Modèle:N°, novembre 2017, Modèle:P..</ref>,<ref>L'Illustration Modèle:N°. Reproduit dans le BSJV Modèle:N°, août 2015, Modèle:P.</ref>.

À la mi-février, Offenbach est violemment pris à partie, et accusé d’avoir Modèle:Citation<ref>Le Figaro du 22/2/1877</ref> par le journal Le Siècle<ref>Le Figaro du 14/2/1877</ref>. Dans un article non signé, le journal s’étonne que le public parisien ait pu Modèle:Citation<ref>Jean-Claude Yon, Jacques Offenbach, Gallimard 2000, p. 562</ref>. Cet « incident Arbel-Offenbach », du nom de son accusateur, le sénateur Lucien Arbel, sera repris par l’ensemble de la presse. Offenbach se défendra par de nombreux courriers<ref>Le Figaro du 24/2/1877</ref>, mais les attaques virulentes ne se calmeront que tardivement, à la mi-mars.

La reprise de La Périchole au théâtre des Variétés, le Modèle:Date-, sera d’ailleurs accueillie par des sifflets en lever de rideau<ref>Le Figaro du 10/3/1877</ref>. Vraisemblable conséquence de ce lynchage médiatique : il faudra attendre plus d’un an avant la création de Maître Péronilla, le Modèle:Date- aux Bouffes Parisiens.

Genèse

Jules Verne et Offenbach

En 1874, Hetzel publie, dans un recueil intitulé Le Docteur Ox, une nouvelle surnommée Une fantaisie du docteur Ox écrite par Jules Verne en 1872.

En 1875, Jacques Offenbach met en musique Le Voyage dans la Lune, opéra-féerie en 23 tableaux d’Albert Vanloo, Eugène Leterrier et Arnold Mortier. Jules Verne s’émeut auprès de Hetzel de similitudes avec ses romans, mais cette affaire ne semble pas avoir eu de suite<ref>BNF, Département des Manuscrits, N.A.Fr.17.004, ff 278-280 in Jean-Claude Yon, Jacques Offenbach, Gallimard 2000</ref>.

Début Modèle:Date-, la presse annonce une Modèle:Citation signée Offenbach pour les Variétés<ref>Le Figaro du 9/2/1876</ref>. Le Modèle:Date-, Offenbach, alors aux États-Unis, écrit à Bertrand, le directeur du théâtre des Variétés, pour le féliciter du succès de la reprise de La Boulangère a des écus, il ajoute : Modèle:Citation<ref>Jacques Bindejont-Offenbach, Offenbach, mon grand-père, Plon, 1940, p. 225</ref>

Préparation

Arnold Mortier et Philippe Gille collaborent au livret avec Jules Verne qui s’installe à Paris en Modèle:Date- pour travailler à cette adaptation<ref>Le Figaro du 8/10/1876</ref>. Paradoxalement, quelques mois plus tard, à la création, Jules Verne ne sera pas cité comme un des librettistes.

Limités par le nombre réduit de personnages féminins, les librettistes ajoutent une troupe de bohémiens menée par la princesse Prascovia. Quant à la servante Lotché, elle devient une femme énergique Modèle:Citation.

Une lecture des deux premiers tableaux a lieu le samedi Modèle:Date- aux Variétés<ref>Le Figaro du 19/11/1876</ref>. Prévu d’abord à quatre tableaux<ref name="lefigaro-18770127"/>, la pièce passe à six tableaux. Bertrand, le directeur des Variétés, se plie aux exigences des librettistes : création d’un décor à deux niveaux, ajout de carillons, intégration d’une musique militaire, utilisation de siphons en cuivre pour les sifflements du gaz, etc. Les créateurs vont même jusqu’à employer du Modèle:Citation qui nécessite l’installation de gazomètres Modèle:Citation<ref name="lefigaro-18770118"/> !

Pour les répétitions, le théâtre des Variété fait relâche dès le mercredi Modèle:Date-<ref name="lefigaro-18770118"/>. Prévue une semaine plus tard, la première est reculée pour permettre la mise au point des effets du gaz<ref>Le Figaro du 24/1/1877</ref> : au cours des premières répétitions, le gaz fait pleurer les acteurs<ref name="lefigaro-18770127"/> !

En plus des difficultés techniques, Offenbach exige des répétitions supplémentaires : le ton s’envenime avec le directeur des Variétés. Il lui écrit : Modèle:Citation<ref>Jacques Bindejont-Offenbach, Offenbach Mon Grand-Père, Plon 1940, p. 229</ref>

Malgré ces désaccords, l’exigence d’Offenbach pour la mise en scène ne faiblit pas. Arnold Mortier, un des librettistes, en fait un portrait le Modèle:Date- dans sa chronique du Figaro : Modèle:Citation<ref>Le Figaro du 25/1/1877</ref>.

Au cours des dernières répétitions, Offenbach ajoute au troisième acte un duo<ref name="legaulois-18770128"/> [N°12 : « Non plus un mot »] entre Prascovia et le docteur Ox.

Création

La première est enfin fixée au vendredi Modèle:Date-. C’est un succès. Dans son compte-rendu, Le Petit Journal écrit : Modèle:Citation<ref>La Presse du 28/10/1876</ref>. En effet, l’éclairage provoqué par l’expérience du docteur Ox fait sensation : Modèle:Citation<ref name="legaulois-18770128"/>. Les costumes et les décors sont, eux aussi, très appréciés : Modèle:Citation écrira La Presse<ref>La Presse du 28/2/1877</ref>.

La musique est très favorablement remarquée et applaudie. La Marche et chanson bohémienne (N°5) ainsi que le duo « Changeons de langage » (N°10) sont bissés le soir de la première. Bénédict note dans Le Figaro : Modèle:Citation<ref name="lefigaro-18770128"/>.

Les décors – l’intérieur hollandais, l’usine, la place, la kermesse, la tour à deux niveaux, et la vue d’une petite ville hollandaise – dessinés par Henri Robecchi sont admirés pour leurs réalismes : Modèle:Citation<ref name="lefigaro-18770127"/>.

Les costumes sont dessinés par Draner et reproduisent des gravures d’habits hollandais pittoresques. Pour le final du deuxième acte, plus de cent personnes sont sur scène. Le costume de Judic dessiné par Grévin, qui a reproduit le costume de Salomé du tableau de Henri Regnault, est « salué d’un cri unanime d’admiration »<ref name="lefigaro-18770128"/>.

Salomé de Henri Regnault (1870)
Henri Regnault, Salomé, 1870, Metropolitan Museum of Art

Plus que tout le reste, c’est Judic qui fait sensation. François Oswald note dans Le Gaulois : Modèle:Citation<ref name="legaulois-18770128"/> Bénédict s’émerveille : Modèle:Citation<ref name="lefigaro-18770128"/>. Le lendemain de la première, Offenbach lui dédie sa partition, il lui écrit : Modèle:Citation<ref>Le Figaro du 29/1/1877</ref>.

La partition chant-piano paraît le Modèle:Date-, éditée par Choudens<ref>Le Figaro du 31/1/1877</ref>.

Le Modèle:Date-, Le Figaro annonce les dernières<ref>Le Figaro du 2/3/1877</ref>. Cet arrêt du Docteur Ox semble plutôt dû aux mauvaises relations entre Offenbach et Bertrand, le directeur des Variétés, plutôt qu’à de mauvais résultats. La dernière a lieu le Modèle:Date- après 39 représentations.

À l’étranger, en avril, les auteurs s’émeuvent de la création d’Oxigène au Folly-theater à Londres, alors que le Docteur Ox devait être présenté à l’Alhambra theater<ref>Le Figaro du 6/4/1877</ref>.

Postérité

L’œuvre ne semble pas avoir été reprise avec l’effectif et la partition originale depuis sa création. Elle ne semble pas non plus avoir été enregistrée par l’ORTF durant la deuxième moitié du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, comme c’est le cas pour un grand nombre des œuvres d’Offenbach.

Les rôles et leurs créateurs

Rôles Créateurs
Le Docteur Ox José Dupuis
Ygène Léonce
Van Tricasse Etienne Pradeau
Niklausse Baron
Josse Alexandre Guyon
Frantz, son fils Cooper
Shaoura<ref>Schahoura dans la partition chant-piano Choudens.</ref> Dailly
Koukouma Emmanuel
Mozdok<ref>Mosdock dans la partition chant-piano Choudens.</ref>,tzigane Edouard Hamburger
Kasbek<ref>Kosbech dans la partition chant-piano Choudens.</ref>,tzigane Daniel Bac
Ararat, tzigane Germain
Le Grand Personnage de Virgamen, en Flandre Bourdeille
Prascovia Anna Judic
Madame Van Tricasse Aline Duval
Suzel, fille de van Tricasse Baumaine
Lotché, servante de van Tricasse Angèle
Naia<ref>Naya dans la partition chant-piano Choudens.</ref> de Vaure
Alda Stella
Hilda Esquirol

Un voisin, deux voisines, ouvriers de l’usine, Quiquendoniens et Quiquendoniennes, conseillers, pompiers, gardes champêtres, etc.

L'argument

Acte I

Premier tableau. Chez van Tricasse. La vie est paisible chez Monsieur van Tricasse, le bourgmestre de la ville de Quiquendone. Niklausse vient de jouer son deuxième coup d’échec ce semestre. Seule Lotché, qui vient « du Midi », perturbe ce calme en se moquant des Quiquendoniens. Elle taquine Frantz qui est amoureux de Suzel, la fille des van Tricasse, car Suzel est promise au docteur Ox pour un mariage « dans trois ans ». Après « la turbulence des distractions du matin », Monsieur van Tricasse, Niklausse et Josse discutent, sans échauffement, des affaires de la ville et en particulier du docteur Ox. En effet, le « gaz de ce savant Danois… », le gaz Oxy-hydrique, va « effacer tous les gaz du monde… » car la « ville a bien besoin d’être éclairée ». C’est justement aujourd’hui qu’une délégation de Quiquendone va aller visiter l’usine du docteur Ox, en compagnie du Grand Personnage, le bourgmestre de la ville de Virgamen, le village voisin. Alors que le conseil se termine, Prascovia et Shaoura, deux bohémiens, viennent demander un permis de séjour pour la kermesse. Alors qu’ils sont dirigés vers le bureau du maire, le docteur Ox et son assistant Ygène entrent pour chercher la « clé du modérateur » qui permet de faire fonctionner l’usine de Quiquendone. Ox est apeuré : il a appris que la princesse Prascovia, était à sa recherche… Il lui était, en effet, promis en mariage, mais le jour de leurs noces, il l’a, par inadvertance, repoussé et s’est enfui. Depuis, elle le recherche. Alors que les deux bohémiens sortent du bureau du bourgmestre, ils tombent nez à nez : Ox fuit par la fenêtre suivi d’Ygène, de Shaoura et de Prascovia.

Deuxième tableau. L’usine à gaz du docteur Ox. Ox et Ygène arrivent essoufflés dans l’usine où leurs ouvriers les accueillent chaleureusement. C’est là qu’ils préparent leur expérience. Prascovia, Shaoura et toute la troupe de bohémiens arrivent, bien décidés à se venger. Ils trouvent Ox, mais ils lui laissent un répit de 2 jours alors que la délégation officielle arrive pour visiter l’usine. Devant l’insistance des Quiquendoniens, Ox lâche un peu de gaz Oxy-hydrique, les cerveaux s’excitent, les cœurs battent plus vite… Monsieur van Tricasse s’éprend de Lotché tandis que Madame van Tricasse s’émeut pour Niklausse. Prascovia profite de ce moment pour revenir demander de nouveau à Ox de tenir sa promesse. Elle apprend par monsieur van Tricasse, que le docteur Ox doit se marier à sa fille Suzel. Furieuse, elle traite Ox de « Don Juan d’occasion ». Devant cette injure au futur beau-fils du bourgmestre, les Quiquendoniens excités expulsent Prascovia tandis que le docteur Ox stoppe son expérience.

Acte II

Troisième tableau. Une rue hollandaise. Les bohémiens sont revenus dans la ville costumés en marchands, ils conspirent contre le docteur Ox. Pour l’empêcher d’épouser Suzel, Shaoura leur demande de kidnapper le docteur. Ygène apprend au docteur Ox que Prascovia n’a pas été expulsée par les gendarmes indolents : elle se cache dans la foule de la kermesse qui va commencer. Le docteur Ox décide de prendre le costume du Grand Personnage pour se cacher. Chez les van Tricasse, Lotché se plaint de la nouvelle bonne car il « n’est pas facile de la réveiller ». Elle finit malgré tout par apparaître pour nettoyer les marches du perron : il s'agit de Prascovia, méconnaissable par son costume. Ox entre, déguisé en Grand Personnage, et tombe sous le charme. Alors qu’il se débat avec sa barbe postiche, ils se reconnaissent mutuellement mais se séparent, l’air de rien. Prascovia indique aux bohémiens que le docteur Ox se cache sous le costume du Grand Personnage. Celui-ci arrive justement à cet instant, mais il s’agit du “vrai” Grand Personnage ; il est immédiatement kidnappé.

Quatrième tableau. La place de la kermesse. Les Quiquendoniens et les officiels arrivent pour la grande expérience du docteur Ox. Shaoura a pris l'apparence du Grand Personnage qu'il vient de kidnapper. Prascovia découvrant que son stratagème n’a pas fonctionné décide de tenter de voler la clé du modérateur. Le docteur Ox et Ygène démarrent l’expérience. « Tous les pots à feu de la scène [s’éclairent] au gaz oxyhydrique. » Les Quiquendoniens s’excitent, les couples se forment : Suzel quitte Franz pour Ox, Niklausse va vers Madame van Tricasse, Monsieur van Tricasse courtise Loché qui lui préfère Shaoura, et Ygène tombe amoureux de Prascovia à qui il donne la clé du modérateur.

Acte III

Cinquième tableau. Le théâtre représente les deux étages supérieurs de la tour de Quiquendone. Du haut de sa tour, où le gaz ne fait pas d’effet car il reste dans les couches inférieures de l'air, Ox observe les bienfaits de son invention : « Une instruction criminelle durait trois ans, maintenant on est jugé et condamné avant même d’avoir commis le crime ! Quiquendone ne possédait qu’une petite feuille officielle, depuis hier il est né cinquante et un journaux… tous de l’opposition !… ». Prascovia arrive, et par un chant le charme, et le fait descendre son observatoire. Arrivé en bas, le docteur Ox lui déclare sa flamme et lui révèle le mot du modérateur, qui combiné avec la clé, permet de diriger l’usine : « C’est thesaurochrysonichochysidès ! ».

Sixième tableau. La grande place Saint-Ernuphe à Quiquendone. Les Quiquendoniens « gesticulent avec une vivacité extraordinaire ». La nation est en guerre contre les habitants de Virgamen. L’armée défile, le docteur Ox s'écrit, tentant de les calmer : « vous n’êtes pas altérés de sang ; vous êtes de bons bourgeois, doux et paisibles ». Mais la clef est perdue, Ygène l’avait donné à Prascovia, qui l’a confié à Shaoura qui l’a donné à Lotché qui vient de la jeter dans le puits. Heureusement, Ygène vient de rapprocher « les becs d’hydrogène et d’oxygène »… « A ce moment on entend une grand explosion », « C’est l’usine qui a sauté ! ». Les anciens couples se reforment, car il semble à chacun qu’il a rêvé. Ox vient de perdre son usine, mais il retrouve Prascovia et conclut : « Tout c’ qu’on a vu dans notre Quiquendone, on aurait bien pu le voir autre part. »

La partition

Les personnages en italique ne sont pas indiqués sur le sommaire de la partition chant-piano Choudens mais interviennent dans le numéro.

Ouverture

Acte I

N° 1. Introduction Laissons-nous vivre (Suzel, Lotché, Modèle:1ère voisine, Modèle:Mme Van Tricasse, Modèle:2e, Frantz, Van Tricasse, Niklausse, Un voisin)
N° 2. Couplets Vous avez deux Van Tricasse (M. et Modèle:Mme Van Tricasse, Suzel, Lotché, Modèle:1ère voisine, Modèle:2e, Frantz, Josse, Niklausse, Un voisin)
N° 3. Légende de la Guzla Sur la rive l'oiseau chante (Prascovia)
N° 4. Chœur et Couplets Des guirlandes les plus belles (Ox, Ygène, chœur)
N° 5. Marche et chanson bohémienne Pour l'enfant de Bohême (Pascovia, Koukouma, Mozdock, Ararat, Shaoura, Kasbech, chœur)
N° 6. { Final Nous venons au nom de la ville (Suzel, Lotché, Modèle:Mme Van Tricasse, Ox, Ygène, Frantz, Josse, Van Tricasse, Le Grand Personnage, Niklausse, chœur)
Couplets Tout s'éveille dans la nature (Prascovia, Suzel, Lotché, Modèle:Mme Van Tricasse, Ox, Ygène, Frantz, Josse, Van Tricasse, Le Grand Personnage, Niklausse, chœur)
Entr'acte

Acte II

N° 7. Chœur et Couplets Chalands et chalandes (Naya, Koukouma, Mozdock, Ararat, Kasbech, chœur)
N° 8. Couplets Nous sommes de vrais diables (Koukouma, Ararat, Mozdock, Kasbeck, chœur de femmes)
N° 9. Sérénade Sous votre fenêtre (Ox)
N° 10. Duo Changeons de langage (Prascovia, Ox)
N° 11. { Final C'est la kermesse (Prascovia, Suzel, Lotché, Modèle:Mme Van Tricasse, Ox, Frantz, Ygène, Van Tricasse, Koukouma, Mozdock, Ararat, Josse, Niklausse, Shaoura, Koskeck, chœur)
Couplets Accourez vite les amoureux (Prascovia, Suzel, Lotché, Modèle:Mme Van Tricasse, Ox, Frantz, Ygène, Van Tricasse, Koukouma, Mozdock, Ararat, Josse, Niklausse, Shaoura, Koskeck, chœur)
Entr'acte

Acte III

N° 12. Duo Non plus un mot (Prascovia, Ox)
N° 13. { Chœur Avancez ! arrêtez (Frantz, chœur)
Couplets Quel dîner et quelle fête (Frantz, chœur)
N° 14. Couplets En vain à chacun je demande (Suzel)
N° 15. Chœur En avant ! (Chœur)
N° 16. Final Ah ! quel prodige (Prascovia, Ox, chœur)

Citations et emprunts

  • Les librettistes font référence à la pièce Janot ou les battus payent l'amende, une comédie-proverbe de Dorvigny (1779) en écrivant le N° 2. Dans sa nouvelle, Jules Verne faisait déjà référence à cette pièce Modèle:Citation
  • La clef permettant de faire fonctionner l'usine du Docteur Ox est une clef à combinaison. Elle doit être associée au mot : « Thesaurochrysonicochrysidès ». Les auteurs citent un nom inventé par l'auteur latin Plaute dans sa pièce Captivi.

Costumes

Adaptations

Bibliographie

Notes et références

<references> <ref name="lefigaro-18770118">Le Figaro du 18/1/1877</ref> <ref name="lefigaro-18770127">Le Figaro du 27/1/1877</ref> <ref name="lefigaro-18770128">Le Figaro du 28/1/1877</ref> <ref name="legaulois-18770128">Le Gaulois du 28/1/1877</ref> </references>

Liens externes

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