Livre des Psaumes
Modèle:Méta bandeau de note Modèle:Infobox Livre de la Bible
Le livre des Psaumes (Modèle:Lang Sefer Tehillim en hébreu, Livre des Louanges ; الزبور le Zabur en arabe), aussi appelé Psautier, est un livre de la Bible. Il est le premier de la section des Ketouvim, selon le canon de la Bible hébraïque. Dans l’Ancien Testament des chrétiens, sa place a été variable. Elle s’est fixée au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle entre le Livre de Job et celui des Proverbes.
Le mot « psaume » vient du grec Modèle:Grec ancien, « psaume » de Modèle:Grec ancien, « pincer les cordes d'un instrument, chanter sur la musique d'une harpe », traduisant l'hébreu mizmôr servant de titre à nombre des louanges.
Structure
Dans la tradition juive, le Psautier est divisé, par analogie au Pentateuque, en cinq livres, chacun se concluant par une doxologie ou bénédiction<ref>Rose 2009, Modèle:P..</ref> :
- le premier livre comprend Modèle:Nombre, à l’exception des Modèle:Nobr. Les critiques s’accordent à penser que si l’autorité davidique ne peut être formellement établie, cette section est probablement la plus ancienne des Psaumes.
- Le second livre comprend Modèle:Nombre (42-72). 18 sont attribués à David, et un à Salomon (Modèle:Nobr), bien que « Le’Shlomo » pourrait signifier « destiné à Salomon ». Le reste est anonyme.
- Le troisième livre comporte Modèle:Nombre (73-89). Le Modèle:Nobr est attribué à David, le Modèle:Nobr à Heman l’Ezrahite, et le Modèle:Nobr à Ethan l’Ezrahite.
- Le quatrième livre comporte également Modèle:Nombre (90-106), le Modèle:Nobr étant attribué à Moïse, les Modèle:Nobr et 103 à David.
- Le cinquième livre comporte les Modèle:Nombre restants. 15 parmi ceux-ci sont attribués à David, un (Modèle:Nobr) à Salomon (cf. second livre).
Le Modèle:Nobr est généralement appelé « le grand Hallel ». Cependant, le Talmud inclut sous cette dénomination les Modèle:Nobr à 135. Les Modèle:Nobr à 118, inclus, constituent le Hallel, récité lors des trois grands festivals (la Pâque, la Pentecôte juive et la Fête des Tabernacles), à la néoménie, et lors des huit jours de Hanoukka. Les manuscrits de Qumrân portent une version légèrement différente du Modèle:Nobr.
Les Modèle:Nobr sont les Cantiques des degrés, qu’auraient entonnés les pèlerins en approchant des marches (« degrés ») du Temple.
Le Modèle:Nobr est le plus long Psaume. Il est composé de Modèle:Nombre, par groupe de huit, chacun commençant avec l’une des Modèle:Nombre. D’autres Psaumes sont aussi construits « al pi aleph-bet » (en acrostiche sur l’alphabet).
Le Modèle:Nobr, avec ses deux versets, est le psaume le plus court.
Forme des psaumes
L'étude textuelle a montré que des groupes de psaumes pouvaient être classifiés ensemble du fait de similitudes<ref name="Romer564">Modèle:Harvsp</ref>.
Les principales formes sont :
- Les Hymnes
- Les Complaintes individuelles
- Les Complaintes collectives
- Les Chants de Foi (« En Toi j’ai foi »)
- Les Chants de Louange (remerciement) individuels
- Les Psaumes Royaux
- Les Psaumes Sapientiaux
Composition
La tradition juive et chrétienne attribue la composition de nombreux psaumes au roi David, mais aussi à Modèle:Lien, Coré ou d'autres. Ces attributions sont relativement tardives, et les exégètes estiment aujourd'hui que le livre est en fait une composition collective et anonyme<ref>Rose 2009, Modèle:P..</ref>.
Selon toute vraisemblance, les « prières de David » (51-72) sont les plus anciens psaumes, et sont composés probablement durant l'exil à Babylone, au Modèle:Lien siècle av JCModèle:Vérification siècle À cette collection s'ajoute ensuite les psaumes attribués à Asaph (50 ; 73-83), puis ceux attribués à Coré (42-49). Ce recueil (42-83) subit alors une certaine harmonisation rédactionnelle, probablement sous l'influence perse, le nom divin YHWH étant remplacé par Elohim. Les exégètes parlent alors du « Psautier élohiste »<ref>Rose 2009, Modèle:P..</ref>.
La collection est alors enrichie d'autres psaumes attribués à David (3-41 ; 86) et à Coré (84-85 ; 87-88). Puis, on y ajoute sous Zorobabel une introduction (2) et une conclusion (89), créant ainsi le « Psautier messianique »<ref>Rose 2009, Modèle:P..</ref>.
Les « Psaumes de Règne » (90-99) dont certains sont attribués à Moïse, ainsi que des psaumes annexes (100-118), sont ajoutés ensuite. Puis un nouveau cadre est apposé autour (1 et 119) pour constituer le « Psautier sapiential »<ref>Rose 2009, Modèle:P..</ref>.
Le processus de formation se conclut par l'ajout des « Psaumes de pèlerinage » (120-134), d'annexes aux « Psaumes de David » et d'un grand final (145-150)<ref>Rose 2009, Modèle:P..</ref>.
Découpage et numérotation
Modèle:Article connexe Le Livre des Psaumes est selon la tradition canonique divisé en cent-cinquante psaumes depuis le début de l’ère chrétienne, chez les Juifs comme chez les Chrétiens, bien que leur nombre et leur découpage fasse l’objet de nombreuses variations dans la tradition hébraïque primitive et dans la Septante. Les manuscrits du Psautier hébreu ne numérotent pas les psaumes avant 1494 (première édition imprimée). Ils se contentent de les distinguer par un alinéa. La Septante en revanche leur a assigné un numéro d’ordre dès sa rédaction.
Les manuscrits de la mer Morte comportent cent-cinquante-cinq psaumes, les cinq psaumes supplémentaires étant considérés comme « non-canoniques ». L’ordre de présentation des Psaumes y diffère grandement de toutes les autres versions.
Jusqu’à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle environ, les psaumes du Psautier hébreu étaient cités par les numéros de ceux de la Septante, également identiques à ceux des versions latines en usage. Cette numérotation est donc bien antérieure à la capitation de la Bible révisée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Depuis la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle seulement, le découpage des psaumes varie légèrement entre les versions de la bible hébraïque (le texte massorétique) et des bibles grecque (la Septante) et latine (la Vulgate)<ref name="Tob817">Modèle:Harvsp</ref>,<ref>Weulersse 2007, Modèle:P..</ref> :
Numérotation comparée | |
---|---|
Texte massorétique | Septante et Vulgate |
1-8 | 1-8 |
9-10 | 9 |
11-113 | 10-112 |
114-115 | 113 |
116, 1-9 | 114 |
116, 10-19 | 115 |
117-146 | 116-145 |
147, 1-11 | 146 |
147, 12-20 | 147 |
148-150 | 148-150 |
- Les Modèle:Nobr et 10 de la version massorétique ont été réunis en un seul Modèle:Nobr dans la version grecque
- Les Modèle:Nobr et 115 deviennent le Modèle:Nobr dans la Septante
- Les Modèle:Nobr et 115 de la Septante apparaissent comme le Modèle:Nobr dans la Bible massorétique
- Les Modèle:Nobr et 147 de la version grecque équivalent au Modèle:Nobr de la version massorétique
Les traditions chrétiennes varient :
- Les traductions protestantes se basent sur la numération hébraïque (massorétique) ;
- Les traductions orthodoxes se basent sur la numération grecque (Septante) ;
- Le texte liturgique de l’Église catholique romaine suit également la Septante, bien que les traductions catholiques modernes se basent souvent sur la numération hébraïque, indiquant parfois entre parenthèses la correspondance grecque.
La plupart des manuscrits de la Septante comprennent aussi un Modèle:Nobr, également présent dans quelques manuscrits du Psautier romain et de la version alcuinienne du Psautier gallican, mais omis par la plupart des psautiers à partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle ; certains manuscrits syriaques comportent les Modèle:Nobr à 155. Une version hébraïque proche de celle des Modèle:Nobr à 153 a été retrouvée dans les manuscrits de la mer Morte.
Pour le reste de cet article, la numération hébraïque moderne des Psaumes est utilisée sauf précision du contraire.
Usage des Psaumes dans le rituel juif
Il n'est fait nulle mention dans le rituel instauré par la Torah de Moïse d’une place du chant dans le culte de Dieu. Les premières références à ce propos apparaissent à l’époque de David, ce qui concorde avec le fait que la paternité des Psaumes lui soit attribuée.
Certains intitulés des Psaumes suggèrent leur usage cultuel :
- Modèle:Nombre sont des shirim (Gr. ode, chant). Shir signifie que le flot de paroles est continu ou rythmé de façon régulière. Il peut se rapporter à des chants laïcs comme religieux.
- Modèle:Nombre sont des mizmor (Gr. psalmos, psaume). Il s’agit d’une ode lyrique, ou d’un chant mis en musique ; un chant sacré accompagné par un instrument ou un orchestre.
- Le Modèle:Nobr et d’autres sont appelés tehillah (Gr. hymnos, un hymne). Il s’agit d’un chant de louange, un chant dont la pensée principale est de louer Dieu.
- Six Psaumes (16, 56-60) ont pour titre mikhtam.
- Explication de Rachi sur ce terme (commentaire du Modèle:Nobr)<ref>Modèle:Lang {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} traduction avec commentaire de Rachi sur Chabad.org {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}.</ref> :
- le Modèle:Nobr et Modèle:Nobr portent le titre de shigayon. Il s’agit d’un chant en état de « folie », de transe ou d’extase.
Les Psaumes tiennent une place importante dans le culte juif. Plusieurs servent d’introduction à un moment de la prière :
- le Modèle:Nobr (désigné par « Ashrei », qui est en réalité le premier mot des deux derniers versets du Modèle:Nobr) est lu avant ou pendant l’office, trois fois par jour ;
- les Modèle:Nobr, 29, 92, et 93 font partie de l’introduction à l’office du vendredi soir (Kabbalat Shabbat).
- Traditionnellement, selon un rituel décrit dans le traité mishnaïque Tamid, un « Psaume du jour » est lu après l’office du matin (Shaharit) chaque jour de la semaine :
- dimanche : Ps. 24
- lundi : Ps. 48
- mardi : Ps. 82
- mercredi : Ps. 94
- jeudi : Ps. 81
- vendredi : Ps. 93
- samedi (Shabbat) : Ps. 92
Les Psaumes font également partie intégrante du rituel funéraire : lorsqu’un Juif meurt, une veillée est organisée autour de son corps, et des Tehillim sont récités continuellement, à la lumière du soleil ou d’une bougie, jusqu’à l’enterrement afin d’élever son âme. Si, historiquement, cette veillée était organisée par des proches du défunt (selon des « tours » de garde), ce rôle est actuellement assuré par un membre de la Hevra kaddisha locale.
Beaucoup de Juifs parcourent le Livre des Psaumes en un mois, voire une semaine, et disent chaque semaine un Psaume lié aux évènements de la semaine ou à la section hebdomadaire de la Torah.
Il est d'usage selon la tradition juive, de lire des psaumes avant ou pendant un évènement particulier de la vie, comme le passage d'un examen, ou une opération chirurgicale. La lecture des psaumes est aussi conseillé pour une personne malade<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ainsi des chaines de lecture de psaumes sont souvent organisées dans les communautés pour souhaiter la guérison, ou la réussite d'un membre de la communauté.
Les Hassidim (et les Loubavitch en particulier) lisent le Livre dans son entièreté avant l’office du matin, lors du Shabbat précédant l’apparition calculée de la nouvelle lune.
Les Modèle:Nombre directes tirées du Livre des Psaumes dans le Nouveau Testament permettent de présumer qu’elles étaient familières à la communauté judéenne du temps de Jésus.
Psaumes dans le culte chrétien
Le livre des Psaumes, selon l’Évangile de Luc et les épîtres de Paul, est interprété par les chrétiens comme une prophétie des mystères du Christ. Cela a eu des conséquences importantes sur l’exégèse des Pères de l'Église, la théologie et la liturgie de toutes les églises chrétiennes. Le monachisme a fait par exemple de la récitation incessante des Psaumes la matière première de la prière continuelle et de la liturgie des Heures. Les Pères de l’Église ont poursuivi cette démarche car depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le Livre des Psaumes est devenu le fondement de la liturgie chrétienne.
Le clergé et les chrétiens vont continuer cette pratique dans les siècles suivants. Quoique le psautier des Septante comporte Modèle:Nombre, l’usage chrétien n’en reconnaît que 150 (le Modèle:Nobr n’étant jamais lu à l’église ni en Orient, ni en Occident).
Pour la Résurrection du Christ (le Seigneur « se lève »), on utilise les Modèle:Nobr, 15, 29, 64, 75, 109, 114, 117.
Dans une catéchèse de 2020, le pape François reprend l'analyse juive des Téhilim selon laquelle « les psaumes sont la parole de Dieu que nous, les humains, nous utilisons pour parler avec Lui » et invite « à lire et à prier les psaumes, assurés que Dieu nous écoute et qu’il n’abandonne jamais ceux qui mettent leur confiance en lui »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Liturgies occidentales de rite latin
Depuis ses origines, le corpus des chants de la liturgie romaine (antiphonaire de la messe et de l’office) est tissé d’emprunts faits majoritairement aux Psaumes. Jusqu’à la réforme de Modèle:Nobr, les Psaumes, récités comme tels, constituaient l’essentiel de la liturgie des Heures (ou bréviaire dans le langage populaire), le Psautier étant chanté intégralement chaque semaine par les moines et les clercs, réguliers et séculiers.
Aujourd’hui, le Psautier est réparti (avec plusieurs omissions de Modèle:Lien<ref>Modèle:Lien web</ref>) sur quatre semaines dans l’office romain, sur une ou deux semaines dans l’office monastique. Il a perdu son statut dominant dans la liturgie des heures de l’office romain. Les prêtres, les diacres, les religieux et religieuses célèbrent tous les jours la liturgie des Heures, à l’aide de livres fondés notamment sur les psaumes : les bréviaires. À la messe, depuis le Concile [[IIe concile œcuménique du Vatican|Modèle:Nobr]], un psaume est lu ou chanté à chaque messe. Modèle:Nombre sont proposés en trois ans aux fidèles chaque dimanche.
Culte protestant
Si la Réforme luthérienne a développé très tôt d'autres chants pour le culte (chorals), le calvinisme s'est limité au chant à l'unisson des Psaumes dans les langues nationales (cf. en français le Psautier de Genève, p.ex.). La louange qui ouvre le culte hebdomadaire, et qui peut être constituée d'un psaume ou d'extraits de psaumes, est généralement accompagnée du chant d'un psaume, souvent sur les mélodies du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. On peut naturellement les chanter à d'autres moments du culte. Par ailleurs, le Livre des Psaumes étant un livre biblique, la prédication (ou sermon) peut naturellement porter sur un extrait de ce livre, comme de tout autre livre biblique.
Pour le culte personnel ou familial, il existe de nombreuses listes de lectures bibliques, dont la plupart comporte la lecture d'un psaume par jour en sus d'un autre texte.
Liturgies orientales
Comme pour les autres livres de la Bible, les Églises orientales utilisent la version grecque des Septante, ou du moins des traductions faites sur ce texte. La numérotation suivie dans cette section correspond donc à celle des Septante, et non du texte massorétique. Dans la plupart des rites orientaux, l’organisation et la structure de la psalmodie présentent de nombreuses variations. Les psaumes ont souvent été remplacée par des hymnes et prières de type ecclésiastiques ; pour une histoire de l’office et de son organisation, surtout dans les Églises orientales, Modèle:Nobr, Modèle:Lang, Collegeville, 1993.
Rite byzantin
Actuellement, durant Matines et Vêpres de l’office monastique, le psautier est lu entièrement au cours de la semaine (et deux fois par semaine durant le Grand carême), mais cette partie de l’office est souvent omise dans la pratique paroissiale. Il est divisé en vingt sections (cathismes) elles-mêmes divisées en trois stichologies ou stances. Le terme « cathisme » (du grec « assis »), désigne les parties de l’office durant lesquelles on peut s’asseoir (puisque d’une manière générale, la prière se fait debout dans l’Église orthodoxe).
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Sources
- L’orthodoxie, l’Église des Modèle:Nombre, K. Ware, le Cerf/le Sel de la terre éd.
- Les Psaumes, prières de l’Église ; le psautier des Septante, P. Placide Deseille, éd. Tinos (Athènes)
Psaumes dans le Coran
Dans le Coran, le Livre des Psaumes est appelé le Zabur. Selon la tradition musulmane, il fait partie des livres révélés par Allah avant le Coran, comme la Tawrat (Torah) et l'Injil (les Évangiles)<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le Coran cite Modèle:Nombre le Zabur, confié à David :
Modèle:Citation bloc Modèle:Citation bloc Modèle:Citation bloc
Dans la Modèle:Nobr, il est fait référence au premier psaume tel qu’on le trouve aujourd’hui.
Mises en musique
De nombreux psaumes ont été mis en musique, en latin ou dans d'autres langues.
Noms des psaumes dans la musique religieuse chrétienne
De nombreuses œuvres, parfois très connues, sont désignées par l'incipit du psaume qu'elles mettent en musique. On peut citer les exemples suivants :
Latin
- Beatus vir : psaume 1,
- Omnes gentes : psaume 46,
- Miserere : psaume 50,
- Qui habitat : psaume 90,
- Cantate Domino : Psaume 97,
- Dixit Dominus : psaume 109,
- Laudate Dominum : psaume 116,
- Nisi Dominus : Psaume 126,
- Super flumina babylonis : psaume 136.
Français
Les psaumes ont été traduits dans les premières bibles en français, et dans le Psautier de Genève, dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, à la suite de la Réforme protestante, mis en musique par de nombreux musiciens. Il existe aussi des paraphrases catholiques en vers français, par exemple par Antoine Godeau, évêque de Grasse et de Vence au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, elles aussi mises en musique.
Allemand
- Singet dem Herrn ein neues Lied : psaume 97
- Lobt den Herrn alle Heiden : psaume 116
Quelques compositions musicales
- Miserere (Rome, 1638) par Gregorio Allegri
- Vespro della Beata Vergine (Venise, 1610) par Monteverdi
- Psaume XLVII de Florent Schmitt (1904)
- Psaume LXXX d’Albert Roussel (1928)
- Modèle:Lang (1923) de Zoltán Kodály
- Symphonie de Psaumes d’Igor Stravinsky (1930)
- Modèle:Lien
- Modèle:Lang (1965) par Leonard Bernstein
- Tehillim (1981) par Steve Reich
- "40" par U2 de l'album "War" (1983). Chanson inspirée du psaume 40.
- « Poème en or » est un morceau de l'album Good (2017) de Rodolphe Burger dont le texte du morceau se compose de multiples fragments de la traduction des Psaumes de d'Olivier Cadiot paru dans la Bible de Bayard.
Notes et références
Bibliographie
- Martin Rose, « Psaumes », in Thomas Römer, Jean-Daniel Macchi et Christophe Nihan (éds), Introduction à l'Ancien Testament, Genève, Labor et Fides, 2009.
- Le livre des Psaumes, présenté par Matthieu Collin, Paris, Éditions du Cerf, 1995 (coll. Cahier Évangile 92).
- Commentaire du Psautier et de chaque psaume :
- Evode Beaucamp, Le Psautier, Gabalda, Modèle:Nobr (1976) et 2(1979).
- Marc Girard, Les Psaumes redécouverts. De la structure au sens, Bellarmin, Modèle:Nobr (1996 [[[:Modèle:2e]] éd. revue et corrigée]), 2 (1994?) et 3 (1994).
- Louis Jacquet, Les Psaumes et le cœur de l’homme, Duculot, Modèle:Nobr (1974), 2 (1977), 3 (1979).
- Jean-Luc Vesco, Le Psautier de David (traduit et commenté), Modèle:Nombre, Paris, Cerf, 2006.
- Modèle:Ouvrage
Voir aussi
Articles connexes
- Psaume 72 : A mari usque ad mare
- Le début du psaume 137 est repris dans la chanson reggae Rivers of Babylon
- Psaume surnuméraire
- Hallel (Psaumes 113-118)
- Modèle:Lien
Liens externes
- Modèle:Autorité
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lang- Modèle:Lang
- Les psaumes dans l'islam sunnite : Article de l'Imâm 'Abd Ur Rahmân Al Maydânî sur les Psaumes de David
- Le Livre des Psaumes traduit et commenté sur téhilim-online