Louis Juchault de Lamoricière
Modèle:Sources à lier Modèle:Voir homonyme Modèle:Infobox Biographie2 Louis Juchault de Lamoricière<ref name="Fiche X" />,Modèle:Note, né le Modèle:Date de naissance à Nantes<ref name="N">Modèle:Lien web. Pour accéder à l'acte de naissance, après avoir affiché la page proposée ci-avant, il convient d’abord de choisir les quatre critères de recherche « Nantes / Naissances / Registre / 1806 » ; il y a ensuite lieu de cliquer sur la chaîne de caractères « 1E329 » (à la fin de la première ligne) puis de sélectionner la Modèle:Nobr ; pour pouvoir lire l'acte, il convient enfin de grossir la moitié inférieure de la page de gauche.</ref> et mort le Modèle:Date de décès à Prouzel (Somme)<ref name="AssNat">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="D">Modèle:Lien web.</ref>, est un général de division et homme politique français.
Ses actions décisives sur le plan militaire ont contribué à la colonisation rapide de l'Algérie. Promu général de division en 1843, au cours de la campagne dirigée par le général Bugeaud contre l'émir Abd el-Kader en Algérie, Lamoricière s'investit également dans le domaine politique et se fait élire à l'Assemblée législative. Il est nommé ministre de la Guerre en 1848, et participe activement à la répression des journées de Juin. Exilé après le coup d'État du 2 décembre 1851 à cause de son opposition à Louis-Napoléon Bonaparte, il revient en France puis se met en 1860 au service de la cause pontificale dans la lutte contre Garibaldi, jusqu'à la défaite de Castelfidardo.
Lamoricière est considéré comme le « père des zouaves », unités qu'il a organisées en Algérie dans les années 1830<ref>La statue du “Père des zouaves” installée à Moulin-sous-Touvent, Oise Hebdo, 1er avril 2019.</ref>.
Biographie
Famille et formation
Modèle:Article détaillé La famille Juchault de Lamoricière est issue de la branche cadette de la famille Juchault des Jamonières, originaire de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu au sud de Nantes.
Christophe Louis Léon Juchault de Lamoricière<ref name="Fiche X" /> est le fils de Christophe Sylvestre Joachim Juchault de Lamoricière (ou la MoricièreModèle:Note), propriétaire de Modèle:Nobr, et de son épouse Louise Sophie Désirée, née Robineau de Bougon, Modèle:Nobr<ref name=N />.
Il fait ses études secondaires à Nantes et intègre l'École polytechnique<ref name="Fiche X">Ouvrir la Modèle:Lien web, sélectionner l’onglet « Catalogues » puis cliquer sur « Famille polytechnicienne », effectuer la recherche sur « Christophe Louis Léon Juchault », résultat obtenu : « Juchault de la Moricière, Christophe Louis Modèle:Nobr ; 1806-1865) ».</ref> dans la promotion 1824Modèle:Note, passe par l'École d'application de MetzModèle:Note, et est nommé lieutenant en second au [[3e régiment du génie|Modèle:3e du génie]] le Modèle:Date-.
La période algérienne (1830-1848)
Les débuts (1830-1833) : les zouaves
En 1830, il participe à l'expédition d'Alger, notamment à l'attaque du fort l'Empereur le Modèle:Date- qui aboutit à la prise de la ville, le Modèle:Date-. Il est affecté au corps des zouaves, créé par le commandant en chef Clauzel en Modèle:Date- et promu capitaine le Modèle:Date-. Il commande le Modèle:2eModèle:Sfn . Lamoricière commence alors à apprendre l'arabe dialectal.
Le bureau des affaires arabes (1833)
Après le départ du commandant en chef Savary en Modèle:Date-, son successeur par intérim, le général Avizard décide d'établir un « bureau des affaires arabes »Modèle:Sfn, service de renseignement et de contrôle des populations autochtones. En raison de sa connaissance de l'arabe, Lamoricière est appelé à diriger ce service, dont un autre membre éminent est Edmond Pellissier de Reynaud.
Les années 1833-1840
Mais Lamoricière reprend un service combattant au commandement du corps des zouaves dès Modèle:Date-, au cours de l'expédition de Bougie dirigée par le général TrézelModèle:Sfn. Le bureau des affaires arabes est d'ailleurs supprimé par le gouverneur général Drouet d'Erlon en Modèle:Date-Modèle:Sfn,Modèle:Note.
Lamoricière combat en Modèle:Date- le lieutenant d'Abd el-Kader, Hadj-el-Sghir, bey de Miliana.
En 1837, il prend part à l'expédition de Constantine sous les ordres du gouverneur général Damrémont. Il est promu colonel cette même année.
Il passe ensuite deux années à Koléa, durant la période où, à la suite du traité de la Tafna, le Modèle:Date-, conclu par Bugeaud, existe une paix entre la France et l'émir Abd el-Kader, qui contrôle les provinces d'Oran et du Titteri (sauf les zones occupées par les Français). Puis, après l'expédition des Portes de Fer en Modèle:Date-, la guerre reprend.
La guerre contre Abd el-Kader (novembre 1839-décembre 1847)
Lamoricière participe à la bataille du col de Mouzaïa, le Modèle:Date- puis au combat du bois des Oliviers le Modèle:Date- suivant.
Le Modèle:Date-, il devient maréchal de camp (général de brigade). Il laisse le commandement des zouaves au colonel Cavaignac et reçoit le commandement de la division militaire d'Oran en Modèle:Date-Modèle:Sfn. Il obtient ce poste après avoir exposé à Thiers un projet pour la province d'Oran, fondé sur la destruction des villes de l'émir (Mascara, Tagdemt...) ; une fois nommé, il entraîne ses troupes à la guerre de razzia et organise un service de renseignement, faisant notamment établir des cartes de la régionModèle:Sfn.
À partir de Modèle:Date-, le gouverneur général est le général Bugeaud, que Lamoricière va seconder avec efficacité dans sa stratégie de dévastation du territoire de l'adversaire. Dans sa correspondance, Lucien de Montagnac, officier français responsable de nombreux massacres à l'encontre des populations civiles, écrit enthousiaste le Modèle:Date- : « Vive Lamoricière ! Voilà ce qui s'appelle mener la chasse avec intelligence et bonheur ! [...] Ce jeune général qu'aucune difficulté n'arrête, qui franchit les espaces en un rien de temps, va dénicher les Arabes dans leurs repaires, à vingt-cinq lieues à la ronde, leur prend tout ce qu'ils possèdent : femmes, enfants, troupeaux, bestiaux, etc.»<ref>Modèle:Ouvrage. Le passage de la lettre est donné par Robert Louzon dans « Cent ans de capitalisme en Algérie », La Révolution prolétarienne, Modèle:N°, mars 1930, Modèle:P..</ref>
Il est l'un des acteurs de l'affaire de Tagdempt, et, Modèle:Refnec la nécessité de porter le centre des opérations militaires au-delà de la première chaîne de l'Atlas, il marche contre la tribu des Hachem, qui est celle d'Abd el-Kader, présente dans la région de Mascara (la plaine d'Eghriss) et défait Abd el-Kader.
En 1843, après de nombreux raids chez les Flittas et dans tout le cercle de Mostaganem, il obtient la reddition de ces tribus ; le Modèle:Date-, il est promu au grade de lieutenant général (général de division).
Il participe à la prise de la smala d'Abd el-Kader le Modèle:Date-.
Par la suite, l'émir, réfugié au Maroc, s'efforce d'impliquer le sultan Abderrahmane, dont les troupes entrent sur le territoire algérien ; en 1844, Lamoricière défend à la frontière le camp de Lalla-Maghrnia contre les envahisseurs, et le Modèle:Date- contribue à la victoire de l'Isly. À la suite de cette victoire, un traité franco-marocain met, entre autres, Abd el-Kader hors-la-loi au Maroc comme en Algérie.
En 1845, Bugeaud confie à Lamoricière l'intérim du gouvernement général. Une reprise de l'insurrection, notamment dans les régions centrales avec Bou Maza dans l'Ouarsenis, montre que la situation n'est pas totalement sous contrôle.
En Modèle:Date-, Bugeaud renonce à son poste et est remplacé par le duc d'Aumale, qui maintient le général Lamoricière à Oran.
La reddition d'Abd el-Kader
Abd el-Kader, alors réfugié dans le Rif, est en butte à l'hostilité active du sultan, qui souhaite la fin de la guerre menée en Algérie. L'émir, ayant défait une colonne marocaine, tente de fuir vers le Sud, mais le sultan fait informer Lamoricière de ce mouvement ; les troupes françaises établissent un barrage au col de GuerbousModèle:Sfn. La situation d'Abd el-Kader est désormais sans issue et il décide de faire sa reddition plutôt que de fuir en abandonnant les siens.
Il négocie par messagers les conditions de sa reddition avec Lamoricière qui, le Modèle:Date-, s'engage Modèle:Sfn à ce qu'il soit emmené à Alexandrie ou à Saint-Jean-d'Acre et non pas fait prisonnier ; le lendemain, à Djemmâ-Ghazaouat, près de la frontière avec le Maroc, la reddition a lieu devant le duc d'Aumale, qui confirme l'engagement pris par Lamoricière. Cette promesse ne sera pas honorée : Abd el-Kader, emmené en France, est victime de la chute de Louis-Philippe en Modèle:Date- et reste prisonnier presque cinq ans<ref>Bien que ministre de la Guerre en 1848, Lamoricière ne puisse aller contre l'opinion générale, selon laquelle l'émir est trop dangereux pour être libéré ; c'est Napoléon III qui lui rend la liberté en 1852.</ref>.
On connaît à Lamoricière, entre autres, le surnom de Bou Chechia. Sa connaissance du terrain et sa détermination (souvent sanglante<ref>Voir en particulier les livres du lieutenant-colonel Lucien François de Montagnac, Lettres d'un soldat, Plon, Paris, 1885, réédité par Christian Destremeau, 1998, ainsi que de Lounis Aggoun et Jean-Baptiste Rivoire, Françalgérie : crimes et mensonges d'États, La Découverte, Paris. Mais on trouvera également des portraits nettement plus flatteurs de son rôle dans cette période.</ref>) en font un chef de guerre efficace et respecté.
Carrière politique
Député de la Sarthe (Mamers) dès 1846<ref name=AssNat />, ministre de la Guerre en 1848, vice-président de l'Assemblée législative, son ascension politique est rapide lorsque les évènements politiques se précipitent.
Le Modèle:Date-, le gouvernement fait appel à tous les noms qu'il croyait pouvoir, dans la crise, exercer quelque influence sur le peuple et sur l'armée. Le général Lamoricière paraît sur les boulevards, en uniforme de colonel de la garde nationale, proclamant la régence de la duchesse d'Orléans et la fin des hostilités ; mais, dans la rue de Rohan, son cheval est tué d'un coup de feu et il reçoit lui-même, au bras, un coup de baïonnette. On parle de le mettre à mort ; des ouvriers le défendent, l'emportant dans une maison devant laquelle ils montent la garde ; et dans la soirée il regagne son domicileModèle:Refnec.
En Modèle:Date-, il est nommé membre de la commission de Défense nationale. Élu à l'Assemblée nationale dont il a été plusieurs fois vice-président, il refuse tous les commandements qui lui sont offerts par le gouvernement provisoire, déclarant qu'en cas de guerre seulement, il accepterait une division marchant à l'ennemi ; mais dans les sanglantes journées de Juin, son collègue d'Afrique, le général Cavaignac, ayant été mis à la tête du pouvoir exécutif, le général Lamoricière se positionne contre l'insurrection et accepte le portefeuille de Ministre de la Guerre, du Modèle:Date- jusqu'au Modèle:Date-. Il participe activement à l'écrasement des journées insurrectionnelles de Modèle:Date-, en particulier pendant la journée du Modèle:Date- lorsque ses troupes attaquent la barricade de la rue Saint-Maur<ref>Deux daguerréotypes immortalisent ce moment avant et après l'attaque : in Le Daguerréotype français dans les collections du musée d'Orsay.</ref>.
Élu à l'Assemblée législative, il provoque le décret de cette Assemblée du Modèle:Date-, qui ouvre un crédit de Modèle:Nobr pour l'établissement des colonies agricoles en Algérie. Des études préparatoires pour la colonisation de la province d'Oran avaient été antérieurement faites et publiées sous sa direction.
En Modèle:Date-, il remplit une mission en qualité d'ambassadeur extraordinaire auprès de l'empereur de Russie.
Exilé politique
Lamoricière est arrêté lors du coup d'État du 2 décembre 1851 dans son « modeste appartement » du 11, rue Las-Cases, dans le Modèle:7e de Paris<ref>« Secret d’un coup d’État. Le deux décembre 1851 », Le Petit Journal, 18 octobre 1935, sur Gallica.</ref>, car il est un fervent opposant de Louis-Napoléon Bonaparte. Il est emprisonné à la prison Mazas<ref>Modèle:Ouvrage</ref> de Paris puis au fort de Ham<ref name=AssNat />. Il est exilé pendant cinq ans, exil qu'il passe essentiellement dans les villes allemandes du bord du Rhin<ref name=AssNat /> et en Belgique.
Il se présente néanmoins aux élections législatives de Modèle:Date- dans une circonscription du département de la Seine, mais est sévèrement battu<ref name=AssNat />.
L'empereur l'invite à revenir en France au chevet de son second fils malade en Modèle:Date-, mais celui-ci est déjà mort lorsque Lamoricière est de retour<ref name=AssNat />.
Zouave pontifical
Modèle:Article détaillé En 1860, après en avoir demandé l'autorisation à l'empereur<ref name=AssNat />, Lamoricière se dévoue à la cause pontificale, le Saint-Siège se trouvant menacé par les troupes de Giuseppe Garibaldi ainsi que par le Piémont-Sardaigne qui lutte pour unifier l'Italie sous la couronne de son roi Victor-Emmanuel. Le camérier secret du pape Pie IX, Xavier de Merode, ancien militaire devenu pro-ministre des armes, décide de faire appel au général de Lamoricière pour réorganiser et commander l'armée pontificale. Pour augmenter les effectifs, Lamoricière recourt à l'enrôlement volontaire et fait appel aux États catholiques.
Mais son enthousiasme et son expérience ne peuvent rien contre des puissances nettement supérieures : la défaite de Castelfidardo le Modèle:Date- marque la fin de l'aventure. Il poursuit néanmoins une mission de réformes militaires au Vatican et publie un rapport peu flatteur : il retourne rapidement ensuite en France<ref name=AssNat />.
Mariage et descendance
Lamoricière épouse, le Modèle:Date-, Marie-Amélie Gaillard de Ferré d'Auberville, (1827-1905), fille de Louis Adolphe Gaillard de Ferré d'Auberville, et de Marie Paule Sophie de Montagu Beaune<ref name="Fiche X" />. Elle était la sœur de Sabine Gaillard de Ferré d"Auberville, mariée avec Louis Raymond de Montaignac de Chauvance, contre-amiral, député, ministre de la Marine, puis sénateur. Elle était aussi l'arrière petite fille de Jean Louis Paul François de Noailles, Modèle:5e duc de Noailles. Le couple eut quatre enfants :
- Jeanne-Marie Juchault de La Moricière, décédée à Modèle:Nobr en 1850 ;
- Henri Juchault de La Moricière, décédé lui aussi à Modèle:Nobr en 1859<ref name="AssNat" /> ;
- Henriette Juchault de La Moricière, née en 1850, morte à Rome en Modèle:Date-, six mois après son mariage avec le comte François de Maistre, capitaine d'état major de l'armée pontificale et chevalier de la Légion d'honneur ;
- Isabelle Juchault de La Moricière, épouse en premières noces en 1873 d'Aymar, comte de Dampierre dont elle eut un fils, Jacques de Dampierre. Veuve en 1876, elle se remarie avec le comte Henry-Marie de La Croix de Castries (1850-1927) officier d'infanterie, cartographe de l'Afrique du Nord, chevalier de la Légion d'honneur, conseiller général de Maine-et-Loire, dont elle n'eut pas d'enfant.
Les dernières années
Il consacre les dernières années de sa vie à l'éducation de ses deux filles dans le château de Prouzel<ref name="AssNat" />, propriété de son épouse en Picardie. Il possédait également le château du Chillon au Louroux-Béconnais.
Lamoricière mourut en 1865, âgé de Modèle:Nobr.
En remerciement de ses services, le pape Pie IX fait élever un cénotaphe dans la cathédrale de Nantes<ref>Modèle:Lien web.</ref>, inauguré en 1879, tandis que la ville de Constantine fait ériger un monument à sa mémoire<ref>Voir l'histoire de cette statue au sabre : Modèle:Lien web.</ref> inauguré en 1909, mais qui est rapatrié à l'issue de la guerre d'Algérie et finalement installé à Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, la ville d'origine de sa famille. Un autre monument avec la statue de Lamoricière fut également inauguré le Modèle:Date- à Koléa (dpt. d'Alger).
Décorations
Hommages
La mémoire du général Lamoricière a été honorée :
- par la France :
- le camélia « Général Lamoricière », strié de rose, obtenu en 1909,
- le Lamoricière, paquebot transméditerranéen, lancé en 1920.
- à Paris :
- une statue le représentant sur la façade nord du Louvre,
- l'avenue Lamoricière.
- dans l'Ouest de la France :
- la rue Lamoricière à Nantes,
- un cénotaphe qui lui est consacré dans la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Nantes,
- une statue dans la commune de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu (Loire-Atlantique), berceau de sa famille, statue originellement en Algérie, transférée après l'indépendance,
- dans l'église de Saint-Philbert (de Claudius Lavergne), une rosace représentant le général à genoux offrant son épée au pape Pie IX,
- dans l'église du Louroux-Béconnais (Maine-et-Loire), un vitrail le représentant.
- dans l'Algérie coloniale :
- le lycée Lamoricière à Oran, rebaptisé depuis « lycée Pasteur »,
- la ville de Lamoricière, département d'Oran, renommée Ouled Mimoun après l'indépendance de l'Algérie en 1962,
- la place Lamoricière, à Constantine, département de Constantine, renommée « place des Martyrs » après l'indépendance,
- le monument « La Moricière (1805-1865) » situé sur la place Lamoricière de Constantine ; après l'indépendance, l'œuvre du sculpteur Jean-Baptiste Belloc a été acheminée et installée en 1969 à Saint-Philbert-de-Grand-Lieu (Loire-Atlantique), avenue du Général Lamoricière au pied de l'église.
- un autre monument avec la statue de Lamoricière a également été inauguré le Modèle:Date- à Koléa (département d'Alger).
- en Belgique :
- une peinture du général, par Louis Gallait, datée de 1868, dans les musées royaux des Beaux-Arts de Belgique.
- au Maroc
- une rue dans le centre-ville de Casablanca, quartier Mers Sultan, a porté son nom avant d'être rebaptisée rue Tarablous vers la fin des années 1980. Cette rue est parallèle à la rue Bugeaud.
Œuvres et discours du général de Lamoricière
L'Algérie (1846-1848)
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La Seconde République (1848-1850)
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Relations avec la papauté (1860)
Bibliographie
Travaux récents
- Sur le général de Lamoricière
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- Antoinette Le Normand-Romain, « Le monument du général de Lamoricière à Nantes », dans Recherche et créations, XVIII, Modèle:3e 1998, Modèle:P.
- Ouvrages généraux
Témoignages
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- Modèle:Ouvrage(la même notice que la précédente mais augmentée)
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Ouvrages anciens
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- Narcisse Faucon, Le livre d'Or de l'Algérie, Challamel et Cie Éditeurs Librairie Algérienne et Coloniale, 1889.
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- Sur la famille Juchault de Lamoricière
- Modèle:Ouvrage, 128 p., Modèle:P.<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Filmographie
- 2001 : François Luciani, L'Algérie des chimères, rôle du colonel Lamoricière interprété par François-Régis Marchasson