Loutre d'Europe
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| I =I| II =II| III =III| #default =I}}.svg|link=|alt=Sur l'annexe I de la CITES|30px]] Annexe I , {{#if: 04/02/1977 |Rév. du 04/02/1977 |Date de révision inconnue}}{{#if: |
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La Loutre d'Europe<ref name=europe>Annexes au Journal officiel des Communautés européennes du 18 décembre 2000. Lire en ligne.</ref> ou Loutre européenne (Lutra lutra)<ref>Modèle:Lien web</ref>, souvent qualifiée de loutre commune dans les pays d'Europe où elle est présente, ou encore loutre d'Eurasie, est une espèce de mammifères carnivores semi-aquatiques et principalement nocturnes, de la famille des Mustélidés (sous-famille Lutrinés). Elle est l'une des trois espèces de loutres se rattachant au genre Lutra. En France métropolitaine, on ne trouve que cette seule espèce de loutre. Autrefois présente sur tout le territoire, elle a disparu au Modèle:S mini--Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle d'une grande partie de son aire naturelle de répartition en raison de la chasse qu'on lui a faite. Depuis l'interdiction de la chasse en 1981 c'est la pollution au PCB<ref>Modèle:Article</ref> qui est devenu le premier facteur de régression ou d'entrave à la réoccupation de son aire de répartition.
Description
Sa hauteur est d'environ Modèle:Unité au garrot. Son pelage, brun foncé, est composé de deux couches : le poil de bourre, court, très fin, dense et laineux ; et le poil de jarre, long, lisse, brillant et imperméable.
Excellente nageuse, elle dispose de pattes palmées, d'un corps allongé (60 à Modèle:Unité en moyenne, auquel il faut ajouter une queue épaisse à la base et s'effilant vers l'extrémité de 30 à Modèle:Unité de longueur), pour un poids pouvant aller de 5 à Modèle:Unité.
Habitat
Elle est habituellement solitaire, occupant un territoire de 5 à Modèle:Unité de rives le long d'un cours d'eau (parfois davantage) ou de 20 à Modèle:Unité en zone de marais. Elle emprunte régulièrement les mêmes passages sur la berge pour se mettre à l'eau : les Modèle:Citation. Lorsqu’elle sort de l’eau, elle se roule dans l’herbe pour essuyer sa fourrure, sur des zones reconnaissables à l’herbe couchée et appelées Modèle:Citation. En montagne on peut la trouver jusqu'à une altitude de Modèle:Unité.
Elle fait sa tanière (qu’on appelle « catiche ») entre les racines des arbres des berges des cours d'eau ou dans d'autres cavités (cavité rocheuse, tronc creux, terrier d'une autre espèce). La catiche contient souvent une entrée plus ou moins dissimulée au-dessous du niveau d'eau et un conduit d'aération.
Reproduction
La maturité sexuelle est atteinte entre 2 et 3 ans. Le cycle œstral est du type polyœstrus non saisonnier. Des incertitudes persistent en ce qui concerne la durée du cycle. Celle-ci est estimée dans une fourchette de 30 à 45 jours, mais pourrait être inférieure à deux semaines. L’accouplement a lieu principalement dans l’eau et dure de 10 à 50 minutes. La durée de la gestation est de 58 à 60 jours. La taille des portées varie entre 1 et 3 loutrons<ref>Site http://educatif.eau-et-rivieres.asso.fr/pdf/loutre.pdf</ref>, le ratio sexuel étant de 0,5. La parturition dure 2 à 3 heures, l’expulsion des jeunes peut prendre quelques secondes à 5 minutes, et ce toutes les 20 minutes en moyenne. L’émancipation des jeunes a lieu entre 6 et 18 mois<ref>Capber, F. 2006. Reproduction de la Loutre européenne Lutra lutra. Bull. Soc. Hist. Nat. Ethn. Colmar, Vol 67 : 35-76.</ref>.
Alimentation
La Loutre est essentiellement piscivore. Elle se nourrit d'espèces de poissons différentes (anguilles, truites, épinochettes et épinoches) en fonction du milieu et de la saison. Par ailleurs, elles consomment assez fréquemment des batraciens et des écrevisses. Plus exceptionnellement, des oiseaux, des rongeurs (dont jeunes rats musqués), des insectes, voire des baies comme les myrtilles non dédaignées.
Comportement territorial
La loutre d'Europe a développé un comportement territorial de marquage poussé à l'aide de son urine ou de ses crottes, nommées épreintes (du vieux français épreindre signifiant déféquer par petits tas<ref>Roland LIBOIS, « La loutre, bio-indicatrice de la richesse des milieux aquatiques », Faune sauvage, avril - juin 2016, p. 54</ref>)<ref name=sfepm>Modèle:Lien web</ref>.
Ces dernières, contenant les restes non digérés de ses proies (fréquemment écailles et arêtes de poissons), sont généralement déposées à des endroits précis (sur un caillou, une souche, etc.). Ce marquage joue un rôle important dans la communication entre individus<ref name=sfepm/>.
Les épreintes permettent d'étudier le régime alimentaire et la répartition des loutres dans la nature<ref name=sfepm/>.
Répartition
La loutre d'Europe se rencontre en Europe occidentale, en Afrique du Nord, et dans une grande partie de l'Asie, de l'Arménie jusqu'au Japon. En Europe, elle est encore abondante au Portugal, en Albanie, en Irlande et en Écosse, ailleurs elle a considérablement régressé.
En outre, espèce jadis indicatrice de la pureté de l'eau, elle colonise à nouveau actuellement des milieux relativement pollués : décharges en Grèce, ports en Écosse et en Scandinavie<ref name=manote>Modèle:Lien web</ref>.
Statut de protection
- Il est lentement passée de celui d'une espèce nuisible ou indésirable à celui d'une espèce patrimoniale.
- En France, en 1981 un arrêté protège l'espèce<ref>Arrêté Ministériel du 17 avril 1981 fixant la liste des mammifères protégés sur l'ensemble du territoire national</ref>, interdisant la destruction, l'altération ou la dégradation de leur milieu particulier et la destruction, la mutilation, la capture ou l'enlèvement, la perturbation intentionnelle, la naturalisation d'individus ou, qu'ils soient vivants ou morts, leur transport, leur colportage, leur utilisation, leur mise en vente, leur vente ou leur achat. De plus le piège à mâchoire, source de mises à mort accidentelles est interdit depuis 1984.
- En Europe, la Convention de Berne est signée le Modèle:Date- :
son Annexe 2 interdit notamment : a) toute forme de capture intentionnelle, de détention et de mise à mort intentionnelle ; b) la détérioration ou la destruction intentionnelles des sites de reproduction ou des aires de repos ; c) la perturbation intentionnelle de la faune sauvage, notamment durant la période de reproduction, de dépendance et d'hibernation, pour autant que la perturbation ait un effet significatif eu égard aux objectifs de la présente Convention ; d) la destruction ou le ramassage intentionnels des œufs dans la nature ou leur détention, même vides ; e) la détention et le commerce interne de ces animaux, vivants ou morts, y compris des animaux naturalisés, et de toute partie ou de tout produit, facilement identifiable, obtenu à partir de l'animal, lorsque cette mesure contribue à l'efficacité des dispositions de cet article. - Deux Directives européennes du Modèle:Date- et du Modèle:Date- concernant la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages concernent la loutre :
- CE/92/43 - Annexe 2 : Directive Faune-Flore-Habitat, annexe 2 : espèces animales et végétales d'intérêt communautaire dont la conservation nécessite la désignation de zones spéciales de conservation modifiée par la Directive 97/62/CE (espèce dont l'habitat doit être protégé).
- CE/92/43 - Annexe 4 : Directive Faune-Flore-Habitat, annexe 4 : espèce strictement protégée, la capture et la mise à mort intentionnelle est interdite tout comme la perturbation des phases critiques du cycle vital et la destruction de leurs aires de repos et de leurs sites de reproduction.
- La Convention de Bonn ne prévoit pas de réglementation spécifique.
Sauvegarde en France
Encore présente dans la majeure partie de la France au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (ses effectifs étaient estimés à Modèle:Unité<ref name=manote/>), les effectifs de la loutre d'Europe ont régressé, particulièrement après les années 1930. À la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il restait moins de Modèle:Unité sur le territoire français, ces populations relictuelles ayant trouvé refuge sur la façade atlantique (marais poitevin) et dans le Limousin. Ses causes de disparition sont nombreuses et c'est souvent une corrélation de plusieurs d'entre elles qui engendre sa perte<ref name="Sarat">Emannuelle Sarat, ingénieur à l’ONCFS, « Castor et loutre : deux espèces semi-aquatiques à observer en bord de Loire », émission Canal Académie, 10 février 2013</ref>.
En France, la loutre n’a qu’un seul ennemi, l'humain. Jadis, on les chassait pour leur fourrure et parce qu’elles concurrençaient les pêcheurs. Espèce jugée nuisible, on piégeait 4 000 loutres par an entre 1890 et 1930. La chasse est aujourd'hui interdite (depuis 1972) ainsi que les pièges à mâchoire depuis 1994, mais la loutre reste, malgré cela, toujours menacée<ref name="Sarat"/>. Parce que la plupart des cours d’eau sont pollués, la loutre ne trouve plus suffisamment de poissons pour s’installer le long des berges et se nourrir. En plus, les berges de nombreux cours d’eau ont été bétonnées ou rectifiées, les arbres n’y poussent plus et les loutres ne peuvent donc plus y installer leur catiche. La loutre d'Europe souffre de l'assèchement des zones humides, de la construction des barrages et de l'emploi intensif des pesticides. Enfin, les collisions routières tuent de nombreuses loutres chaque année, d'où l'aménagement actuel de loutroducs (dérivations de buses le plus souvent).
En 1991 a été ouvert le premier Centre de reproduction et de réintroduction des loutres à Hunawihr, en France<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Dans un premier temps les buts recherchés ont été la reproduction et la création d'une souche de reproducteurs. Par la suite, les efforts ont été tournés vers la réintroduction à partir des animaux issus du centre et la sensibilisation du public. À la suite de l'aval du Ministère de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement, une expérience de réintroduction de la loutre européenne en Alsace a vu le jour en 1998. Six loutres ont été relâchées au cours de ce programme dans le Ried Centre Alsace. Elles ont été régulièrement suivies par télémétrie ou par la recherche de leurs indices de présence<ref>Mercier L., 2004. Bilan de la réintroduction de la Loutre Lutra lutra (Linné, 1758) en Alsace, France. Bull. Soc. Hist. Nat. Ethn. Colmar, 65: 117-134.</ref>. Si l’essai de réintroduction du Centre de Hunawihr a permis à une petite population de loutres de repeupler une partie des rivières du Centre Alsace, les opérations de réintroduction ne sont pas encouragées actuellement en France. Les mouvements de recolonisation naturelle observés ces dernières années permettent de rester raisonnablement optimistes quant à l’avenir de la loutre à l’échelle nationale<ref>Capber, F. & A. Lehmann. 2009. Une Loutre d'Europe Lutra lutra découverte en Alsace (France). Arvicola, tome XIX, 1 : 8-11.</ref>.
En effet, grâce à la protection juridique de l'espèce mais aussi à l'action d'associations de protection de la nature, la Loutre a commencé à reconstituer sa population (repeuplement naturel) : ses effectifs sont estimés entre 2 000 et 3 000<ref name=manote/> ; en Bretagne, sur la façade atlantique et dans le Massif central, principales régions où des populations avaient subsisté, on observe depuis quelques années un début de recolonisation des cours d'eau où elle avait été exterminée<ref>Eau et Rivières de Bretagne Modèle:N°, automne 2006 - supplément spécial</ref>.
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Le ruisseau de Kerhoat Bénoal peu avant sa confluence avec la Laïta ; un refuge pour la loutre d'Europe.
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Panneau d'information touristique sur la loutre d'Europe à Kerhoat Bénoal en Guidel.
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Loutre d'Europe de l'étang de Bouzaire à Guérande, photographiée de nuit
Gestion des risques de piégeage accidentel
La Loutre (comme le Castor d'Europe et le Vison d'Europe qui partagent le même habitat) peut être facilement accidentellement tuée par des pièges destinés à des espèces dites nuisibles (telles que le Rat musqué ou le Ragondin). Pour éviter ceci un arrêté du Modèle:Date-, abrogé et remplacé par un nouvel arrêté du Modèle:Date- (J.O. du Modèle:Date-, pour une entrée en vigueur le Modèle:1er juillet<ref>Arrêté du 24 mars 2014 pris pour l'application de l'article R. 427-6 du code de l'environnement et fixant la liste, les périodes et les modalités de destruction des espèces non indigènes d'animaux classés nuisibles sur l'ensemble du territoire métropolitain.</ref>) interdisent les pièges tuant de catégories 2 et 5, dans les zones de présence de ces espèces (ces zones sont définies par arrêté préfectoral mis à jour annuellement).
Histoire, interactions avec l'Homme
L'histoire des interactions des activités de la loutre et des activités humaines est au moins millénaire.
La loutre, comme de nombreux prédateurs a fait partie des animaux redoutés ou mal-aimés. Elle avait au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle en Europe été presque partout décimée, pour sa fourrure, encore plus appréciée que celle du castor, et parce qu'elle décimait les élevages ou stocks de poissons dits viviers.
- Fourrure : sa fourrure chaude, naturellement hydrofuge et lustrée a été une première justification à un piégeage intensif, depuis le Moyen Âge au moins. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, sa fourrure était ainsi décrite : Modèle:Citation<ref name=DicoFr1768/>.
- Les peaux et fourrures de loutres et castor, hydrofuges et chaudes, ont été très utilisées par les chapeliers. Pour désigner un chapeau en « poil de loutre » (en fait en peau de loutre), autrefois et en France on disait Modèle:Citation<ref name=DicoFr1768/> (le « e » n'étant au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle pas ou peu prononcé ; Modèle:Citation<ref name=DicoFr1768/>.
- Graisse : la graisse de la loutre, comme l'huile de poisson était appréciée pour sa fluidité, et le fait qu'elle ne se fige pas dans le froid et on lui a accordé des propriétés médicinales Modèle:Citation<ref name=DicoFr1768/>.
- Espèce prédatrice et concurrente : en tant qu'animal piscivore très habile, la loutre était peu appréciée des propriétaires de viviers et autres étangs utilisés comme élevages plus ou moins extensifs de poissons. Il existait ainsi en France des maistres-chasseurs de loutre qui en décimaient parfois de grandes quantités. Elle était ainsi présentée par un dictionnaire français du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle comme :
- Modèle:Citation<ref name=DicoFr1768/>.
Les auteurs de cet ancien dictionnaire font une description particulièrement peu flatteuse de ses jeunes : - Modèle:Citation.
Néanmoins dans certains pays et à certaines époques, selon les chroniqueurs du passé, des loutres ont été dressées pour aller chasser et ramener à leur propriétaire du poisson. Ainsi, selon le Grand vocabulaire françois de 1768<ref name=DicoFr1768/> ;
- Espèce chassée : La loutre a été chassée et consommée, bien que considérée comme ayant un mauvais goût :
- Espèce parfois amie ou utile : C'est un animal réputé particulièrement difficile à dresser, mais qui semble parfois l'avoir été
- La loutre est aujourd'hui légalement protégée, mais peut être victime de pièges, de la pollution (mercurielle notamment<ref>R. S. Halbrook, J. H. Jenkins, P. B. Bush, N. D. Seabolt (1994), Sublethal concentrations of mercury in river otters: Monitoring environmental contamination ; Archives of Environmental Contamination and Toxicology ; Octobre 1994, Volume 27, Modèle:N°, pp 306–310 résumé</ref>), d'empoisonnement, d'accidents par collision avec des véhicules<ref>Texier A; & al. Poster : "Bilan de 9 années de suivi de la mortalité routière de la Loutre d'Europe en Vendée", Naturalistes vendéens, PDF, 1p</ref>
La loutre dans la culture
Lure, ville de Haute Saône, Modèle:Latin en latin remet depuis 2013 des loutres en bronze aux réalisateurs primés lors de son festival de cinémaModèle:Refsou.
Notes et références
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Modèle:INPN
- Modèle:MSW
- Modèle:CITES fr
- Modèle:CITES species+
- Modèle:Faunaeur2
- Modèle:Fr+en Référence ITIS : Modèle:Trim Lutra lutra (Linnaeus, 1758){{#ifeq:|nv| Non valide}}Modèle:Consulté le
- Modèle:ADW
- Modèle:NCBI
- Modèle:UICN
Sources
- Marc Duquet, Hervé Maurin, Patrick Haffner: Inventaire de la faune de France Nathan, 2005, Modèle:ISBN
- Christian Bouchardy: La loutre d’Europe, Histoire d’une sauvegarde. Catiche Productions - Libris, Clermont-Ferrand. 2001.
Bibliographie
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Defontaines P (1999) Répartition de la Loutre Lutra lutra dans le sud-est du Massif Central. Bièvre, 16 : 13-26.
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Dohogne R & Leblanc F (2005) Actualisation de la répartition de la Loutre d’Europe (Lutra lutra) en Limousin. GMHL, 80p.
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Lemarchand C, Amblard C, Souchon Y & Berny P (2007) Organochlorine compounds (pesticides and PCBs) in Scats of the European Otter (Lutra lutra) from an actual expanding population in central France. Water, Air & Soil pollution, 186 (1-4) : 55-62
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Lemarchand C, Bouchardy C, (2011) La loutre d'Europe. Histoire d'une sauvegarde, Catiche productions, Modèle:ISBN, 31p.
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Loy A, Carranza ML, Cianfrani C, d’Alessandro E, Bonesi L, Di Marzio P, Minotti M & Reggiani G (2009) Otter Lutra lutra population expansion : assessing habitat suitability and connectivity in southern Italy. Folia Zoologica, 58(3) : 309-326.
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Lughaidh O Neill, De Jongh A, Ozolins J, De Jong T& Rochford J (2007) Minimizing Leg-Hold Trapping Trauma for Otters With Mobile Phone Technology Journal of Wildlife Management 71:8, 2776-2780, publié en ligne 2007-11-01 (résumé)PDF (229 KB) → voir aussi : Larkin RP, VanDeelen TR, Sabick RM, Gosselink TE & Warner RE (2003) Electronic signaling for prompt removal of an animal from a trap. Wildlife Society Bulletin 31:392–398.
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Rémy E (2006) Méthode indiciaire et prises photographiques. [Le cas du suivi de la loutre], Natures-Sciences-Sociétés (périodique à comité de lecture), 14, 144-153, (résumé)
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- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Rémy E (2006) Des réseaux et des loutres, Biodiversité, séminaire de l’IFB, Fréjus, Dynamique de la biodiversité et modalités d’accès aux milieux et aux ressources, IFB, 63-67.
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Rémy E (2005) « comment rendre visible l'invisible, deux façons de tracer la présence de la loutre », communication au colloque sciences naturalistes, 14-Modèle:Date-, Citizen Sciences Collective vigilance and relations between laymen and scientists in natural history, Saint-Étienne.