Mérignac (Charente)
Modèle:Infobox Commune de France
Mérignac est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont les Mérignacais et les Mérignacaises<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Géographie
Localisation et accès
Mérignac est une commune de l'ouest du département de la Charente située à Modèle:Unité à l'est de Jarnac et à Modèle:Unité à l'ouest d'Angoulême.
Mérignac est aussi à Modèle:Unité à l'ouest d'Hiersac, Modèle:Unité au sud de Rouillac, Modèle:Unité au nord de Châteauneuf et Modèle:Unité à l'est de Cognac<ref>Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper</ref>.
Cette importante commune est la plus orientale de son canton et la seconde en superficie.
La principale voie de communication est la route nationale 141 d'Angoulême à Cognac et Saintes, maillon occidental de la route Centre-Europe Atlantique, qui parcourt tout le sud de la commune. La D 18, route de Bassac à Échallat coupe cette dernière voie par un échangeur à l'important hameau de Bourras et traverse le bourg de Mérignac<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref>.
La gare la plus proche est celle de Jarnac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.
Hameaux, lieux-dits, et écart
Le bourg de Mérignac est un gros village.
L'important hameau de Villars, aussi appelé Villars-Marange, se trouve à l'extrémité orientale de la commune. Une partie de ce hameau appartient même à la commune voisine d'Échallat mais sa partie la plus importante est située sur la commune, autour du château.
Les autres hameaux sont Bourras et le Grand Bourras, Orlut (entre le bourg de Mérignac et Villars), Bois Renard (à l'est du bourg), Chatouflat (dans le sud de la commune, près de Bourras).
Les lieux-dits et fermes sont Moulin de Rambaud, le mon Garni, Montedoux, le Logis de Lafont, la Moufias, les Renardières, Grande Plante, les Crochettes<ref name="ign"/>.
Ecart : le Peu (touchant le bourg), la Lichère (touchant le bourg).
Communes limitrophes
Géologie et relief
Le sol de la commune est calcaire et appartient au Portlandien (Jurassique supérieur). Sur la bordure sud-ouest (sud de Bourras et de Chatouflat), on trouve le Purbeckien, ancienne zone lagunaire de la fin du Jurassique, marquant le début du Pays Bas à l'ouest, et riche en gypse<ref>Carte du BRGM sous Géoportail</ref>,<ref>Visualisateur Infoterre, site du BRGM</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Article connexe
La commune de Mérignac occupe une vaste plaine légèrement inclinée vers le sud-ouest. Le pays est peu boisé. Le point culminant est à une altitude de Modèle:Unité, situé sur la bordure nord-est. Le point le plus bas est à Modèle:Unité, situé sur la Guirlande en limite sud. Le bourg est à environ Modèle:Unité d'altitude<ref name="ign"/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Guirlande et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La commune est parcourue du nord au sud, par le ruisseau la Guirlande, qui arrose le bourg de Mérignac, affluent de la Charente à Bassac<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain. Modèle:Article connexe
Urbanisme
Typologie
Mérignac est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (58,5 %), zones agricoles hétérogènes (21,5 %), terres arables (12,5 %), prairies (3,2 %), zones urbanisées (2,3 %), forêts (2,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Mérignac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 19,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 153 sont en aléa moyen ou fort, soit 38 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Toponymie
Le nom est attesté sous les formes anciennes Matriniaco, Meyrinhac, Merinhac, Merignaco en 1405<ref>Modèle:Ref-Ang-Livre des fiefs</ref>.
Le second élément est le suffixe gallo-roman *-ACU. Le premier élément semble être le nom de personne gallo-roman Matrinius, comme l'indiquent clairement les formes anciennes des autres Modèle:Page h' (cf. Gironde, Mairinaco 1102), avec une graphie occitane Mayrinhac-Lentour (Lot, Madriniacum 930) et les formes d'oïl comme Margny-les-Compiègne (Oise, Matriniacus 917) et Margny-sur-Matz (Oise, Matriniaco 917)<ref>Modèle:Dic-Dauzat-1989</ref>.
L'évolution phonétique est parallèle à celle du latin mater « mère », à la base du surnom Matrinius, attesté en français sous les formes medre au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et madre au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, etc. Occitan maire [maʲre].
Histoire
Un fossé circulaire double, d'origine protohistorique, est situé juste à l'ouest du village de Mérignac<ref>Modèle:Ref-Charente-Vernou</ref>.
Selon Auguste Lièvre, le ruisseau de la Guirlande s'appelait autrefois l'Aigurande, nom qui comme Ingrandes dans le Poitou marque la limite entre deux anciennes provinces. En effet, ce ruisseau marque encore la limite entre les diocèses de Saintes et d'Angoulême, correspondant aux territoires des anciennes cités gallo-romaines, et sans doute auparavant des peuples gaulois des Santons et de celui resté anonyme occupant l'Angoumois<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. L'ancienne forêt de Marange marquait aussi cette limite.
On voit encore, au bourg de Mérignac, un ancien logis. C'était le siège d'une seigneurie qui, au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, appartenait à la famille de Livenne. En 1661, Marie de Livenne épousa son cousin, Louis de Sainte-Hermine, sieur de Chenon et lui porta la seigneurie de Mérignac en dot. Les Saint-Hermine conservèrent Mérignac jusqu'à la Révolution. Le dernier représentant de cette branche, René-Louis de Saint-Hermine, mourut à Londres pendant « l'émigration ».
Au hameau de Villars-Marange, on remarque un logis de la période Renaissance, dont le propriétaire était, au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Girard Dussault, écuyer et seigneur de Birac et de Villars, qui épousa Claire Méhée, fille de François Méhée et de Claire de la Guirande en 1556. La famille Dussault conserva Villars jusque vers le milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. À cette époque, le logis fut acquis par la famille de La Charlonnie. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, il passa entre les mains de M. Prévost du Las, qui avait épousé une demoiselle de La Charlonnie, ce dernier l'a vendu dans le dernier quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Le logis de la Font était au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle une maison forte protégée par des fossés et un pont-levis. Ce logis formait une dépendance de la seigneurie de Hautemoure à Saint-Simon et relevait de l'abbaye de Bassac.
Il fut acquis, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, par François Aigron de Combizan, vice sénéchal d'Aunis, Saintonge et Angoumois, dont la fille, Françoise, épousa, le Modèle:Date, Louis Bernard, écuyer, conseiller du roi et lieutenant particulier au présidial d'Angoulême<ref name=mb/>,<ref>Modèle:Ref-PC-Châteaux</ref>.
Par contrat du Modèle:Date, les héritiers de Louis Bernard vendirent La Font à Pierre Navarre, sieur de Boisderet, maître de poste à Villars-Marange, qui ne conserva pas longtemps cette terre : il la revendit dès le Modèle:Date à Jean Fé de Ségeville, écuyer, conseiller du roi et lieutenant général au siège de Cognac.
La petite-fille de ce dernier, Louise Marie-Anne Catherine Fé, épousa le Modèle:Date, Jean Philippe André Guillet des Fontenelles, dont la fille Marie Marguerite se maria avec M. Robin de Cognac.
Bourras, sur la route nationale, était, avant l'arrivée du chemin de fer d'Angoulême à Saintes, un relais de poste important<ref name=mb>Modèle:Ref-Charente-MB</ref>.
Route de la Poste
Le hameau de Villars était aussi situé avant le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sur l'ancienne route de la Poste entre Paris et Bordeaux, directe entre Chaunay et Barbezieux par Villefagnan, Aigre, Moulidars et Châteauneuf, avant que celle-ci ne soit déviée pour desservir Angoulême par Turgot, intendant de la généralité de Limoges<ref>Atlas de Trudaine - 1745 ; généralité de La Rochelle - vol. II, base Mistral, Ministère de la Culture</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name="ign"/>.
Il y avait un relais de poste, situé au sud du hameau près de la limite communale avec Moulidars, mentionné Poste de Villars sur la carte de Cassini, aujourd'hui totalement disparu<ref name=ign/>.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Fiscalité
La fiscalité en 2007 est d'un taux de 21,53 % sur le bâti, 40,61 % sur le non bâti, et 9,33 % pour la taxe d'habitation.
La communauté de communes de Jarnac prélève la taxe professionnelle au taux 10,26 %.
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 25,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 39,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 50,83 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Équipements, services et vie locale
Enseignement
Mérignac possède une école primaire publique comprenant trois classes (une maternelle, deux élémentaires). Le secteur du collège est Jarnac<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
L'église paroissiale Saint-Pierre, ancienne dépendance du chapitre cathédral, n'est datée par aucun texte. Elle a été remaniée à des époques diverses. La partie ancienne de l'église, à décor géométrique, a été édifiée au cours du troisième quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Diverses additions et restaurations ont été menées en 1578, 1644 et 1734.
La nef est voûtée d'ogives à trois travées égales qui auraient été rehaussées en 1733-1734. La quatrième travée, beaucoup plus longue, a une voûte sensiblement de même date. On y remarque les restes de deux colonnes romanes et leurs chapiteaux sculptés. Toute la partie est de l'édifice date de 1578. Les travées de la nef ont des fenêtres à colonnettes et chapiteaux en forme de télescope sur les deux faces. Le chœur carré, en ogives, est éclairé à l'est par une fenêtre à réseau flamboyant. Au sud, a été construite une petite chapelle voûtée en berceau et au nord, le rez-de-chaussée du clocher forme le bras de transept. Il est surmonté d'une coupole sur pendentifs. La façade est très déformée par deux contreforts obliques appliqués sur ses angles au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le chevet est surmonté d'un pignon.
Le clocher rectangulaire a un premier étage dont les baies gothiques ont été bouchées et un second à trois baies jumelles dont celle du centre est plus large. Cet étage a été ajouté au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1862, Modèle:P..</ref>,<ref>Modèle:Ref-Ang-Pouillé 1</ref>.
L'église est inscrite monument historique depuis 1925<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
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L'église.
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Vue de côté.
Patrimoine civil
Château de Villars
Modèle:Article détaillé Le château de Villars, appelé aussi de Villars-Marange, présente un châtelet d'entrée du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et un logis en retour d'équerre du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le corps de logis le plus ancien comporte une bretèche et des fenêtres ornées de pinacles du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Ref-Charente-Châteaux</ref>. Il est inscrit monument historique depuis le Modèle:Date<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
Château de Mérignac
Le château de Mérignac, qui a appartenu à la famille de Livenne, a été bâti au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il a passé par mariage en 1661 aux Sainte-Hermine qui le conservèrent jusqu'à la Révolution, puis fut acquis en 1834 par la famille Sabouraud<ref>Modèle:Ref-Charente-Dexant</ref>. Il a été remanié au fil des siècles et forme désormais un corps de logis rectangulaire à un étage couvert de tuiles plates et encadré de quatre tours rondes. Il est ouvert sur une terrasse côté jardin<ref>Modèle:Ref-Charente-Patri1993</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
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Château de Mérignac.
Logis de Lafont
Le logis de Lafont (ou la Font), situé au sud de la commune, a été reconstruit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et seuls les fossés en eau datent du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
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Logis de Lafont.
Fermes et maisons
Les maisons charentaises typiques sont nombreuses le long de la route du cognac<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
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Poids public.
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Monument aux morts.
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Fontaine.
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Pigeonnier.
Héraldique
Personnalités liées à la commune
- Michel Marvaud-Baudet (1743-1820), homme politique français, mort à Mérignac.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes