Marcilly-le-Hayer
Modèle:Voir homonymes {{#invoke:Bandeau|ébauche}} Modèle:Infobox Commune de France Marcilly-le-Hayer est une commune française, située dans le département de l'Aube en région Grand Est. Modèle:Sommaire
Géographie
Le village s'est construit sur le cours de l'Orvin. Il y avait comme écarts : Abondance, Basson, Basson-le-Petit, la Belle-Epine, Bois-l'Abbesse, Chanteloup, le Château-Gaillard, les Chaumes-du-Manche, Chavaudon , Puttemusse, sur un cadastre de 1831. Modèle:Multiple image
Communes limitrophes
Toponymie
Le nom vient de Marcellus, nom romain de propriétaire<ref>D'Arbois de Jubinville, Recherches..., 269.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Marcilly-le-Hayer est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,5 %), forêts (33,9 %), zones urbanisées (1,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %), prairies (0,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
Modèle:… En plus de toutes les traces d'habitation anciennes développées ci-dessous, la seigneurie de Marcilly dépendait de deux mouvances. Dans la mouvance du château de Villemaur, le seigneur le plus ancien qui est connu est Montanus au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. L'autre mouvance relevait de l'évêque de Troyes, en 1238 Gilon de Marcilly prêtait hommage.
En 1147, l'abbaye de Paraclet avait un moulin à Marcilly<ref>Lalore, CartulairesII, 9.</ref>. En 1789, le village de Marcilly relevait de l'intendance et de la généralité de Châlons, de l'élection de Troyes et du bailliage de Sens. Mais avant 1350 il dépendait du bailliage de Troyes et de la prévôté de Villemaur<ref>Auguste Longnon, Documents, II, 183.</ref>.
Basson
Ancien hameau, il était le siège de deux seigneurs. Une mouvance relevait de Villemaur dont un Thibaut Narores est attesté en 1172<ref>Auguste Longnon, Documents, I, 334.</ref>, puis les Trainel au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. L'autre mouvance relevait de l'évêque de Troyes.
Une maison forte ou château est attestée à Basson depuis 1367, close de murs et de fossés, l'écuyer Henri de Vouziers la tenant de son frère<ref>Arch. dep. Aube, E152, provisoire, f°76v°.</ref>. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ce n'était plus qu'une ferme.
La Mothe
Hameau qui fit partie d'un ancien fief relevant de la Forge, à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle la Mothe eut les mêmes seigneurs que celui de Mothois et ils résidaient au château sis à la Mothe. En 1640 Louise de la Serre, dame de la Mothe était l'épouse de Edmé d'Avogarde ; le dernier seigneur est M. Jean-Baptiste Noel, garde de la porte de Monsieur frère du Roi qui en plus du château avait 200 arpents de terre.
Le Mothois
Hameau aussi ancien fief qui dépendait de Villemaur, il avait aussi son château, en 1362 "une maison c'on dist le Motoy<ref>Archives départementales de la Côte-d'Or, B3849.</ref>. Il avait aussi un moulin et son dernier seigneur est Nicolas III de Palis.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Lieux et monuments
Marcilly-le-Hayer possède cinq édifices protégés au titre des monuments historiques<ref>Marcilly-le-Hayer sur la Base Mérimée</ref>.
- Les pierres dites Pierres du Four gaulois et du Réservoir sont des mégalithes situés dans le bois de Chavaudon<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elles sont classées au titre des monuments historiques par arrêté du 3 mars 1959<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Le château de Chavaudon construit en 1913 dans le style "Art Nouveau" par l'architecte Hector Guimard et inscrit au titre des monuments historiques en 2014<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Les dolmens de la Pierre Couverte sont un ensemble de dolmens, composé du dolmen des Blancs Fossés, qui fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 29 septembre 1936<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>, et du dolmen de Vamprin, qui fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 2 octobre 1936<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- L'église Saint-Leu-de-Sens est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 21 décembre 1977<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Chapelle de Saint-Flavit, construite en 1897 en l'honneur de l'ermite de Marcilly-le-Hayer, ordonné prêtre par Saint Leu.
Personnalités liées à la commune
- Saint Flavit, ermite mort à Marcilly le 18 décembre 630, apôtre de la région.
- Maaike Jansen, actrice, est née dans la commune.
- Marcel Ory, (1898-1944), instituteur et Lieutenant de Réserve, Secrétaire de Mairie et acteur majeur de la Résistance, né à Landéan ( Ille et Vilaine) et sa femme Jeanne Jacquinot, née à St Mesmin (Vendée), sont nommés instituteurs à Marcilly en septembre 1925. Sous l'occupation allemande, à partir de 1940, Marcel Ory, devient l'animateur d'un réseau de résistance sur toute la région. Il meurt en service commandé le 28 Août 1944, dans le sabotage du Pont de Nogent sur Seine, debout sur le marchepied d'une Traction Citroën, les armes à la main, à la poursuite de soldats allemands. A ses côtés les brigadiers de Gendarmerie Dupire et Gueno et trois autres occupants de la voiture, mortellement blessés, se trouveront précipités dans la Seine et périront noyés . Plaque Commémorative sur la façade de la Mairie.
- José Subirà-Puig, sculpteur d'origine espagnole, né le 28 août 1925 à Barcelone et mort le 7 décembre 2015, inhumé à Marcilly le Hayer (Aube).