Nérée Beauchemin

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Écrivain Charles-Nérée Beauchemin, né le Modèle:Date et mort le Modèle:Date, est un écrivain et médecin québécois<ref name=":0" />.

Biographie

Charles-Nérée Beauchemin naît le Modèle:Date de naissance à Yamachiche, au Québec<ref name=":2">Modèle:Lien web</ref>. Fils de Hyacinthe Beauchemin, un médecin, et d'Elzire Richer-Laflèche, il est lié, du côté de sa mère, à Louis-François Laflèche, le Modèle:2e évêque de Trois-Rivières, à sir Lomer Gouin, ancien Premier Ministre de la province du Québec et à l'ancien gouverneur de l'État de Rhode Island, Aram Pothier.

Il poursuit ses études au Séminaire de Nicolet de 1863 à 1870 et à l'Université Laval de 1870 à 1874. Dans le premier cas, pour suivre des études classiques, dans le deuxième, pour suivre des études médicales comme son père<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>.

Après avoir reçu son diplôme, il s'établit à Yamachiche, où il passe le restant de sa vie. Là, il publie ses vers dans les journaux et les revues du temps et commence sa carrière en écriture. Il publie son premier poème, Les Petits Pèlerins dans L'Opinion publique du Modèle:Date-. Il publie ensuite durant Modèle:Unité des poêmes dans La Patrie<ref name=":0" />.

Il est reconnu d'avoir eu des amitiés avec de grands poètes, tels Louis-Honoré Fréchette et Pamphile Lemay. Nérée Beauchemin publie son premier recueil, Les Floraisons matutinales, en 1897, avant son Modèle:47e anniversaire. Son confident, l'Abbé Albert Tessier, le persuade de publier ses poèmes inédits en un deuxième recueil. En 1928, Nérée Beauchemin publie Patrie intime<ref name=":1">Modèle:Lien web</ref>,<ref name=":0" />.

Il reçoit plusieurs diplômes. En 1888, il reçoit, de la part de la Société Royale du Canada, un diplôme d'honneur, et un diplôme de maîtrise en 1928 dans les jeux florimontains. Au Modèle:Date, il reçoit le Grand Prix d'apostolat laïque par la poésie et un doctorat dans les lettres de Laval. Il accepte, le Modèle:Date, la médaille de l'Académie française<ref name=":1" />.

Il meurt à Yamachiche le Modèle:Date à 81 ans<ref name=":2" />.

Hommage posthume

Le Modèle:Date, la Société Royale et l'Académie canadienne-française (aujourd'hui l'Académie des lettres du Québec) se font représenter aux cérémonies d'hommage de Yamachiche, où les villageois célèbrent le Modèle:100e anniversaire du poète. La même année, avec une étude-préface de Clément Marchand, Choix de poésies de Nérée Beauchemin se fait publier posthumément. Au Modèle:Date, Yamachiche rend un dernier hommage au poète en se donnant une rue Nérée Beauchemin. Trois-Rivières accomplit le même hommage en mémoire de Beauchemin.

La rue Nérée-Beauchemin a été nommée en son honneur, en 1949, dans l'ancienne ville de Sillery, maintenant présente dans la ville de Québec.

Aujourd'hui, il est considéré comme un des premiers écrivains du terroir<ref>Clément Marchand, Nérée Beauchemin, Montréal, Fides, 1957, p. 13-14</ref>.

Vie personnelle

Fichier:Maison Nérée-Beauchemin 01.JPG
La maison Nérée-Beauchemin, qu'il habite de 1878 à 1931.

Modèle:Référence nécessaire Il hérite de la maison Nérée-Beauchemin à la suite de la mort de son père en 1878. Il occupera cette maison jusqu'à sa mort. La maison a été classée en 1978<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Liens externes

Notes et références

Modèle:Références

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