Nosferatu le vampire

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Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Modèle:Infobox V3/Fin Nosferatu le vampire (Modèle:Langue en version originale) est un film muet allemand réalisé par Friedrich Wilhelm Murnau sorti en 1922, adapté du roman Dracula, bien qu'il ne fût pas autorisé par les ayants droit<ref name="imdb">Modèle:Lien web.</ref>.

Pour cette raison, certains noms et détails ont été changés par rapport au roman. Le comte Dracula devient ainsi le comte Orlock. Le film fit l'objet d'un procès intenté par la veuve de l'écrivain, qui aboutit en 1925 à un jugement exigeant la destruction de toutes les copies illicites. Jugement qui ne fut pas appliqué ; plusieurs copies circulèrent dès les années 1930 aux États-Unis et en France<ref name="Piton21">Jean Pierre Piton, « L'éternel retour de Dracula », L'Écran Fantastique Modèle:N° janvier 1993 Modèle:P.21.</ref>.

Il ne s'agit pas de la première adaptation filmée du roman de Bram Stoker, une première adaptation très libre du roman intitulée Drakula halála avait été réalisée auparavant par le cinéaste hongrois Károly Lajthay (le film est considéré comme perdu)<ref name="Piton21"/>,<ref>Cependant, les auteurs Alain Pozzuoli (1997), dans Dracula (1897-1997) : guide du centenaire, et James Craig Holte (1997), dans Dracula in the Dark: The Dracula Film Adaptations, ne savent pas s'il s'agit d'une adaptation du roman de Stoker ou bien d'une biographie filmée de la vie de Vlad Tepes.</ref>. C'est un des premiers films d'horreur, genre dont Murnau est un des pionniers, et un des grands chefs-d'œuvre du cinéma expressionniste allemand.

Synopsis

En 1838, dans la ville fictive de Wisborg, Thomas Hutter, un jeune clerc de notaire ayant fait un heureux mariage avec Ellen, doit partir pour la Transylvanie afin de vendre une propriété au comte Orlok, qui désire avoir une résidence dans la ville. Après un périple sur une terre d'ombres, le jeune homme est accueilli au sein d’un sinistre château par le comte. Durant la transaction, Orlok aperçoit une miniature d’Ellen, qui le fascine et décide d’acquérir le bâtiment – proche de la maison du couple – qui lui est proposé. Hutter, hôte du comte, ne tardera pas à découvrir la véritable nature de celui-ci. Alors Nosferatu cheminera vers sa nouvelle propriété, répandant dans son sillage une épidémie de peste. Ellen, bientôt en proie aux mains griffues de Nosferatu qui la convoite, laissera le comte faire d’elle sa victime et sacrifie son sang au vampire pour sauver la ville frappée par la peste.

Fiche technique

Modèle:Source Imdb

Distribution

Modèle:Colonnes

Production

Fichier:Slovakia Oravsky Podzamok.jpg
Le château d'Orava où a été tourné le film.

D'après Michel Bouvier et Jean-Louis Leutrat<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, Albin Grau est à l'origine de l'idée de réaliser le film. Pendant la Première Guerre mondiale, un paysan serbe lui aurait confié une histoire de vampire. En 1921, il fonde avec Enrico Dieckmann, la maison de production Prana Film Berlin GmbH. Les coproducteurs sont tous les deux férus d'occultisme. Ils souhaitent spécialiser leurs productions sur des thèmes liés au fantastique. Nosferatu sera le premier film produit.

Mais réaliser un film en s'inspirant du Dracula de Bram Stoker se heurte aux faibles moyens de Prana Film qui ne s'acquitte pas des droits d'auteur (ce qui conduira Prana Film à la faillite). Albin Grau demande à Henrik Galeen, scénariste du Golem (1920) de rédiger le scénario en modifiant les noms et l'histoire<ref name="fiche cineclubdecaen">Modèle:Lien web.</ref>. Albin Grau est aussi graphiste, c'est en réalisant l'affiche de La Marche dans la nuit qu'il rencontre Friedrich Wilhelm Murnau et lui propose la réalisation du film.

Scénario

Le scénario de Henrik Galeen, adapté du Dracula de Bram Stoker paru en 1897, prend plusieurs libertés par rapport à cette œuvre. Tout d'abord, il y a un changement de lieu puisque l'action se passe dans la ville imaginaire de Wisborg au lieu de Londres. La ville fictive de Wisborg est largement inspirée des villes de Wismar et de Lübeck où les scènes ont été tournées. Les noms des personnages ont été aussi modifiés par rapport au roman : Jonathan Harker devient Thomas Hutter, Mina Murray devient Ellen, Dracula devient le comte Orlock, Renfield devient Knock<ref>La version française reprend la plupart des noms du roman de Stoker, Orlock redevient Dracula… Mais Wisborg devient Brème et non Londres. Modèle:Lien web.</ref>. Ces modifications ont été motivées par le faible budget dont disposait le film et qui lui interdisait le versement de droits d’auteur. Ensuite, le vampire se présente à Hutter sous la forme d’un loup-garou (ici représenté sous la forme d’une hyène brune), s’inspirant ainsi de L’Invité de Dracula, premier chapitre retiré du roman original et publié sous forme d’une nouvelle quelques années plus tard. Enfin, la lumière du jour peut tuer le vampire (alors que dans le roman, Dracula se promène à Londres, en pleine journée). Néanmoins, la trame narrative est respectée.

Interprétations

Fichier:Wismar Markt Nosferatu 01.jpg
Plaque commémorative à Wismar sur laquelle est visible Schreck dans le rôle d'Orlock.

Le rôle du vampire est interprété par Max Schreck, il s'agit alors de son neuvième film après deux ans de carrière cinématographique. Acteur de théâtre issu de la troupe de Max Reinhardt, il tournera à nouveau pour Murnau en 1924 dans les Finances du grand-duc. Acteur à la morphologie particulière, de grande taille et anguleux, il joue de ce physique en adoptant des gestes raides et lents qui accentuent le caractère horrifique du vampire<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Il apparaît d'abord sous l'apparence du cocher qui conduit le héros du film au château du comte<ref name="Palma-Vezyroglou143">Modèle:Harvsp.</ref>. L'interprétation du comédien fut tellement marquante qu'elle fut à l'origine d'une légende colportée par l'auteur Ado Kyrou qui faisait de Schreck, dont le nom signifie Modèle:Citation en allemand, un authentique vampire<ref name="Palma-Vezyroglou143"/>.

Décors et costumes

Le coproducteur Albin Grau à l'origine du projet de film est aussi décorateur, en réalisant les costumes, les décors, les dessins et le matériel promotionnel, il apporte beaucoup à l'aspect et à l'esprit du film<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Pour l'allure du personnage Nosferatu, il s'inspire des tableaux de Hugo Steiner-Prag, illustrateur du roman de Gustav Meyrink Le Golem<ref name="fiche cineclubdecaen"/>.

Passionné d'occultisme, il imprégna le film de références mystiques et hermétiques. Le souci du détail et de la véracité, allié à ses connaissances occultes le conduit à soigner la lettre de Nosferatu que l'on voit en gros plan seulement quelques secondes<ref>Modèle:Article.</ref>.

Tournage

Fichier:HL Damals – Aegidienkirchhof.jpg
La maison de Hutter à Lübeck en 1909.

Le tournage débute en Modèle:Date- et la plupart des scènes se déroulant dans la ville de Wisborg sont tournées dans les villes de Wismar et de Lübeck. On peut y voir notamment la place du marché de Wismar avec la Wasserkunst et des monuments comme l'église Heiligen-Geist-Kirche ainsi que la Wassertor. C'est au grenier à sel de Lübeck (Salzspeicher), abandonné à l'époque, que furent tournées les scènes où l'on voit la maison achetée par le comte Orlok à Wisborg. D'autres scènes ont été tournées à Lauenburg, Rostock et Sylt.

L'équipe de tournage se déplacera ensuite en Slovaquie, dans les Carpates pour filmer les scènes censées se dérouler en Transylvanie. Le château d'Orava va servir de décor pour le château du comte Orlok. Des lieux situés à proximité du château serviront pour le tournage comme la ville de Dolný Kubín où Hutter fait une halte lors de son voyage, la rivière Váh, où a été tourné le voyage en radeau avec les cercueils. Les Hautes Tatras serviront aussi de décor représentant la Transylvanie<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Martin Votruba, « Nosferatu (1922), Slovak Locations. » Slovak Studies Program, University of Pittsburgh.</ref>.

Les images du film restent un témoignage de l'architecture et du patrimoine de Wismar et de Lübeck car ces villes furent rasées à plus de 85 % lors des bombardements stratégiques durant la Seconde Guerre mondiale, entre 1943 et 1945.

Technique

Murnau a recouru à des effets spéciaux, tels le stop-motion (comme lorsque Nosferatu sort du bateau) ou l'utilisation de l’image en négatif (lors du trajet de la calèche, quand Hutter se rend au château du comte). Le film est originellement teinté. Le jaune est employé pour signifier le jour et la lumière artificielle ; le vert/bleu, la nuit ; et le rose pour le lever ou le coucher du soleil<ref>Modèle:Citation.</ref>. Le film ayant été entièrement tourné de jour, ces couleurs donnent un repère visuel qui complète les indices contextuels (présence de bougies ou de lampes allumées ; indications dans les intertitres).

Musique

La partition de Hans Erdmann étant réputée perdue dans son état d'origine, elle est reconstituée par le musicologue berlinois Berndt Heller et interprétée par un orchestre de chambre pour la première fois le Modèle:Date- au festival de Berlin à l'occasion de la présentation de la copie restaurée sous la supervision de Enno Patalas. La version originale pour orchestre symphonique a, quant à elle, été jouée en Modèle:Date- au Gasteig de Munich par l'Orchestre symphonique de Munich sous la direction de Heller, en accompagnement d'une nouvelle version teintée<ref name="Geutebrück">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Jens Geutebrück, Grabstein für Max Schreck : Nosferatu.</ref>.

C'est cette partition, complétée des dernières découvertes de la musicologue Gillian B. Anderson à la bibliothèque du Congrès en 1994<ref>Nosferatu, eine Symphonie des Grauens sur cinemusic.de.</ref> et interprétée par l'Orchestre symphonique de la radio de Sarrebruck, toujours sous la direction de Berndt Heller, qui accompagne la version restaurée de 2005.

En dehors de la partition de Hans Erdmann, d'autres compositeurs ont proposé une musique originale au film de Murnau :

Accueil

En 1929, à l'occasion d’une ressortie parisienne du film, invisible depuis 1922, les surréalistes s’y rendent en « grande cérémonie ». Georges Sadoul déclare : Modèle:Citation bloc

Cette courte phrase est due au traducteur inconnu de la version française, le carton original allemand signifiant moins poétiquement : Modèle:Citation. Ce carton, Modèle:Citation, a inspiré de nombreux commentaires<ref>Modèle:Lien web.</ref>, notamment sur sa portée prophétique et comme parabole sur le cinéma.

Nosferatu est, selon Jacques Lourcelles, Modèle:Citation bloc

Procès pour plagiat

Directement adapté du Dracula de Bram Stoker<ref>Google livre ACTION ! Anthologie du Cinéma : Tome I - Des Origines à 1929 de Matthieu Blomme, éditions Librinova 2019.</ref>, les libertés apportées au scénario ne parvinrent cependant pas à empêcher le procès intenté par Florence Stoker, la veuve de l'auteur, contre Prana Film (entre 1922 et 1925). En Modèle:Date-, les copies et les négatifs sont détruits. En Modèle:Date-, alors que la British Film Society demande à Florence Stoker de patronner un festival de cinéma à Londres, celle-ci apprend avec stupeur que Nosferatu fait partie des films programmés. Elle engage par conséquent un nouveau procès destiné à défendre ses droits sur l'œuvre de son défunt mari.

En 1928, Universal Pictures acquiert les droits du roman Dracula et les adaptations cinématographiques. Sur demande de Florence Stoker, la copie est expédiée aux États-Unis par la British Film Society pour y être détruite (1929)<ref>Google livre, Vampires ! d'Élisabeth Campos, Richard D. Nolane, éd. les moutons électrique 2016.</ref>.

En 1937, après la mort de Florence Stoker, apparaissent des copies cachées (Allemagne, États-Unis, Angleterre). On assiste en 1960 puis en 1972 à une diffusion en salles de ces copies cachées. En 1984, l'œuvre intégrale est restaurée<ref>Site ombreflets.com, page Modèle:Citation, consulté le 3 juin 2021.</ref>,<ref>Site monfilmculte.com, page Modèle:Citation, consulté le 3 juin 2021.</ref>.

Restauration

La version originale teintée de Modèle:Unité a subi de nombreuses coupes et dégradations dès les années qui ont suivi sa sortie, en raison notamment de la substitution par chaque distributeur des intertitres allemands par des cartons dans la langue de leur pays. Le film a ainsi été principalement exploité dans une version noir et blanc d'environ Modèle:Unité<ref name="Patalas"/>.

Une première restauration a été entreprise en 1981 à l'initiative du Filmmuseum München sous la supervision d'Enno Patalas, à partir de copies partielles noir et blanc, notamment la seconde version française (sortie à Paris le Modèle:Date-) détenue par la Cinémathèque suisse et une version sonore non autorisée par Murnau, agrémentée de scènes supplémentaires par le producteur Modèle:Lien et sortie le Modèle:Date- à Vienne sous le titre Die Zwölfte Stunde (« La Douzième Heure »), conservée par la Cinémathèque française<ref name="Patalas">Enno Patalas, « Unterwegs zu Nosferatu. Vorstellung einer Rekonstruktion » in Filmblatt Modèle:N°, juillet 2002.</ref>. Les intertitres ont été reconstitués d'après une copie de la Modèle:Lien de RDA. Cette version de Modèle:Unité (env. 80 min) a été présentée le Modèle:Date- à la Cinémathèque française<ref name="chiaroscuro">Nosferatu, eine Symphonie des Grauens sur celtoslavica.de.</ref>.

Une copie teintée à l'aide de filtres, dans l'esprit de la version originale, est projetée pour la première fois au festival de Berlin le Modèle:Date-, accompagnée par la musique d'Erdmann<ref name="chiaroscuro"/>,<ref name="Geutebrück"/>.

En 1985, le spécialiste de Murnau Luciano Berriatúa, de la Filmoteca Española, découvre une copie teintée de la première version française dans les archives de la Cinémathèque française. Dégradée et lacunaire, elle sert néanmoins de modèle à une nouvelle copie teintée conforme aux souhaits de Murnau<ref name="Patalas"/>. Cette version de Modèle:Unité (env. 92 min) est projetée pour la première fois du Modèle:1er au Modèle:Date- à la salle Carl-Orff du Gasteig de Munich, toujours accompagnée par la musique d'Erdmann<ref name="chiaroscuro"/>. Elle est diffusée pour la première fois à la télévision le Modèle:Date sur la ZDF à l'occasion du centenaire de la naissance de Friedrich Wilhelm Murnau mais avec une nouvelle partition de Hans Posegga<ref name="Geutebrück"/>.

En 1994, dans le cadre du « projet Lumière » soutenu par la Communauté européenne, la Cineteca de Bologne entreprend un nouveau travail de restauration sous la supervision de Luciano Berriatúa, à partir d'un négatif de la première version teintée de la Cinémathèque française, complété par deux copies nitrates de première génération, d'un négatif de la seconde version et d'un positif de la version de 1930, une copie positive teintée étant finalement tirée selon le procédé mis au point par Noël Desmet de la Cinémathèque royale de Belgique<ref name="Patalas"/>. Cette version, enrichie d'une trentaine de plans sur les 522 (soit plus de Modèle:Unité de pellicule)<ref name="Patalas"/>, est présentée en 1995 au festival de Cannes, au festival Il Cinema ritrovato de Bologne et au London Film Festival<ref name="Geutebrück"/>,<ref name="Patalas"/>.

En 2005, Transit Film, la Fondation Friedrich Wilhelm Murnau et le Filmarchiv des Bundesarchivs financent la numérisation complète du film confiée au laboratoire L'Immagine Ritrovata de Bologne toujours sous la supervision de Luciano Berriatúa. La base principale de cette ultime restauration est la copie nitrate avec intertitres français de 1922 conservée par la Cinémathèque française, complétée par un contretype de 1939 d'une copie tchèque des années 1920 et de la version de 1930 de la Cinémathèque française. La plupart des intertitres et inserts allemands sont issus d'un contretype de 1962 détenu par le Bundesarchiv/Filmarchiv, les manquants ayant été reconstitués par la société berlinoise Trickwilk dans le respect de la typographie originale<ref name="Geutebrück"/>,<ref>Nosferatu, eine Symphonie des Grauens sur filmhistoriker.de.</ref>.

Sorties vidéo

  • Modèle:Date- : Image Entertainment (États-Unis), 80 min (18 i/s), musique de Timothy Howard (orgue), intertitres anglais, copie teintée non originale (transfert du laserdic de 1991)
  • Modèle:Date- : Elite Entertainment (États-Unis), 64 min (24 i/s), musique de Peter Schirmann, intertitres anglais, copie noir et blanc
  • Modèle:Date- : Image Entertainment (États-Unis), 80 min (18 i/s), musiques de Timothy Howard (orgue)/The Silent Orchestra, intertitres anglais, copie teintée non originale (remasterisation du DVD de 1998)
  • Modèle:Date- : Eureka Video (Royaume-Uni), 92 min (18 i/s), musique d'Art Zoyd, intertitres anglais, copies sépia + noir et blanc (restauration de 1981)

Restauration de 1995

  • Modèle:Date- : Film sans frontières (France), 92 min (18 i/s), musique de Galeshka Moravioff, intertitres allemands, copie teintée (restauration de 1995) + 60 min (24 i/s), musique de Galeshka Moravioff, intertitres français, copie noir et blanc (version Atlas années 1950)
  • Modèle:Date- : British Film Institute (Royaume-Uni), 92 min (18 i/s), musique de James Bernard, intertitres allemands, copie teintée
  • Modèle:Date- : Kino Video (États-Unis), 93 min (18 i/s), musiques d'Art Zoyd/Donald Sosin, intertitres anglais, copie teintée

Restauration de 2005

  • Modèle:Date- : MK2 (France), 94 min (18 i/s), musique d'Hans Erdmann, intertitres allemands, copie teintée
  • Modèle:Date- : Eureka Entertainment (Royaume-Uni), 93 min (18 i/s), musique d'Hans Erdmann, intertitres allemands, copie teintée
  • Modèle:Date- : Kino Video (États-Unis), 93 min (18 i/s), musique d'Hans Erdmann, intertitres allemands/anglais, copie teintée

Sources<ref>Home Video : Nosferatu sur Silent Era.</ref>,<ref name="chiaroscuro"/>,<ref>Comparaisons des éditions Image (2001)/Kino Video (2002) et Euréka/Kino Video (2007).</ref>

Le personnage dans Nosferatu

Modèle:Article détaillé Bien qu'inspiré d'un autre personnage, en l'occurrence le comte Dracula du roman Dracula de Bram Stoker, le comte Orlock a marqué les mémoires au point de devenir lui-même une icône du cinéma. C'est ainsi que de nombreux hommages lui ont été rendus, à commencer par le film Nosferatu, fantôme de la nuit de Werner Herzog.

Remakes et influences

Notes et références

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Voir aussi

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Bibliographie

Articles connexes

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Liens externes

Modèle:Liens

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