Océanie proche

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L'Océanie proche (îles en jaune, eaux territoriales en bleu clair).

L’Océanie proche (en anglais : Modèle:Lang) est un concept archéologique, linguistique, géographique et ethnologique de l’Océanie, apparu dans les années 1970. L’Océanie proche comprend la Nouvelle-Guinée, les archipels environnants comme les îles de l’Amirauté, les îles Salomon (à l'exception des îles Santa Cruz à l'est de l'archipel) et, selon les auteurs, Modèle:Refnec. Ce sont des terres généralement proches et souvent visibles les unes des autres, dont le peuplement humain est ancien – de l'ordre de Modèle:Nombre BP.

L'Océanie proche s’oppose, tant sur le plan de la botanique et de la zoologie que du point de vue archéologique, à l’Océanie lointaine, dont le peuplement humain est extrêmement récent – pas avant Modèle:Nombre BP.

Ces dénominations ont été proposées initialement par le linguiste Andrew Pawley et l'archéologue Roger Green<ref>Cf. Pawley & Green 1974.</ref>, et furent reprises ensuite par les géographes et les historiens de cette région. Elles tendent désormais à remplacer les subdivisions traditionnelles (Mélanésie, Micronésie et Polynésie) de cette région, héritées de Dumont d’Urville (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), mais dont la pertinence scientifique n’est plus d’actualité au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Sur le plan de l’histoire naturelle, l’Océanie proche correspond à la plaque dénommée Sahul (en anglais : Modèle:Lang), séparée du reste de l’Asie par la plaque Wallacea et la ligne Wallace.

Elle a été occupée par quatre vagues principales de l'espèce Homo sapiens :

Voir aussi

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Portail