Palairac
Modèle:Infobox Commune de France
Palairac <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française située dans le sud du département de l'Aude en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Libre, le Rivière du Mas de Ségure, le ruisseau du Rémouly, le ruisseau du Moulin et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « Corbières orientales ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Palairac est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1836. Ses habitants sont appelés les Palairacois ou Palairacoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Saturnin, inscrite en 1998.
Généralités
Palairac est la seule commune de ce nom en France, et ne partage donc pas d'homonymie. Le nom de Palairac viendrait de Palarius ou Palearius, nom gallo-romain issu de palearium, grenier à paille, suivi du suffixe acum désignant la villa ou le domaine de Palarius.
Avec ses 25 habitants au recensement de 2004, Palairac est la commune la moins peuplée du canton de Mouthoumet après Salza, mais n'est pas la moindre en superficie, avec Modèle:Unité², elle se situe en neuvième place des 18 communes du canton.
Géographie
Commune des Corbières située au pied du Mont Tauch sur le terroir Corbières (AOC).
Communes limitrophes
Modèle:Carte communes limitrophes
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »<ref>Modèle:Lien web</ref>, au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le Libre, la rivière du Mas de Ségure, le ruisseau du Rémouly, le ruisseau du Moulin, le ruisseau de Chibillière, le ruisseau de Courtillou, le ruisseau de Gournet, le ruisseau de Guilloumet, le ruisseau de l'Abeille, le ruisseau de la Canal, le ruisseau de la Dreille, le ruisseau de la Minierme, le ruisseau de la Peyre, le ruisseau de Laprade,, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
Le Libre, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Orbieu à Saint-Martin-des-Puits, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
La rivière du Mas de Ségure, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le sud-est. Elle traverse la commune et se jette dans rivière Tarrasac à Paziols, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Le ruisseau du Rémouly, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Nielle à Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mouthoumet », sur la commune de Mouthoumet, mise en service en 1989<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, dans le département des Pyrénées-Orientales, mise en service en 1924 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « Corbières orientales »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>, d'une superficie de Modèle:Unité, correspondant à la partie la plus orientale du massif des Corbières audoises. Ce site inclut, dans sa partie la plus orientale, le couloir de migration majeur du littoral languedocien, d'où la présence régulière d'espèces en étape migratoire<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : les « Corbières centrales » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 54 dans l'Aude et 2 dans les Pyrénées-Orientales<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Palairac est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,1 %), prairies (3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Palairac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 8,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 2 sont en aléa moyen ou fort, soit 4 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Palairac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Histoire
Héraldique
Sources historiques
- En 876, Charles II le Chauve fit don au monastère de Lagrasse, des mines de Palayrac, de Couize, de Maisons et de Montgaillard<ref>Bulletin de la Société d'études scientifiques de l'Aude (1921, A30, T27), page 78</ref>.
- En 1283, le roi de France Philippe III le Hardi rencontre à Palairac Jacques II, roi de Majorque, comte de Roussillon et de Cerdagne, et seigneur de Montpellier, pour discuter du ressort de Montpellier ainsi que les autres châteaux et villages de la baronnie. Jacques reconnut par un acte daté du Modèle:Date-, l'appartenance de ces lieux au royaume de France<ref>Histoire générale de Languedoc, tome sixième, page 213</ref>.
- En 1839, les travaux d'exploitation de la mine d'antimoine de la Boussole, commune de Palairac, concédée à la compagnie Paliopy, et dirigés par un ingénieur des mines distingué, ont été mis sur un pied convenable ; ils ont le double but de rendre plus facile et moins coûteux, à l'avenir, les travaux d'exploitation, et bien reconnaître le filon de minerai. Les produits de cette mine, en 1838, ont été 60 000 kilogrammes de minerai brut, qui se sont réduits à 30 000 kilogrammes de sulfure d'antimoine fondu, représentant une valeur de 18 000 francs ; elle a occupé 16 ouvriers<ref>Rapports et délibérations du Conseil général de l'Aude (1839) pages 10 et 11</ref>.
- Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il a été découvert le squelette fossilisé d'un pachyderme (rhinocéros) en décapant un gîte de minerai de fer dans la commune de Palairac. Le squelette, dont les ossements ont été inconsciemment brisés et jetés en remblai par des ouvriers ignorants, une grande partie de la tête a été envoyé au Muséum de Paris<ref>Bulletin de la Société d'études scientifiques de l'Aude (1921, A30, T27), page XCIV</ref>.
- 1877 Palairac - Réseau subventionné<ref>Rapports et délibérations du Conseil général de l'Aude (1877) page 120</ref>:
- Chemin Modèle:N°, de Palairac à Lagrasse. - Entre le village de Palairac et le ruisseau de la Combe, amené Modèle:Unité de l'état de construction à celui d'entretien,
- Construit sur le ruisseau de la Combe, au profit Modèle:N°, un aqueduc de Modèle:Unité d'ouverture et de Modèle:Unité de hauteur,
- Entre les profils nos 1 et 6, construit un mur de soutènement de Modèle:Unité de longueur, sur Modèle:Unité de hauteur moyenne,
- Au profil Modèle:N°, construit également un mur de soutènement de Modèle:Unité de longueur sur Modèle:Unité de hauteur moyenne,
- À la suite de l'entreprise Bergé, fait passer Modèle:Unité de l'état de construction à l'état de viabilité,
- Construit, dans cette même partie, un aqueduc de Modèle:Unité d'ouverture sur Modèle:Unité de hauteur.
Politique et administration
Élus
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut
Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées
Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:ÉluFin
Communauté de communes
Bien que faisant partie du canton de Mouthoumet, la commune a adhéré dès 1995 à la communauté de communes des Hautes Corbières située à Tuchan. La communauté de communes du Massif de Mouthoumet du canton de Mouthoumet n'ayant été créé qu'en 2001.
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 62,5 % d'actifs (62,5 % ayant un emploi et 0 % de chômeurs) et 37,5 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 8 en 2013 et 1 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 9, soit un indicateur de concentration d'emploi de 102,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 31,2 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 9 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 7 travaillent dans la commune, soit 70 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 10 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
Deux établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> seulement relevant d’une activité hors champ de l’agriculture sont implantés à Palairac au Modèle:Date-<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Agriculture
Modèle:Tableau La commune est dans la « Région viticole » de l'Aude, une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>, également dénommée localement « Corbeilles Minervois et Carcasses-Limouxin »<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020Modèle:Note (quatre en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
- Église Saint-Saturnin de Palairac datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. L'Église, y compris les autels et la grille de communion ont été inscrits au titre des monuments historiques en 1998<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Elle se compose de :
- - un porche d'entrée du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
- - une nef du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
- - un transept formé par deux chapelles gothiques des Modèle:S mini- ou Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècles.
- - une abside semi-circulaire du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle qui prolonge le chœur
- - une sacristie refaite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
- - un clocheton refait au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Par ailleurs dans le cimetière, très en pente, une croix de Malte et une croix de mission de 1859 sont dignes d'intérêt.
Les mines de Palairac
Palairac se trouve au centre de la plus importante région minière des Corbières. Le plateau de Lacamp et le Monthaut étaient les sites majeurs de cette zone. Les ingénieurs du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ont recensé près de 300 lieux d'extraction uniquement sur Palairac. Les mines de Palairac et des environs furent l'objet de conflits entre les seigneurs de Termes et l'abbaye de Lagrasse au Moyen Âge<ref>http://www.palairac.com/mines.php</ref>
Personnalités liées à la commune
- Olivier de Termes (1200-1274), seigneur de Termes et de Palairac.
Village fleuri et sentier botanique
Malgré sa modeste existence, Palairac est titulaire depuis 2003 d'une fleur au Concours des villes et villages fleuris
Par ailleurs, Palairac dispose d'un sentier botanique de 40 espèces végétales (méditerranéennes pour la plupart persistantes) qui poussent à l'état naturel, indiquées par 40 balises tout au long d'un sentier de Modèle:Unité, en grande partie ombragé.
Parcours "Découverte des pierres du village"
Neuf pierres sont à découvrir en vous promenant dans les rues du village (vous pouvez demander le prospectus à la mairie ou le consulter sur le site de palairac.com). Ces pierres sont parfois anciennes, parfois récentes et fruit de l’imagination ou du désir du propriétaire. On peut trouver parmi ces neuf pierres, le sceau de Rodolfe Pie de Savoie, maître abbé de Lagrasse au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes
Références
Site de l'Insee
Autres sources
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
- Liste des communes de l'Aude
- Canton de Mouthoumet
- Communauté de communes des Hautes Corbières
- Concours des villes et villages fleuris