Port-au-Prince

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:À sourcer Modèle:Infobox Ville d'Haïti

Port-au-Prince (Modèle:En langue) est la capitale et la plus peuplée des communes d'Haïti, dont l'aire urbaine compterait près de Modèle:Unité (2019) appelés Port-au-Princiens et Port-au-Princiennes. Du point de vue administratif, Port-au-Prince est à la fois le chef-lieu du département de l'Ouest et de l'arrondissement de Port-au-Prince. Modèle:Refnec.

Elle prit le nom de Port-Républicain pendant la Révolution française.

Le Modèle:Date-, la ville a été profondément dévastée par un tremblement de terre de magnitude 7,3.

Géographie

Fichier:View of Port-au Prince from Hotel Montana2.jpg
Vue générale de Port-au-Prince et de sa baie depuis la terrasse de l'Hôtel Montana à Pétion-Ville en 2007.
Fichier:Port au Prince vu depuis l'olofson.jpg
Vue générale de Port-au-Prince depuis l'hôtel Olofsson en 2006.

La commune de Port-au-Prince occupe une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Pdf Population totale, par sexe et population de 18 ans et plus estimées en 2009, au niveau des différentes unités géographiques, institut haïtien de statistique et d'informatique, Modèle:P..</ref> à l'extrémité occidentale de la plaine du Cul-de-Sac, au fond de la baie de Port-au-Prince, qui forme elle-même une partie du golfe de la Gonâve.

Elle jouxte au sud les montagnes de la chaîne de la Selle, où se trouve notamment la banlieue riche de Pétion-Ville.

Port-au-Prince est parcouru par quelques cours d'eau, dont la rivière Bâtarde et la ravine du Bois-de-Chêne.

La ville à proprement parler s'étend sur seize collines : Modèle:Colonnes

Port-au-Prince est également la sous-préfecture de l'arrondissement du même nom regroupant autour de la capitale les communes de l'agglomération, souvent considérées comme banlieues ou zones périphériques. Certaines d'entre elles se sont développées sous forme de bidonvilles situés dans les zones basses marécageuses, dont le plus grand est la Cité Soleil.

Fichier:Cité soleil.JPG
Vue aérienne du bidonville de Cité Soleil.

Communes limitrophes

Démographie

Selon les estimations de l'Institut haïtien de statistique et d'informatique (IHSI), l'aire métropolitaine de Port-au-Prince qui s'entend sur Modèle:Unité (soit le cinquième environ de l'étendue de l'arrondissement de la capitale), comptait en 2019, Modèle:Unité, soit plus de 90 % de celle de l'arrondissement. La population de la seule commune de Port-au-Prince était estimée à Modèle:Unité, population qui est citadine à plus de 97,5 %.

Structures de la population de Port-au-Prince en 2009<ref>Modèle:Pdf Population totale, par sexe et population de 18 ans et plus estimées en 2009, au niveau des différentes unités géographiques, institut haïtien de statistique et d'informatique.</ref>
Section communale Population urbaine Population rurale Population totale
Turgeau 474 702 3 542 478 244
Morne l'Hôpital 138 746 13 359 152 105
Martissant 262 530 4 980 267 510
Port-au-Prince 875 978 21 881 897 859

Histoire

Les régions avant l’arrivée des Européens

Avant l'arrivée de Christophe Colomb, la région qui comprend aujourd'hui Port-au-Prince n'était le site d'aucune habitation permanente. À la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la région était sous le contrôle d'un dirigeant amérindien, Bohéchio, qui, tout comme ses prédécesseurs, craignait que s'installer près du littoral invitât d'autres populations Modèle:Incise à venir les attaquer. La région ne servait donc alors qu'à la chasse.

La colonisation espagnole

Après l'arrivée des Espagnols, les Amérindiens furent bientôt forcés de se soumettre à un protectorat, et Bohéchio, mort sans enfants, laissa la place à Anacaona, sa sœur. Cette nouvelle dirigeante (et poétesse) tâcha de maintenir de bonnes relations avec le nouveau pouvoir sur l'île, mais il devint de plus en plus difficile d'y arriver lorsque les Espagnols commencèrent à demander des tributs de plus en plus importants. Enfin, l'administration coloniale espagnole décida d'éliminer à jamais toute menace que pourrait lui causer la classe dirigeante amérindienne, décidant ainsi de gouverner seule la région. Donc, en 1503, Nicolás de Ovando, alors gouverneur, décida d'en finir avec Anacaona : il l'invita à une fête chez lui ; elle accepta, y vint accompagnée d'autres Amérindiens. Ovando leur donna beaucoup de vin, et lorsqu'ils eurent bu Modèle:Incise il ordonna que l'on tuât tous les invités, à part Anacaona, qu'il voulait faire pendre dans un lieu public.Modèle:Référence nécessaire

Les effets de la colonisation espagnole sur les Amérindiens de cette île furent dévastateurs : de 1492 à 1507, un million d'habitants moururent à cause de la violence des conquistadores et des maladiesModèle:Référence nécessaire.

Après s'être débarrassé d'Anacaona, Ovando établit un village près du littoral (à l'ouest de L’Étang Saumâtre), qu'il baptisa Santa Maria de la Paz Verdadera (« Sainte-Marie de la paix vraie »), un nom bien ironique quand on considère l'histoire de son établissement. Pourtant, ce village ne dura pas longtemps ; il fut brûlé d'abord par des explorateurs français en 1535, puis par des Anglais en 1592. Ces assauts rendirent la vie insupportable pour les Espagnols, et en 1606, ils décidèrent de quitter les lieux.

La domination des flibustiers

Pendant plus de Modèle:Nobr, la région qu'est aujourd'hui Port-au-Prince n’était guère habitée. Enfin, petit à petit des flibustiers vinrent l'utiliser comme une base de leurs opérations, et des marchands hollandais commencèrent à fréquenter la région, car elle était alors une intéressante pourvoyeuse de cuir.

Autour de 1650, des flibustiers français, manquant de place sur l'Île de la Tortue commencèrent à aborder la côte de Haïti. Ils y établirent une colonie à Trou-Bordé qui commença à s'étendre. Ils installèrent alors un hôpital non loin de la côte, sur les hauteurs Turgeau. Cela les amena à appeler la région : L'Hôpital.

Bien qu'il n'y ait eu alors aucune vraie présence espagnole à Hôpital depuis bien plus de Modèle:Nobr, l'Espagne conservait sa revendication sur le territoire, et la présence ostensiblement grandissante des flibustiers français sur des terres espagnoles provoqua l'envoi par la couronne d'Espagne de soldats castillans vers la colonie pour tenter de la reprendre. La mission se révéla un désastre pour ces derniers, en infériorité numérique et en armement. En 1697, lors de la signature du traité de Ryswick, le gouvernement espagnol renonça à toutes ses revendications sur la partie occidentale de Saint-Domingue et donc Hôpital. À peu près à la même époque, les Français établirent également des bases sur Ester (à Petite-Rivière) et aux Gonaïves.

L'Ester était un village riche, habité par des marchands, avec des rues droites ; c'était la demeure du gouverneur. Par ailleurs, la région environnante, La Petite Rivière, était assez pauvre. À la suite d'un grand incendie en 1711, L'Ester fut abandonné. Pourtant la présence française dans la région continua de croître, et peu après une nouvelle cité fut fondée au sud : Léogâne.

La région qui devait plus tard abriter Le Port-au-Prince était habitée par des flibustiers. Alors que la région devenait une vraie colonie française, l'administration coloniale en vint à se préoccuper de la présence continuelle de ces pirates. Bien qu'utiles pour repousser les velléités anglaises de rogner le territoire français, ils étaient assez indépendants, n'obéissaient à aucun ordre de l'administration coloniale, et étaient une menace pour celle-ci. Pendant l'hiver 1707, le comte François Joseph de Choiseul-Beaupré (1650-1711), gouverneur de la région, chercha ainsi à se débarrasser de ce qu'il considérait comme une menace. Il insista pour obtenir le contrôle de l'Hôpital, ce que les flibustiers refusèrent, considérant cette demande comme une humiliation. Ils préférèrent alors fermer l'hôpital, plutôt que de le céder au gouverneur, et nombre d'entre eux devinrent habitants de l'île, fermiers, les premiers habitants européens stables de la région.

La fondation du Port-au-Prince

Bien que l'élimination des flibustiers d'Hôpital, comme groupe, renforçât l'autorité de l'administration coloniale, elle rendit également la région plus vulnérable aux attaques anglaises. Afin de protéger celle-ci, le capitaine de Saint-André arriva dans la baie à bord du vaisseau nommé Le Prince, juste sous l'hôpital. Saint-André nomma l'endroit « Le Port du Prince », même si le port et la région continuaient à être connus sous le nom d'Hôpital (les îlots de la baie étaient néanmoins déjà nommés îlots du Prince)<ref>Modèle:OuvrageModèle:Début citation« Le nom de la ville […] lui vient d'un vaisseau nommé le Prince, qui mouilla dans la baie en 1706. » […] C'est inexact. […] les îlets qui sont dans la rade de Port-au-Prince portaient authentiquement le nom d'Îlets du Prince dès 1680, c'est-à-dire 26 ans avant que le navire le Prince, commandé par Modèle:Abbr de Saint-André, ne fût venu prendre mouillage sur cette rade.Modèle:Fin citation.</ref>.

Les Anglais n'attaquèrent pas l'endroit, et plusieurs nobles recherchèrent des concessions de terre de la couronne française à Hôpital ; le premier habitant à s'installer en ce lieu fut le sieur Joseph Randot. À sa mort en 1737, le sieur Pierre Morel le partagea avec Gatien Bretton des Chapelles.

À ce moment, l'administration coloniale s'était convaincue de la nécessité d'établir une capitale, afin de mieux diriger la partie française de Saint-Domingue. Le Petit Goâve et Léogane prétendirent quelque temps à cette fonction mais n'ont pas été retenues. En effet, elles ne se trouvaient pas en position centrale dans la colonie, le climat du Petit Goâve était trop sujet au paludisme, enfin la topographie de Léogane rendait sa défense difficile. Une nouvelle capitale, siège du conseil supérieur de la colonie, devait être construite.

Le Port au Prince fut ainsi fondé en 1749 par les colons français, habitants sucriers sur l'habitation Randot, au Bel-air ; puis elle s'étendit assez vite. En 1770, elle remplaça Le Cap-Français comme capitale de la colonie de Saint-Domingue, mais fut détruite par un séisme le Modèle:Date-.

Pendant la Révolution française, elle fut rebaptisée « Port-Républicain » le Modèle:Date.

L'armistice du 30 mars 1798 permit au général de division Toussaint Louverture de régler les détails de la retraite de l'armée anglaise de Saint-Domingue<ref>Alain Yacou, Saint-Domingue espagnol et la révolution nègre d'Haïti (1790-1822), Modèle:P..</ref>, avant l'entrée triomphale du général noir et de son armée d'ex-esclaves dans Port-au-Prince le Modèle:Date-<ref name="gb">Modèle:Ouvrage.</ref>. L'armistice avait pour objectif les négociations par lesquelles il fut décidé que les Anglais quitteraient leur dernier bastion, le Môle-Saint-Nicolas, le Modèle:Date-.

Après l'échec de l'expédition de Saint-Domingue de 1802, la ville devint en 1804 la capitale du nouveau pays indépendant : Haïti ; l'empereur haïtien Jean-Jacques Dessalines dit Jacques {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} lui rendit le nom de Port-au-Prince. Il fut tué le Modèle:Date, à Pont-Rouge, situé à l'entrée nord de la ville. Lorsque Haïti se partagea en royaume (au nord) et république (au sud), Port-au-Prince devint la capitale de la république sous Alexandre Pétion.

Le séisme de 2010

Modèle:Article détaillé

Fichier:Haitian national palace earthquake.jpg
Le Palais national après le séisme du Modèle:Date-.
Fichier:Aerial view of Haitian National Cathedral from Global Hawk 2010-01-14.jpg
Vue aérienne de la cathédrale Notre-Dame après le séisme du Modèle:Date-.

Par le passé, Port-au-Prince a déjà été détruit par de nombreux séismes notamment ceux de 1751 et 1770. D'autres moins importants ont également été recensés en 1860, 1918, 1922, 1956 et 1962<ref>article over-blog.com.</ref>.

Celui du Modèle:Date- à Modèle:Heure, heure locale (Modèle:Heure UTC), est particulièrement dévastateur et meurtrier. Son épicentre, d'une magnitude de 7,3<ref>Modèle:Lien brisé.</ref> se trouvait à une dizaine de kilomètres à l'ouest de Carrefour, un faubourg de la capitale. Le centre-ville a été ravagé et de nombreux bâtiments publics ont été détruits, dont : la cathédrale, le Palais national, le parlement, l'hôtel de ville, le palais de justice, plusieurs ministères et ambassades, ainsi que le siège de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH)<ref>Port-au-Prince dévastée par un puissant séisme (Romandie news).</ref>.

Au Modèle:Date-, le Premier ministre haïtien parlait de plus de Modèle:Unité (source : CNN). Au Modèle:Date-, environ Modèle:Unité avaient été enterrés dans des fosses communes et l'armée américaine avançait la possibilité de Modèle:Unité. Au Modèle:Date-, le Premier ministre haïtien, Jean-Max Bellerive annonce que le séisme avait fait Modèle:Unité et Modèle:Nombre, en plus de Modèle:Nobr de sans-abri, des données beaucoup plus élevées que celles de l'ONU, dont le bilan officiel est de plus de Modèle:Unité<ref>Un an après le séisme, Haïti se souvient, Radio Canada, Modèle:Date-.</ref>.

Un second tremblement de terre<ref>Un nouveau séisme de magnitude 6 frappe Haïti, nouvelobs.com</ref>,<ref>Haïti : nouveau séisme de magnitude 6,1, france-info.com</ref> d’une magnitude de 6,1 survient le Modèle:Date- à Modèle:Heure, heure locale. Son hypocentre est situé approximativement à Modèle:Unité à l'ouest de Port-au-Prince, et à moins de dix kilomètres sous la surface.

En date du Modèle:Date-, Marie-Laurence Jocelyn Lassegue, ministre des Communications, confirme un bilan (provisoire) de Modèle:Unité, Modèle:Unité et Modèle:Nobr de sans-abris<ref>http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2010/02/10/004-haiti_bilan.shtml Nouvelles de Radio-Canada.</ref>. Étant donné qu'il sera impossible de déblayer tous les gravats à courte échéance, les autorités haïtiennes envisagent alors de reconstruire plusieurs quartiers de Port-au-Prince aux alentours de la capitale haïtienne. Le Modèle:Date-, le coût de reconstruction de la capitale haïtienne et de ses environs est estimé entre Modèle:Nobr de dollars.

Le Modèle:Date-, le président Préval signe un arrêté d’expropriation du centre ville afin d'y installer les sièges des institutions publiques. La zone ainsi formée constitue un quadrilatère délimité au Nord par la rue des Césars jusqu'au port, au Sud par la rue Saint-Honoré, à l’Est par la rue Capois et à l’Ouest par la mer et la baie<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En juillet 2022, la presse internationale évoque les affrontements entre gangs qui occasionnent plusieurs dizaines de morts dans la capitale. Les rafales d'armes automatiques retentissent à longueur de journée à Cité Soleil, commune la plus défavorisée et la plus densément peuplée de l'aire métropolitaine : deux factions de gangs s'y affrontent sans que la police, en manque d'hommes et d'équipements, n'intervienne<ref>Port-au-Prince s'enfonce dans la violence: 89 morts dans des affrontements entre gangs, boursorama.com, 14 juillet 2022</ref>.

Administration

La commune de Port-au-Prince est composée de trois sections communales :

Liste des maires

Modèle:Article détaillé

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin

Codes postaux

Ils varient selon les quartiers : Modèle:Colonnes

Patrimoine

Fichier:Palacio presidencial de Haiti.jpg
Le Palais national, avant sa destruction par le tremblement de terre du 12 janvier 2010.
Fichier:Villa Manrèse à Port au Prince.jpg
La Villa Manrèse avant sa destruction à la suite du séisme de 2010.

Les principaux monuments sont :

La plupart de ces bâtiments ont été soit gravement endommagés, soit détruits par le séisme du Modèle:Date-<ref>Voir une liste non exhaustive élaborée par haiti-reference.com.</ref>. Leur reconstruction, restauration ou destruction définitive est l'un des enjeux patrimoniaux actuels de Port-au-Prince.

Transports

Les transports urbains sont essentiellement assurés par des Tap-tap, nom donné aux taxis collectifs très répandus dans le pays. Cependant, la désorganisation des transports publics qui s'est aggravée à la suite du séisme, a incité un certain nombre de chauffeurs à adopter des dérives en infractions avec la réglementation. Les pouvoirs publics réfléchissent à ce jour à la mise en place d'un véritable réseau d'autobus dans la capitale, destiné à se substituer au tap-tap<ref>« Le grave problème du transport en commun à Port-au-Prince » sur hpnhaiti.com.</ref>.

Port-au-Prince est desservi par l'aéroport international Toussaint Louverture qui est le principal aéroport haïtien.

Le port international de Port-au-Prince, géré par l'Autorité Portuaire Nationale, constitue également le plus important complexe portuaire Haïtien.

Économie

Port-au-Prince exporte principalement du café et du sucre. De plus, elle produit dans ses usines de la soupe, du textile et du ciment.

Culture

Festivals

Musées

Spiritualité

  • Congrégation des Sœurs de Sainte-Anne<ref>Croteau, O. (2019, mai 10). Les Sœurs de Sainte-Anne vendent 150 ans d’histoire. Journal Métro. https://journalmetro.com/actualites/2319911/vendre-150-ans-dhistoire-pour-les-soeurs-de-sainte-anne/</ref>.

Personnalités liées à Port-au-Prince

Naissance à Port-au-Prince

Modèle:Colonnes

Décès à Port-au-Prince

Autre

Jumelages

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Bibliographie

  • Dingan' Bazabas, Du marché de rue en Haïti : le système urbain de Port-au-Prince face à ses entreprises d'espace-rue, L'Harmattan, Paris, Montréal, 1997, 124 p. Modèle:ISBN
  • Anne-Marie Colomé, Cité soleil à Port-au-Prince, Éd. l'Harmattan, Paris, Montréal, 1997, 184 p. Modèle:ISBN
  • Georges Corvington, Port-au-Prince au cours des ans (1) : La ville coloniale : 1743-1789, H. Deschamps, Port-au-Prince, 1975, 213 p.
  • Georges Corvington, Port-au-Prince au cours des ans (2) : Sous les assauts de la Révolution : 1789-1804, H. Deschamps, Port-au-Prince, 1972, 250 p.
  • Georges Corvington, Port-au-Prince au cours des ans (3) : La métropole haïtienne du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : 1804-1888, H. Deschamps, Port-au-Prince, 1975, 318 p.
  • Georges Corvington, Port-au-Prince au cours des ans (4) : La métropole haïtienne du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : 1888-1915, H. Deschamps, Port-au-Prince, 1977, 326 p.
  • Georges Corvington, Port-au-Prince au cours des ans (5) : la Capitale d'Haïti sous l'Occupation 1915-1922, H. Deschamps, Port-au-Prince, 1984, 317 p.
  • Georges Corvington, Port-au-Prince au cours des ans (6) : la capitale d'Haïti sous l'occupation 1922-1934, H. Deschamps, Port-au-Prince, 1987, 322 p.
  • Natacha Giafferi-Dombre, Une ethnologue à Port-au-Prince : question de couleur et luttes pour le classement socio-racial dans la capitale haïtienne, L'Harmattan, Paris, 2007, 292 p. Modèle:ISBN (texte remanié d'une thèse de doctorat d'Anthropologie soutenue à Aix-Marseille en 2003)
  • Nathalie Lamaute-Brisson, L'économie informelle en Haïti : de la reproduction urbaine à Port-au-Prince, L'Harmattan, Paris ; Innoval, Dunkerque, 2002, réimpr. 2004, 318 p. Modèle:ISBN (texte remanié d'une thèse de doctorat de Sciences économiques soutenue à Paris 10 en, Port-au Prince (1915-1956) : modernisation manquée : centralisation et dysfonctionnements, Université de Toulouse-Le Mirail, 2007, 635 p. (thèse de doctorat d'Histoire)
  • López Hernández, Ignacio J. "Fundar para defender: fortificación y geoestrategia en Saint-Domingue entre 1665 y 1748", Gladius, Vol 39, 2019, pp. 147-168. Modèle:ISSN

Filmographie

  • Dlo, dlo, dlo : eau potable dans les quartiers défavorisés de Port-au-Prince, film documentaire, CAMEP, GRET, AFD, 2009, 52 min (DVD)

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail