Quéant

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{{#invoke:Bandeau|ébauche}} Modèle:Infobox Commune de France

Quéant est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe Modèle:EPCI-pop1 communes et compte Modèle:Nombre en Modèle:EPCI-pop1. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Cette commune à proximité de Marquion (Modèle:Unité), se situe au centre du triangle formé par Arras (Modèle:Unité), Cambrai (Modèle:Unité), et Bapaume (Modèle:Unité). Elle se situe également au centre du triangle formé par les autoroutes A1-A2-A26.

Modèle:Carte interactive

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes : Modèle:Communes limitrophes

Paysages

Modèle:Article connexe La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)<ref group=Note>La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent Modèle:Nobr.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ce paysage régional, qui concerne Modèle:Nombre, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent Modèle:Pourcentage de la surface agricole utilisée (SAU)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Hydrographie

Le territoire de la commune est traversé par le ruisseau L'Hirondelle de Vaulx-Vraucourt qui prend sa source à Vaulx-Vraucourt, traverse le village de Noreuil et avant d'atteindre celui de Quéant. L'Hirondelle parcourt une quinzaine de kilomètres<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Urbanisme

Typologie

Quéant est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,6 %), zones urbanisées (6,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

Transport ferroviaire

Modèle:Article connexe

De 1880 à 1969, la commune est desservie par une ancienne ligne de chemin de fer, la ligne de Boisleux à Marquion.

Toponymie

Modèle:… Le nom de la localité est attesté sous les formes Chaun (XIe siècle) ; Chaom (1115) ; Chaum (1145) ; Cheun (XIIe siècle) ; Kéans (1230) ; Keiam (1237) ; Keians (1279) ; Kéam (1293) ; Kian (1294) ; Kyan (1298) ; Kiant (1295) ; Kyam (1312) ; Kyan (1313) ; Kyant (1323) ; Quéans (1324) ; Quéant (XVe siècle) ; Quéam (1720) ; Quéan (1739)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Histoire

L'histoire de la commune de Quéant peut être consultée dans le Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais paru en 1873, en cliquant sur le lien ci-après <ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La seigneurie dépendit de façon chronologique, des Créqui, des Boudi, puis des Despretz<ref>données sur Quéant du site www.quid.fr</ref>.

Carte de Cassini

Fichier:Quéant Cassini.jpg
Carte de Cassini du secteur vers 1750.

La carte de Cassini ci-dessus montre qu'au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Quéant était une paroisse traversée par le ruiiseau L'Hirondelle.
Au nord , le château est représenté.
Au sud, un moulin à vent en bois aujourd'hui disparu était en activité à cette époque .
Le bois Gillé n'existe plus de nos jours, ainsi que la chapelle représentée au nord-est.

Première Guerre mondiale

Après la bataille des Frontières du 7 au 24 août 1914, devant les pertes subies, l'État-Major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Dès le 28 août, les Allemands s'emparent du village de Quéant et poursuivent leur route vers l'ouest. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en septembre 1918. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.
En mars 1917, les Allemands décident de se retirer sur la Ligne Hindenburg, ligne fortifiée située à seulement 1 km à l'ouest devant Lagnicourt. Ce système qui comprend un important réseau de barbelés, de bunkers, de postes de mitailleuses et qui s'appuie sur les constructions non détruites des villages à l'arrière, résistera aux assauts incessants des alliés jusqu'au 2 septembre 1918, date du percement de la ligne Hindenburg entre Drocourt et Quéant par la première Division canadienne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Evacué de ses habitants en 1917, le village subit de nombreux dégats à la suite des bombardements.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 le Modèle:Date-<ref>http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf</ref>.
Alors commença une longue période de reconstruction de l'église, de la mairie, des routes et des habitations.

Politique et administration

Fichier:Quéant - Mairie.JPG
La mairie.

Découpage territorial

Modèle:Article connexe La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités

Modèle:Article connexe La commune est membre de la communauté de communes Osartis Marquion.

Circonscriptions administratives

Modèle:Article connexe La commune est rattachée au canton de Bapaume.

Circonscriptions électorales

Modèle:Article connexe Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

Modèle:Article connexe

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 37,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 18,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 53,45 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Quéant Eglise.jpg
L'église Saint-Léger.
Fichier:Quéant Monument.jpg
Le monument aux morts.

Église Saint-Leger, reconstruite en 1918, incluant une dalle funéraire du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Vitraux de Julien Vosch de 1931.

Anciens souterrains d'une ampleur exceptionnelle, qui comporte des chambres de stockages et des chambres d'habitation. Il n'y a pas moins de 80 salles, pour la plupart aménagées pendant la Seconde Guerre mondiale.

Cimetière militaire britannique (1914-1918) Queant Communal Cemetery British Extension où reposent Modèle:Nombre britanniques dont le major-général L.J. Lipsett<ref>CWGC.org</ref>.

Commerces & activités

Pharmacie, café-tabac, garage, coiffeur. Salle des fêtes (location) et stade. Dépôts frigorifiques SAFA.

Personnalités liées à la commune

Modèle:…

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Pour approfondir

Bibliographie

Modèle:Plume

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail