Quesnoy-sur-Airaines
{{#invoke:Bandeau|ébauche}} Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Quesnoy-sur-Airaines est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France. Modèle:Sommaire
Géographie
Village picard situé à l'est d'Airaines, il est longé par l'ex-RN 336 (actuelle RD 936) qui relie Amiens au Tréport.
Communes limitrophes
Transports routiers
La localité est desservie par la ligne d'autocars Modèle:N° (Mers-lès-Bains - Oisemont - Amiens) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Quesnoy-sur-Airaines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,3 %), forêts (14,9 %), zones urbanisées (2,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le village s'est appelé Casneium en 1200, Quisnoy en 1217, Le Kaisnois en 1219, Caisnoy en 1301, Quennoy en 1423, Quesnoy sur Airaines en 1507, Quesnoy super Arenas en 1637, Quesnoy souls Airaines en 1644, Le Quesnoy en 1646, Caisnon en 1648, Le Quennoy en 1696, Le Quenoi sur Airaines en 1733, Quesnoy les Airaines en 1791 et Quesnoy-sur-Airaines<ref name="Sitecom"/>.
Comme pour les localités homonymes, la dénomination Quesnoy provient du mot « chêne » qui se dit « quesne » en picard et « casnus » en latin<ref name="Sitecom"/>.
Histoire
Antiquité
On a retrouvé des traces de présence romaine, liées à la voie romaine reliant Amiens à Saint-Valery-sur-Somme, ainsi que d'une occupation mérovingienneModèle:Refnec.
Féodalité
La famille d'Ant, première propriétaire connue du village, a disparu avec Antoine d'Ant. Elle s'est alliée à celle des Le Fort qui elle-même en a rendus maîtres les Leroy Valanglart. Très ancienne, la famille des Queret de Rionville a donné, en l'an 1500, un maréchal de France ; elle a aussi disparu<ref name="Sitecom">Site communal.</ref>.
Seconde Guerre mondiale
Après leur capture à Airaines et l'exécution de leur capitaine N'Tchoréré, une cinquantaine de tirailleurs sénégalais du [[53e régiment d'infanterie coloniale|Modèle:53e d'infanterie coloniale mixte sénégalais]] furent massacrés le Modèle:Date sur le territoire communal<ref>Scheck, R. (2007). Une saison noire. Les massacres de tirailleurs sénégalais. Mai-juin 1940. Paris : Tallandier. pp.46-47.</ref>. Deux plaques commémorent ces faits.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Molliens-Dreuil<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton d'Ailly-sur-Somme.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes du Sud-Ouest Amiénois, créée en 2004.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du Modèle:Date-, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Unité, la préfète de la Somme propose en Modèle:Date- un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de Modèle:Unité regroupant 120 communes<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en Modèle:Date-<ref>Modèle:Article.</ref>, la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion<ref>Modèle:Article.</ref>.
La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Poix-de-Picardie en est le siège.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section
Enseignement
Le village possède son école primaire. La compétence scolaire est gérée par la communauté de communes.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château médiéval, pris et rasé par Jean de Luxembourg en 1422, fut reconstruit en 1682 par le sire de Moyenneville. Il comprend un corps de logis en brique flanqué de deux ailes en pierre, un avant-corps central en rotonde précédé d'un perron, des écuries en pierre de taille du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> et une glacière ainsi qu'un parc<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- L'église Saint-Michel, du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, avec son cadran solaire.
- Chapelle du cimetière, sur la route de Tailly, à deux kilomètres du village. Toute en pierre et ardoise, très épurée<ref name=AG>Modèle:Ouvrage Modèle:ASIN.</ref>.
-
L'église Saint-Michel.
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L'ancienne mairie devenue bibliothèque.
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Le clocher.
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Appareillage de silex à l'église.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site municipal officiel(le site ne fonctionne pas)
- Quesnoy-sur-Airaines sur le site de l'Institut géographique national
- MemorialGenweb Quesnoy-sur-Airaines : monument aux morts et stèles commémoratives 1939-1945 avec photo
- Modèle:Lien web.