Radicaux italiens

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Les Radicaux italiens (Modèle:En lang, RI) sont un parti politique italien, fondé en 2001.

Cependant, ce mouvement est aussi l’héritier direct de deux autres partis précédents, depuis 1955 :

Les Radicaux italiens, sont fondés en 2001, en tant que section italienne du Parti radical transnational (jusqu'en 2017). Il se considère comme un « mouvement libéral, libériste, libertaire, sujet du Parti radical transnational »Modèle:Référence nécessaire.

Bien que très minoritaire dans le jeu politique italien, le parti a eu une influence déterminante sur de nombreuses questions de société, notamment l'autorisation de l'avortement en Italie. Il a également été associé à de nombreuses initiatives provocatrices destinées dans l'esprit de ses dirigeants à faire avancer la société, comme la présence de la Cicciolina (élue au parlement en 1987 sous l'étiquette du Parti de l'amour) parmi ses cadres. Radio Radicale fondée en 1976 et que le gouvernement italien juge d'intérêt général pour la politique, dispose d'une audience et d'une influence qui dépasse les résultats électoraux du parti auquel elle est liée.

Son dirigeant historique est Marco Pannella, député européen. La personnalité la plus marquante en est Emma Bonino.

Ce parti a longtemps eu pour symbole la Rose au poing, empruntée au Parti socialiste français.

Il fait partie du Parti de l'Alliance des libéraux et des démocrates pour l'Europe depuis Modèle:Date-.

Histoire

Fondation

Modèle:Article détaillé

En Modèle:Date-, quelques mois après la victoire de Silvio Berlusconi aux élections générales, le Modèle:Citation de l'ancien Parti radical se réunit à Rome et valide la création d'un nouveau parti qui prend le nom de Modèle:Citation. Le parti est donc refondé sous ce nom le Modèle:Date.

{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} Congrès (2004) à Rome

Pour fêter son cinquantennaire, les Radicaux ont tenu leur {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} congrès à Rome du Modèle:Date- au Modèle:Date-, en saluant Modèle:Nombre de vie et de luttes politiques, la plus longue expérience libérale dans l'histoire de l'Italie unifiée, la seule à ne pas avoir changé de nom en soixante ans (d'après les Radicaux). Ce congrès rappelle son soutien aux Congrès transnationaux de Genève et de Tirana, basés sur le lancement d'une campagne pour l'Organisation mondiale de la et des Démocraties, priorité politique du Parti radical.

Il affiche son éloignement de la Casa delle Libertà et de L'Olivier auxquels il ne veut pas s'allier. Il rejoint néanmoins peu après la coalition de droite, ce qui entraîne la scission des Radicaux de gauche.

Une scission de gauche, I Radicali di Sinistra, apparaît en 2004 et effectue son premier congrès en 2005.

En 2005, il s'allie pour les élections de 2006 dans l'alliance de la Rose au poing avec les Socialistes démocrates italiens, dans un mouvement laïc, libéral, socialiste et radical qui obtient 2,5 % des voix et Modèle:Nombre (mais aucun sénateur). Pour les élections générales italiennes de 2008, insérés sur les listes du Parti démocrate, il obtient trois sénateurs et six députés (un accord électoral prévoyait 9 parlementaires en position éligible et un ministre Emma Bonino en cas de victoire).

{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IVe{{#if:|  }} }} Congrès (2006) à Padoue

La motion générale qui l'emporte, défendue par Daniele Capezzone et Rita Bernardini, provoque l'entrée aux côtés de l'Union au sein de la formation électorale de la Rose au poing, qui unit les radicaux et les Socialistes démocrates (du 2 au Modèle:Date-). Ce changement de coalition a d'ailleurs entraîné la création d'une autre scission, de droite cette fois : les Réformateurs libéraux - Radicaux pour la liberté, qui ont obtenu un député, élu sur les listes de Forza Italia.

2007-2008

Fichier:Radicaux italiens logo.png
Ancien logo des Radicaux italiens

Fin 2007, Marco Pannella discuta avec le [[Tenzin Gyatso|Modèle:14e Dalaï Lama]] de l'initiative du Parti radical italien pour décréter 2008 l'année du Premier Satyagraha Mondial pour la Démocratie, la Justice et la Liberté. Le Satyagraha est une philosophie et une pratique de résistance non-violente développée par le dirigeant indien spirituel et politique Mohandas Gandhi.

Le [[Tenzin Gyatso|Modèle:14e Dalaï Lama]] et le premier ministre du gouvernement tibétain en exil, le Modèle:Pr Samdhong Rinpoché, ont exprimé leur reconnaissance pour cette initiative, remarquant qu'aucun autre parti politique n'avait jamais soutenu un telle approche gandhienne et non-violente<ref>European Parliament member Marco Pannella Meets His Holiness</ref>.

{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIIe{{#if:|  }} }} Congrès (2008)

Le {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIIe{{#if:|  }} }} Congrès s'est tenu à Chianciano Terme du Modèle:Date- au Modèle:Date-. Il a notamment approuvé les communications du secrétaire et du trésorier. Il constate que le congrès se déroule dans une période particulièrement difficile et dramatique de la politique italienne, avec des situations de fait, le triomphe de l'arbitraire, de pouvoirs oligarchiques, corporatistes, corrompus et corrupteurs, si ce n'est criminels. Il constate la désertification de la légalité républicaine. De telles considérations ont été adressées aussi bien par le mouvement des Radicaux italiens que par le Parti radical non-violent, transnational et transparti au Président de la République italien, qui y a répondu. Le Congrès constate qu'il a fallu Modèle:Nombre pour élire le juge manquant à la Cour constitutionnelle et que le fonctionnement de la Commission de surveillance de la radio et télévision est toujours empêché par la non-désignation de son président.

En 2008 ({{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIIe{{#if:|  }} }} congrès), sa secrétaire était Modèle:Lien, son trésorier Michele De Lucia et son président Modèle:Lien. En 2007, après le {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IVe{{#if:|  }} }} congrès (2006), la secrétaire est Rita Bernardini ; la trésorière est Modèle:Lien et la présidente est Modèle:Lien. En 2004, son président était Luca Coscioni, son secrétaire Daniele Capezzone (qui a rejoint depuis Le Peuple de la liberté) et la trésorière était Rita Bernardini.

{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Xe{{#if:|  }} }} Congrès

Le dixième congrès se déroule à Chianciano Terme entre le Modèle:Date- et le Modèle:Date-, selon une tradition annuelle désormais bien établie (congrès annuel la semaine de la Toussaint). Il confirme pour la seconde année consécutive les postes de Mario Staderini comme secrétaire des Radicaux italiens, dont il est le responsable politique. Michele De Lucia en est le trésorier et Silvio Viale le président.

{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIe{{#if:|  }} }} Congrès (2012)

Le onzième congrès des Radicaux se déroule à Rome du Modèle:1er au Modèle:Date-.

Lors des élections générales italiennes de 2013, les Radicaux présentent une liste Amnistie, Justice, Liberté qui ne recueille que Modèle:Nombre (0,20 %) au Sénat et Modèle:Nombre (0,19 %) à la Chambre, ce qui met fin à sa représentation parlementaire.

Modèle:…

{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XVIIe{{#if:|  }} }} Congrès (2018)

Le Modèle:17e Congrès se déroule du Modèle:1er au Modèle:Date-. Il aboutit à l’élection de trois femmes dirigeantes : Silvja Manzi, comme secrétaire du parti, responsable politique du mouvement et représentante légale qui convoque le congrès annuel, Antonella Soldo, trésorière du parti et Barbara Bonvicini, la présidente du parti<ref>[https:www.repubblica.it/politica/2018/11/04/news/manzi_nuova_segretaria_di_radicali_italiani_pochi_ma_pronti_a_grandi_battaglie_per_l_europa_-210782247/]</ref>.

Résultats électoraux

Les résultats suivants sont ceux de l'ancien parti radical (jusqu'en 1989), de la Modèle:Lien (1992-1999) puis du parti actuel. Pour les élections générales de 2006, il s'agit de la coalition Rose au poing avec les Socialistes démocrates italiens.

Élections générales

Année Chambre des députés Sénat Rang Gouvernement
Voix % Mandats % Mandats
2006 990 694 2,60 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 2,49 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:7e Prodi II
2008 avec le PD Modèle:Infobox Parti politique/Sièges avec le PD Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Opposition
2013 64 732 0,2 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 0,2 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:19e Letta (2013-14)
2018 au sein d'+E Modèle:Infobox Parti politique/Sièges au sein d'+E Modèle:Infobox Parti politique/Sièges

Parlement européen

Année Voix % Sièges Rang Groupe
2004 731 536 2,3 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:9e ADLE
2009 743 284 2,4 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:8e

Notes et références

<references />

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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