Rivière Saguenay

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Géographie

Fichier:Saguenaymap.png
Carte du bassin hydrographique de la rivière Saguenay

Le Saguenay prend son origine dans le lac Saint-Jean, immédiatement après la pointe des Américains, à Alma. Il est alors divisé en deux : la Petite et la Grande Décharge, sur laquelle est construit le barrage Isle-Maligne<ref>Environnement et Lutte contre les changements climatiques - Expertise hyrique et barrages - Barrage Isle-Maligne</ref>. Lîle formée par ces deux cours d'eau constitue une partie de la municipalité d'Alma<ref>Site Internet de la ville d'Alma</ref>. À cet endroit, l'eau est douce. Trois ponts traversent la Petite Décharge et deux autres traversent la Grande Décharge. C'est lorsque ces deux cours d'eau se rencontrent, à la pointe des Américains, que le Saguenay débute véritablement. Il commence son cours sous la forme d'un réservoir de plusieurs kilomètres de long, ayant bien peu à voir avec l'aspect parsemé de rapides et de puissantes chutes qu'avait la rivière avant l'érection des barrages.

À la hauteur de Shipshaw, le Saguenay se divise à nouveau en deux. Sur le cours d'eau nord, on retrouve la centrale hydroélectrique de Shipshaw<ref>Environnement et Lutte contre les changements climatiques - Expertise hyrique et barrages - Barrage Shipshaw</ref> et, du côté sud, la centrale de Chute-à-Caron<ref>Environnement et Lutte contre les changements climatiques - Expertise hyrique et barrages - Barrage Chute-à-Caron</ref>. C'est à cette hauteur que se trouve le pont d'Aluminium.

Entre Chicoutimi et Jonquière, les deux déversoirs des barrages se rejoignent pour former le Saguenay tel qu'il est le mieux connu. Il devient accessible à la navigation à cette hauteur. D'ailleurs, Chicoutimi signifie « jusqu'où c'est profond »<ref>Pierre-Georges Roy, Les Noms géographiques de la province de Québec, Lévis, Le Soleil, 1906, Modèle:P..</ref> en montagnais. Dans le centre-ville de Chicoutimi, on retrouve le pont Dubuc et le pont de Sainte-Anne.

Un peu plus en aval, à la hauteur de Saint-Fulgence, le fjord du Saguenay débute face à la flèche littorale.

Il s'agit de la démarcation entre l'eau douce et l'eau salée. À la hauteur de Tadoussac, un traversier assure la liaison entre Tadoussac et Baie-Sainte-Catherine.

Fjord du Saguenay

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Fichier:Fjord Saguenay profondeur.svg
Coupe longitudinale du Fjord du Saguenay montrant la profondeur et la succession des trois bassins : 1 - bassin supérieur, 2 - bassin intermédiaire, 3 - bassin inférieur.

Le fjord du Saguenay est parsemé de paysages divers. Passé la ville de Saguenay, la vallée devient rapidement escarpée. Les impressionnantes falaises du cap Trinité et du cap Éternité se situent près du village de Rivière Éternité. La profondeur à cet endroit est comparable à la hauteur des montagnes. Il s'étire plus ou moins d'ouest en est ensuite jusqu'à son embouchure à Tadoussac et il n'est parsemé que de quelques villages au fond de baies tels L'Anse-Saint-Jean.

La rivière Saguenay a fait son lit dans le fjord le plus méridional de l'hémisphère nord, le seul navigable de toute l'Amérique du Nord<ref name="geo" />.

La vallée dans laquelle coule la rivière Saguenay possède les caractéristiques d'un fjord, de Saint-Fulgence à Tadoussac. D'une longueur de Modèle:Unité et d'une largeur variant de 1 à Modèle:Unité, le fjord occupe une profonde entaille dans les Laurentides, bordée par des falaises escarpées d'une hauteur moyenne de Modèle:Unité et, à certains endroits, de plus de Modèle:Unité, comme aux caps Trinité (Modèle:Unité) et Éternité (Modèle:Unité), ce qui n'empêche pas les castors de vivre dans sa partie amont<ref name="Musee">Modèle:Lien web</ref>. Ses gorges profondes et majestueuses sont le résultat de la dernière glaciation et l'on retrouve une moraine terminale à son embouchure avec le fleuve Saint-Laurent, créant un haut fond. Il a été envahi ensuite par la mer après la fonte des glaciers.

On retrouve une très forte stratification des eaux dans le fjord parce que les eaux douces de surface, provenant du lac Saint-Jean et des autres affluents, sont moins denses que les eaux froides salées venant de l'estuaire du fleuve<ref name="Musee"/>. Il s'ensuit changement rapide de la salinité, de la température et de la densité des eaux selon la profondeur<ref name="Musee"/>,<ref name="Alpay">Modèle:Lien web</ref>. De plus, les eaux de surface coulent vers le fleuve et l'eau salée remonte le Saguenay avec la marée qui se fait sentir jusqu'à Chicoutimi<ref name="Musee-2">Modèle:Lien web</ref>. Au confluent du Saguenay et du Saint-Laurent, le taux de salinité des eaux est de Modèle:Unité et il diminue en amont, avec l'apport d'eau douce, mais reste élevé en profondeur<ref name="Alpay"/>,<ref name="Michaud">Modèle:Ouvrage</ref>. Les eaux de profondeur du fjord du Saguenay sont très bien oxygénées, contrairement à la plupart des fjords, car elles doivent passer par-dessus la moraine terminale avant d'entrer ce qui permet un fort échange avec l'atmosphère<ref name="Musee-2"/>. Elles alimentent l'écosystème en oxygène jusqu’au fond des fosses qui peuvent atteindre Modèle:Unité<ref name="Musee-2"/>.

Le fjord du Saguenay est protégé et mis en valeur par deux parcs : le parc national du Fjord-du-Saguenay et le parc marin du Saguenay–Saint-Laurent. Des sportifs, kayakistes, randonneurs et des touristes parcourent le territoire grâce à des infrastructures spécialement conçues pour le tourisme de la nature. Des sites de camping sauvage permettent aux kayakistes de le descendre en quelques jours. Des centaines de sentiers, dont celui nommé le sentier de La Statue<ref>Site relative à la rivière Éternité</ref>. Il conduit à plusieurs haltes et belvédères jusqu'au sommet du cap Trinité offrant des vues exceptionnelles sur le fjord au pied de la statue Notre-Dame-du-Saguenay. En aval du fjord, à Sacré-Cœur-sur-le-fjord, à l'Anse de Roche, à la baie Sainte-Marguerite et à Tadoussac, les baleines et les phoques peuvent être observés à gué grâce à des sentiers en bordure des caps ou en croisières qui partent des différents quais, naviguent dans l'estuaire et remontent le fjord jusqu'au cap Trinité.

Ses caractéristiques physiques ont rendu sa colonisation difficile. Bien que la navigation y soit importante, seules quelques baies permettent l'accostage. De plus, le terrain escarpé se prête peu à l'agriculture. Le vent y est canalisé par les hautes falaises et il est souvent plus fort et d'une direction différente qu'au lac Saint-Jean ou le long du fleuve Saint-Laurent. On y retrouve un parfait exemple de vent antitriptique qui s'aligne le long du fjord et dont doivent se méfier les navigateurs.

Du point de vue environnemental, en dépit de paysages remarquablement conservés, les écosystèmes et la faune aquatique du fjord sont victimes d'une forte pollution par des produits organostanniques, qui selon une étude récente (2005<ref name=TheseViglino2005>Viglino, Liza (2005) Comportement des organoétains dans les écosystèmes côtiers des hautes latitudes élaboration d'un modèle quantitatif appliqué au Fjord du Saguenay (PDF, 13 Mb). Thèse. Rimouski, Québec, Université du Québec à Rimouski, Institut des sciences de la mer de Rimouski, 269 p. résumé (en français)</ref>) resteront une menace écologique durant plusieurs siècles. Ces produits proviennent des antifoulings de bateaux. Ils sont ubiquitairement présents dans toute la colonne d'eau du fjord, et retrouvés dans tous les organismes animaux étudiés, ainsi que dans les sédiments. Peut-être en raison de la forte stratification du fjord, les taux de butylétains totaux (MBT + DBT + TBT) sont bien plus élevées en surface (26 à 206 ng Sn L-1) qu'au fond (7 à 30 ng Sn L-1)<ref name=TheseViglino2005/> et tout le réseau trophique se montre touché, à des concentrations très variées (de 7 à 1238 ng Sn g-I (poids sec), soit des niveaux parfois exceptionnels, rarement trouvés en zones côtières nordiques, même dans les zones de fort trafic maritime. On n'a pas cependant observé de biomagnification. L. Viglino y a estimé la demi-vie du TBT : elle serait d'environ 87 ± 17 ans dans le sédiment profond. C'est un délai bien plus long que les estimations données par la littérature antérieure). Ceci indiquerait une contamination à long terme (plusieurs siècles)<ref name=TheseViglino2005/>.

Le Modèle:Date-, la Monnaie royale canadienne lançait officiellement à l'arrondissement de La Baie, une pièce de 25 cents commémorative afin de souligner le fjord du Saguenay comme étant un élément patrimonial naturel majeur du Canada et marquer la présence de la statue de la Vierge située sur le Cap Trinité depuis 127 ans<ref>Modèle:Article</ref>.

Municipalités riveraines

Modèle:Début de colonnes De l'amont vers l'aval

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Histoire

Durant des millénaires avant l'arrivée des Européens, les Amérindiens ont utilisé le Saguenay comme voie de transport et de commerce. Il était la voie de déplacement entre les ressources en gibier de l'intérieur et les zones de pêche du Saint-Laurent ainsi que le lien entre les tribus de son bassin hydrographique. Le tout se faisait en canot d'écorce. Les Basques sont réputés être les premiers Européens à avoir visité la région de Tadoussac lors de leur chasse à la baleine. Ils ont sûrement commercé avec les Amérindiens ; toutefois, ce sont les Français qui y ont établi le premier poste de traite de fourrure en 1600.

Le nom Saguenay apparaît tôt dans la cartographie occidentale. Une mappemonde de 1536, conservée dans la collection Harléienne du British Museum, mentionne le fleuve et les terres du Canada tels que décrits par Jacques Cartier. Le mot SAGNÉ s’y trouve au milieu de la chaîne de montagnes (Laurentides) entre les rivières Saguenay et Ottawa.

La mappemonde du cartographe français Pierre Descelier (1500-1558), place LE SAGNAY au même endroit. Sur le planisphère de Descelier de 1550, le SAGNÉ est « aux sources de la rivière Sagnay ». On y voit la représentation d’une tour fortifiée, avec observatoire et canon et plus loin un homme ressemblant à Jacques Cartier pour la figure et le costume, essayant de s’expliquer avec un groupe de sauvages affolés qui se tiennent à distance. La tour concrétise l’idée d’un Royaume, admise à cette époque.

Abraham Ortelius cartographe belge, publie en 1570, le Theatrum Orbis Terrarum, un des premiers atlas standard du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La rivière Saguenay y est cartographiée sous le nom toponymique de Sagvenai<ref>Beau Riffenburgh, La grande aventure de la cartographie, Royal Geographical Society, National Geographic, 2011, 98 p.</ref>.

Pour qu’un premier explorateur pose le pied sur l’actuel territoire de Chicoutimi, il faut cependant attendre le père Jean de Quen qui, à la demande des tribus du Piekouagami (lac Saint-Jean) atteintes d’une épidémie dévastatrice, emprunte la rivière Chicoutimi pour atteindre le lac Kénogami puis le lac Saint-Jean du 11 au Modèle:Date<ref>Marius Paré, L'Église au diocèse de Chicoutimi, Chicoutimi, 1983, Tome Modèle:1er, Modèle:P..</ref>. En Modèle:Date, l’épidémie perdure toujours et force l’établissement d’une mission au lac Saint-Jean par les jésuites qui utilisent la même route que le père Jean Dequen pour se rendre à destination. Selon leurs récits, plusieurs sépultures amérindiennes jonchent alors les rives du Saguenay du fait des ravages importants de l’épidémie. Les missionnaires empruntent cette route jusqu’en 1671 pour venir en aide aux tribus victimes de l'épidémie et de la guerre contre les Iroquois.

La région est cependant restée en dehors de la colonisation durant toute la période de la Nouvelle-France et au début du régime britannique à cause de son éloignement des centres de peuplement de la vallée du Saint-Laurent, de sa géographie peu propice à l'agriculture et des difficultés de transport. Cependant, l'exploitation de la forêt sera le déclencheur de l'arrivée des populations blanches dans la région. Au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le blocus continental par Napoléon a forcé l'Angleterre à s'alimenter en bois dans sa colonie canadienne pour la construction navale. La région du Saguenay, couverte de forêts, attire finalement des investisseurs comme William Price<ref>UQAC collection histoire SLSJ -Louise Dechêne</ref>. Ce dernier forme un contingent pour aller fonder des villages pour la coupe du bois et plus tard pour la pâte et papier au début des années 1830. C'est-à-dire près de 300 ans après la découverte du fjord par le navigateur Jacques Cartier<ref name="geo">GEO Modèle:Numéro avec majuscule d'octobre 2012 Modèle:P.</ref>.

À la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le développement de l'électricité amène d'autres investissements dans la région qui a fort potentiel hydroélectrique. La plus grande partie sera utilisée pour développer les usines de traitement de l'aluminium de Alcan à Arvida mais servira également aux besoins du Québec en électricité<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Du 19 au Modèle:Date, des pluies torrentielles ont fait déborder les réservoirs hydroélectriques de la région, causant ce qu'on a appelé le Déluge du Saguenay. Près de deux mètres d'eau a déferlé dans les villes de Chicoutimi et La Baie (maintenant toutes deux des arrondissements de la ville de Saguenay), tuant sept personnes (deux à La Baie et cinq sur la Côte-Nord) et provoquant l'évacuation de 16 000 autres<ref>Dernière heure, « Tout sur la tragédie au Saguenay », vol. 3, no 26, 3 août 1996, Modèle:P..</ref>. Les dommages matériels ont été évalués à 1,5 milliard de dollars canadiens (1996). La rivière Ha! Ha!, au sud de Chicoutimi, est également sortie de son cours régulier pour s'en tracer un nouveau, en coupant les routes et isolant une bonne partie de la région du bas Saguenay et de l'arrière-pays<ref>7 Jours Le grand magazine, « La tragédie du Saguenay », Édition spéciale, 32 pages.</ref>.

Galerie photos

Notes et références

Modèle:Références

Annexes

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Bibliographie

Modèle:Début de colonnes

  • Modèle:Ref-HQ-Siècle
  • Alain Dumas (photographies), Yves Ouellet (texte), Le Fjord du Saguenay, éditions du Trécarré, Saint-Laurent (Québec), 1993, 160 pages. Modèle:ISBN
  • Archives publiques du Canada, Cartes géographiques du seizième siècle se rapportant au Canada, Ottawa, 1958, 305 pages.
  • Carl Moreland, David Bannister, Antique Maps, Phaidon-Christie's, Oxford, 1986, 314 pages.
  • Clément Imbert, « En remontant le fjord qui terrifia les colons », GEO, no 404, Modèle:Date-, Modèle:P..
  • Hamelin, Louis-Edmond, Biondo, Stéfano, Bouchard Joë, L'apparition du Nord selon Gérard Mercator, Septentrion, 2013, 192 pages.
  • Jeff Murray, Terra Nostra, Les cartes du Canada et leurs secrets 1550-1950, Septentrion, 2006, 192 pages.
  • R. Litalien, Jean-François Palomino, Denis Vaugeois, La mesure d'un continent. Atlas historique de l'Amérique du Nord 1492-1814, Presses de l'Université Paris-Sorbonne & Septentrion, 2007, 299 pages.
  • Marcel Trudel, Atlas de la Nouvelle-France, Les Presses de l'Université Laval, 1968, Modèle:P..
  • Marcel Trudel, « L'Europe en quête de l'Asie », Cahiers de géographie du Québec, vol. 3, no 6, 1959, Modèle:P.. http//id.erudit/020167ar
  • Michael Swift, Cartes du monde à travers l'histoire, GÉO/Prisma Presse, 2008, 256 pages.
  • Russel Bouchard, Une histoire de la navigation sur le Saguenay, Chicoutimi, 2009, 417 pages.
  • Victor Tremblay, « Les premières pages de l’histoire du Saguenay. Jacques-Cartier et le Saguenay. Vers le Royaume Légendaire », dans The Canadian Historical Association, Report of the Annual Meeting, vol. 4, no 1, 1925, Modèle:P..
  • Victor Tremblay, « Le Saguenay dans la cartographie de 1536 à 1600», Saguenayensia, juillet-Modèle:Date-, Modèle:P..
  • Victor Tremblay, « Le nom de Saguenay dans l'histoire », Saguenayensia, septembre-octobre-novembre-Modèle:Date-, Modèle:P..
  • Victor Tremblay, « Le nom de la région du Saguenay », Saguenayensia, novembre-Modèle:Date-, Modèle:P..

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Liens externes

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