Saint-Jean-du-Bruel
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Jean-du-Bruel est une commune française, située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.
Elle fait partie de l'ancienne province du Rouergue où l'on parle également le dialecte rouergat, variante du languedocien.
Géographie
Communes limitrophes
Saint-Jean-du-Bruel est limitrophe de cinq autres communes dont trois dans le département du Gard. À l'est, son territoire est distant d'une centaine de mètres de celui d'Alzon.
Site
Le territoire de la commune matérialise une fraction sud du Massif central à cheval sur les Causses et Vallées et les Cévennes aveyronnaises. Il est traversé par la rivière Dourbie au bord de laquelle se trouve le bourg chef-lieu de commune.
En limite du Gard et de l'Aveyron, le village de Saint-Jean-du-Bruel est traversé par la Dourbie, dans une vallée paisible et fertile qui lui a valu de porter le nom de jardin de l'Aveyron. Sa situation géographique le place au centre d'une région riche en contrastes, entre Causses et Cévennes, au pied du Saint-Guiral qui culmine à Modèle:Unité. Saint-Jean-du-Bruel constitue une petite enclave cévenole en terre aveyronnaise. Les châtaigneraies en témoignent ainsi que les plus anciennes bâtisses où se retrouvent les schistes, le basalte et le granit.
Géologie et relief
L'altitude minimum est de Modèle:Unité et maximum de Modèle:Unité pour une superficie de Modèle:Unité.
Hydrographie
La Dourbie traverse la commune d'est en ouest.
Plusieurs affluents et sous-affluents prennent leur source sur la commune. Les principaux sont, de l'amont vers l'aval :
- le ruisseau des Crozes (rive gauche) et ses deux affluents, le Valat Grand et le ruisseau des Cabrières ;
- le ruisseau du Viala (rive gauche) ;
- le ruisseau du Bruel (rive gauche) ;
- le ruisseau de Lavaur (rive gauche) ;
- le ruisseau de Saint-Gleys (rive droite) et son affluent le ruisseau des Valettes.
Voies de communication et transports
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
|
La commune bénéficie d’un « climat semi-continental », ou de marge de montagne, selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne l'est et le sud-est aveyronais, constitue une transition entre les climats de montagne et le climat océanique altéré<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Millau-Soulobres, qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau de la commune<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de Modèle:Unité, qui s'étend sur Modèle:Unité. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine<ref name="PNRCausses1">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="PNRCausses2">Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Sites Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles<ref name="MEDDE-Natura1">Modèle:Lien web</ref>.
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref> :
- les « Gorges de la Dourbie », d'une superficie de Modèle:Unité sur Modèle:Unité dont 5 dans l'Aveyron et 1 dans le Gard, sont un magnifique ensemble de gorges avec parois et corniches calcaires dont la végétation est formée de pelouses xérothermiques, de landes (parcours à ovins), de taillis de chênes pubescents, de hêtres et de pins sylvestres<ref>Modèle:Lien web</ref> ;
et un au titre de la « directive Oiseaux »<ref name= Natura/> :
- les « Gorges de la Dourbie et causses avoisinants », d'une superficie de Modèle:Unité sur Modèle:Unité dont 8 dans l'Aveyron et 5 dans le Gard, qui comprennent une grande partie du causse Noir, du causse du Larzac et du causse Bégon, ainsi que les gorges qui les séparent. Dix-sept espèces de l'annexe 1 se reproduisent sur le site, parmi lesquelles huit espèces de rapaces<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Saint-Jean-du-Bruel comprend deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref>,<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> :
- les « Gorges de la Dourbie et ses affluents » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 6 dans l'Aveyron et 5 dans le Gard<ref>Modèle:Lien web</ref> ;
- les « Gorges de la Virenque et pic de Saint-Guiral » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 2 dans l'Aveyron et 3 dans le Gard<ref>Modèle:Lien web</ref> ;
et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> :
- le « Causse Bégon et Pas de l'Âne Canayère » (Modèle:Unité), qui s'étend sur Modèle:Unité dont 2 dans l'Aveyron et 4 dans le Gard<ref>Modèle:Lien web</ref>.
-
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Toponymie
Attestée sous les formes ecclesiam sancti Johanis de Brolio en ll35, a S Jhoan sotz Alga en l258, Sanctus Johannes delBrolh en l326 <ref>Ernest Nègre - Toponymie générale de la France, page 1621Modèle:Référence incomplète</ref>, Saint-Jean-de-Roquefeuil.
Durant la Révolution, la commune porte les noms de Pont-Libre et Sentinelle<ref name=Cassini/>.
Histoire
Deux époques essentielles ont marqué Saint-Jean-du-Bruel : elle a été le berceau de la famille de Roquefeuil, qui tint un rôle important dans l'histoire de la province ; la seconde tient au rôle, pris par Saint-Jean-du-Bruel au cœur des guerres de Religion : autrefois protestant, le bourg chef-lieu de cette commune a subi durement ces guerres de Religion. Le temple protestant a perduré durant ces conflits et la population fut convertie au catholicisme à la suite de la révocation de l'édit de Nantes en 1685.
Politique et administration
Administration municipale
Le Modèle:Date-, le conseil des ministres a prononcé, sur proposition du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, la dissolution du conseil municipal de la commune<ref name="Dissol2022">Modèle:Lien web</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Les habitants de Saint-Jean-du-Bruel sont appelés les Saint-Jeantais<ref>de Saint-Jean-du-Bruel (12230) sur habitants.fr, consulté le 6 mai 2020.</ref>.
Modèle:Population de France/section
Enseignement
Santé
Sports
Modèle:… Saint-Jean-du-Bruel est le point de départ du Trail du Roc de la Lune<ref name="midilibreroc">Modèle:Lien web</ref> et de l'ultra-trail du Pas du diable<ref name="midilibretrail">Modèle:Lien web</ref>, deux courses d'endurance qui se déroulent à la fin du mois d'avril.
Manifestations culturelles et festivités
Au mois d'août, la ville accueille certains événements du Festival folklorique international du Rouergue, une manifestation qui met à l'honneur les danses traditionnelles<ref name="depeche">Modèle:Lien web</ref>.
Le Modèle:Date-, la Saint-Jean est par ailleurs l'occasion d'une fête votive<ref name="midilibrestjean">Modèle:Lien web</ref>.
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Table En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 69,8 % d'actifs (59,4 % ayant un emploi et 10,4 % de chômeurs) et 30,2 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.
La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 165 en 2013 et 184 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 215, soit un indicateur de concentration d'emploi de 70,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 215 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 112 travaillent dans la commune, soit 52 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 78,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
73 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Saint-Jean-du-Bruel au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 73 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
4 | 5,5 % | (17,7 %) |
Construction | 17 | 23,3 % | (13 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
31 | 42,5 % | (27,5 %) |
Activités financières et d'assurance | 3 | 4,1 % | (3,4 %) |
Activités immobilières | 4 | 5,5 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
2 | 2,7 % | (12,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
7 | 9,6 % | (12,7 %) |
Autres activités de services | 5 | 6,8 % | (7,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 42,5 % du nombre total d'établissements de la commune (31 sur les 73 entreprises implantées à Saint-Jean-du-Bruel), contre 27,5 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises
L' entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Camping La Dourbie, terrains de camping et parcs pour caravanes ou véhicules de loisirs (Modèle:Unité)
L'économie de la commune est caractérisée par une agriculture traditionnelle extensive basée sur l'élevage pour la production laitière de brebis destinée à l'élaboration des fromages de roquefort, pérail, tome et pour la production de veaux et agneaux destinés à l'engraissement.
Une diversification existe tournée vers le maraîchage, l'apiculture, la production de bois de chauffe et le tourisme rural. Des agriculteurs de la commune et des communes voisines vendent leurs productions agricoles, transformées ou pas, au marché du bourg les jeudis et dimanches matin, en saison estivale.
Des artisans et prestataires de services (métiers du bâtiment, boulanger, conserverie…) existent, ainsi que des commerces présents dans le bourg. Les loisirs influent également sur l'économie communale : locations saisonnières de meublés, camping, randonnée pédestre, vélo tout terrain, découverte nature, pêche de parcours Modèle:1re, chasse à partir du quinze août.
Agriculture
La commune est dans les Grands Causses, une petite région agricole occupant le sud-est du département de l'Aveyron<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Table
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 29 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 18 en 2000 puis à 17 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 10 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 66 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 22 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Les monuments les plus anciens de Saint-Jean-du-Bruel sont préhistoriques :
Le dolmen de Balmarelesse ou Tombeau du Géant ; le dolmen de Barjac ; et le dolmen numéro 3 ; Les menhirs de Barjac A et B ; et les deux autres menhirs (sans nom).
- L'église Saint-Jean-Baptiste reconstruite en 1710.
- Le Pont Vieux du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Château de Roquefeuil, berceau de la famille de ce nom, dont il reste des ruines sur les hauteurs.
- Le pont neuf du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Les halles.
- Musée Noria, écomusée de l'eau, installé dans le Moulin du pont (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).
- Les chemins creux et drailles agricoles se prêtent à la randonnée pédestre.
- L'étang du Viala et les eaux fraîches de la rivière Dourbie invitent à la baignade avec l'accord des riverains.
-
L'église. -
Les halles. -
Les halles. -
Four de potier. -
La Dourbie sous le Pont-Vieux. -
Chaussée du Pont-Vieux. -
Station communale.
Patrimoine environnemental
Le territoire de la commune constitue une partie du parc naturel régional des Grands Causses.
Personnalités liées à la commune
- La famille de Roquefeuil.
- François Vivarès (1709-1780), graveur établi à Londres, né à Saint-Jean-du-Bruel.
- Julien Tardieu (1896-1980), ancien président du conseil municipal de la ville de Paris, originaire de la commune où il séjourna et conserva de nombreuses relations. Il y est enterré.
- L'acteur Pierre Richard (1934-), possède une résidence secondaire sur le territoire de la commune.
- René Quatrefages (1944-), historien français spécialiste de l’histoire de l’Espagne, né à Saint-Jean-du-Bruel et maire de la commune de 1983 à 2005.
- Pierre de Bousquet de Florian (1954-), préfet, ex coordonnateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme, dont la famille est originaire de la commune où il conserve une résidence de famille.
- Bruno Walther (1972-), entrepreneur en série et spécialiste de l'internet, établi à Saint-Jean-du-Bruel.
- Ludovic Chaker (1979-), spécialiste de la Chine et homme politique, est natif de Saint-Jean-du-Bruel.
- Henri Serre (1931-2023), acteur français, a vécu à Saint-Jean-du-Bruel où il est mort.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes