Saint-Symphorien-sur-Coise

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Symphorien-sur-Coise est une commune française, située à 600 m d’altitude dans le département du Rhône en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Les habitants de ce village sont appelés les Pelauds <ref>Guide pratique de la vie économique, sociale et culturelle de la commune de Saint-Symphorien-sur-Coise, Commission information du Conseil municipal. 2005</ref> en souvenir de l'importante activité de tannerie qui existait jadis sur la commune.

Sa position le long d'un axe routier reliant la plaine du Forez et la vallée du Rhône lui a donné depuis le Moyen Âge une vocation de village-centre qui se traduit aujourd'hui par l'importance des activités de service.

Géographie

Modèle:...

Située à une altitude variant de Modèle:Unité à Modèle:Unité, Saint-Symphorien-sur-Coise est une commune de moyenne montagne encadrée par les points culminants des monts du Lyonnais (le crêt Malherbe (Modèle:Unité), le signal de Saint-André (Modèle:Unité), le signal de la Courtine (Modèle:Unité). Le village est établi sur un piton rocheux au confluent de la Coise et de l'Orzon qui s'écoule en direction de l'ouest vers la Loire.

Modèle:Images

Communes limitrophes

Urbanisme

Typologie

Saint-Symphorien-sur-Coise est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Symphorien-sur-Coise, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (50,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (39,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44 %), zones urbanisées (38,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

La commune, instituée par la Révolution française sous la dénomination de Saint Symphorien sur Coise est renommée Chausse-Armée le 29 frimaire de l'an II, puis Saint-Symphorien-sur-Coise (ci-devant le Châtel) en 1801, avant de reprendre son nom traditionnel<ref name="Cassini"/>.

La dénomination révolutionnaire de Chausse-Armée rappelle que, de tous temps, ce bourg de tanneurs et de cordonniers a fourni une quantité considérable de souliers aux armées.

Histoire

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Antiquité

Saint-Symphorien était le carrefour de l’Iter viennensis, (le grand chemin de Vienne à Roanne) et de la première « voie d’Aquitaine » partant de Fourvière pour rejoindre l’Auvergne en direction de Bordeaux.

À la fin de la période gallo-romaine les Ségusiaves vont se retrancher dans les monts du Beaujolais et du Lyonnais jusqu’alors pratiquement inhabités. Lorsque les invasions barbares vont déferler sur toute la Gaule, les Ségusiaves se regrouperont au pied des Monts du Forez, des Bois Noirs et des Monts de la Madeleine.

Les pièces de monnaie gauloises représentant un taureau cornupète sont souvent attribuées aux Ségusiaves. Une pièce de monnaie, datant du premier siècle avant Jésus-Christ et portant une inscription SEQVANOIOTVOS, a été trouvée à l'oppidum du Crêt Chatelard près de Roanne.

Le Forum Segusiavorum, était le nom donné à la cité de Feurs une place stratégiquement bien située entre la vallée de la Loire et la vallée du Rhône, où des marchands de tous horizons venaient échanger leurs produits.

Moyen Âge

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle le château de Saint-Symphorien construit par les comtes de Forez s'élevait à l'emplacement de l'église actuelle sur la limite entre le Forez et le comté de Lyon. Avec le traité de 1173 qui mit fin aux conflits féodaux entre ces deux territoires, Saint-Symphorien fut rattaché définitivement à l'archevêché (aux comtes de Lyon).

Celui-ci confiait à ses vassaux l'exploitation des fiefs, essentiellement des nobles, qui pouvaient entre eux se transmettre, vendre ou échanger leurs biens. Eudes de Tournon, seigneur de Beauchâtel et de Serrières vendit le Modèle:Date- la moitié du fief (on peut penser que l'autre moitié appartenait à l'Église de Lyon) pour la somme imposante de 3000 écus d'or à Hugues Jossard, étonnamment fils d'un gros commerçant de L'Arbresle. Celui-ci avait été, très jeune, anobli pour services rendus à la couronne par Charles VI, et exerçait à Lyon les fonctions de lieutenant du bailli et de juge des ressorts. Il avait fait une fortune considérable en moins de 25 ans, notamment dans l'exploitation de mines de plomb. Bourgeois de Lyon où il possédait de nombreux biens, il avait acheté Saint Symphorien pour son sous-sol et était par ailleurs détenteur des châtellenies de Chessy-les-Mines et de Châtillon d'Azergues. Il avait marié ses enfants aux plus grandes familles de la région. Il portait par ailleurs le titre de conseiller du Roi et mourut immensément riche vers 1408, après avoir transmis la seigneurie de Saint-Symphorien à son fils Jean Jossard. Après que les mines furent vendues à Jacques Cœur puis rachetées après sa destitution, celui-ci conservera le fief jusqu'à son décès vers 1465. Il le transmettait à son tour à ses filles, Jeanne Jossard, épouse de Guillaume de Laye, baron de Saint-Lager (en Beaujolais) qui revendit sa part à l'Église de Lyon en 1478, et Françoise Jossard, épouse de Yves Terrail, cousin de Bayard<ref>sources J.M Roche, d'après Salomon les ch.hist.du Lyonnais & R. Fédou, une famille aux XIV et XVe siècle, les Jossard de Lyon.</ref>.

Époque moderne

En 1628, le prêtre de Saint-Symphorien-sur-Coise rapporte qu'une contagion fait rage dans la paroisse. Les habitants fuient baptiser leurs enfants dans les communes alentour. Il écrit: "À la louange de Dieu, fait notre que la maladie contagieuse s'attacha en ceste ville sur la fin du mois d'aoust et croit ont qu'une fille nommée Catherine Mercieu, niepce de Mathieu Mercieu habitant de ceste ville apporta la dite maladie contagieuse de Lyon où elle estoit malade. Le dit Mercieu son oncle layant conduit du dit Lyon en ceste Ville le vingtiesme aoust auquel mesme jour elle deceda et feut inhumée solennellement bien que soupçonnée de contagion. Après l'enterrement, la maison ou elle deceda feut fermée et y deceda quinze jours après Jeanne Parens femme du dit Mercieu, peu de jours après le dit Mercieu, aultre Mercieu nepveu du dit Mathieu et frère de la dite Catherine et la Percollette ats brossarde qui les servoit la dedan." (voir ici)

L'épidémie de peste continua jusqu'en 1629.

Une activité de tannerie et de travail du cuir a existé jusqu'à une période récente. La fabrication de chaussures pour l'armée de l'an II explique ainsi le nom de Chausse-Armée. La tannerie Ronzon, outre son activité principale, à longtemps fabriqué des selles et harnachements de chevaux.

Époque contemporaine

Modèle:... Le bourg a été desservi de 1914 à 1933 par la ligne des chemins de fer départementaux de Rhône et Loire pour Messimy, et par les Tramways électriques de Viricelles-Chazelles à Saint Symphorien sur Coise et extensions de 1899 à 1933, deux lignes de chemins de fer secondaires à voie métrique

Politique et administration

Carte postale ancienne montrant une vue générale du bourg
Vue générale.

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement de Lyon du département du Rhône. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la dixième circonscription du Rhône.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Saint-Symphorien-sur-Coise<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Vaugneray.

Intercommunalité

La commune était le siège de la communauté de communes des Hauts du Lyonnais, créée en 1998.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du Modèle:Date-, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Nombre<ref>Section III de l'Modèle:Légifrance, sur Légifrance</ref>, celle-ci fusionne avec sa voisine pour former, le Modèle:Date-, la communauté de communes des Monts du Lyonnais, dont est désormais membre Saint-Symphorien-sur-Coise.

En 2018, Saint-Symphorien-sur-Coise est également le siège du syndicat intercommunal des eaux des Monts du Lyonnais et de la Basse vallée du Gier<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel

Modèle:ÉluFin

Distinctions et labels

En 2014, la commune est distinguée du label « ville fleurie » avec « deux fleurs » attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris<ref name=vilfleur2014>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Santé

Modèle:…

Social

Modèle:…

Enseignement

L’existence d’établissements d’enseignement à Saint-Symphorien est ancienne. Le fonctionnement d’un collège dédié à l’instruction de la jeunesse est attesté dès le XVe siècle. Avec une organisation qui varie au fil du temps, il permet à des ecclésiastiques d’enseigner à lire, écrire et compter aux garçons ainsi qu’à leur apprendre le catéchisme et quelques autres savoirs basiques. Le collège rassemble généralement moins d’une centaine d’écoliers et doit composer avec la concurrence d’autres structures de plus petite taille, créées à l’initiative privée, pour dispenser un enseignement plus professionnel aux garçons ou prendre en charge celui des filles<ref>Groupe de recherche sur l’histoire et le patrimoine de la région de Saint-Symphorien-sur-Coise, Histoire des écoles de Saint-Symphorien-sur-Coise du XIIIe siècle à nos jours, novembre 2014, p.4-7.</ref>.

Les filles sont plus particulièrement formées par les Ursulines à partir du XVIIe siècle, qui font du couvent des religieuses une grande école, en comparaison avec les petites écoles que des particuliers ouvrent pour un public plus ciblé<ref>Claudius Roux, Le monastère des Ursulines de Saint-Symphorien-le-Château en Lyonnais, Lyon : Audin et cie, 1924.</ref>.

La Révolution chamboule ce système, en retirant aux religieux le pouvoir d’enseigner et en peinant à leur substituer une succession laïque. L’Empire et la Restauration rendent leur retour possible et l’enseignement d’un instituteur pour les garçons coexiste avec celui des Ursulines pour les filles. La nécessité de se conformer à la législation, qui impose la création d’une école communale, amène en 1823 la municipalité à faire appel aux frères maristes, qui pourvoient à la formation des garçons tandis que deux décennies plus tard les sœurs de Saint-Charles remplacent les Ursulines pour celle des filles.

L’instruction laïque obligatoire et gratuite voulue par la IIIe République se traduit par l’ouverture d’une école publique de filles et d’une école publique de garçons, laquelle se révèle peu attractive au regard de l’école de frères maristes qui capte la quasi-totalité du public masculin dans un nouveau bâtiment érigé le long de l’actuelle rue Chanoine Pavailler.

Après la Seconde Guerre mondiale, le regroupement des deux écoles publiques qui formera plus tard le groupe scolaire public Hubert Reeves, et l’introduction de la mixité dans le groupe scolaire Champagnat en fort développement<ref>Modèle:Lien web.</ref>, font porter l’attention sur la suite à donner à l’enseignement primaire.

L’initiative de l’ouverture d’un enseignement secondaire revient aux établissements privés, avec en 1954 une classe de sixième pour les filles de l’école Saint-Charles et deux ans plus tard une autre pour les garçons de l’école mariste, classes qui fusionneront dans un groupe scolaire unique en 1967. La construction en 1965 d’un nouveau bâtiment au bout de la rue Chanoine Pavailler pour les classes de quatrième et de troisième offre la possibilité aux élèves de Saint-Symphorien d’aller jusqu’au brevet d’études du premier cycle (BEPC) du second degré. L’acquisition en 1970 du clos Gonon pour y installer les classes de seconde, première et terminale prolonge cette possibilité jusqu’au baccalauréat<ref>Sur la vie dans les classes du collège et du lycée Champagnat, cf. Gilles Jacoud, Gillou - Une enfance dans les monts du Lyonnais, chapitres « En sixième à Saint-Symphorien », « Dans les classes de cycle long », « Au clos Gonon » et « Prolongation au clos », Craponne : Éditions Les Passionnés de bouquins, 2021, p. 147-212.</ref>. L’extension se poursuit vers l’enseignement supérieur avec l’ouverture en 2021 d’un brevet de technicien supérieur (BTS).

L’offre de formation à Saint-Symphorien passe aussi par le lycée Jean Monnet, parti d’un cours ménager après-guerre évoluant en un centre d’études féminines rurales qui s’implante à la sortie de la ville en direction du Nézel, transformé en un lycée professionnel Jean Monnet en 1991<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La maison familiale rurale Val-de-Coise, installée au clos Beaujolin, dispense également des formations professionnelles<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Festivités

Depuis 2015 a lieu en juillet le festival pluridisciplinaire À la croisée des chap’<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Économie

La vie économique est marquée par une agriculture dominée par l'élevage laitier et la diversité des industries de transformation. En 2009, on dénombrait Modèle:Nombre sur la commune, ce qui est non négligeable pour une commune de près de Modèle:Nombre.

Commerce

Modèle:Référence nécessaire et existe toujours de nos jours.

Place de la Bouterie se tenait le marché aux porcelets qui attirait les producteurs de toute la région. À la suite des plaintes des riverains importunés le marché fut déplacé puis abandonné.

La commune dispose d'une soixantaine de commerces de proximité et de dix toilettes publiques.

Artisanat et industries

  • Modèle:Référence nécessaire.
  • L'industrie de la salaison dont le site de production le plus important aujourd'hui est l'entreprise Cochonou, suivie de l'entreprise familiale Chillet créée en 1912.

Modèle:Référence nécessaire.

Ceci est une légende locale qui a donné naissance à une chanson..

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle deux activités se sont ajoutées :

  • La production du chapeau de paille qui a employé jusqu'à Modèle:Nombre ;
  • La fabrication des meubles représentée par l'entreprise Grange Cette entreprise crée en 1904 produisait des meubles de haut de gamme et copie d'ancien. Elle employait Modèle:Nombre en France et 70 à l'étranger. Elle a été placée en liquidation judiciaire, faute de repreneur, en Modèle:Date-<ref>Modèle:Article.</ref>.

Tourisme

La commune est un des 100 plus beaux détours de France et dispose d'un circuit patrimoine. Elle est traversée du nord au sud par le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Saint Symphorien sur Coise est l'une des 100 villes référencées parmi les Plus Beaux Détours de France<ref>Voir guide Les "Plus Beaux Détours" de France 2007 à 2012Modèle:Référence incomplète.</ref>.

Église Saint-Symphorien sur Coise
L'église collégiale.
Fichier:SSYMPH EGLISE Chaire.JPG
La chaire du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de l'église collégiale.
Le nouvel édifice a été consacré au martyr Symphorien d'Autun. À partir de 1407, le cardinal Girard, natif de Saint-Symphorien-sur-Coise, consacra une grande partie de sa fortune pour la transformer en un édifice gothique selon le goût de l'époque<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, <ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Compte tenu de la configuration du site, elle n'a pas de transept et son allure de forteresse rappelle la fonction défensive du site.
Aux {{#switch: e
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}}

}} des familles de notables locaux ont financé la construction des chapelles latérales.

  • La croix des Pénitents
  • La ville est enceinte de trois lignes de remparts médiévaux encerclant la cité
  • La tour du rempart (début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), vestige de la deuxième ligne de fortification ; les remparts et les demi-tours réparties tout le long permettaient d'assurer la défense de la cité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • La porte de Riverie du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Située sur la troisième ligne de remparts, c'est l'une des trois portes qui permettaient l'accès à la ville<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
  • Maisons du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : près de l'église elles sont construites contre le premier rempart de la ville. Leur forme allongée et étroite avec une cour intérieure et un puits est caractéristique de cette époque.
  • La place de la Bouterie : située à l'extérieur de l'ancienne cité, ce fut l'emplacement du premier marché aux porcs du mercredi. Elle a conservé deux maisons avec un étage en encorbellement<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • L'hôtel-Dieu actuel, situé sur la route de Lyon à Feurs, a été construit en 1696. Il regroupe l'ancien mezel (place du Mezel) destiné aux malades contagieux et la grange des pauvres où l'on recevait les pèlerins en route vers Le Puy-en-Velay
  • La Maison des métiers est le conservatoire des savoir-faire des monts du Lyonnais. Les anciens artisans du cuir, du bois, du chapeau de paille, des salaisons reproduisent devant le public les gestes d'autrefois.

Personnalités liées à la commune

Fichier:Inscription sur la maison natale de Marie Gavault.jpg
portrait du cardinal
Le cardinal Girard.

Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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Voir aussi

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Article connexe

Liens externes

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