Sambreville

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{{#invoke:Bandeau|ébauche}} Modèle:Infobox Subdivision administrative

Sambreville (en wallon : Sambveye) est une commune de Belgique située en Région wallonne dans la province de Namur.

La commune est créée le Modèle:Date- par la fusion des communes d'Arsimont, d'Auvelais, de Falisolle, de Keumiée, de Moignelée, de Tamines et de Velaine-sur-Sambre. Le nom de commune est initialement « Basse-Sambre », mais il est changé par la loi du Modèle:Date- pour prendre son nom actuel de « Sambreville »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Géographie

Situation générale

Sambreville se situe à 65 km (à vol d'oiseau) au sud de Bruxelles, à 25 km à l'ouest de Namur et 20 km à l'est de Charleroi, sur les rives de la Sambre. Particularité issue de la fusion des communes, en 1977 : il n'y a pas de village du nom de Sambreville. Née de la réunion de plusieurs villages baignés par la Sambre, la commune a pris ce nouveau nom comme point commun des entités.

Hydrographie

La rivière principale de la commune est naturellement la Sambre, qui la baigne au long de 11,5 km environ. S'y ajoutent quelques affluents, comme les ruisseaux de Fosses, de Grand Vaux et du fond du Gay. La Sambre et ses affluents appartiennent au bassin hydrographique de la Meuse, laquelle se jette dans la Mer du Nord.

Relief

L'altitude de Sambreville varie de Modèle:Unité (sur la grand place d'Auvelais) à Modèle:Unité (au seuil de l'église d'Arsimont). Des reliefs artificiels ont vu le jour tout au long de l'exploitation houillère dans les villages de la commune ; 11 terrils sont ainsi répertoriés comme tels par le Service public de Wallonie.

Faune et flore

Flore

163,54 hectares de bois couvrent 5 % du territoire communal, 6 sites de grand intérêt biologique sont inventoriés, auxquels s'ajoute une zone « Natura 2000 » de 90 hectares et 121 arrêtés de classement concernant des arbres ou des haies remarquables.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Histoire

Héraldique

Modèle:Blason-ville-be

Généralités

Aucune étude récente n'a compilé les données historiques et archéologiques de la commune. Pour retracer l'histoire de Sambreville, il faut élargir le champ de recherche aux grands centres religieux (Oignies, Floreffe, Fosses) ou aux villes de grande importance (Namur, Charleroi). On peut ainsi raisonnablement poser quelques jalons fiables. Globalement, l'histoire de la commune se confond avec l'histoire de la Région, voire du pays : préhistoire, conquête romaine et empire mérovingien sont ici mal connus. Le bas Moyen Âge, mieux documenté, permet de détailler le partage du territoire. Mais dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'histoire européenne se joue au niveau des États, au pied des places fortes et dans les capitales. Il faut attendre la période industrielle pour retrouver des informations plus fournies sur les villages qui formeront Sambreville en 1977.

Préhistoire

La vallée de la Sambre et, plus généralement, le bassin hydrographique de la Meuse, ont livré de nombreuses découvertes archéologiques. À la fin de la dernière glaciation, autour de 12 000 ans avant notre ère, le climat de nos régions s'adoucit ; les glaciers reculent, et la zone d'influence humaine s'accroît vers le nord de l'Europe. Les massifs calcaires qui bordent les cours d'eau de l'Entre-Sambre-et-Meuse offrent de nombreux abri naturels (grottes et abris sous roche), des postes d'observation et des refuges en cas de crue. Les sites de Spy, Namur, Dinant et leurs alentours attestent d'une présence humaine dans les vallées de la Sambre et de la Meuse, remontant au moins au Paléolithique.

En 1988, la découverte fortuite d'ossements remontant au Mésolithique a conduit à la fouille partielle d'une petite cavité naturelle, la grotte de Claminforge au sud de Falisolle. Les vestiges de 5 sépultures y ont été identifiés. À Velaine, plusieurs découvertes fortuites et un menhir témoignent d'une présence humaine depuis le Néolithique.

Antiquité

Des découvertes archéologiques du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle établissent les preuves d'une occupation romaine de la région, au début de notre ère. En 52 av. J.-C., les armées romaines ont terminé leur campagne en Gaule, et la frontière de l'Empire se fixe pour un temps bien au nord de l'actuelle Sambreville. La proximité relative de sites importants et connus (Namur, Dinant, Nivelles) ne permet pas de douter d'une présence romaine, mais sa nature exacte reste incertaine encore dans la commune.

Moyen Âge

Le territoire qui constitue l'actuelle Sambreville était écartelé entre les autorités politiques et religieuses des grands domaines – duché, comté, principauté. Situé dans l'ouest du comté de Namur, il comprenait d'importantes enclaves liégeoises et brabançonnes. Il est probable que, aucune famille d'importance n'y ayant vu le jour, ces territoires soient passés d'une escarcelle à l'autre sans rencontrer d'opposition.

Auvelais, cité dès 1113, est partagé entre l'autorité du chapitre de Fosses (principauté de Liège), et celle du comté de Namur. Tamines (première mention également au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) est de même partagée entre les juridictions liégeoise (pour l’essentiel) et namuroise (pour les Alloux). Falisolle relève de la principauté de Liège, tandis que Keumiée et Velaine, passent des mains namuroises (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), à l'autorité brabançonne (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). La paroisse-mère de Moignelée perdra sa prééminence au profit d'Oignies, lors de la fondation du prieuré au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Et, alors qu'au temporel le village appartient au duché de Brabant, au spirituel Moignelée relève alors – comme d'ailleurs l'entièreté du territoire de la commune actuelle – du diocèse de Liège...

Époque contemporaine

L'histoire récente de la commune est marquée par deux éléments ; l'exploitation houillère et les crimes de guerre allemands du mois d'août 1914.

  • La société anonyme des charbonnage de Tamines exploita plusieurs puits, de 1827 à 1965. Elle n'inaugura sans doute pas l'exploitation du charbon, mais c'est la seule société constituée à avoir industrialisé le processus.
  • Au début de l'offensive allemande, au cours de la bataille de Charleroi, qui se déroule au milieu du mois d'août 1914, plusieurs centaines de civils sont passés par les armes. Les victimes de ce qui fut appelé le Massacre de Tamines, à l'instar de celui de Dinant, furent honorées dans un cimetière leur étant entièrement dédié, autour de l'église de Tamines.

Population et société

Démographie : Commune fusionée

En tenant compte des anciennes communes entraînées dans la fusion de communes de 1977, on peut dresser l'évolution suivante:

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</timeline> Les chiffres des années 1831 à 1970 tiennent compte des chiffres des anciennes communes fusionnées.

  • Source: DGS , de 1831 à 1981=recensements population; à partir de 1990 = nombre d'habitants chaque 1 janvier

Économie

En 2006, revenu de 2005, le revenu annuel moyen disponible s’élevait à Modèle:Unité par habitant.

Administration communale et Politique

Bourgmestres de Sambreville<ref>Bourgmestres</ref>

Codes indicatifs

Le code postal pour l'entité (et ses 7 anciennes communes) est le 5060. L'indicatif téléphonique est le: +32 71; le 071 en Belgique.

Patrimoine

Préhistoire

  • Grotte de Claminforge, à Falisolle
  • Menhir de la Roche qui tourne, à Velaine

Le menhir de Velaine-sur-Sambre est une pierre brute, plantée en terre comme une grande borne et constituée par un bloc de grès extrait d’une sablonnière voisine. Cette pierre, qui mesure 3,10 mètres de haut et qui a une circonférence, à un mètre du sol, d’environ 5,40 mètres, fut certainement dressée en cet endroit par nos lointains ancêtres du Néolithique.

La légende raconte que cette roche faisait un tour sur elle-même lorsque minuit sonnait à la ferme de Fayat, située au Nord sur le territoire de Saint-Martin. Le site de Velaine-Sur-Sambre tel que nous le connaissons aujourd’hui n’est plus qu’un très faible reflet de ce qu’il était au départ, c’est-à-dire, un complexe beaucoup plus vaste.

Une autre légende explique aussi le nom de ce mégalithe. Un paysan fatigué d’avoir fauché son champ de très bonne heure, décida de se reposer au pied de cette pierre. Il s’endormit d’un long et profond sommeil. A son réveil, il fut étonné d’apercevoir le soleil derrière lui. Ne pouvant croire qu’il avait dormi douze heures, il en conclut que la pierre avait tourné et, à toutes jambes, courut au village annoncer l’événement. Et le nom de «Roche qui tourne» a franchi les ans.

Localisation : rue d’Onoz à Velaine.

Moyen Âge

La vieille tour de Tamines daterait de la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle serait restée quasiment intacte depuis sa construction. Elle possède 4 étages, une latrine, une cheminée et des fenêtres à banquettes. Il est peu probable qu’elle ait servi de lieu d’habitation, car même si elle possède les caractéristiques d’une maison fortifiée, ses dimensions sont très réduites pour être confortable. Elle servait peut-être de refuge en cas de danger.

Synthèse inspirée du livret « Trois maisons fortes du moyen âge : Amay, Fernelmont et Tamines » edité en 1974 par le Centre belge d’Histoire rurale (Louvain – Gent).

Localisation : rue Sous-la-Ville à Tamines (propriété privée).

Temps Modernes

En 1792, notre pays est sous le Régime français. Les pillages et destructions révolutionnaires font des ravages dans les abbayes et les églises de nos régions. Dom Grégoire Pierlot, alors prieur d’Oignies, confie les pièces d’orfèvrerie de la communauté aux époux Jeanne et Philippe Moussiaux, fermiers à Falisolle. Ensemble, ils les emmurent dans une pièce de la ferme. Elles y resteront cachées pendant 24 ans. Le Directoire décrète la suppression des entités religieuses (abbayes, couvent …) et la confiscation de leurs biens. La congrégation des moines se disperse. Plus jamais, elle ne se reformera. En 1817, Philippe Moussiaux meurt et sa veuve ne peut garder la ferme. Elle prévient Dom Grégoire Pierlot. Celui-ci confie alors à l’abbé Lambotte, curé de Falisolle, l’ensemble des pièces dissimulées, avant de les déposer, un an plus tard, auprès de la toute jeune congrégation des sœurs de Notre-Dame, fondée par Jule Billiart et dont il est l’aumônier. L’ensemble des pièces sauvées par la volonté de quelques personnes : reliquaires, calice, plats de reliure … constitue aujourd’hui un Trésor mondialement (re)connu.

Pièces concernant le dépôt des Saintes reliques confié (sic) à notre Supérieure Générale la Mère St Joseph en 1818, par le Prieur d’Oignies. «Je soussigné, desservant de la paroisse de Falisolle, certifie que Jeanne-Joseph Lecocq, veuve de Philippe Joseph Moussiaux, ma paroissienne, m’a déclaré qu’elle était dépositaire des reliques et autres objets d’église qui avaient été confiés à son mari et à elle par messieurs les religieux d’Oignies en 1794; que son feu mari et elle-même avaient aidé à transporter ces dites reliques et pièces du monastère à sa maison; que ces mêmes reliques et pièces, dès le même moment soigneusement renfermées dans un grand coffre ou caisse, sans qu’aucun objet étranger y ait été mêlé, ont été conservées dans une pièce retirée dont l’entrée a demeuré maçonnée et inaccessible depuis lors à qui que ce soit d’étranger jusqu’au 27 juin 1817, jour auquel après l’ouverture de la maçonnerie, la dite déclarante les a remises entre nos mains telles qu’on les lui avait confiées en présence de Monsieur Pierlot, révérend Prieur d’Oignies, qui s’était alors rendu à ma paroisse pour cette fin. .le déclare en outre que j’ai conservé avec soin ces mêmes reliques et objets depuis que j’en suis dépositaire, et que ce sont ces mêmes reliques et objets que j’ai fait transporter à Namur et déposer chez les Sœurs de Notre-Dame le 22 mai et 20 juin de la présente année selon l’avis de Monsieur le Révérend Prieur. En foi de quoi la dite Jeanne Lecocq et moi, curé de ladite paroisse, avons signé la présente déclaration à Falisolle le 21 juin 1818». (signé) Jeanne-Joseph Lecocq, veuve. J. F. Jos. Lambotte, curé desservant.

Petit historique du trésor Le trésor d’Oignies est un ensemble de pièces liturgiques d’orfèvrerie mosane réalisé par Hugo d’Oignies au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Hugo d’Oignies œuvre (vers 1228) au sein du prieuré d’Oignies dont le prieur, Gilles de Walcourt, est le frère d’Hugo. Hugo sera soutenu par le théologien Jacques de Vitry (+/-1160 – 1240) qui est évêque et deviendra cardinal. Jacques de Vitry est en aussi le confesseur de la Bienheureuse Marie d’Oignies (1177 – 1213) qui vit dans une communauté de béguines installée près du prieuré. Le trésor sera emmuré à Falisolle en 1794 pour échapper aux pillages des révolutionnaires (voir ci-dessus). En 1818, le trésor sera confié à la congrégation religieuse des Sœurs de Notre-Dame de Namur. Il aboutira enfin au Musée provincial des Arts anciens du Namurois où il est présenté au public.

  • Château ferme du Quirini à Keumiée, {{#switch: e
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Quadrilatère blanchi en briques et pierre bleue sur bas calcaire du XVIIème et surtout des XVIIIème et XIXème siècles, aux bâtisses disposées autour d’une grande cour rectangulaire en gros pavés. Une partie faisant un dénivellement marqué recevait le fumier. Traversant l’aile Nord-Est, le porche d’entrée s’ouvrant par un porche surbaissé par des pierres en saillie pour faire liaison avec le mur de la grange blanche du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Aile Nord-Est, datée sur une pierre de 1810 abritant les anciennes remises à voitures et des étables sous bâtière d’éternit. En retour d’équerre, des dépendances contemporaines ont été érigées. Face à l’entrée, se dresse un très grand corps de logis à trois niveaux daté 1886 sur un écu scellé dans la façade en briques et pierre bleue ponctué à l’arrière d’une tour carrée. Ce bâtiment à l’allure de Château accueille deux logis. A gauche, allongement de la construction dans le même style réalisé au début du XXème. A droite, on découvre un enclos vide grillagé avec de belles niches en pierre qui étaient destinées aux chiens de chasse. A l’extérieur du château, se trouve un four en calcaire chaulé où l’on pétrissait la pâte, réalisé dans la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Commentaire provenant du site http://www.sambreville.be

Localisation : rue de la Ferme à Keumiée (propriété privée)

Époque contemporaine

  • Nombreux monuments aux morts dans les villages de l'entité
  • Le cimetière français, à Auvelais, où reposent des soldats français de la Première Guerre mondiale.
  • Le cimetière des fusillés, disposé autour de l'église de Tamines, présente les tombes de 380 civils tués en août 1914 par l'armée allemande.

Toutes périodes

94 arbres, 15 groupes d'arbres et 12 haies sont classés comme remarquables. Voir aussi la liste du patrimoine immobilier classé de Sambreville.

Jumelage

Personnalités

Photographies

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

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Lien interne

Liens externes

Bibliographie

  • J. Fichefet, Nouvelle histoire de Tamines, Gembloux, 1963.

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