Sery (Ardennes)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Bandeau homonymie Modèle:Infobox Commune de France
Sery (nommée également Séry localement) est une commune française, située dans le département des Ardennes en région Grand Est.
Géographie
Localisation
Sery fait partie d'une région naturelle appelée le Porcien. Le village s'est d'ailleurs appelé Sery-en-Porcien, même si cette appellation n'est plus usitée. Le Porcien est une région rurale, légèrement vallonnée, formant une transition nette entre la Champagne crayeuse et ses grandes étendues dénudées, d'une part, et le bocage des crêtes préardennaises d'autre part<ref name=Guelliot1931>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Relief et hydrographie
La partie Nord Ouest du territoire communal est constituée d'une butte, appelée Les Monts de Sery, avec une altitude atteignant Modèle:Unité. Cette partie domine la vallée d'une rivière, le Plumion, qui traverse le territoire communal du Nord-Est au Sud-Ouest, la rivière étant à environ Modèle:Unité d'altitude. De l'autre côté de la rivière, le relief remonte avec une butte plus étendue, appelée La Côte de Champagne, limite de la Champagne crayeuse, en dehors du territoire communal pour l'essentiel et s'étendant sur plusieurs autres communes. La partie habitée du bourg est en partie sur le versant des Monts de Sery, et pour une deuxième partie, plus basse, dans la vallée du Plumion. Différents ruisseaux alimentent le Plumion, dont le ruisseau de Mesmont ou ruisseau de GrandChamp qui s'étend sur Modèle:Unité et sur sept communes dont Sery<ref name=Fequant2000>Modèle:Article.</ref>,<ref name=PatrimoineNaturelMontsSery>Modèle:Article.</ref>.
Principaux lieux-dits et écarts
Au nord des habitations du village, sur la butte appelée Les Monts de Sery, à l'extrémité est de cette butte, un lieu-dit bien connu s'intitule Camp romain, interprété comme le rappel d'une occupation à l'époque gallo-romaine. Un autre lieu-dit des Monts de Sery, plus à l'ouest, est la Côte de Sainfoin (le sainfoin est une plante fourragère probablement cultivée là autrefois). Un écart au nord-est, vers Mesmont, s'appelle Beaumont-en-Aviotte (de awia, l'eau). À l'est, un autre écart, sur la route D 3 vers Novion-Porcien s'intitule La Malmaison. Un manoir, entouré de bâtiments de services disposés en carré, y est construit à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par le seigneur de Mesmont et de la Malmaison, et est vendu comme bien national lors de la Révolution de 1789. Au sud du territoire communal se trouvent la Ferme de Couversy (une ancienne cense appartenant longtemps à des religieux de Laon et vendue comme bien national, là encore, lors de la Révolution de 1789) et le Moulin de Séry, moulin à eau sur le Plumion. Un moulin à vent a existé également sur une butte légèrement à l'est du village (un moulin en bois, à pivot, élevé sur charpente, avec cabestan, détruit pendant la Première Guerre mondiale). Un lieu-dit Le Moulin à Vent subsiste<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Voies de communication et transports
Les voies de communications sur Séry sont des voies routières, des routes départementales. Il s'agit en particulier de la D 3 allant notamment de Château-Porcien à Novion-Porcien, deux communes un peu plus importantes du Porcien, en passant par Inaumont. Deux autres départementales traversent le territoire communal, la D10, du nord au sud, et la D35, arrivant de l'ouest (Les Monts de Sery) pour se diriger vers le nord-est et Mesmont.
Une ancienne voie romaine, parallèle à la D3, à quelques mètres de cette voie, est encore partiellement observable, par exemple par des lignes au sol avec les matériaux de construction remontant à la surface à la suite de travaux agricoles. C'est une voie romaine dite «secondaire», mais pour autant relativement importante puisqu'elle reliait Reims à Warcq, à la Meuse, et au-delà à Cologne et à la Hanse. Elle a été utilisée jusqu'au Moyen Âge<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Sery est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,9 %), prairies (23,8 %), forêts (8,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), zones urbanisées (1,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Ernest Nègre, dans son ouvrage consacré à la Toponymie générale de la France, indique sur Séry (écrit avec un accent sur le e) que l'origine de ce nom vient d'un nom propre romain, Serius, auquel le suffixe acum a été ajouté. Il cite différentes variantes mentionnées au fil des siècles dans les textes, comme Siriacum en 1237, Ceris en 1242, Seris en 1275<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Histoire
L'hypothèse d'une occupation romaine du site dit du Camp romain a été formulée à plusieurs reprises, mais elle n'a pas été vérifiée<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name=Reperes>Modèle:Article.</ref>. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la région subit des invasions de peuples germaniques : l'Empire romain s'écroule.
Des seigneurs Guy de Sery (Guy {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}, Guy II) sont évoqués au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dans la chronique de Gislebert de Mons, ayant des liens familiaux avec les châtelains de Mézières et les sires de Rumigny, et vassaux du comte de Château-Porcien. Il s'agit d'alleutiers qui se sont rendues maîtres de plusieurs domaines fonciers dont la terre de Sery<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name=OriginesSeigneurie>Modèle:Article.</ref>. Guy III de Sery pourvoit la Vieille Ville (le village dans sa partie basse) d'une charte de franchises en 1236. La Franche Ville (le village dans sa partie haute) est, à l'époque, un nouveau village qui dépend d'une charte communale dite « loi de Vervins ». Les deux régimes sont différents<ref name=Reperes />. Durant les siècles suivant, la seigneurie ainsi constituée s'émiette : quelques décennies avant la Révolution française, le curé de Séry, répondant à une enquête épiscopale, compte 18 seigneurs en 1774, dont un seul réside sur place<ref name=SeigneurieXIV>Modèle:Article.</ref>,<ref name=Marby>Modèle:Article.</ref>. En 1607 d'ailleurs, Sery, Beaumont en Aviotte et La Malmaison sont représentés dans un Album de Croÿ parmi les terres du Porcien, dont cette famille de Croÿ est suzeraine<ref name=Reperes />,<ref name="Seydoux1997">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Il y a eu aussi deux châteaux édifiés durant l'Ancien régime, l'un près de l'église, qui subsiste, avec deux tours coiffées de poivrière, et un autre, aussi dit « château du bas », près de la route de Nouvion. Le château du bas, ayant souffert de la Première Guerre mondiale, est vendu comme ruines et sert pour partie à une exploitation agricole dans l'entre-deux-guerres. Les dernières tours sont utilisées pour leurs pierres.
Plusieurs épidémies touchent ce village au fil des siècles, dont une des plus importantes est la peste en 1636/1637 qui fait Modèle:Nombre en quelques mois. Un incendie important détruit la moitié du village au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, en 1807 ou 1808 (année différente selon les sources). Le village est envahi à chaque conflit franco-allemand des {{#switch: XX
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}}, notamment, pour des durées variables, à partir de 1815, 1870, 1914, 1940. Un monument aux morts, surmonté comme souvent de la statue d'un poilu, est inauguré en 1921, à la suite de la guerre de 1914-1918. Lors de la Seconde Guerre mondiale, un incendie détruit à nouveau en 1940 une partie importante du village. La WOL ou Wirtschaftoberleitung, organisme du ministère allemand de l'agriculture, chargé d'exploiter les terres sur certains territoires occupées, intervient également dans cette commune. En 1985, la Poste ferme son bureau sur place<ref name=Reperes />.
Politique et administration
Liste des maires successifs au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Élections nationales
À titre indicatif, lors de l'élection présidentielle française de 2017, sept candidats ont réuni plus de 1 % des Modèle:Nombre exprimés dans cette commune : Nathalie Arthaud de Lutte ouvrière (1,01 %), Nicolas Dupont Aignan de Debout la France (5,03 %), Benoît Hamon du Parti socialiste (7,04 %), Jean-Luc Melenchon pour La France insoumise (7,54 %), Emmanuel Macron pour En Marche ! (15,08 %), Francois Fillon pour Les Républicains (22,61 %) et Marine Le Pen pour le Front national (parti français) (32,41 %). Le taux de participation est de 84,45 % pour ce Modèle:1er tour dans cette commune. Au second tour de cette même élection, Marine Le Pen obtient 59,76 % des suffrages exprimés à Sery, contre Emmanuel Macron qui rassemble sur sa candidature, en ce lieu, 40,24 % de ces suffrages<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
La population de Séry s'est réduite fortement de 1850 à 1990 (Modèle:Nombre recensés en 1846 pour Modèle:Nombre en 1990) sous l'effet de l'urbanisation et de l'exode rural en France. Guy Féquant écrit en 2000 : Modèle:Citation<ref name=Fequant2000 />,<ref name=Lebrun2000>Modèle:Article.</ref>.
Enseignement
Cette commune ne dispose plus d'établissements scolaires<ref name=journaldesfemmes>Modèle:Lien web.</ref>.
Des écoles maternelles existent à Rethel, ou Château-Porcien, Tourteron, Coucy, Saulces-Monclin<ref name=journaldesfemmes />. Les écoles primaires à Rethel, Novion-Porcien, Wasigny, ou encore Novy-Chevrières.
Les collèges les plus proches sont à Rethel (privé ou public), Sault-lès-Rethel, Signy-l'Abbaye, ou encore Attigny. Pour les lycées, ils sont à Rethel y compris un lycée agricole<ref name=journaldesfemmes />.
Ces différentes communes des Ardennes sont situées dans l'Académie de Reims, qui dépend de la zone B<ref name=journaldesfemmes />.
Économie
La commune est en zone rurale et l'activité agricole y est toujours significative mais le nombre de fermes, d'exploitants agricoles et d'employés dans ce secteur d'activité s'est concentré au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, avec une certaine industrialisation de l'agriculture, similaire à ce qui s'est passé dans toute la France, et avec une réduction de l'activité d'élevage (ovin et bovin dans cette commune). L'Insee, en 2015, ne compte plus dans la commune que cinq agriculteurs exploitants<ref name="Fequant2000" />,<ref name=InseeEtudeLocale>Modèle:Lien web.</ref>.
Un inventaire des métiers dans le village en 1883, à une époque où la population était encore proche du millier d'habitants, mentionne un nombre significatif de métiers du commerce et de l'artisanat qui ont disparu localement durant ce Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : le nombre d'agriculteurs et de salariés agricoles vivant avec leur famille et travaillant sur place favorisait la pérennité d'autres types d'emplois, qui, depuis, ont décliné. Cet inventaire de 1883 cite ainsi comme métiers exercés dans la commune un aubergiste, trois bouchers, deux boulangers, trois charrons, un bourrelier, un coquetier (marchand ambulant d’œufs, beurre, lait, volailles, légumes, ..), quatre cafetiers, six débitants de boissons, trois épiciers, un marchand de faïence, un ferblantier, un quincaillier, une draperie/rouennerie, deux cordonniers, trois tailleurs d'habits, deux perruquiers (mais un coiffeur subsiste), trois merciers, un marchand de grains, trois maréchaux-ferrants, un tonnelier, un vannier, des marchands de bois à brûler et de charbon, etc.<ref name=Metiers1883>Modèle:Article.</ref>.
Cet inventaire indique également des métiers du bâtiment (un arpenteur-géomètre, des couvreurs, des maçons, des charpentiers, des vitriers, des peintres en bâtiments) : des entreprises locales et des salariés travaillant dans la commune ou à proximité subsistent également, ainsi, en 2020 qu'un paysagiste. Enfin, l'inventaire de 1883 cite, outre un curé et une sage-femme, des emplois dans l'administration (un appariteur, un garde champêtre, trois institutrices ou instituteurs, notamment). Les emplois dans l'administration, l'enseignement et la santé représentent désormais en 2015, selon l'Insee, dans ses statistiques dites «Connaissance locale de l'appareil productif (Clap)» un tiers des emplois de la commune, mais ne sont plus, pour une partie significative, exercés localement : il n'y a plus par exemple à Sery d'écoles, de bureau de poste, et d'administration autre que l'administration municipale<ref name=InseeEtudeLocale />,<ref name=Metiers1883 />.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine naturel des Monts de Sery
Ces monts sont réputés pour leurs points de vue, leur flore et leur faune, et intriguent par leur histoire. Ce site, qui domine une vallée et une voie romaine, a sans doute un intérêt archéologique qui n'a pas fait l'objet d'études pour l'instant. Montagne Solaire du Rethélois, et Montagne des fées, il constitue un lieu associé à des légendes locales<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=YannyHureaux>Modèle:Ouvrage.</ref>. Les feux de la Saint-Jean, christianisation de la fête païenne du solstice d’été, sont encore pratiqués à Sery, et constituent peut-être un reliquat de ces légendes liées au solstice d’été<ref name=YannyHureaux />.
Géologiquement, cette butte résulte du recouvrement du Porcien par des couches de craie, et s'est trouvée séparée de la Champagne crayeuse par des millénaires d'érosion. Des pratiques agricoles humaines (culture et élevage) l'ont ensuite lentement façonnée pour lui donner un relief en terrasses où chaque terrasse est séparée par un talus de 1 à Modèle:Unité de hauteur. Sur ces talus, des pelouses sèches et des haies se sont développées au fil des siècles. Mais avec l'abandon du pâturage et des cultures en terrasses, dans les années 1950 et 1960, ces talus et les secteurs en pelouse se sont embroussaillés. À partir de ces mêmes années 1960, le développement d'une agriculture intensive en lieu et place d'approches extensives a fait régresser les haies, les surfaces en prairie et les lignes des talus. Les pelouses ne couvrent plus que 10 % de la superficie du site au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle alors qu'elles représentaient encore 50 % de cette superficie en 1949. À l'inverse, des zones boisées fruticées ou en bois occupent 65 % de cette superficie alors qu'elles n'en couvraient que 5 % un demi-siècle plus tôt<ref name=PatrimoineNaturelMontsSery />. Les pelouses sèches permettaient le développement d'une diversité écologique, floristique (des orchidées, notamment, qui ne supportent pas les engrais azotés) et faunistique (oiseaux et papillons). Une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (la ZNIEFF 210009354) a été mise en place pour inventorier ces spécificités et protéger ce qui en subsiste<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Monuments
- L'église du Moyen Âge a été restaurée à la Renaissance, pour le transept et le chœur<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Elle possède, sur le mur sud, un très bel ensemble de statues dit " Litanies de la Vierge" ainsi qu'une statue en bois<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
- Le château de Séry dans la rue devant l'église. Dit aussi château du haut, c'est un logis en pierres blanches encadré de deux tours coiffées d'une poivrière. Il a sa chapelle castrale. Sur la gouache de 1607, dans Album de Croÿ, où il est représenté dans la vue du village à cette époque, à côté de l'église, il était flanqué de trois ou quatre tours. Il a appartenu avant la Révolution de 1789 à différentes familles, parmi les nombreux seigneurs de Sery, notamment la famille Le Danois (dont Gérard Le Danois qui rend aveu en 1470 à Antoine de Croÿ), la famille de Beaufort, la famille de Failly, la famille d'Ivory, etc.<ref name="Seydoux1997" />.
- Le bâti dans le bourg : un nombre significatif de granges attenantes à des fermes-habitations ou indépendantes, et quelques maisons à pans de bois et torchis, caractéristiques des maisons anciennes du Porcien<ref name=Bati>Modèle:Article.</ref>.
-
La mairie-école.
-
Le château.
-
L'église.
Personnalités liées à la commune
- Robert de Séry (1686-1733), né à Sery-en-Porcien et mort à Paris, peintre français.
- Jean-Baptiste Choisy (1742-1820), homme politique révolutionnaire et cultivateur, y est né. Il devient cultivateur de la ferme d'Arcefays (en Argonne) puis député du tiers état pour le bailliage de Châlons-sur-Marne en 1789 et un des rares cultivateurs de l'Assemblée constituante de 1789. Il redevient d'ailleurs cultivateur de la ferme d'Arcefays en 1791, à la fin de son mandat de député dans cette assemblée.
- Achille Paroche (1868-1933), tireur sportif, médaillé olympique et champion du monde, y est né.
Notes et références
Notes
Cartes
Références
Liens externes
Articles connexes
- Sery est une étape de la Route du Porcien.
- Liste des communes des Ardennes