Tarnac
Modèle:Voir paronymes Modèle:Infobox Commune de France
Tarnac est une commune française située dans le département de la Corrèze, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Localisation et accès
Commune du Massif central, Tarnac est située dans le département de la Corrèze. Elle est limitrophe des départements de la Creuse et de la Haute-Vienne.
Elle est située sur le plateau de Millevaches, à Modèle:Unité au nord de Bugeat et à Modèle:Unité au nord-ouest de Meymac et à Modèle:Unité de la sous-préfecture d'Ussel.
Les gares SNCF les plus proches sont Bugeat et Meymac. Les aéroports les plus proches sont Brive, Limoges et Clermont-Ferrand.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Le bourg de Tarnac se trouve à une altitude d'environ Modèle:Unité.
Morphologie urbaine
Le bourg se situe au centre de la commune, avec une cinquantaine de villages rattachés dont la majorité des maisons sont des résidences secondaires.
Selon le classement établi par l’Insee en 1999<ref>Page INSEE [1]
Cheminement : sur la petite carte de France, onglet Départements, puis choisir le département, puis menu déroulant Couches d'aide à la sélection</ref>, Tarnac est une commune rurale non polarisée, qui ne fait donc partie d’aucune aire urbaine ni d’aucun espace urbain.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Peyrelevade », sur la commune de Peyrelevade, mise en service en 1965<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Tarnac est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,8 %), prairies (19,1 %), zones agricoles hétérogènes (14,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,6 %), zones humides intérieures (1,4 %), terres arables (0,6 %), zones urbanisées (0,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Tarnac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 16,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 38 sont en aléa moyen ou fort, soit 9 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval des barrages de Bort-les-Orgues, de Marèges, de l'Aigle et de Neuvic d'Ussel, des ouvrages de classe AModèle:Note soumis à PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Tarnac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Le toponyme est d'origine gallo-romaine, voire celtique. D'après Marcel Villoutreix<ref>Marcel Villoutreix Les Noms de lieux du Limousin, témoins de l'Histoire d'une région, Association des Antiquités historiques du Limousin, Limoges 2002</ref>, Tarnac est issu d'un nom d'homme gaulois ou latin, Tarinus ; d'après Jean-Paul Savignac<ref>Jean-Paul Savignac, Merde à César, La Différence, Paris, 2000, Modèle:P..</ref> du théonyme Taranus, plus connu sous la forme de Taranis, dieu gaulois du tonnerre. De toute façon, un troisième auteur, Xavier Delamarre<ref>Xavier Delamarre Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance, Paris, 2003</ref> rattache aussi bien Tarinus que Taranus à une racine taro signifiant « qui traverse. » Il est vrai qu'à proximité de Tarnac, la vallée de la Vienne est très encaissée et donne l'impression de traverser la montagne.
Histoire
Époque gauloise
Le territoire de l'actuelle commune de Tarnac est habité environ depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle En témoignent les quelque 27 tertres funéraires identifiés sur une ligne de crête partant du Puy Besseau au sud et remontant jusqu'aux Grands-Champs au nord. Les datations par le carbone 14 effectuées sur deux de ces tertres ont donné des résultats compris entre 55 av. J.-C. (+ ou - 135) pour le plus ancien et 200 (+ ou - 85) pour le plus récent<ref name="Lintz1">Modèle:Article.</ref>. La persistance, en pleine époque gallo-romaine, de ce type d'inhumation est passablement surprenante et semble témoigner du maintien tardif de la culture antérieure par au moins une partie de la population. La commune de Tarnac appartenait au territoire des Lemovices.
Pourtant, le lion du Theillet, visible dans l'église et d'époque gallo-romaine<ref>Site de l'Association de recherche historique et archéologique de Tarnac présentant le lion.</ref> indique, lui, que la pénétration du mode de vie romain a été bien réelle, au moins pour l'aristocratie foncière.
Moyen Âge
L'existence de Tarnac est attestée à l'époque carolingienne, d'abord sous la forme in centena Tarninense en 832, puis sous la forme in vicaria cujum est vocabulum Tarnacensem en 871<ref>Guy Lintz, Carte archéologique de la Gaule - La Corrèze, Académie des inscriptions et belles lettres, Paris, 1992</ref>. Ces deux appellations ne correspondent pas toutefois à celle utilisée couramment à l'époque mais à leur transcription en latin, langue administrative d'alors. La seconde est, selon toute vraisemblance, plus proche de la langue vulgaire que la première. Le terme vicaria n'a rien d'ecclésiastique, mais désigne une subdivision d'un comté carolingien (en l'occurrence, le comté de Limoges). Cette désignation tend à prouver que Tarnac a été l'un des plus vieux ancrages de population sur le plateau de Millevaches, alors que celui-ci semble avoir connu un déclin démographique important depuis le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
L'église de Tarnac est d'ailleurs l'une des plus anciennes du plateau de Millevaches et remonte au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Également d'époque médiévale, les fortifications du Puy Murat, dont subsistent quelques vestiges, et la grange templière du hameau de Champeau. Marius Vazeilles signale également les traces d'un donjon entre les hameaux de la Chapelle et de la Berbeyrolle.
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La paroisse de Tarnac jouait un rôle économique et social central sous l'Ancien Régime pour les villages alentour. De par ses dimensions (2,5 fois celle de Bugeat), le nombre de villages et sa situation d'une part. À savoir la proximité des bourgs appartenant aujourd'hui à la Creuse (Faux-la-Montagne) ou la Haute-Vienne (Rempnat, Nedde), sans compter la corrézienne Peyrelevade. On doit pouvoir ajouter le poids essentiel de plusieurs familles de notables ou nobles très influents (Mercier, Chauzeix, Pichard, notamment), bien au-delà du secteur géographique (la géographie des mariages est parlante). Le petit groupe de religieux (curé et vicaires) gérait également la paroisse du Toy (écrit soit Touet, soit Toit, ce qui indique bien l'origine étymologique). Cette dernière possédait son église et son propre cimetière. Ses différents actes et sacrements figurent sur les registres paroissiaux de Tarnac, où on peut les retrouver assez facilement.
D'après les relevés opérés par les curés dans ces mêmes registres, et les taux de natalité-mortalité admis pour l'époque, on peut résumer la démographie par ces quelques chiffres : une soixantaine de naissances - ou baptêmes annuels et 50 décès, une dizaine de mariages. Hors périodes de crises, fréquentes aux environs de 1700 (règne de Louis XIV). Avec une grande variabilité annuelle : de 25 à 70 B, de 4 à 25 M, de 30 à 85 S. ce qui permet une estimation de Modèle:Nb vers 1700 (dont 600 pour le bourg), à comparer aux 500 de Bugeat à même date. Un déclin assez net au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (Modèle:Nb vers 1800) et un maximum de Modèle:Nb en 1886. Une paroisse-commune très importante donc à l'échelle du plateau de Millevaches.
L'importance – prestige social, intérêt économique - déjà soulignée peut aussi se repérer au poids proportionnel des paroisses voisines dans les mariages hors-paroisse (1/3, alors que le « réservoir » local de conjoints était pourtant élevé). Tarnac représentait avant la Révolution 35 % du canton actuel, aujourd'hui seulement 20 %.
Modèle:S mini- et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Le 6 avril 1944, Jeudi Saint, pendant la Seconde Guerre mondiale, une compagnie d'une division allemande chargée de ratisser le plateau de Millevaches (division SS "B" / Brehmer, formée essentiellement de Caucasiens), venant du Sud-Ouest, commit de multiples exactions. À Tarnac, elle fusilla quatre Juifs dans la ville<ref>Jeudi Saint de Jean-Marie Borzeix</ref>. Ce sont, par ordre alphabétique, Henry Dresdner, 37 ans, né le 1er janvier 1907 à Cluj (Roumanie), Wolf Gretzer, 65 ans, né le 1er juin 1878 à Varsovie (Pologne), Meyer Monheit, 48 ans, né le 1er janvier 1896 à Tarnobrzeg (Pologne) et Léopold Scheinhaus, 57 ans, né le 24 août 1886 à Radislikus<ref>Voir, Klarsfeld, 2012.</ref>. Voir aussi L'Eglise-aux-Bois, Rempnat, Eymoutiers.
À partir du Modèle:Date-, le village devient le centre d'une enquête sur des sabotages visant Réseau ferré de France, enquête connue sous le nom de Modèle:Citation<ref>Modèle:Article.</ref>.
Héraldique
Modèle:Article détaillé Modèle:Blason-ville-fr
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section |
Économie
Lieux et monuments
Plusieurs édifices figurent à l'inventaire des monuments historiques :
- l'église Saint-Georges de style roman construite aux {{#switch: XIII
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}}, classée en 1919<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,
- un château du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dont le propriétaire est Yves de Kerdrel, la façade et la toiture sont inscrites depuis 1989<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,
- le village de Puy-Murat, vestiges d'un ensemble médiéval inscrit en 1993<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,
- la fontaine Saint-Georges qui alimente un lavoir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Deux chênes monumentaux sont plantés sur la place de l'Église<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Philippe Auliac, enquêteur<ref>Modèle:Article.</ref>,
- Yves de Kerdrel, journaliste, directeur de Valeurs Actuelles et propriétaire du château du village<ref>David Dufresne, Tarnac, magasin général, Calmann-Lévy, 2012, p. 16 sqq Modèle:Lire en ligne.</ref>,<ref>Ariane Chemin, « Tarnac, au bazar des libertés publiques », Le Monde, 1er mars 2012</ref>,
- Julien Coupat, mis en cause puis relaxé dans l'Affaire de sabotage des lignes TGV en 2008<ref>Modèle:Article.</ref>,
- Armand Gatti, poète, dramaturge, metteur en scène et cinéaste, entré au maquis, il est arrêté en 1943 à Tarnac<ref>Brigitte Salino, « Armand Gatti, miroir éclaté des utopies », Le Monde, 6 avril 2017</ref>.
Bibliographie
- Jean-Marie Borzeix. Jeudi Saint. Stock: Paris, 2008.Modèle:ISBN<ref>Jean-Marie Borzeix, 2008.</ref>.
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Jean-Marie Borzeix. One Day in France: Tragedy and Betrayal in an Occupied Village. Translated by Gay McAuley. Foreword by Caroline Moorehead. Publisher: I.B. Tauris, 2016. Modèle:ISBN, Modèle:ISBN<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Jean-Marie Borzeix. One Day in France: Tragedy and Betrayal in an Occupied Village, 2016.</ref>.
- Serge Klarsfeld. Le Mémorial de la déportation des Juifs de France. Beate et Serge Klarsfeld: Paris, 1978. Nouvelle édition, mise à jour, avec une liste alphabétique des noms. FFDJF (Fils et Filles des Déportés Juifs de France), 2012.
Notes et références
<references />
Notes et cartes
- Notes
- Cartes
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes de la Corrèze
- Communauté de communes Vézère-Monédières-Millesources
- Affaire de Tarnac