Traité de Corbeil (1258)
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Le traité de Corbeil de 1258 est un traité signé le Modèle:DateModèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Sfn au prieuré de Saint-Jean-en-l'IsleModèle:Sfn, à Corbeil-EssonnesModèle:Sfn,Modèle:Sfn, entre les représentants du roi d'Aragon Modèle:Souverain2Modèle:Sfn,Modèle:Note, et ceux du roi de France Modèle:Souverain2<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ce traité, le roi de France renonce à ses prétentions sur les comtés de la Marche d'Espagne et le roi d'Aragon renonce de son côté à certaines de ses prétentions dans le Languedoc (sauf Montpellier entre autres).
Présentation
Ce traité fixe la frontière du royaume de France au sud des Corbières, gardée côté français par les forteresses de Termes, Aguilar, Niort, Quéribus, Peyrepertuse et Puilaurens.
Modèle:Souverain- renonce à ses droits de suzerainetéModèle:Sfn sur le comté de BarceloneModèle:Sfn,Modèle:Sfn et les autres comtés catalansModèle:Sfn, dont le Roussillon et la CerdagneModèle:Sfn.
En contrepartie, Modèle:Souverain- renonce, d'une part, au Fenouillèdes et au Peyrepertusès, et cède les châteaux de Puylaurens, Fenouillet, Castel Fizel, Peyrepertuse et QuéribusModèle:Sfn.
Le roi d'Aragon renonce, d'autre part, à ses droits de suzeraineté sur :
- les comtés de Toulouse et de Saint-Gilles ainsi que sur le Quercy, la vicomté de Narbonne et l'Albigeois, territoires dépendants du comte de Toulouse mais inféodés en Modèle:Date par le comte Modèle:Souverain3 au roi Modèle:Souverain3Modèle:Sfn ;
- les comtés de CarcassonneModèle:Sfn et de RazèsModèle:Sfn, Béziers, le Lauraguais et le Minervois, cédés en Modèle:Date par le roi Modèle:Souverain3 au vicomte Modèle:Souverain- de BéziersModèle:Sfn ;
- Nîmes et AgdeModèle:Sfn ;
- Millau, le Gévaudan et une partie du RouergueModèle:Sfn.
Modèle:Souverain- ne conserve que la seigneurie de Montpellier, la vicomté de Carlat et la baronnie d'AumelasModèle:Sfn.
Notes et références
Notes
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