Traité de Corbeil (1258)

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Fichier:Sceau de Guillaume de Roquefeuil - Traité de Corbeil.gif
Sceau de Guillaume de Roquefeuil
Fichier:Borne frontière Puig-Pedros.jpg
Montalba-le-Château, sur Puig Pedrós : borne-frontière du traité de Corbeil (1258) qui marque l'ancienne frontière entre les royaumes de France et d'Aragon. Au loin : le massif du Canigou.

Le traité de Corbeil de 1258 est un traité signé le Modèle:DateModèle:Sfn,Modèle:Sfn,Modèle:Sfn au prieuré de Saint-Jean-en-l'IsleModèle:Sfn, à Corbeil-EssonnesModèle:Sfn,Modèle:Sfn, entre les représentants du roi d'Aragon Modèle:Souverain2Modèle:Sfn,Modèle:Note, et ceux du roi de France Modèle:Souverain2<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ce traité, le roi de France renonce à ses prétentions sur les comtés de la Marche d'Espagne et le roi d'Aragon renonce de son côté à certaines de ses prétentions dans le Languedoc (sauf Montpellier entre autres).

Présentation

Ce traité fixe la frontière du royaume de France au sud des Corbières, gardée côté français par les forteresses de Termes, Aguilar, Niort, Quéribus, Peyrepertuse et Puilaurens.

Modèle:Souverain- renonce à ses droits de suzerainetéModèle:Sfn sur le comté de BarceloneModèle:Sfn,Modèle:Sfn et les autres comtés catalansModèle:Sfn, dont le Roussillon et la CerdagneModèle:Sfn.

En contrepartie, Modèle:Souverain- renonce, d'une part, au Fenouillèdes et au Peyrepertusès, et cède les châteaux de Puylaurens, Fenouillet, Castel Fizel, Peyrepertuse et QuéribusModèle:Sfn.

Le roi d'Aragon renonce, d'autre part, à ses droits de suzeraineté sur :

Modèle:Souverain- ne conserve que la seigneurie de Montpellier, la vicomté de Carlat et la baronnie d'AumelasModèle:Sfn.

Notes et références

Notes

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Références

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Voir aussi

Bibliographie

Article connexe

Liens externes

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