Trentels
Modèle:Infobox Commune de France
Trentels Modèle:API-fr est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Géographie
Localisation
La commune est située à mi-chemin entre Fumel (12 km) et Villeneuve-sur-Lot (15 km).
Modèle:Carte communes limitrophes
Géologie et relief
Elle est située sur la rive droite du Lot qui constitue une région alluvionnaire datant du Quaternaire<ref>Modèle:Article.</ref>. Le substrat est calcaire ou formé de molasses.
Hydrographie
Le Lot traverse la commune<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les ruisseaux de la commune affluents du Lot sont, d'amont en aval, le Fon Goudal, la Tourte et La Carral qui sert de limite avec Saint-Sylvestre-sur-Lot.
Climat
Le climat est du type océanique aquitain : doux et humide avec une tendance méditerranéenne l'été. Les données ci-dessous proviennent de la station météorologiques la plus proche à Gourdon (Lot), située à 60 km.
Urbanisme
Typologie
Trentels est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,6 %), forêts (7,5 %), prairies (6,8 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (2,8 %), zones urbanisées (1,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Lieux-dits, hameaux et écarts
Outre le village, deux hameaux font partie de la commune : Ladignac et Lustrac.
Voies de communication et transports
Trentels est situé sur la D911 reliant Villeneuve-sur-Lot à Fumel et possède une halte ferroviaire à Ladignac de la ligne Périgueux-Agen du réseau TER Aquitaine de la SNCF.
Risques naturels et technologiques
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Trentels est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993, 1999, 2003, 2008, 2009 et 2021<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002, 2003, 2009, 2011, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risque technologique
La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval dans le Cantal et de Sarrans en Aveyron, des ouvrages de classe AModèle:Note. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Toponymie
À la différence de Ladignac on ne connaît pas l'origine du nom de Trentels. Comme beaucoup d'autres villes ou villages son orthographe a varié au cours du temps. Ainsi :
- Sur les cartes de Cassini publiées en 1781 et 1783 on trouve le nom de Treintel<ref name="Cassini1781"/>,<ref name="Cassini1783"/>.
- Sur des documents de l'an II (1793) on trouve l'orthographe Trenteils<ref name="Cassini"/>.
- Sur le bulletin des lois de 1801 on trouve le nom de Trentel<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
Le lieu
La région est occupée dès le paléolithique comme en témoigne la grotte ornée de Cassegros<ref name="Camilli"/>.
Les Nitiobroges peuplent la région agenaise au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle avant notre ère. Il subsiste de cette occupation un oppidum au sommet de la colline de Cassegros. Ils sont défaits en 56 av. J.-C. par les légions romaines. Au début du premier millénaire les romains installent des villas à Trentels, Ladignac et Paillé. Il n'en subsiste que quelques tegulae et le nom de Ladignac qui signifie villa de Latinus (ou Latinius).
La période troublée qui va jusqu'à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle ne laisse pas de trace. Il est certain que les populations locales on souffert durant cette période par les évènements intéressant la vallée du Lot. D'abord avec les invasions des Wisigoths au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle puis celles des Normands en 866. Au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle le catharisme qui a prospéré dans la région est éradiqué par Simon de Monfort entre 1212 et 1214 avec la prise de Penne-d'Agenais puis la remontée vers Cahors. À cette époque les troupes « vivent sur le pays ». Les populations sont encore affectées par la Guerre de Cent Ans qui, dans la région, commence en 1324 avec la destruction de la bastide de Saint-Sardos.
C'est à cette époque que l'on note la création du moulin fortifié (1296) puis du château de Lustrac par Foulques de Lustrac. Un bac est créé vraisemblablement à la même époque. Naudonnet de Lustrac, descendant de Foulques s'illustre durant la Guerre de Cent Ans, en particulier dans la défense de son château.
Si l'on ajoute à cette guerre l'épidémie de peste noire en 1348, la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle voit une région ayant perdu les trois quarts de ses habitants en un siècle. Les seigneurs locaux ont recours à une immigration venant de l'Agenais et du Poitou.
La commune ne sera pas davantage épargnée par les guerres de religion à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Ladignac étant un fief réformé, cette religion s'étant développée sous l'impulsion de Marguerite de Lustrac.
La Révolution française n'entraîne que des troubles mineurs et l'exil ou l'emprisonnement temporaire des nobles possédant les seigneuries de Lustrac, Trentels, Laval et des Ondes. Cette période verra la création de la première école communale publique à Ladignac en 1796. Une école de garçons sera ouverte à Trentels en 1844. Il faudra attendre 1881 pour la création d'une école communale de filles en remplacement d'une école libre préexistante.
Les guerres napoléoniennes sont lointaines et peu d'habitants y participent. Au contraire la Première Guerre mondiale entraînera une véritable saignée avec la perte de 41 individus sur une population d'environ 130 hommes en âge de porter les armes. Cela aura pour conséquences une baisse de la population jusque dans les années 50 et un déficit de main-d'ɶuvre dans l'agriculture.
Les moyens de communication
Quand [[Édouard Ier (roi d'Angleterre)|Édouard {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] reprend possession de l'Agenais, en 1279, après le traité d'Amiens, il entreprend de rendre navigable le Lot pour faciliter le transport des marchandises du Quercy vers Bordeaux. Pour cela fait construire onze barrages à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle dans le bailliage de Penne, dont deux sur l'actuelle commune de Trentels à Lustrac et aux Ondes. Les écluses actuelles « à la hollandaise » sont construites à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, à l'initiative de Colbert<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il se crée une importante activité de navigation fluviale (descente de bois et de charbon du Massif Central, de vins de Cahors, de produits de fonderie de la vallée de la Lémance, remontée de poisson séché et de produits manufacturés). En l'An II on dénombre 41 marins et un chantier naval à Ladignac où a été créé un second bac en 1476. Le lot est déclassé comme voie navigable en 1926 et le dernier bac, peu sûr<ref>Modèle:Lien web.</ref> disparaît en 1937. La restauration récente des écluses est destinée à permettre l'utilisation touristique.
Ce déclassement est dû pour partie à la création de la ligne Périgueux-Agen en 1863. Elle est exploitée à ses débuts par Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne avec une création de gare à Ladignac.
La commune
Sur les cartes de Cassini publiées en 1781<ref name="Cassini1781">Modèle:Lien web.</ref> et 1783<ref name="Cassini1783">Modèle:Lien web.</ref> Treintel et Ladignac forment deux communautés distinctes.
À une date antérieure à 1806 ces deux communes sont rattachées à Penne-d'Agenais. Elles en sont détachées en 1839 pour former une commune unique (voir Liste des anciennes communes de Lot-et-Garonne).
Politique et administration
Découpage territorial
Commune et intercommunalités
Modèle:Article connexe Trentels appartient à la communauté de communes Fumel Vallée du Lot.
Élections municipales et communautaires
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
Équipements et services publics
Enseignement
La commune possède une maternelle et une école primaire qui dépendent de l'Académie de Bordeaux (Rectorat de Bordeaux) et de l'Inspection académique de Lot-et-Garonne.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Le premier recensement connu, en 1797, donne pour Trentels 515 habitants et pour Ladignac 535<ref name="Camilli"/>. Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 32,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 27,3 % la même année, alors qu'il est de 33,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 50,96 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,04 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Manifestations culturelles et festivités
L'association culturelle « Plein Vent » créée en 1986 organise le festival des Musiques du Monde autour de l'accordéon : « Accordéons-nous à Trentels » tous les ans durant le week-end de l'Ascension<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sports et loisirs
Le club compte un club de Rugby à XIII , l'Modèle:Lien. Ce club dispute en 2023 le championnat fédéral<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Économie
Revenus de la population
En 2015, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Euro, ce qui plaçait Trentels au 24 312e rang parmi les Modèle:Unité de plus de Modèle:Unité en métropole<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises
94 entreprises sont présentes sur le territoire de la commune dont 45 liées à une activité de culture ou d'élevage.
Éco-village
Une expérience de communauté économique basée sur l'écologie et l’expérimentation d’un revenu de base en monnaie citoyenne locale<ref>Modèle:Lien web.</ref> appelée l'abeille<ref name="DemosKratos">Modèle:Lien web, documentaire centré sur l'éco-village de Trentels</ref> a débuté en 2014<ref>Modèle:Article.</ref>. La permaculture y est pratiquée. Le but de cet éco-village est avant tout de tisser des liens sociaux, notamment les échanges avec les producteurs locaux et régionaux, afin de créer un milieu à la fois humainement résilient et résilient pour la nature<ref name="DemosKratos" />.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
-
Le château de Laval. -
Château de Lustrac. -
Moulin fortifié de Lustrac.
- Église paroissiale Saint-Christophe<ref>Vistes en Aquitaine : Église paroissiale Saint-Christophe dite église de Trentels</ref>.
- De l'édifice roman construit dans la période Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle-Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle il subsiste le chevet plat, coupole au carré du transept. L'église a été reconstruite au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Église Saint-Jean de Ladignac<ref>Visites en Aquitaine : Église paroissiale Saint-Jean dite église de Ladignac</ref>.
- Elle est construite au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Des chapelles sont accolées aux Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. L'église a été restaurée au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Château de la Chapelle<ref>Château de la Chapelle-Trentels</ref>.
- Il est construit dans la période Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle-Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
- Château Les Roques.
- Construit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Il est inscrit aux monuments historiques en 1982.
- Il date des Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Il est inscrit aux monuments historiques en 1976.
- Manoir de Labadie.
- Construit au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, il n'en reste qu'une partie du corps de logis. Il figure encore sur le plan cadastral de 1830<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Manoir des Ondes<ref>Visites en Aquitaine : Château des Ondes</ref>.
- Il est construit ou reconstruit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle avec le moulin sur le Fon Goudal. Il est vraisemblablement lié à l'écluse éponyme. Ne subsiste de l'édifice que le corps de logis, les autres parties ayant été détruites au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle pour la construction d'une route et de la voie ferrée.
- Écluses de Lustrac<ref>Visites en Aquitaine : Site d’écluse sur le Lot</ref> et des Ondes.
- Ces écluses sur le Lot font partie des 11 ouvrages construits à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle sur ordre de [[Édouard Ier (roi d'Angleterre)|Édouard {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] pour rendre la rivière navigable.
- Moulin de Lustrac sur le Lot et château de Lustrac
- Ces deux ouvrages datent de la période Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle-Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et sont inscrits à l'inventaire des monuments historiques en 1988. Le site lui-même a fait l'objet d'une décision de protection en 1982<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- C'est une grotte paléolithique ornée inscrite aux monuments historiques en 1996.
Personnalités liées à la commune
- Foulque de Lustrac (vers 1265 - après 1311), fondateur du château de Lustrac et de la lignée des Lustrac.
- Arnaud dit Naudonnet de Lustrac (vers 1395-1470) qui s'est illustré au cours de la guerre de Cent Ans au service du roi de France Charles VII<ref name="Camilli"/>.
- Marguerite de Lustrac (1526 - 1597), dite la belle maréchale de Saint-André<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Jord Cochevelou, (ré)inventeur de la harpe celtique, père du chanteur et musicien Alan Stivell, fut réfugié à Trentels dans la famille Broussy à la suite de l'exode de 1940, avant de remonter vers l'Auvergne<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Héraldique
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes