Par arrêté du Modèle:Date-, depuis le Modèle:Date-, Vaire-le-Petit et Vaire-Arcier<ref>En 1974, Vaire-Arcier était né de la fusion entre Vaire-le-Grand et Arcier.</ref> fusionnent pour former une commune nouvelle de Vaire. Le chef-lieu de la nouvelle commune est fixé sur l'ancienne commune<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La commune, allongée et composée de plusieurs hameaux séparés, s'étale le long de la rivière Doubs, au pied du premier plateau du Massif du Jura.
Les importantes sources d'Arcier sont une résurgence des pertes du plateau de Saône. Elles sont captées et acheminées jusqu'à la ville de Besançon.
Toponymie
de Vaira en 1264 ; Varre en 1282 ; Verre en 1289 ; de Varres en 1298 ; Vayres en 1302 ; Vairra en 1311 ; Varra en 1329 ; Verre en 1584 ; Verre la Grange en 1614 ; Le Grand Vaire en 1652 ; Vaire-le-Grand depuis 1780 - Courcelles : Courcelles de 1304 à 1574 ; Corcelotte en 1574 ; Corcelles en 1748 ; La Grange de Courcelle de 1784 à l'an III ; Courcelotte en 1789 - Arcier : Arcun en 1049 ; Ercey en 1181 ; Arcès en 1318 ; Arcey en 1488, fusionnée avec Vaire-le-Grand depuis le 1/04/1974, moins le territoire de La Canaie, rattaché à Chalèze<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Les sources d'Arcier étaient exploitées dès l'époque romaine. Un aqueduc cimenté et enterré, encore très visible par endroits permettait déjà d'acheminer l'eau jusqu'à la grande ville romaine de Vesontio (Besançon). L'aqueduc suivait le Doubs en passant par Chalèze, la Malate puis sous la porte de la ville de Besançon connue sous le nom de "Porte taillée" et dont l'ouverture prend justement son origine dans le passage de l'aqueduc. L'aqueduc se terminait par un bassin de répartition situé square Castan, sous le bâtiment actuel du Conseil régional.
Il y a aussi un château à Arcier, qui a été construit au 19ème siècle et qui comprend un pavillon de chasse (Pavillon Saint-Marc) datant du 17ème siècle.