Varennes-sur-Seine
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Varennes-sur-Seine est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
Varennes-sur-Seine est à Modèle:Unité au sud-ouest de Montereau-Fault-Yonne<ref group=Carte>Modèle:Géoportail.</ref>.
Communes limitrophes
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Géologie et relief
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L'altitude varie de Modèle:Unité à Modèle:Unité pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ Modèle:Unité d'altitude (mairie) <ref>Modèle:Géoportail Carte IGN classique.</ref>.
Hydrographie
Le réseau hydrographique de la commune se compose de neuf cours d'eau référencés :
- la Seine, fleuve long de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref> en limite nord-ouest de la commune, ainsi que :
- un bras de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref> ;
- un bras de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref> ;
- une vidange de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, qui conflue dans un bras de la Seine ;
- le ruisseau d'Air, Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, et ;
- une vidange de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, qui confluent avec la vidange de la Seine ;
- une vidange de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, qui conflue dans un bras de la Seine ;
- une vidange de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre, qui se jette dans La Seine</ref> ;
- la dérivation de Varennes Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref> ;
- l’Yonne, longue de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, principal affluent gauche de la Seine.
La commune est aussi baignée de quelques plans d’eau, lacs et étangs.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 3 juillet 2019</ref>.
Climat
Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles<ref name="MEDDE-Natura1">Modèle:Lien web.</ref>.
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte name=GeoNatura2000>Modèle:Géoportail.</ref> :
- la « Bassée et plaines adjacentes », d'une superficie de Modèle:Unité, une vaste plaine alluviale de la Seine bordée par un coteau marqué au nord et par un plateau agricole au sud. Elle abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d’une avifaune très riche<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Varennes-sur-Seine comprend une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref>,<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte name=GeoZNIEFF>Modèle:Géoportail.</ref>, l'« Étang du Grand Marais au Petit Fossard » (Modèle:Unité)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. , et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/>, la « vallée de la Seine entre Vernou et Montereau » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
-
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Varennes-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Montereau-Fault-Yonne, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Lieux-dits et écarts
La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref> dont Maison Rouge, le Petit Fossard (source : le fichier Fantoir).
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,6% ), zones urbanisées (19,1% ), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (15,6% ), zones agricoles hétérogènes (11,2% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8% ), prairies (6,2% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,7% ), mines, décharges et chantiers (2,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
-
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du Modèle:Date- a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de Modèle:Unité et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le Modèle:Date-, porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois Modèle:Unité et trois communautés de communes<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 1 549 dont 70,3 % de maisons et 28,5 % d'appartements<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>.
Parmi ces logements, 91,1 % étaient des résidences principales, 1,7 % des résidences secondaires et 7,1 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 61,4 % contre 36,7 % de locataires<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 10 juin 2020</ref> dont, 24,1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)<ref group="Note">Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).</ref> et, 1,9 % logés gratuitement.
Voies de communication et transports
Voies de communication
Transports
La commune est desservie par les lignes suivantes :
- Ligne 18A du réseau de bus Vallée du Loing - Nemours ;
- Lignes Ea et Eb du réseau de bus Pays de Montereau ;
- Lignes 3250 et 3261 du réseau de bus Provinois - Brie et Seine.
Toponymie
Modèle:... Le nom de la localité est mentionné sous les formes Warannes vers 1172<ref>Longnon, I, p. 50.</ref> ; Decima de Varennis en 1173<ref>Dom Marrier, p. 307.</ref> ; Vaurannes en 1243<ref>Annales Gâtinais, XVII, 1899, p. 57.</ref> ; Varannae en 1255<ref>Cartulaire de N.-D. Paris, II, 231.</ref> ; Varannes en 1265<ref>Longnon, I, p. 221.</ref> ; Varanes en 1276<ref>Longnon, II, p. 94.</ref> ; Varainnes en 1289<ref>Longnon, II, p. 512.</ref> ; Varesnes vers 1332<ref>Longnon, I, p. 431.</ref> ; Warennes lez Mousterel en 1354<ref>Archives nationales, S 6363.</ref> ; Les granches et les marais de Varannes en 1463<ref>Archives nationales, P 131, fol. 139.</ref> ; Varennes sur Seyne en 1505<ref>Archives nationales, P 1651, n° 1810.</ref> ; Varene les Montereau fault Yonne en 1564<ref>Archives nationales, P 1651, n° 1887.</ref>.
Pluriel de l'oïl varenne « terrain où il est défendu de chasser ou de pêcher sans la permission du seigneur »<ref>Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France: Tome 3, Page 1492.</ref>.
Le nom de Varennes-sur-Seine a été substitué à celui de Varennes par décret du Modèle:Date-.
La Seine est un fleuve français qui coule dans le Bassin parisien.
Histoire
Modèle:... Des fouilles archéologiques ont mis au jour, sur le lieu-dit du « grand marais », une fosse à céréales, contenant les squelettes de six femmes inhumées durant le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle
Le Modèle:Date-, le roi Louis XI confirma les privilèges de la ville octroyés par Charles VI auparavant, par ses lettres patentes, lors de son séjour à Provins<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Politique environnementale
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Varennes-sur-Seine est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=EaufranceCol>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. La communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la SAUR, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2026<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Pays de Montereau (CCPM) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le Modèle:Date-, contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Enseignement
- Écoles maternelle et primaire, collège et lycée.
Manifestations culturelles et festivités
Médias
Le Varennes info, instauré par José Ruiz, recense toutes les activités, actions et nouvelles de la commune.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 1 434, représentant 3 560 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 20 140 euros<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section « Revenus et pauvreté des ménages », consulté le 4 novembre 2020</ref>.
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 1 833, occupant 1 291 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 61,1 % contre un taux de chômage de 12,4 %.
Les 26,6 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,6 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,4 % de retraités ou préretraités et 8,6 % pour les autres inactifs<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section « Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017 », consulté le 4 novembre 2020</ref>.
Entreprises et commerces
En 2017, le nombre d'établissements actifs était de Modèle:Nobr dont Modèle:Nobr dans l'agriculture-sylviculture-pêche, Modèle:Nobr dans l’industrie, Modèle:Nobr dans la construction, Modèle:Nobr dans le commerce-transports-services divers et Modèle:Nobr étaient relatifs au secteur administratif<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Caractéristiques des établissements fin 2017», consulté le 15 janvier 2021</ref>.
Ces établissements ont pourvu 1 666 postes salariés.
En 2019, Modèle:Nobr ont été créées sur le territoire de la commune, dont Modèle:Nobr individuelles.
Au Modèle:1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2020», consulté le 15 janvier 2021</ref>.
Agriculture
Varennes-sur-Seine est dans la petite région agricole dénommée la « Bassée » ou « Basse Seine », au sud-est du département<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>.
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 9 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Varennes-sur-Seine, observées sur une période de Modèle:Unité :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique<ref name="AgriGéné"/>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref> | |||
Nombre d’exploitations (u) | 9 | 7 | 4 |
Travail (UTA) | 21 | 14 | 9 |
Surface agricole utilisée (ha) | 773 | 1 061 | 607 |
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web.</ref> | |||
Terres labourables (ha) | 763 | 1 055 | 596 |
Céréales (ha) | 470 | 690 | 367 |
dont blé tendre (ha) | 293 | 465 | 239 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 111 | 90 | s |
Tournesol (ha) | 59 | s | |
Colza et navette (ha) | s | s | 63 |
Élevage<ref name="AgriGéné"/> | |||
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) | 595 | 19 | 34 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Lambert construite entre les {{#switch: XV
| e | er | = {{#switch: XV
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
| Modèle:S mini-{{#ifeq: XV|-| – | XV }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XV|-| – | XV }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}
}}. Inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1946<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.
- Le parc de la Sauvagerie aménagé par Édouard André pour le parfumeur Eugène Rimmel (ancienne orangerie, pavillons exotiques anglo-chinois, roseraie).
- L'espace naturel du Grand Marais, propriété de Pro Natura Ile-de-France, conservatoire régional d'espaces naturels d'Ile-de-France, et géré par l'Association des Naturalistes de la Vallée du Loing et du massif de Fontainebleau<ref>http://www.anvl.fr/wp-content/uploads/2014/01/PDF_panneaugrandmarais.pdf</ref>.
- Le site archéologique du « Marais du Colombier », Groupe de Villeneuve-Saint-Germain, Néolithique ancien<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Eugène Rimmel (1821-1887), parfumeur et homme d'affaires français, est inhumé dans un caveau de l'ancien cimetière communal.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes