Ville morte (grève africaine)
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Modèle:Rédaction Modèle:Voir homonymes Le terme « villes mortes » ou blocus général est né au début des années 1990 avec le large mouvement de démocratisation des pays africains.
Les jeunes partis d'opposition ont fait face aux pouvoirs en place en dénonçant le manque d'écoute de ces derniers. La seule solution invoquée par ces partis était d'appeler la population à la grève générale, ici caractérisée par la fermeture des commerces, des services et des entreprises. En Modèle:Date-, la force et la contrainte des jeunes organisés en groupes (au Cameroun : Cap liberté) a paralysé toute la ville de Douala et les grandes agglomérations de l'ouest et du littoral. Les dégâts ont été graves au Cameroun où le régime a été inflexible.
Bibliographie
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} D. Malaquais , Blood Money: A Douala Chronicle, in « African Cities Reader», 2003 (lire en ligne) p. 137-149.