Villiers-sur-Loir
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Villiers-sur-Loir est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher en région Centre-Val de Loire.
Le gentilé est Villiersois. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
À vol d'oiseau, la commune est située à Modèle:Unité au nord-ouest de Vendôme<ref> Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Unité de Naveil<ref> Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Unité de Thoré-la-Rochette<ref> Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Unité de Mazangé<ref> Modèle:Lien web.</ref> et à Modèle:Unité d'Azé<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
À l'intérieur de la métropole, la commune la plus éloignée de Villiers-sur-Loir est Bonifacio, à Modèle:Unité (distance à vol d'oiseau)<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Villiers est le nom ou partie de nom de Modèle:Nobr françaises.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq autres communes : Modèle:Communes limitrophes
-
Localisation de la commune dans l'arrondissement de Vendôme (Loir-et-Cher).
-
Localisation de la commune dans le canton de Vendôme (Loir-et-Cher).
-
Localisation de la commune dans la communauté de communes du Vendômois rural (Loir-et-Cher).
Géologie et relief
La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; son altitude varie de Modèle:Unité/2<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Hydrographie
Le Loir forme la limite naturelle (Modèle:Unité) entre Villiers-sur-Loir et Thoré-la-Rochette. Cette rivière peut être traversée au pont de Chantereine : en bois jusqu'en 1904, le pont fut remplacé par un pont métallique puis par le pont actuel, en béton, inauguré en 1984.
Voies de communication et transports
Le territoire communal est desservi par les routes départementales 5, 67 et 957.
La commune est traversée par la ligne LGV Atlantique (branche Aquitaine) et abrite la gare TGV de Vendôme-Villiers-sur-Loir.
Urbanisme
Typologie
Villiers-sur-Loir est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vendôme, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Villiers a pris le nom de Villiers-sur-Loir en 1918.
En 1190, il est fait mention de l'église de Villeriis. Entre le {{#switch: et le
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XVII|-| – | XVII }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et le|-| – | et le }}Modèle:S mini- siècle
}} (carte de Cassini), le nom évolue également en Villariis, Villers, Villius<ref name=dico>Modèle:Lien web.</ref>.
Voies
À Villiers, c'est en 1972 qu'on dénomma les rues.
50 odonymes recensés à Villiers-sur-Loir au Modèle:Date- | ||||||||||||||||||
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Allée | Ave. | Bld | Carr. | Chemin | Cité | Clos | Imp. | Pass. | Place | Pont | Rampe | Route | Rue | Ruelle | Square | Tertre | Autres | Total |
1<ref group=N>Allée de la Closerie.</ref> | 5<ref group=N>Avenue des Rondaizes, Avenue du 11 novembre, Avenue du Petit Thouars, Avenue Pierre Armand Colin et Avenue Ronsard.</ref> | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1<ref group=N>Impasse de la Butte.</ref> | 0 | 1<ref group=N>Place Fortier.</ref> | 0 | 0 | 0 | 39<ref group=N>Dont Rue du 8-Mai.</ref> | 1<ref group=N>Ruelle Bûcheron.</ref> | 0 | 0 | 2<ref group=N>Autres voies non identifiées en relation avec des écarts, lieux-dits, hameaux, zones industrielles, lotissements, résidences, quartiers, parcs, etc.</ref> | 50 |
Notes « N » | Modèle:Références | |||||||||||||||||
Sources : rue-ville.info & perche-gouet.net & OpenStreetMap |
Histoire
L'histoire la plus ancienne du village et des familles nobles ayant eu Villiers parmi leurs possessions est retracée dans le remarquable ouvrage de Raoul de Saint-Venant (1845-1927): le Dictionnaire du Vendômois, publié de 1912 à 1917 sous les auspices de la société archéologique dont il était encore président. Pour Villiers, tome 4 pages 291 et suivantes (vue en ligne 147 et suivantes)<ref name=dico/>.
Villiers-sur-Loir a fait partie des peu nombreuses communes restées attachées aux valeurs républicaines dès le coup d'État de Modèle:Date- de Louis-Napoléon Bonaparte et des plébiscites du même mois qui débouchent sur l'instauration du second empire et l'abolition de la République. À l'origine de cette forte implantation locale du courant républicain, se trouvaient, dès 1851, des hommes comme le docteur Silly (1808-1892), et d'autres comme l'instituteur de Villiers, Jean-Baptiste Michel Launay (1817-1897) révoqué pour ses idées et activités politiques (il resta à Villiers où il exerça la profession d'arpenteur) ou bien encore René-Claude Noulin<ref>Modèle:Lien web.</ref> (1809-1893), cabaretier à Naveil et qui fut déporté en Algérie pour les mêmes raisons<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Leur influence fera que la commune de Villiers-sur-Loir sera la seule, du canton à voter "non" à 64 % lors du plébiscite de 1870.
La commune de Villiers-sur-Loir, comme beaucoup d'autres de la région, a durement souffert de la guerre de 1870-1871. Cette triste période, les souffrances de la population et les batailles livrées dans les alentours immédiats, ont été rapportées et décrites par Henri Mésange, ancien maire et membre de la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois dans un article paru en 1978 dans la revue de ladite société (pages 47 à 64)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
37 Villiersois sont morts pour la France au cours de la guerre 1914-1918 et 4 au cours de la guerre 1939-1945<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin Depuis le Modèle:Date-, la commune de Villiers sur Loir est rattachée à l'intercommunalité dénommée « Territoires vendômois » qui regroupe 66 communes et plus de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 27,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 30,6 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 51,2 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,45 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Enseignement
La commune de Villiers-sur-Loir dépend de l'académie d'Orléans-Tours et de l'Inspection académique de Loir-et-Cher. Elle administre une école maternelle et une école élémentaire communales<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Ernest Fortier, riche notable, achète en 1854 une closerie qu'il agrandit en 1855, mais ruiné, il quitte la commune en 1885. La commune achète la closerie en 1889 et la transforme en école qui est inaugurée les Modèle:Nobr. En 1968, l'école est agrandie durant la mandature de Louis Gatien dont le nom sera donné à l'école. En 2001, elle est encore agrandie (cantine et garderie) et la bibliothèque municipale prend place dans ce nouveau bâtiment.
Santé
Hôpital et clinique à Vendôme.
Médecins généralistes à Vendôme et bourgs environnants. Pharmacie à Mazangé et Vendôme.
Économie
Viticulure :<ref>Modèle:Lien web.</ref> 2 appellations sont autorisées sur le territoire de Villiers-sur-Loir :
- - le Coteaux du Vendômois est un label français AOC (Appellation d'Origine Contrôlée) et un label européen AOP (appellation d'origine protégée). C'est un vin tranquille et sec, produit en blanc (cépage Chenin), gris (cépage pineau d'Aunis) et rouge (cépages pineau d'Aunis pour au moins 50 %, pinot noir, cabernet ou gamay). Une petite partie du blanc est récoltée en vendanges tardives pour produire un blanc moelleux ;
- - le Val de Loire est un label européen IGP (Indication Géographique Protégée). À noter que le label IGP remplace le label VDP (Vin De Pays) depuis 2009. Il possède également la mention « régional ». La mention « Régional » signifie que l’IGP possède l'aire légale de production du vin la plus vaste possible, celle de « Val de Loire » regroupant 14 départements. Ce vin est produit en blanc, rosé et rouge (vins secs et tranquilles).
Une étude sur l'économie du Vendômois au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> indique que si la viticulture a été présente dès le Moyen Âge dans la région et a longtemps pris une place très importante dans la région de Vendôme, son importance a ensuite diminué au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et que « à Villiers, paroisse la plus viticole de l’arrondissement, l'enquête de l'an X (1802) ne mentionne que 260 arpents de vigne (soit 215 ha) contre 550 septrées de terres labourables (341 ha) et 48 quartiers de pré (10 ha). Le premier cadastre, établi pendant l’Empire, indique de même que les vignes n’occupent que 30 % du terroir, contre 53 % pour les terres labourables ».
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Monuments historiques
L'église Saint-Hilaire est classée depuis le Modèle:Date-<ref name="mérimée">Modèle:Base Mérimée.</ref>
Cette église paroissiale dédiée à saint Hilaire est aussi placée sous le vocable de saint Gilles. Elle a été construite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et fut complètement remaniée après la période troublée de la guerre de cent ans, aux XVe et XVIe siècles. Un clocheton en forme de poivrière surplombe l’édifice. Il succède à une flèche plus élevée et plus large détruite par un ouragan en 1836 et qui contenait deux cloches de taille différente<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les deux chapelles latérales : chapelle de la Vierge au nord, chapelle Saint-Jacques au sud datent du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Les vitraux se trouvant dans ces deux chapelles furent offerts par la famille Du Petit Thouars à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et début Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Deux cimetières se trouvaient près de l'église : le « vieux » cimetière au nord et le cimetière Saint-Jacques au sud. Le cimetière actuel date de 1810. Le monument aux morts y fut élevé en 1923.
La nef présente de remarquables peintures murales du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elles ont été découvertes puis dégagées dans les années 1920 par le peintre Eugène Canivet, chargé de refaire l'intérieur de l'église.
- une représentation murale du Dit des trois morts et des trois vifs : trois jeunes gentilshommes, qui chassent au faucon, sont interpellés près d'un cimetière par trois morts, qui leur rappellent la brièveté de la vie et l'importance du salut de leur âme.
- un Saint Christophe inachevé de très grande taille.
- Sainte Barbe représentée près d'une tour dans laquelle son père l'aurait fait enfermer pour l'empêcher de se convertir au christianisme.
- Un saint chevalier casqué (Saint-Louis ?) et un évêque (Saint-Hilaire ?)
- Saint Éloi, qui coupe le pied d'un cheval rétif, le ferre et le remet en place.
-
Le Dit des trois morts et des trois vifs
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Sainte Barbe et la tour
-
Saint chevalier et évêque
À l'intérieur de cette église, de nombreux objets sont « classés »<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> :
- statue : Saint André
- bâton de procession de confrérie : Saint Vincent
- ornement : étole, manipule, voile de calice
- autel, deux gradins d'autel, tabernacle, retable, tableau : Jésus rappelant à ses parents, la Vierge et saint Joseph, sa mission divine, quatre statues (maître-autel)
- banc d’œuvre
- statue : Christ en croix
- statue : saint Jacques
- retable de la chapelle Saint-Jacques
- stalles (jouées de)
- clôture de chœur (table de communion)
- lutrin (aigle-lutrin)
- peintures monumentales de la nef : dit des trois morts et des trois vifs (le), saint Christophe, scène de la vie de saint Éloi
- console
- devant d'autel
- stalles
- cabinet
- deux sièges de célébrant (siège d'officiant)
- vantail de la porte de la sacristie
- chasuble, deux dalmatiques : l'Arbre de Jessé, scènes de la vie du Christ et de la Vierge.
Autres lieux et monuments
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Saint Hilaire.
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Côté sud de l'église.
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Jacquemart, (légende du trou du serpent).
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Le jacquemart, la légende.
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Allée de la Vallée.
Patrimoine lié à l'eau
Le Dictionnaire du Vendômois publié entre 1912 et 1917 par Raoul de Saint-Venant et la Société archéologique, scientifique et littéraire du Vendômois (voir tome 4 pages 147 et ss)<ref name=dico/> donne de nombreuses indications sur ce type de patrimoine :
Le territoire de la commune comprend une trentaine de puits à manivelle d'une profondeur variant de 8 à 40 mètres. Un premier puits artésien a été creusé en 1868 (143 mètres) sur la propriété d'Ernest Fortier, alors maire. Un deuxième a été creusé vers 1875 sur le domaine de la Vallée. Un troisième, communal, a été creusé en 1888 (140 mètres), suivi d'un quatrième également communal.
La commune comptait trois lavoirs, un sur le Loir et deux alimentés par des puits artésiens. Le premier a disparu et les deux autres ne sont plus en fonction.
Un château d'eau avec puits artésien fut construit par M. Ernest Fortier sur sa propriété en 1868 pour son usage personnel. Il alimentait également le lavoir de « la muraille blanche ». Le surplus d'eau s'évacuait sur un fossé menant au Loir. Un château d'eau communal a été construit en 1936-1937. Il était alimenté par le puits artésien foré en 1888 et a permis la mise en service du réseau de distribution d'eau potable. Il a été remplacé par l'actuel, construit en 1968.
La commune dispose de deux plans d'eau :
- l'étang de Riotte intercommunal Naveil - Villiers, espace de Modèle:Nobr dédié essentiellement à la pêche et à l'observation de la nature ;
- le plan d'eau du Vendômois intercommunal, aménagé à la suite des travaux de la ligne TGV Atlantique. Inauguré en 1990, d'une superficie de Modèle:Nobr sur une emprise de Modèle:Nobr, il offre diverses activités : voile, baignade, pêche…. Il bénéficie depuis 2010 du classement national Pavillon Bleu d'Europe qui est un label de qualité, relatif aux eaux de baignade.
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Pont métallique à Chantereine (1904).
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Pont de Chantereine, aujourd'hui.
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Puits de la Boissière.
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Citerne et puits artésien Fortier (1868), aujourd'hui.
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Lavoir de la Lampe.
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Lavoir de la Muraille blanche.
Légende du trou du Serpent
Cette légende, très populaire, ainsi que d'autres relatives à des dragons en pays vendômois, a été relatée notamment par l'abbé Simon dans son Histoire de Vendôme et de ses environs parue en 1835 [1](pages 73 à 76). Au temps du roi mérovingien Childebert Ier qui résidait dans la région, un dragon terrorisait la population. Son repaire était une grotte creusée dans le rocher, vers Saint-André. Le roi ordonna à Brayanus, un de ses prisonniers, de tuer ce monstre en échange de sa liberté. Celui-ci, à bord d'un char aux roues équipées de longues lames d'acier bien aiguisées, lança son attelage à bride abattue alors que le monstre buvait à la rivière. Il le coupa en trois morceaux. C'est cette légende qui est représentée par un jacquemart installé dans le centre du village.
Personnalités liées à la commune
- Anne Demerson (1786-1872), morte au château de la Berthelotière où s'était retirée.
- François, Charles, Léon SILLY (1808-1892) médecin, républicain et opposant au second empire<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est le fils du général Pierre Louis François Silly
- Abel Bergasse Dupetit-Thouars (1832-1890), officier de marine, héros du Pérou, inhumé au cimetière de Villiers, commune où se trouve la résidence familiale.
- Meven Mordiern (1878-1949), écrivain de langue bretonne, y passa son enfance.
- Nicolas Risler-Tournier (1827-1899), architecte, est mort au château de La Vallée.
- Yves Dartois (1901-1974), pseudonyme de Henri Jean Yves Ruelle, auteur de roman policier, de littérature d'enfance et de jeunesse et de littérature populaire. Il disposait d'une résidence secondaire à Villiers-sur-Loir.
- Irène Frain (1950), femme de lettres, romancière, journaliste et historienne, possède avec son mari une demeure familiale rue du Coudray<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
Villiers, un village au fil des siècles d'Henri Mésange, paru en Modèle:Date- Modèle:ISBN