Wanderers Football Club

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Entête label Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Club de football

Le Modèle:Lang est un club de football anglais, actif entre 1859 et 1887. Principalement composée d’élèves des écoles privées de Londres, l’équipe des Modèle:Lang a dominé les premières années du football anglais, en remportant notamment les deux premières éditions de la Modèle:Lang, la plus ancienne compétition nationale de football au monde.

Jusqu’à la première édition de la Coupe d’Angleterre, lancée fin 1871, le club ne joue que des rencontres amicales, les règles variant de match en match. Même après la formation de la Fédération anglaise de football en 1863, dont les Modèle:Lang sont un des membres fondateurs, le club continue à pratiquer le football avec des règles différentes de celles de la fédération. Il devient néanmoins une des équipes de pointe du football anglais : outre ses deux premières éditions, les Modèle:Lang remportent trois victoires successives en Coupe d’Angleterre en 1876, 1877 et 1878, un exploit qui n’a été répété qu’une seule fois depuis.

Parmi les joueurs qui ont porté ce maillot, deux ressortent tout particulièrement : Charles Alcock, souvent considéré comme le « père du football moderne », et Arthur Kinnaird, Modèle:11e Lord Kinnaird, considéré comme le plus grand joueur des premières années du football. En accord avec leur nom qui signifie « les Vagabonds », les Modèle:Lang n’ont jamais eu de stade attitré et ont joué sur différents terrains de Londres et de ses environs.

Au milieu des années 1880, le club perd de sa superbe et commence à décliner. Les dernières années, il ne dispute plus qu’un seul match par an contre Modèle:Lang, l’école d’origine d’un grand nombre des membres du club. Les Modèle:Lang disparaissent complètement après décembre 1887… pour renaître 122 ans plus tard, en 2009. Le club participe depuis à des matchs caritatifs en faveur de l’UNICEF et dispute un championnat amateur régional.

Histoire

Formation du club

Photo noir et blanc prise en 1863 de l’équipe du Forest Football Club
La seule photo connue de l’équipe, prise en 1863 alors que le club porte encore le nom de Modèle:Lang.

Le club est créé sous le nom de Modèle:Lang en 1859 par quelques élèves des écoles privées de Londres, dont Charles Alcock, qui a terminé son cursus scolaire à Modèle:Lang la même année<ref name="Football">Modèle:Ouvrage.</ref>. Les sources sur le club sont très rares. Les deux principales sont le journal Modèle:Lang et les écrits de Charles Alcock lui-même, par l’intermédiaire de son livre Modèle:Lang publié en 1906. Au cours de ses deux premières années d’existence, les footballeurs se réunissent à Snaresbrook, près d’Epping Forest, vraisemblablement sur un terrain appartenant au comte de Mornington<ref group="C" name="ref_auto_6">Modèle:Harvsp</ref>. Les premiers temps du Modèle:Lang consistent en une série de rencontres informelles et amicales : les footballeurs inscrits au club forment des équipes qui s’affrontent entre elles. Grâce à ces matchs amicaux, le club édite en 1861 une série de règles sur le jeu pratiqué en son sein. Basées sur celles de Cambridge adoptées en 1848, elles sont très proches de celles de Modèle:Lang<ref group="C" name="ref_auto_6" />.

La première rencontre du Modèle:Lang contre une autre équipe a lieu le Modèle:Date contre le Crystal Palace<ref group="Note">Il ne s’agit pas du Crystal Palace Football Club qui existe toujours, mais d’un homonyme et prédécesseur, créé en 1861 et actif jusqu’en 1876 date à laquelle il disparaît. Le club n’a connu que très peu de succès lors des débuts du football en Angleterre. Sa meilleure performance est une demi-finale de la Coupe d’Angleterre en 1872.</ref> et se termine par une victoire de Forest<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>. Ce match, ainsi que le match retour joué le mois suivant, sont disputés par des équipes de 15 joueurs<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>,<ref group="Note">Les quinze joueurs de cette première partie sont J. F. Alcock et son frère Charles Alcock, H. Bigland, C. Bigland, C. Jackson, G. W. Mackenzie, J. Morgan, J. Pardoe, J. Robertson, C. Tebbut, A. Tebbut, M. Saville, J. E. White, F. W. Woodward et A. W. Mackenzie.</ref>. En effet, à cette époque, les règles en vigueur pour le football ne sont pas encore complètement stabilisées. Le football n’est pas encore codifié et plusieurs variantes cohabitent, notamment quant au nombre de joueurs présents dans les équipes, l’interdiction ou pas d’utiliser les mains ou la méthode utilisée pour marquer un but.

1863 est une année charnière pour le club. Deux de ses membres le représentent lors de la fondation de la fédération d'Angleterre de football. Le club adopte les règles mises en avant par cette dernière et occupe grâce à l’influence de ses dirigeants une position forte dans le football londonien. Il dispute sa première saison d’ampleur avec dix matchs ; le Modèle:Lang en remporte sept et fait trois fois match nul. Il n’encaisse que deux buts, les deux au cours du même match<ref group="C" name="ref_auto_5">Modèle:Harvsp</ref>. Le Modèle:Date, la toute nouvelle fédération anglaise organise le premier match officiel soumis à ses règles. Deux équipes créées pour l’occasion s’affrontent : l’une est sélectionnée par le président de la fédération, l’autre par le secrétaire. Parmi les joueurs choisis, plusieurs représentent le Modèle:Lang : A. Pember, C. Alcock et A. M. Tebbut dans l’équipe du président et J. F. Alcock et C. M. Tebbut dans celle du secrétaire. Charles Alcock marque les deux buts de la partie<ref group="C" name="ref_auto_7">Modèle:Harvsp</ref>.

Le Modèle:Date<ref group="C" name="ref_auto_5" />, le club joue son premier match sous le nom de Wanderers Football Club contre le Modèle:Lang<ref group="Note">Le No Name Club, basé dans le quartier londonien de Kilburn, est un des onze clubs fondateurs de la Modèle:Lang le Modèle:Date.</ref> de Kilburn, un quartier de Londres<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>. Alcock, qui vient de succéder à Mackenzie au poste de secrétaire des Modèle:Lang, a décidé, peut-être à cause du coût élevé de la maintenance d’un stade, de faire de son club un club « sans domicile fixe », c’est-à-dire sans terrain de référence pour ses matchs joués à domicile. De nombreux membres du club s’opposent à cette décision, en vain<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Des personnalités pourtant parmi les plus importantes de l’« ère Forest » disparaissent immédiatement des annales, comme F. Alcock, le frère de Charles Alcock, mais aussi J. Pardoe et le secrétaire du Forest A. W. Mackenzie. La transformation a donc occasionné une véritable scission dans le groupe qui existait depuis 1859. L’autre raison de la transformation du club pourrait être son « ouverture » aux footballeurs non directement issus de Modèle:Lang ou des grands établissements scolaires fréquentés par l’aristocratie londonienne. Toutefois, cette primauté donnée aux « Old Harrovians » ne semblait déjà plus la règle depuis 1863, car seuls sept membres de l’équipe sur les vingt-neuf qui ont joué la saison 1863–1864 étaient d’anciens élèves de cette école<ref group="C" name="ref_auto_7" />. Mais la transition entre les deux clubs ne se fait pas immédiatement. Lors de la saison suivante, l’équipe du club joue sous les deux noms, Modèle:Lang et Modèle:Lang. On retrouve même la trace d’un match joué entre les deux appellations. Après 1865, il n’existe plus de trace d’un match disputé sous le nom de Modèle:Lang<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>. Les Modèle:Lang obtiennent de bons résultats : ils ne perdent qu’un seul match sur les seize joués lors de la saison 1865–1866. Les quatre années qui suivent sont beaucoup plus compliquées. Les résultats déclinent significativement et Alcock éprouve de plus en plus de difficultés à réunir onze joueurs pour disputer les rencontres du club. Il lui arrive même d’emprunter des joueurs aux équipes adverses<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>. Pendant cette période, le club joue de nombreux matchs à Battersea Park et fait du Kennington Oval son terrain semi-officiel<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>.

Cinq succès en Coupe d’Angleterre

Lors de la saison 1870–1871, les Modèle:Lang mettent un terme à leur mauvaise période et retrouvent leur niveau des premières années : ils ne perdent que cinq de leurs trente-sept matchs disputés<ref group="C" name="ref_auto_3">Modèle:Harvsp</ref>. Au début de la saison suivante, la fédération anglaise, sur une suggestion d’Alcock, organise la première Coupe d'Angleterre de football, alors appelée Football Association Challenge Cup. La compétition adopte la structure d’une épreuve par élimination directe et est ouverte à tous les membres de la fédération.

1871–1872

Modèle:Article détaillé

Photo noir et blanc de Morton Betts en tenue de cricket
Morton Betts, seul buteur de la première finale.

La toute première coupe d’Angleterre met aux prises quinze équipes, toutes originaires du sud de l’Angleterre. Les deux adversaires de la finale sont les Modèle:Lang et le Modèle:Lang. Grâce aux règles en vigueur pour cette première édition de la Modèle:Lang, les Modèle:Lang se qualifient pour la finale en ne remportant effectivement qu’un seul match lors des quatre tours de qualification. Au premier tour, leur adversaire, le Modèle:Lang, équipe constituée d’anciens élèves de Modèle:Lang, déclare forfait. Au deuxième tour, les Modèle:Lang battent le club de Modèle:Lang sur le score de 3 buts à 1<ref name="RS-1872">Modèle:Lien web.</ref>. En quart de finale, le club affronte Modèle:Lang. La rencontre se solde par un match nul et vierge 0–0, mais plutôt que de faire rejouer le match, le règlement de la compétition autorise les deux équipes à disputer automatiquement le tour suivant<ref group="W">Modèle:Harvsp</ref>. En demi-finale, les Modèle:Lang sont opposés à un club écossais, le Modèle:Lang, qui s’est qualifié sans jouer le moindre match, ses adversaires ayant tous déclaré forfait<ref name="RS-1872" /> et le déplacement en Écosse étant trop long et trop onéreux pour des joueurs officiellement amateurs. Le règlement de la compétition prévoit que toutes les demi-finales doivent se disputer au Modèle:Lang à Londres. Le match se termine sur le score de 0 à 0 et les deux équipes doivent jouer un match d’appoint. Les Écossais, dans l'impossibilité de faire une deuxième fois le déplacement de Glasgow vers la capitale anglaise, déclarent forfait, offrant ainsi la qualification pour la finale de la Cup à leurs adversaires<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En finale, les Modèle:Lang sont opposés au Modèle:Lang. Le match se dispute le Modèle:Date au Modèle:Lang devant 2 000 spectateurs et est arbitré par Alfred Stair, membre de l’Modèle:Lang, équipe éliminée au premier tour de la compétition.

Comme c’est le cas depuis les débuts du football, les deux équipes sont beaucoup plus préoccupées par l’attaque que par la défense : les Modèle:Lang alignent sept attaquants et les Modèle:Lang, huit<ref group="W" name="ref_auto_15">Modèle:Harvsp</ref>. Dans les rangs des Modèle:Lang, Morton Betts joue la finale sous le pseudonyme de « A. H. Chequer ». Ce nom provient directement du nom du club que les Modèle:Lang ont éliminé au premier tour, Modèle:Lang, club dont faisait alors partie Betts<ref group="W">Modèle:Harvsp</ref>. D’aucuns ont parlé ensuite de tentative de dissimulation arguant du fait que, faisant partie d’un club au début de la compétition, Betts ne pouvait jouer la finale sous le maillot d’un autre. Cependant il est fort probable que ce ne fut pas le cas. Le règlement des débuts du football, sport strictement amateur à l’époque, ne précisait aucunement qu’un joueur devait signer formellement un contrat avec un club<ref group="W" name="ref_auto_13">Modèle:Harvsp</ref>. À la même époque, Cuthbert Ottaway, futur capitaine de l’équipe nationale anglaise, dispute la coupe d’Angleterre avec deux clubs différents lors de deux tours consécutifs, sans que cela provoque le moindre incident<ref group="W">Modèle:Harvsp</ref>.

Photographie noir et blanc de l’équipe des Royal Engineers. Huit des 11 joueurs présents sur la photo ont disputé la finale de la Coupe d’Angleterre 1872
Photo de l’équipe des Modèle:Lang en 1871. Huit de ces joueurs ont disputé la première finale de la Coupe d’Angleterre 1872.

Charles Alcock, capitaine des Modèle:Lang, remporte le toss et choisit de positionner son équipe du côté de la tribune Modèle:Lang, plaçant ainsi les Modèle:Lang, qui sont considérés au début du match comme les favoris, face au vent et au soleil lors de la première mi-temps<ref group="W" name="ref_auto_15" />. Rapidement, Edmund Creswell, des Modèle:Lang, se casse la clavicule lors d’une mêlée. Il refuse de quitter le terrain et est contraint de tenir une place plus ou moins statique en se positionnant au milieu du terrain<ref group="W" name="ref_auto_18">Modèle:Harvsp</ref>. Le style pratiqué par les deux équipes est complètement opposé. Les Modèle:Lang mettent toutes leurs forces sur le dribbling, technique de franchissement la plus répandue à l’époque. Les Modèle:Lang, de leur côté, développent une technique de passe appelée le « jeu de combinaison », alors très innovante<ref group="W">Modèle:Harvsp</ref>.

Les Modèle:Lang prennent l’avantage après quinze minutes de jeu, quand Betts marque dans un angle fermé après une série de dribbles de Robert Vidal. Selon le règlement en vigueur à ce moment-là, les deux équipes changent de moitié de terrain après chaque but. Bien qu’ils aient à présent le soleil dans le dos, les Modèle:Lang n’arrivent pas à recoller au score<ref group="W" name="ref_auto_18" />. Après vingt minutes de jeu, Alcock marque un nouveau but, mais celui-ci est refusé parce que Charles Wollaston a touché la balle de la main<ref group="W" name="ref_auto_15" />. Les Modèle:Lang maintiennent la pression sur le but de leur adversaire ; il ne tient qu’à William Merriman, le gardien des Modèle:Lang, d’empêcher une déroute. Un journal qualifie d’ailleurs sa performance de Modèle:Citation.

Malgré un baroud d’honneur des Modèle:Lang, les Modèle:Lang conservent leur avantage et remportent le match sur le score de 1 but à 0<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Ouvrage.</ref>. Modèle:Lang décrit le match comme Modèle:Citation. Le journal ajoute que les Modèle:Lang ont proposé Modèle:Citation.

Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:Feuille de match

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Wanderers

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{{#if: Royal Engineers

Royal Engineers

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Modèle:Boîte déroulante/fin

1872–1873

Modèle:Article détaillé

Photo noir et blanc en pied de Reginald Courtenay Welch.
Reginald Courtenay Welch, gardien de but des Modèle:Lang lors des deux premières victoires en Modèle:Lang.

En tant que tenant du titre, le Modèle:Lang est directement qualifié pour la finale de la compétition, ainsi que le prévoit le règlement de la Coupe d’Angleterre. Cette règle met en application l’idée fondatrice de la compétition selon laquelle le tenant du titre est confronté à la meilleure des autres équipes, reprenant de fait le schéma d’organisation d’une autre compétition sportive bien plus ancienne<ref group="W" name="ref_auto_11">Modèle:Harvsp</ref>, la Coupe de l'America, qui oppose le tenant du titre ou Modèle:Lang, ici les Modèle:Lang, au vainqueur de la compétition permettant de départager les Modèle:Lang, ici le finaliste Modèle:Lang<ref name="FC">Modèle:Lien web.</ref>.

Modèle:Lang se qualifie pour la finale en battant successivement Modèle:Lang, Modèle:Lang<ref name="RS-1873">Modèle:Lien web.</ref>, les Modèle:Lang, finalistes de l’année précédente, Modèle:Lang en quart de finale et les Écossais de Modèle:Lang par forfait en demi-finale<ref name="FC" />,<ref name="Soar">Modèle:Ouvrage.</ref>.

La finale se dispute le même jour que Modèle:Lang, la grande compétition d’aviron entre Oxford et Cambridge. La décision est alors prise de disputer la partie le matin, afin de permettre aux spectateurs d’assister aux deux évènements sportifs<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Ouvrage.</ref>. Les Modèle:Lang étant les tenants du titre, il leur revient de choisir le stade où se déroule la finale. N’ayant pas de terrain attitré, ils choisissent le Modèle:Lang, dans le quartier de Modèle:Lang<ref name="Soar" />.

Au coup d'envoi du match, les deux équipes se trouvent fortement handicapées par l’absence de nombreux titulaires. Le gardien de but habituel d’Oxford, Charles Nepean, est indisponible. Du côté des Modèle:Lang, quatre joueurs, dont Thomas Hooman et William Crake, tous deux membres de l’équipe victorieuse l’année précédente, sont absents<ref group="W" name="ref_auto_11" />.

Oxford domine les premières minutes de la partie, notamment grâce aux percées énergiques d’Arnold Kirke-Smith. Le journal Modèle:Lang note dans son compte-rendu que Modèle:Citation. Néanmoins, les premiers à avoir l’occasion de marquer un but sont les Modèle:Lang, lorsque William Kenyon-Slaney propulse le ballon au fond des filets oxfordiens ; mais le but est refusé par le juge de touche pour un hors-jeu. À la Modèle:27e, le capitaine des Modèle:Lang, Arthur Kinnaird, que la presse déclarera meilleur joueur du match, donne l’avantage à son équipe<ref group="W" name="ref_auto_11" />. Oxford n’arrive pas à recoller au score. Dans une tentative désespérée et inhabituelle pour marquer un but, Oxford décide de se passer de gardien de but et place Andrew Leach en position d’attaquant<ref group="W" name="ref_auto_11" />. Cette tactique s’écroule à la Modèle:80e, quand Charles Wollaston donne définitivement l’avantage aux Modèle:Lang en marquant un deuxième but<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Ouvrage.</ref>. Le correspondant du magazine Modèle:Lang déclare que Modèle:Citation. Le Modèle:Lang remporte ainsi sa deuxième coupe d’Angleterre consécutive. Après la compétition la fédération anglaise change les règles en abandonnant la formule de Modèle:Lang pour mettre en place une formule ne prévoyant pas que le vainqueur de la compétition précédente soit qualifié directement pour la finale. Les Modèle:Lang doivent donc, comme toutes les autres équipes, gagner sur le terrain leur éventuelle place en finale.

Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:Feuille de match

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Wanderers

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Oxford

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Modèle:Boîte déroulante/fin

1875–1876

Modèle:Article détaillé

Caricature en couleur publiée dans Vanity Fair d'Alfred Lyttelton joueur d’Old Etonians FC en tenue de cricket.
Alfred Lyttelton joueur d’Old Etonians FC et qui est aussi un joueur de première classe en cricket. Caricature publiée dans Vanity Fair en 1884.

Après une élimination en quart de finale en 1873–1874 dans un match-revanche contre Oxford, puis l'année suivante au même stade et contre la même équipe, les Modèle:Lang retrouvent les feux de la rampe lors de la coupe d’Angleterre 1875–1876 en se qualifiant de nouveau pour la finale. Ils sont cette fois-ci opposés à l’Modèle:Lang, club formé d’anciens étudiants d’Modèle:Lang<ref group="W">Modèle:Harvsp</ref> qui participent à leur deuxième finale consécutive : ils avaient été battus l’année précédente par les Modèle:Lang.

Les deux futurs finalistes commencent la compétition au premier tour en accueillant à domicile leurs adversaires<ref name="Wand">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="OE">Modèle:Lien web.</ref>. Au premier tour de l’épreuve, les Modèle:Lang battent facilement l’équipe du régiment des Modèle:Lang sur le score de 5 buts à 0, puis ils se débarrassent du Modèle:Lang 3 à 0. En quart de finale, ils affrontent le plus ancien club de l’histoire du football, le Modèle:Lang, et se qualifient pour le tour suivant en le battant par 3 buts à 0<ref name="Wand" />. Les deux demi-finales ont lieu à l’Oval. Les Modèle:Lang l’emportent face aux vainqueurs de l’édition 1874, Modèle:Lang, tandis que les Modèle:Lang éliminent de leur côté le Modèle:Lang sur le score de 3 à 1<ref name="Wand" />.

La finale du Modèle:Date a la particularité d’être disputée par trois fratries différentes, les Heron (Francis et Hubert) pour les Modèle:Lang, les Lyttleton (Edward et Alfred) et les Meysey-Thompson (Charles et Albert) pour Modèle:Lang. La dernière paire propose toutefois un cas particulier puisque la famille n’a adopté définitivement la double dénomination qu’en 1874 et que pour l’occasion Albert a joué sous le nom de Thompson et son frère Charles sous celui de Meysey<ref group="W" name="ref_auto_9">Modèle:Harvsp</ref>. Ce match constitue encore aujourd’hui la seule occasion de voir plus de deux fratries disputer la même finale de la Modèle:Lang. Modèle:Lang compte par ailleurs dans son effectif plusieurs anciens joueurs des Modèle:Lang : Julian Sturgis, Alexander Bonsor et surtout Arthur Kinnaird, le capitaine victorieux de la Modèle:Lang 1873<ref group="W" name="ref_auto_17">Modèle:Harvsp</ref>.

Les Modèle:Lang commencent le match avec deux défenseurs, deux milieux de terrain et six attaquants. Les Modèle:Lang ont un système un peu plus offensif, avec un seul défenseur et sept attaquants<ref group="W" name="ref_auto_9" />. Le match est disputé devant 3 500 spectateurs, ce qui constitue alors un record pour une finale de Modèle:Lang<ref group="W">Modèle:Harvsp</ref>, et se déroule par un fort vent. Les Modèle:Lang, qui ont gagné le Modèle:Lang, choisissent de jouer la première mi-temps avec le vent dans le dos. Ils dominent largement l’entame du match, mais les Modèle:Lang arrivent à les tenir à distance jusqu’à la Modèle:35e, quand Wollaston échappe à Thompson et passe la balle à John Hawley Edwards qui donne l’avantage aux Modèle:Lang d’un tir sous la barre transversale<ref group="W" name="ref_auto_10">Modèle:Harvsp</ref>. En deuxième mi-temps, Modèle:Lang, qui a désormais vent favorable, domine la partie. Dès la reprise, les Modèle:Lang refont leur retard : un Modèle:Lang provoque une « mêlée » (à cette époque, ce terme désigne un groupe de joueurs qui luttent pour la possession de la balle) face aux buts des Modèle:Lang. La mêlée est si indécise que la balle franchit la ligne de but en même temps qu’un certain nombre de joueurs qui, emportés dans leur élan, font tomber les buts. Les sources modernes accordent le but à Alexander Bonsor <ref name="SB">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Ouvrage.</ref>, mais les comptes-rendus de l’époque comme ceux de Modèle:Lang ou de Modèle:Lang ne font mention d’aucun nom et attribuent le but à la mêlée qui s’est constituée dans les cages<ref group="W" name="ref_auto_10" />.

Programme d'un match entre les Modèle:Lang et le club écossais du Modèle:Lang.
Programme d'un match entre les Modèle:Lang et le club écossais du Modèle:Lang.

Aucune des deux équipes n’arrive à marquer un deuxième but et le match se termine sur ce score de parité. Un match d’appui doit donc être organisé pour désigner le vainqueur de la compétition<ref name="SB" />.

Ce match d’appui a lieu au même endroit la semaine suivante. Les Modèle:Lang se présentent avec la même composition d’équipe, tandis que les Modèle:Lang alignent une équipe largement modifiée, avec quatre nouveaux joueurs et deux joueurs diminués, comme Kinnaird qui se ressent toujours d’un choc subi lors de la première finale<ref group="W" name="ref_auto_20">Modèle:Harvsp</ref>. Le temps ce jour-là est particulièrement froid, avec risque de neige. Les Etonians entament le match de façon rugueuse<ref group="W" name="ref_auto_20" />. De nombreux joueurs sont sanctionnés pour avoir touché le ballon avec les mains. Après une demi-heure de jeu, les attaquants des Modèle:Lang accentuent leur pression sur les cages adverses. C’est Wollaston qui ouvre la marque en battant Quentin Hogg, le gardien de but des Modèle:Lang<ref group="W" name="ref_auto_8">Modèle:Harvsp</ref>. Presque immédiatement après, Thomas Hughes double la mise et conforte l’avance des Modèle:Lang<ref group="W" name="ref_auto_8" />. Au début de la deuxième mi-temps, Edwards, Heron et Kenrick combinent parfaitement et vont offrir à Hughes son deuxième but de l’après-midi<ref group="W" name="ref_auto_8" />. Même si W. D. O. Greig, le gardien des Modèle:Lang, est mis à contribution à plusieurs reprises, Modèle:Lang n’arrive pas à réduire le score et doit finalement s’incliner sur le score de 3 buts à 0<ref group="W" name="ref_auto_20" />. Le Modèle:Lang remporte ainsi sa troisième Coupe d’Angleterre en cinq éditions.

Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:Feuille de match

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Modèle:Feuille de match

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1876–1877

Modèle:Article détaillé Les Modèle:Lang défendent le trophée acquis l’année précédente. Ils passent le premier tour sans jouer car leur adversaire, le Modèle:Lang, déclare forfait. Au deuxième tour, les Modèle:Lang qui jouent à domicile écrasent le Modèle:Lang sur le score de 6 buts à 0<ref name="RS-1877">Modèle:Lien web.</ref>. Au tour suivant, ils battent le Modèle:Lang 3 buts à 0 et se qualifient ainsi pour les quarts de finale.

À ce stade de la compétition, cinq équipes restent en lice dont trois anciens vainqueurs. Les Modèle:Lang, tenants du titre, obtiennent le droit d’accéder directement aux demi-finales. En demi-finale, c’est au tour d’Oxford d’être exempté. Les deux dernières équipes, les Modèle:Lang et Modèle:Lang s’affrontent donc. Les Modèle:Lang l’emportent sur le score d’1 but à 0<ref name="RS-1877" />. L’équipe se qualifie donc pour sa deuxième finale consécutive en n’encaissant aucun but lors de la compétition.

La finale se déroule une nouvelle fois au Kennington Oval. Les deux adversaires se présentent avec le même schéma tactique : deux défenseurs, deux milieux et six attaquants, restant ainsi dans les canons en vigueur cette année-là<ref group="W" name="ref_auto_12">Modèle:Harvsp</ref>. Arthur Kinnaird joue gardien de but pour ce match, alors qu’il occupait un poste d’attaquant pour ses trois premières finales<ref group="W" name="ref_auto_17" />. Le poste de gardien de but n’est pas considéré dans les premiers temps du football comme un poste à spécialisation, les joueurs alternant régulièrement entre le jeu dans les cages et un poste sur le terrain<ref group="W" name="ref_auto_13" />. Comme en 1876, le temps est très mauvais avec pluie et grésil qui gênent les joueurs.

La partie commence de façon désastreuse pour le Modèle:Lang. Ses joueurs semblent désorientés, ce qui pour le correspondant du Modèle:Lang est Modèle:Citation<ref group="W" name="ref_auto_8" />. À la quinzième minute de jeu, Oxford bénéficie d’un corner. Evelyn Waddington le tire. Kinnaird attrape la balle mais retombe malencontreusement à l’intérieur de ses buts pour en ressortir aussitôt. Les Oxfordiens protestent immédiatement et après consultation de ses assistants, l’arbitre accorde le but<ref group="W" name="ref_auto_8" />. Peu après, Wollaston se blesse. Comme il n’est pas possible de faire entrer un remplaçant, il échange son poste avec Kinnaird<ref group="W" name="ref_auto_12" />. Les Modèle:Lang accentuent la pression sur le but adverse afin d’égaliser. Francis Birley frappe un coup franc indirect qui finit sa course dans les buts d’Oxford. Comme personne n’a touché le ballon, le but est justement refusé<ref group="W" name="ref_auto_12" />. Alors qu’il ne reste que quatre minutes à jouer, Hubert Heron fait une percée au sein de la défense d’Oxford que le journal Modèle:Lang qualifiera de Modèle:Citation et passe le ballon à Kenrick qui élimine le gardien adverse et marque le but égalisateur qui envoie les deux équipes en prolongation<ref group="W" name="ref_auto_8" />. Dès le début de la prolongation, les Modèle:Lang reprennent l’avantage : au bout de sept minutes de jeu, William Lindsay tire au but, mais la balle, repoussée par un défenseur, lui revient dessus. Il tire de nouveau et bat Allington, le gardien d’Oxford. Il offre ainsi la victoire à son club et lui permet de conserver son trophée<ref group="W" name="ref_auto_8" />.

Quelque temps après le match, Kinnaird affirme devant les membres du conseil de la fédération anglaise de football, dont il fait lui aussi partie, qu’à son avis la balle n’a jamais franchi la ligne de but au moment de l'ouverture du score<ref group="W" name="ref_auto_12" />. En dépit du fait que l’arbitre a bel et bien validé le but et des nombreux rapports de presse faisant valoir que le ballon a bien franchi la ligne<ref group="W" name="ref_auto_16">Modèle:Harvsp</ref>, les acolytes de Kinnaird à la fédération prennent parti pour sa version des faits. Ils décident d’annuler le but d’Oxford et enregistrent comme score officiel de la finale 2–0 en faveur des Modèle:Lang<ref group="W" name="ref_auto_12" />. Pendant un siècle, toutes les sources parlent donc de ce nouveau score de deux buts à zéro, mais sans expliquer l’existence d’une prolongation<ref group="W" name="ref_auto_12" />. Dans les années 1980, après de nouvelles recherches dans les archives faites par les historiens du football, la FA rétablit le but d’Oxford dans les registres officiels<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:Feuille de match

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Modèle:Boîte déroulante/fin

1877–1878

Photo couleur du trophée symbolisant la Coupe d'Angleterre de football.
Le trophée de la Coupe d’Angleterre.

Modèle:Article détaillé

Le Modèle:Lang, qui vient de remporter sa quatrième Coupe d’Angleterre, est le grand favori de l’édition 1877–1878. Lors de la première finale, le club avait affronté le Modèle:Lang. Pour la cinquième finale des « vagabonds », c’est de nouveau cette équipe qui est son adversaire.

Les deux équipes connaissent un début de compétition particulièrement facile. Au premier tour, les Modèle:Lang sont opposés au Modèle:Lang qu’ils battent facilement sur le score de 9 buts à 1. Les Modèle:Lang sont quant à eux directement qualifiés pour le deuxième tour, car leur adversaire Modèle:Lang déclare forfait. Le deuxième tour est tout aussi simple pour les deux équipes : les Modèle:Lang écartent Modèle:Lang sur le score de 9 buts à 0 et les Modèle:Lang se débarrassent du Modèle:Lang par 6 buts à 0. Le troisième tour est plus compliqué pour les Modèle:Lang. Leur adversaire, Modèle:Lang, obtient le match nul à l’Oval. Néanmoins, lors du match d’appui, Barnes cède et perd sur le score de 4 buts à 1. Les Modèle:Lang battent de leur côté les Gallois du Modèle:Lang par 8 buts à 0<ref group="W">Modèle:Harvsp</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Au quatrième tour, les Modèle:Lang ont besoin de trois matchs pour se débarrasser d’Oxford et les Modèle:Lang battent plus facilement le Modèle:Lang 3 à 0. Ils sont exemptés de demi-finales et sont directement qualifiés pour la finale<ref name="FCHD">Modèle:Lien web.</ref>. Les Modèle:Lang, qui ne sont pas exemptés, battent Modèle:Lang 2–1<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les Modèle:Lang étant les favoris de la compétition, ils le sont bien sûr lors de la finale. Ils gagnent le Modèle:Lang et comme ils l’ont toujours fait, choisissent de débuter côté Modèle:Lang<ref group="W" name="ref_auto_19">Modèle:Harvsp</ref>. Le match se déroule devant environ 4 500 spectateurs, ce qui constitue alors le record d’affluence pour une finale de Modèle:Lang<ref group="W">Modèle:Harvsp</ref>. Les deux équipes se présentent avec le même schéma tactique : deux défenseurs, deux milieux et six attaquants. Les capitaines d’équipe sont Kinnaird pour les Modèle:Lang et Modèle:Lang pour les Modèle:Lang<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le tenant du titre domine le jeu dès les premiers instants de la partie et c’est Kinnaird qui déclenche le premier tir de la partie. À la cinquième minute du match, Henry Wace centre depuis son aile et trouve Kenrick qui propulse la balle dans les buts de Lovick Friend, le gardien des Modèle:Lang<ref group="W" name="ref_auto_16" />. Près de dix minutes plus tard, le gardien de but des Modèle:Lang James Kirkpatrick se casse un bras lors d’une empoignade sur la ligne de but. Il réussit néanmoins à repousser le ballon. Il reste ensuite sur le terrain avec sa blessure jusqu’à la fin du match<ref group="W" name="ref_auto_19" />. À la vingtième minute, les Modèle:Lang égalisent. Certaines sources donnent pour buteur William George Morris<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Ouvrage.</ref>, toutefois les journaux contemporains de l’événement, Modèle:Lang, Modèle:Lang et Modèle:Lang, relatent tous qu’en réalité, Morris a fait une remise en jeu qui a abouti à une mêlée qui a elle-même permis au ballon de franchir la ligne de but<ref group="W" name="ref_auto_14">Modèle:Harvsp</ref>. Avant la fin de la première mi-temps, les Modèle:Lang reprennent l’avantage. Ils bénéficient d’un coup franc ; Kinnaird le tire et marque le deuxième but de son équipe<ref group="Note">Ici encore, les sources ne sont pas d’accord sur le nom du buteur. Les rapports de l’époque avancent de nouveau l’intermédiaire d’une mêlée résultant du coup de pied pour expliquer le franchissement de la ligne. Dans les deux cas, les sources donnent comme buteur celui qui a tiré de loin et non celui qui, au sein de la mêlée, a fait en sorte que le ballon franchisse la ligne de but.</ref>,<ref group="W" name="ref_auto_14" />. En début de deuxième période, le capitaine des Modèle:Lang marque un but immédiatement refusé par l’arbitre en application de la règle du hors-jeu<ref group="W" name="ref_auto_19" />. À la soixante-cinquième minute, les Modèle:Lang prennent définitivement le dessus sur leur adversaire. Kenrick marque son deuxième but de l’après-midi en profitant d’une belle action d’Hubert Heron<ref group="W" name="ref_auto_14" />.

Comme c’est la tradition, le trophée n’est pas remis à l’équipe victorieuse au terme de la partie, mais bien plus tard, habituellement à l’occasion du dîner annuel du club. Cette tradition durera jusqu’en 1882<ref group="W">Modèle:Harvsp</ref>. Le règlement de la compétition prévoit que le trophée revienne définitivement au premier club qui remporte la compétition trois fois de suite, comme c’est alors le cas du Modèle:Lang<ref group="C" name="ref_auto_2">Modèle:Harvsp</ref>. Mais lors de la remise du trophée, le secrétaire des Modèle:Lang Charles Alcock rend la coupe à la fédération, à la condition qu’aucune équipe à l’avenir ne puisse plus conserver ce trophée<ref group="C" name="ref_auto_2" />.

La seule autre équipe à avoir remporté la Coupe d'Angleterre trois fois d’affilée est le Modèle:Lang, entre 1884 et 1886. À cette occasion, il s’est vu remettre un bouclier commémorant son triplé<ref name="Soar"/>.

Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:Feuille de match

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{{#if: Wanderers

Wanderers

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{{#if: Royal Engineers

Royal Engineers

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Modèle:Boîte déroulante/fin

Trois semaines après la victoire en Coupe d’Angleterre, les Modèle:Lang disputent un match contre le club écossais de Modèle:Lang au Kennington Oval. Ce match est considéré comme la finale officieuse du championnat de Grande-Bretagne, puisqu’il oppose le vainqueur de la Coupe d’Angleterre au vainqueur de la Coupe d’Écosse. Devant 2 000 spectateurs, les Modèle:Lang s’inclinent sur le score de 3 buts à 1, au terme d’un match que les observateurs de l’époque ont qualifié de performance inhabituellement faible de leur part<ref group="C" name="ref_auto_2" />.

Déclin et disparition

Le club des Modèle:Lang décline rapidement après l’obtention du triplé en Coupe d’Angleterre. Après 1878, les anciens élèves de chacune des grandes écoles créent leurs propres équipes ou intègrent des clubs toujours plus nombreux, notamment dans le nord de l'Angleterre. Les nouveaux pratiquants préfèrent alors jouer pour leurs écoles respectives. Le réservoir de joueurs des Modèle:Lang se réduit donc de manière drastique pour la saison 1878–1879. L’équipe est alors éliminée dès le premier tour de la Coupe d’Angleterre sur le score de 7 à 2 par les Modèle:Lang emmenés par Kinnaird<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>. Malgré cette défaite, les Modèle:Lang restent un club de référence à Londres. Ses joueurs restent sélectionnés en équipe nationale : Henry Wace est sélectionné à deux reprises contre l’Écosse et le pays de Galles<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref> et ses dirigeants, Alcock et Kinnaird sont tous deux désignés juges de touche pour ces matchs internationaux. Mais surtout les Modèle:Lang sont choisis pour disputer avec les Modèle:Lang le premier match londonien en nocturne le Modèle:Date. Une telle expérience avait déjà eu lieu à Sheffield quelques semaines plus tôt<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>. Le match, disputé au Kennington Oval sous l'égide de la fédération anglaise de football et du Modèle:Lang se termine sur le score de deux buts partout.

La saison suivante, les Modèle:Lang réussissent à se qualifier pour le troisième tour de la Modèle:Lang avant de perdre une nouvelle fois face aux Modèle:Lang. L'équipe est vieillissante, et seuls cinq membres de l'équipe victorieuse en 1878 sont toujours présents<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>. Après cette défaite, la plupart des joueurs quittent le club<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>. Le club essaye de se relancer pour la saison 1880–1881, mais il est rapidement obligé de se retirer de la Coupe d’Angleterre, étant incapable de constituer une équipe en bonne et due forme pour le premier tour de la compétition. Après 1881, les Modèle:Lang réduisent leur activité à l’organisation d’un seul match par an, disputé le jour de Noël contre Modèle:Lang<ref group="C" name="ref_auto_1">Modèle:Harvsp</ref>. En 1882 une fédération londonienne de football est formée. Elle est chargée de gérer le football au niveau local. Les Modèle:Lang font partie des cinquante deux clubs fondateurs<ref group="C" name="ref_auto_1" />.

La date exacte de la disparition du club est aujourd’hui floue. Un livre publié par le journal Modèle:Lang avance que le club disparait en 1884<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Toutefois, un match remporté 3 buts à 1 par Harrow sur son terrain est chroniqué dans Modèle:Lang en décembre 1887<ref>Modèle:Article.</ref>. Il n'est plus fait mention du club après cette date.

Reformation

Photo couleur de l'équipe du Modèle:Lang Club à sa reformation en 2009.
Nouvelle équipe des Modèle:Lang qui joue en mai 2010 contre le Royal Engineers AFC.

En 2009, 122 ans après le dernier match connu des Modèle:Lang, le club reprend vie à Londres. Cette résurrection se fait avec l’aval des descendants de ceux qui ont créé le club au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. La nouvelle entité est créée dans l’intention de ne disputer que des matchs caritatifs<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le club collecte des fonds principalement pour l'UNICEF<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 2011, le club s’engage en Modèle:Lang. Le meilleur championnat de cette ligue amateur se situe au douzième niveau des compétitions de football en Angleterre.

Couleurs et symboles

Les couleurs du maillot du club ne sont pas connues avec certitude, car il n’existe aucune photo de l’équipe à l’époque de sa splendeur. Néanmoins, l’imaginaire collectif a retenu les couleurs orange, violet et noir, qui ont effectivement été portées par le club pendant une partie de son existence. Une réplique du maillot avec des bandes horizontales de ces trois couleurs est commercialisée<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette reconstitution est tout à fait plausible, car les bandes horizontales étaient très utilisées sous l’ère victorienne<ref group="W">Modèle:Harvsp</ref>.

Le programme édité lors du match de 1875 à Glasgow contre le Modèle:Lang indique que les Modèle:Lang jouent en blanc. En l’absence de numérotation (qui n'apparaît que soixante ans plus tard), les joueurs sont identifiés par la couleur de leurs chaussettes ou de leur casquette. Alcock et Kinnaird sont ainsi listés comme arborant une casquette bleue et blanche, tandis que Jarvis Kendrick porte une casquette cerise et grise, couleurs de son ancien club, le Modèle:Lang.

Le blason moderne du club dérive de celui de la Modèle:Lang. Il est possible qu’il ait été floqué sur le maillot de l’équipe originelle<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

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{{#if: 1856
Forest FC<ref>Modèle:Lien web.</ref>

1856
Forest FC<ref>Modèle:Lien web.</ref>

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Wanderers FC

1872
Wanderers FC

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{{#if: 2011-2012
à domicile

2011-2012
à domicile

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Organisation

Joueurs

En club

Rob Cavallini a recensé cent soixante-et-onze joueurs ayant joué au moins un match sous les couleurs du Modèle:Lang et de son prédécesseur le Modèle:Lang. Il est capable de donner des statistiques pour cinquante-cinq d'entre eux<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>.

# Nom Période Matchs Buts
1 Modèle:ENG-d Charles Alcock 1861-1876 199 82
2 Modèle:SCO-d Arthur Kinnaird 1866-1883 80 26
3 Modèle:ENG-d Charles Wollaston 1871-1881 75 40
4 Modèle:ENG-d Alfred Stratford 1873-1881 70 2
5 Modèle:ENG-d Charles Mansfield Tebbut 1861-1871 59 2
6 Modèle:ENG-d James Kirkpatrick 1866-1878 58 2
7 Modèle:ENG-d Albert Meysey-Thompson 1863-1874 56 4
8 Modèle:ENG-d A. J. Baker 1864-1871 58 15
9 Modèle:ENG-d Jarvis Kenrick 1873-1879 51 20
10 Modèle:ENG-d Reginald Courtenay Welch 1869-1879 48 0
11 Modèle:Drapeau Edward Bowen 1865-1884 46 4
12 Modèle:ENG-d C. F. Reid 1865-1872 44 3
13 Modèle:ENG-d Hubert Heron 1873-1878 43 15
14 Modèle:ENG-d Frederick Green 1874-1879 42 2
15 Modèle:SCO-d Gilbert George Kennedy 1866-1874 41 8
16 Modèle:ENG-d Charles Ashpitel Denton 1871-1880 41 12
17 Modèle:ENG-d Thomas Hooman 1868-1873 40 10
18 Modèle:ENG-d Henry Wace 1870-1881 38 18
19 Modèle:ENG-d Francis Birley 1873-1877 32 1
Liste des joueurs ayant joué le plus de matchs
# Nom Période Matchs Buts
20 Modèle:ENG-d C. L. Huggins 1868-1874 32 10
21 Modèle:ENG-d Quintin Hogg 1865-1871 31 1
22 Modèle:ENG-d Charles John Chenery 1870-1877 30 5
23 Modèle:ENG-d Morton Betts 1870-1883 26 9
24 Modèle:ENG-d A. Borwick 1868-1874 26 5
25 Modèle:ENG-d Frederick Maddison 1874-1880 26 8
26 Modèle:ENG-d Robert Vidal 1869-1877 25 7
27 Modèle:ENG-d William Lindsay 1875-1880 24 1
28 Modèle:ENG-d Alexander Morten 1865-1875 24 0
29 Modèle:ENG-d H. Emmanuel 1866-1874 24 3
30 Modèle:ENG-d W. D. O. Greig 1873-1877 23 2
31 Modèle:ENG-d William Crake 1870-1874 22 3
32 Modèle:ENG-d W. J. Dixon 1866-1870 22 3
33 Modèle:ENG-d Edward H. Elliot 1871-1873 22 0
34 Modèle:ENG-d Edgar Lubbock 1866-1874 22 2
35 Modèle:ENG-d P. Rhodes 1866-1871 22 1
36 Modèle:ENG-d John Hardinge Giffard 1868-1875 22 3
37 Modèle:ENG-d John B. Martin 1865-1870 21 11
38 Modèle:ENG-d John Wylie 1875-1879 21 9
# Nom Période Matchs Buts
39 Modèle:ENG-d Thomas Hughes 1875-1883 20 4
40 Modèle:ENG-d A. M. Tebbut 1861-1867 20 3
41 Modèle:ENG-d Robert Barker 1872-1880 20 2
42 Modèle:ENG-d Francis Heron 1874-1878 19 5
43 Modèle:ENG-d C. W. Stephenson 1869-1872 19 0
44 Modèle:ENG-d Thomas Pelham 1868-1872 19 6
45 Modèle:ENG-d Alexander Bonsor 1871-1873 18 7
46 Modèle:ENG-d Robert Kingsford 1872-1875 18 10
47 Modèle:ENG-d T. N. Tyndale 1878-1880 18 2
48 Modèle:ENG-d Joseph Yates 1867-1869 17 1
49 Modèle:ENG-d F. Stileman 1869-1871 17 0
50 Modèle:ENG-d Henry H. Stewart 1872-1873 12 0
51 Modèle:ENG-d Charles Thompson 1872-1873 7 0
52 Modèle:Drapeau Julian Sturgis 1872-1875 7 0
53 Modèle:ENG-d William Kenyon-Slaney 1872-1874 3 1
54 Modèle:WAL-d John Hawley Edwards 1874-1876 3 2
55 Modèle:ENG-d Leonard Sidgwick Howell 1873-1873 2 0

En équipe nationale

Entre 1870 et 1872, la fédération anglaise de football organise cinq matchs tests entre équipes composées de joueurs provenant respectivement d’Angleterre et d’Écosse. Ces matchs ont lieu à Londres au Kennington Oval et sont organisées par Charles Alcock. Ces cinq matchs sont les précurseurs des matchs internationaux modernes<ref group="Note">Ces matchs, même s’ils sont appelés à l’époque matchs internationaux comme dans l’édition du Scotsman du 26 février 1872, ne sont pas répertoriés comme matchs officiels par la fédération anglaise et par voie de conséquence par la fédération internationale de football pour la simple raison que les joueurs écossais constituant les équipes sont des écossais vivant à Londres et non des joueurs provenant de clubs écossais. Le premier match international officiel a lieu dans la foulée de ces cinq matchs le Modèle:Date à Glasgow.</ref>. Charles Alcock étant à la base de l’organisation de ces rencontres disputées à Londres, les clubs londoniens fournissent logiquement les joueurs et les Wanderers est le club le mieux représenté. Lors du premier match disputé le Modèle:Date, treize des vingt-deux joueurs sont membres du Wanderers Football Club<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref> : dix en équipe d’Angleterre (Alcock, Bowen, Baker, Crake, Freeth, Lubbock, Nash, Smith, Thornton et Vidal) et trois en équipe d'Écosse (Kinnaird, Kirkpatrick et Morten).

L'histoire officielle des équipes nationales de football commence à l'automne 1872. En tant que club majeur des premières années du football à Londres, le Wanderers Football Club fournit de nombreux joueurs à l'équipe d'Angleterre de football mais aussi aux autres équipes britanniques. Lors du premier match international officiel de football, disputé le Modèle:Date contre l'Écosse, les Wanderers sont représentés par Reginald Courtenay Welch<ref>Modèle:Lien web.</ref> qui joue défenseur alors qu'il est généralement gardien de but dans son club.

Entre 1872 et 1880, dix-sept joueurs des Wanderers sont sélectionnés en équipe nationale ; quinze pour l'Angleterre<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>, C. W. Alcock (1 cape), Francis Birley (1), Alexander Bonsor (2), Frederick Green (1), Francis Heron (1), Hubert Heron (3), Leonard Howell (1), William Kenyon-Slaney (1), Robert Kingsford (1), William Lindsay (1), Alfred Stratford (1), Henry Wace (3), Reginald Courtenay Welch (1), Charles Wollaston (4) et John Wylie (1), un en équipe nationale écossaise, Arthur Kinnaird et un en équipe du pays de Galles de football<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>, John Hawley Edwards. Edwards est d'ailleurs un des deux seuls joueurs à avoir évolué à la fois sous les couleurs anglaises et galloises, avant de devenir le premier trésorier de la fédération galloise<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date, à l'occasion d'un match contre l’Écosse, Francis et Hubert Heron forment la première fratrie à jouer sous le maillot anglais.

Quatre autres joueurs ont été sélectionnés en équipe nationale anglaise alors qu’ils évoluaient sous d’autres couleurs, mais ont été membres du club auparavant<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref> : Alexander Morten (1 cape), Edward Hagarty Parry (3), John Rawlinson (1) et Francis Sparks (3).

Dirigeants

Le premier secrétaire du Modèle:Lang est A. W. Mackenzie qui occupe la charge de 1859 à 1864. Charles Alcock lui succède entre 1864 et 1875. Viennent ensuite Jarvis Kenrick de 1875 à 1879 et Charles Wollaston de 1879 à 1883.

Après la recréation du club au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, c’est Mark Wilson qui occupe la charge de secrétaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Stades

Comme leur nom l’indique, les Wanderers sont des vagabonds. Le club n’a jamais eu de stade attitré. Les Wanderers jouent tout d’abord à Snaresbrook, un district du nord-est de Londres en bordure de l’Epping Forest. L’équipe joue sur un terrain proche des deux orphelinats de la région, l’Modèle:Lang de Snaresbrook et le Modèle:Lang du district voisin de Wanstead<ref group="C" name="ref_auto_6" />.

Entre 1859 et 1887, les Wanderers jouent sur différents stades dans toute l’agglomération londonienne. Les principaux sont le Kennington Oval dans lequel 151 matchs sont disputés, Vincent Square (31), Harrow (23), Harrow School (15) et Clapham Common (12)<ref group="C" name="ref_auto_4">Modèle:Harvsp</ref>. Battersea Park est régulièrement cité comme terrain habituel du Modèle:Lang<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, mais c'est une erreur : l'équipe n'y a joué que 10 matchs entre 1864 et 1867<ref group="C" name="ref_auto_4" />.

Statistiques et records

Même si les statistiques sont incomplètes, il est généralement admis que Charles Alcock est le joueur qui a disputé le plus de matchs pour le club avec 199 apparitions. Il est aussi le meilleur buteur du club, ayant marqué au moins 82 buts<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>. Il est aussi considéré comme le meilleur buteur sur une seule saison avec 17 buts marqués en 1870-1871, parmi lesquels un quadruplé marqué lors d’un match remporté 6 à 1 contre Modèle:Lang<ref group="C" name="ref_auto_3" />. Néanmoins, le record de buts marqués par un seul joueur lors d’une rencontre des Modèle:Lang est détenu par R. K. Kingsford, qui a marqué cinq buts contre Modèle:Lang en 1874. Julian Sturgis participe à la victoire en finale de la Coupe d'Angleterre 1872-1873. Il est ainsi le premier joueur américain à disputer et à remporter une finale de coupe d'Angleterre<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>.

Ce match contre Modèle:Lang, remporté 16 à 0, est la plus large victoire du club et le seul score à plus de 10 buts pour les Modèle:Lang<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>. Il a eu lieu lors du premier tour de la Coupe d'Angleterre 1874-1875<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>. À l’opposé, la plus grande défaite du club est un 8 buts à 2 contre les Modèle:Lang en 1879. L’écart est le même avec un 6 buts à 0 concédé face au Modèle:Lang en 1876<ref group="C">Modèle:Harvsp</ref>.

Les cinq victoires des Modèle:Lang en Coupe d'Angleterre sont restées un record jusqu’en 1920 et la sixième coupe remportée par Modèle:Lang. En 2012, seuls huit clubs ont battu le record des Modèle:Lang<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le Modèle:Lang a remporté la toute première Coupe d'Angleterre de football de l’histoire<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les Modèle:Lang ont remporté les cinq finales auxquelles ils se sont qualifiés. Le club détient le record du nombre de victoires consécutives avec trois victoires acquises en 1876, 1877 et 1878, avec le Modèle:Lang qui a réalisé son triplé dix ans plus tard, entre 1884 et 1886. Son joueur-vedette Arthur Kinnaird détient le record de finales jouées, avec 9 finales à son actif.

Tableau récapitulatif de l'activité du Wanderers Football Club
Nom Saison Matchs Modèle:Abréviation discrète Modèle:Abréviation discrète Modèle:Abréviation discrète Modèle:Abréviation discrète Modèle:Abréviation discrète Meilleur buteur Nbre de buts FA Cup Performance Remarques
Forest FC 1861-1862 2 2 0 0 5 0 J. Pardoe 3
* 1862-1863 4 3 0 0 5 0 C. Alcock 4 1 résultat inconnu
* 1863-1864 10 7 3 0 26 2 C. Alcock 5
Wanderers FC 1864 1 1 0 0 1 0 - 1
Forest FC 1864-1865 7 2 0 0 2 0 - 1 5 résultats inconnus
Wanderers FC 1865 5 2 0 0 3 0 - 1 3 résultats inconnus
* 1865-1866 16 11 4 1 32 8 J. B. Martin 7 première défaite connue
* 1866-1867 16 6 4 5 12 8 C. Alcock et P. Thornton 2 1 résultat inconnu
* 1867-1868 29 9 8 12 26 27 C. Alcock 3
* 1868-1869 30 12 8 10 48 35 A. Kinnaird 7
* 1869-1870 33 14 7 12 47 31 C. Alcock et A. Baker 9
* 1870-1871 36 21 9 6 57 20 C. Alcock 17
* 1871-1872 33 19 8 6 49 16 C. Alcock 10 1871-1872 vainqueur
* 1872-1873 23 11 7 5 43 33 C. Wollaston 7 1872-1873 vainqueur
* 1873-1874 22 10 2 10 31 35 C. Wollaston et F. Maddison 6 1873-1874 quart de finale
* 1874-1875 13 7 3 3 53 11 C. Alcock 11 1874-1875 quart de finale
* 1875-1876 22 9 7 6 38 22 C. Wollaston 5 1875-1876 vainqueur 1 résultat inconnu
* 1876-1877 33 23 1 9 79 29 H. Wace 7 1876-1877 vainqueur
* 1877-1878 22 12 3 3 68 19 H. Wace et W. Wylie 9 1877-1878 vainqueur 3 résultats inconnus
* 1878-1879 10 1 4 4 17 24 J. Kenrick 2 1878-1879 premier tour 1 résultat inconnu
* 1879-1880 20 6 3 6 28 28 C. Denton 3 1879-1880 troisième tour 5 résultats inconnus
* 1880-1881 11 4 0 6 14 18 4 joueurs 2 1880-1881 forfait 1 résultat inconnu
* 1881-1882 2 1 0 1 2 1 - - 1881-1882 forfait
* 1882-1883 1 0 1 0 1 1 E. Parry 1
* 1883-1884 1 1 0 0 6 1 E. Parry 4
* 1884-1885 1 1 0 0 3 1 - -
* 1885-1886 0 0 0 0 0 0 - -
* 1886-1887 1 0 0 1 1 3 - -

Annexes

Notes et références

Notes

Modèle:Traduction/Référence Modèle:Traduction/Référence Modèle:Traduction/Référence Modèle:Traduction/Référence Modèle:Traduction/Référence Modèle:Traduction/Référence <references group="Note"/>

Modèle:Références

Modèle:Références

  • Autres références :

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Bibliographie

Modèle:Légende plume

Liens externes


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