Yvoy-le-Marron

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Modèle:Autre Modèle:Infobox Commune de France

Yvoy-le-Marron est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.

Localisée à l'est du département, la commune fait partie de la petite région agricole « la Grande Sologne », vaste étendue de bois et de prés aux récoltes médiocres. Elle est drainée par la Rère, les Lacs Plats, le Rouaire, les Forges, les Gaz, le Saint Joseph et par divers petits cours d'eau.

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Un espace naturel d'intérêt est présent sur la commune : un site natura 2000. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 32 en 1988, à 7 en 2000, puis à 6 en 2010.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation et communes limitrophes

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La commune d'Yvoy-le-Marron se trouve à l'est du département de Loir-et-Cher, dans la petite région agricole de la Grande Sologne<ref name="RegAgri">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="PRA-carte">Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. À vol d'oiseau, elle se situe à Modèle:Unité de Blois<ref> Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, à Modèle:Unité de Romorantin-Lanthenay<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture, et à Modèle:Unité de Salbris, chef-lieu du canton de la Sologne dont dépend la commune depuis 2015<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de La Ferté-Saint-Aubin<ref name="meta">Modèle:Lien web.</ref>.

Les communes les plus proches sont<ref> Modèle:Lien web.</ref> : Chaumont-sur-Tharonne (Modèle:Unité), Villeny (Modèle:Unité), La Marolle-en-Sologne (Modèle:Unité), Ligny-le-Ribault (Modèle:Unité)(45), La Ferté-Beauharnais (Modèle:Unité), Neung-sur-Beuvron (Modèle:Unité), La Ferté-Saint-Aubin (Modèle:Unité)(45), Montrieux-en-Sologne (Modèle:Unité) et Jouy-le-Potier (Modèle:Unité) (45).

Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

La commune est drainée par la Canne (Modèle:Unité), l'Arignan (Modèle:Unité) et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web.</ref>.

La Canne, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Vouzon et se jette dans le Cosson à La Ferté-Saint-Aubin, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.

L'Arignan, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune d'Yvoy-le-Marron, dans le Loiret et se jette dans le Cosson au droit de la commune de La Ferté-Saint-Cyr, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.

Sur le plan piscicole, ces cours d'eau sont classés en deuxième catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)<ref name="Décret1958">Modèle:Lien web.</ref>.

Environnement

En raison de la qualité de son environnement nocturne (très peu de sources de pollution lumineuse grâce à une extinction programmée des lampadaires la nuit), la commune est la première de France à avoir été labellisée « Villes et villages étoilés » (*Village 1 étoile* par l'ANPCEN et reçoit la deuxième étoile en 2012<ref>Article concernant la remise du label "Villes et villages étoilés"</ref>).

Climat

Modèle:Encadré La commune bénéficie d'un climat « océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France définie en 2010. Ce type affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, et en particulier la plus grande partie du département de Loir-et-Cher. Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires et les précipitations sont faibles (moins de Modèle:Unité de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur Modèle:Unité en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d'établir cette typologie comportent Modèle:Nb pour les températures et 8 pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref group=Note>Les normales climatiques sont des produits statistiques calculés sur des périodes de 30 ans, permettant de caractériser le climat sur cette période et servant de référence.</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer.

Milieux naturels et biodiversité

Sites Natura 2000

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés<ref name="MEDDE-Natura1">Modèle:Lien web.</ref>. Une partie du territoire communal est incluse dans le site Natura 2000<ref>Modèle:Lien web.</ref> : la « Sologne », d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Yvoy-le-Marron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orléans, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (96,8 %). La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 est la suivante : terres arables (11,6 %), cultures permanentes (0,6 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), prairies (3,5 %), forêts (65,2 %), milieux à végétation arbustive ou herbacée (0,7 %), zones urbanisées (1 %), espaces verts artificialisés non agricoles (0,5 %), zones industrielles et commerciales et réseaux de communication (1,7 %), eaux continentales (0,5 %)<ref name="Fiche Siges"/>.

Planification

La loi SRU du Modèle:Date- a incité fortement les communes à se regrouper au sein d'un établissement public, pour déterminer les partis d'aménagement de l'espace au sein d'un SCoT, un document essentiel d'orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCOT de Grande Sologne, prescrit en juillet 2015<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En matière de planification, la commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée, un plan local d'urbanisme était en élaboration<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Habitat et logement

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Yvoy-le-Marron en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (17,3 %) inférieure à celle du département (18 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 71,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (72,6 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.

Le logement à Yvoy-le-Marron en 2016.
Yvoy-le-Marron<ref name="logement">Modèle:Lien web.</ref> Loir-et-Cher<ref name="logement41">Modèle:Lien web.</ref> France entière<ref name="logementFr">Modèle:Lien web.</ref>
Résidences principales (en %) 69,7 74,5 82,3
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 17,3 18 9,6
Logements vacants (en %) 13,0 7,5 8,1

Risques majeurs

Le territoire communal d'Yvoy-le-Marron est vulnérable à différents aléas naturels : ), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique : le risque nucléaire<ref name="DDRM-liste">Modèle:PdfModèle:Lien web, Modèle:P..</ref>,<ref name="Obs">Modèle:Lien web.</ref>.

Risques naturels

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles<ref name="DDRM-liste"/>. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques<ref name="RG">Modèle:Lien web.</ref>.

Risques technologiques

Une partie du territoire de la commune peut être concernée par le risque nucléaire (les hameaux la Belle Fontaine, le Mont Suzey, la Cabane, le Chemin, la Blinière, Coibray). En cas d'accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l'atmosphère de l'iode radioactif. Or la commune se situe partiellement à l'intérieur du périmètre de Modèle:Nobr du Plan particulier d'intervention de la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux. À ce titre les habitants de la commune, comme tous ceux résidant dans le périmètre proche de Modèle:Unité de la centrale ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d'iode stable dont l'ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d'une exposition à de l'iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession<ref name="CNPE">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="DDRM-nucl">Modèle:PdfModèle:Lien web, Modèle:P..</ref>.

Histoire

Le village s'appelait précédemment Yvoy-le-Galeux et n'a pris son nom actuel qu'en 1841 par une ordonnance de Louis-Philippe. Son ancien nom est probablement à rapporter à la présence d'une fontaine « guérisseuse » sur le territoire de la commune, et connue depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Cette source porte le nom de Saint Caprais, évêque d'Agen du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et présenté comme saint guérisseur de la gale<ref>À la claire fontaine de Saint-Caprais, S Drouet, journal de la Sologne, automne 2006, Modèle:N°, Modèle:P..</ref>.

Il existe à Yvoy-le-Marron plusieurs tumulus ou « tombelles » datant de l'Âge du Bronze<ref>Henri Delétang : Études de terrain, photographie aérienne et archives, un réexamen des tumulus d'Yvoy-le-Marron. Bulletin du Groupe de Recherches Archéologiques et Historiques de Sologne, tome 18, 1996, Modèle:N°, La Sologne et son passé 18</ref>.

Des années 1950 aux années 1970 a eu lieu un festival de variétés, sous la houlette de Jean Prouvost, qui accueillit plusieurs chanteurs reconnus : Johnny Hallyday, Nana Mouskouri, Sylvie Vartan<ref>Aucante P, la fête événement, Journal de la Sologne, Printemps 2008, Modèle:P..</ref>...

Le mariage d'Olivia de Havilland et du journaliste Pierre Galante y a été célébré le 2 avril 1955.

Politique et administration

Fichier:Mairie d'Ivoy-le-Marron.jpg
Façade de la mairie.

Découpage territorial

La commune d'Yvoy-le-Marron est membre de la Communauté de communes de la Sologne des étangs, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Romorantin-Lanthenay, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire<ref name="meta"/>, en tant que circonscriptions administratives<ref name="meta"/>. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton de la Sologne depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux<ref name="Décret 2014">Modèle:Lien web.</ref> et à la deuxième circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.

Politique et administration municipale

Conseil municipal et maire

Le conseil municipal d'Yvoy-le-Marron, commune de moins de Modèle:Unité, est élu au scrutin majoritaire plurinominal<ref>Article Modèle:Légifrance du Code électoral</ref> avec listes ouvertes et panachage<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges au conseil municipal est de 15. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 31,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 34,2 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 51,75 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,45 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Enseignement

Yvoy-le-Marron est située dans l'académie d'Orléans-Tours. La commune dispose d'une école élémentaire publique<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Lieux et monuments

  • Château Le Mont Suzey
  • Château de Villedard
  • Fontaine Saint-Caprais
  • Église Saint-Caprais

Les premiers chrétiens d'Yvoy construisirent leur église vers le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle a été transformée, agrandie et plusieurs fois restaurée au cours des siècles. Elle est composée de trois parties construites à des époques différentes :

  1. Au centre, se trouve la partie la plus ancienne, c'est ce qui reste probablement de la première église d'Yvoy construite en pierre.
  2. Au {{#switch: ou
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: ou|-| – | ou }}Modèle:S mini- siècle

}}, l'église étant trop petite, on entreprit de l'allonger. L'abside fut démolie et au bout de la nef on construisit une nef plus haute. Le chœur fut percé de trois fenêtres gothiques. Deux existent encore. Celle du fond, au-dessus de l'autel, fut obstruée. De chaque côté de l'autel, s'ouvraient deux portes : l'une conduisait à la sacristie à droite, l'autre au presbytère à gauche.

  1. Une porte latérale donnant sur le cimetière fut au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ou percée ou agrandie. En anse de panier, cette porte était surmontée d'un écusson vraisemblablement fleurdelisé car il fut martelé à la Révolution. Ces travaux furent exécutés par un maçon d'Yvoy : Étienne Foutant. À sa mort, on l'enterra dans le cimetière au pied de l'église et son épitaphe se trouve aujourd'hui scellée dans le mur : Ci-gît Étienne Foutant, maçon de ecens lequel trépassa le VIe jour de février MDXXVI. À noter : ecens signifie « d'ici », et VIe jour de février MDXXVI signifie « 6 février 1526 ».


Vers 1525 l'église qui venait d'être agrandie reçut un cadeau d'importance : Claude d'Étampes, seigneur de la Ferté-Nabert (c'est-à-dire La Ferté-Saint-Aubin) et sa femme Anne Robertet (fille du ministre des finances de Charles VII de France, Louis XII et [[François Ier de France|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]]) offrirent à l'église des fonts baptismaux en pierre sculptée. Ils se composent de deux cuves en pierre ornées d'élégants motifs sculptés Renaissance, posés sur des colonnettes. Ils portent les armoiries des Robertet et de Claude d'Etampes. Les cuves étaient doublées de plomb et des couvercles de cuivre ou d'étain les fermaient. Ils sont classés sur l'inventaire des monuments historiques le 23 décembre 1957.
On peut admettre que la première église n'avait pas de clocher mais une cloche placée dans un campanile qui s'effondra. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle l'église reçut une nouvelle cloche, nommée Caprais, bénite par François Colle de Villiers, curé. L'église possédait une deuxième cloche, en 1861 elle se brisa. Une nouvelle cloche, nommée Hector-Louise, fut baptisée par Monseigneur Pallu, évêque de Blois.
Sur chaque cloche figure une inscription (reproduite ici aussi fidèlement que possible) :

  • texte de la première cloche :

Modèle:Citation

  • texte de la deuxième cloche :

Modèle:Citation

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Bibliographie

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

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