Saint-Ybars
Modèle:Méta bandeau de note Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Ybars est une commune française située dans le nord du département de l'Ariège, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Pédaguès, ancienne appellation remplacée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par la dénomination géographique de Terrefort ariégeois, constitué des terreforts de Pamiers et de Saverdun, sur la rive gauche de l'Ariège.
Commune limitrophe avec le département de la Haute-Garonne exposée à un climat tempéré aux influences océaniques et méditerranéennes , elle est drainée par la Lèze, la Mouillonne, le Latou, la Rijolle et par divers autres petits cours d'eau.
Saint-Ybars est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1806. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Éparchois ou Éparchoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Ybars, classée en 1907 puis en 1987.
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Ybars se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Foix<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, à Modèle:Unité de Saint-Girons<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture, et à Modèle:Unité de Lézat-sur-Lèze<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton d'Arize-Lèze dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta group=I/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lézat-sur-Lèze<ref name=meta group=I/>.
Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Massabrac (Modèle:Unité), Castagnac (Modèle:Unité), Sainte-Suzanne (Modèle:Unité), Canens (Modèle:Unité), Lézat-sur-Lèze (Modèle:Unité), Villeneuve-du-Latou (Modèle:Unité), Esperce (Modèle:Unité), Lapeyrère (Modèle:Unité).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Ybars fait partie du Pédaguès, ou Podaguès, ancienne appellation remplacée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par la dénomination géographique de Terrefort ariégeois<ref>Modèle:Lien web.</ref>, constitué des terreforts de Pamiers et de Saverdun, sur la rive gauche de l'Ariège<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Saint-Ybars est une bastide de l'aire d'attraction de Toulouse située sur l'ancienne route nationale 626. C'est une commune limitrophe avec le département de la Haute-Garonne.
Géologie et relief
La commune est située dans le Bassin aquitain, le deuxième plus grand bassin sédimentaire de la France après le Bassin parisien, certaines parties étant recouvertes par des formations superficielles. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a Modèle:Nobr d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1034 - Cazères » de la carte géologique harmonisée au Modèle:Nobr du département de l'Ariège<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>. L'altitude du territoire varie entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Lèze, la Mouillonne, le Latou, la Rijolle, le Vermeil, le ruisseau Andorras, le ruisseau de la Trille, le ruisseau Peybarre, le ruisseau Rouil et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Géoportail</ref>.
La Lèze, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de La Bastide-de-Sérou et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Labarthe-sur-Lèze, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
La Mouillonne, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Saint-Ybars et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Grépiac, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Le Latou, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Saint-Michel et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Lèzesur le territoire communal, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « « climat océanique altéré » » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1987 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après. Modèle:Climat
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Ybars est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (99,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,3 %), zones agricoles hétérogènes (22,9 %), prairies (16,8 %), zones urbanisées (1 %), forêts (0,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Hameaux
Bélinguier, Blansac, Escayre...
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 412, alors qu'il était de 388 en 2013 et de 377 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.
Parmi ces logements, 79,6 % étaient des résidences principales, 7 % des résidences secondaires et 13,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 11,2 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Ybars en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 66,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (72,2 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.
Typologie | Saint-Ybars<ref name="LogT2" group="I"/> | Ariège<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lien web.</ref> | France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lien web.</ref> |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 79,6 | 65,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 7 | 24,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 13,3 | 9,7 | 8,2 |
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la ligne 358 du Réseau Arc-en-Ciel.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Ybars est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)<ref name=DDRM-Liste>Modèle:Lien web, chapitre Liste des risques par commune.</ref>,<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, le Lèze, ou ruissellement d'un versant. L’épisode de crue le plus marquant dans le département reste sans doute celui de 1875. Parmi les inondations marquantes plus récentes concernant la Lèze figurent les crues de 1977, de 1992, de 1993, de 2000 et de 2007<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Saint-Ybars<ref name=DDRM-Ind>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 19 octobre 2004<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Durant la Révolution, la commune porte les noms de Mont-Sauveterre et de Mont-Ybars<ref name=Cassini/>.
Ses habitants sont appelés les Eparchois.
Histoire
Site occupé à l'époque gallo-romaine, Saint-Ybars tient son nom de saint Cybard, Eparcuis en latin (493-581), moine qui est resté reclus pendant 44 ans dans une grotte située sous les remparts d'Angoulême. La légende a traversé le Sud-Ouest de la France pour donner son nom au village, d'où le nom « Éparchois et Éparchoises » donné à ses habitants.
Fondée en 1241, Saint-Ybars a été la première bastide édifiée en comté de Foix, alors dénommée Sauveterre-de-Saint-Ybars et née d’un accord entre l’abbé de Lézat et le comte de Foix. Construite par ce dernier, elle fut et resta longtemps le seul ouvrage de pierre de la vallée. Il s'agissait d'une cité aux hauts remparts, protégée par des fossés et un imposant château fort.
Ce Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle des bastides est un temps de prospérité, d'affirmation territoriale et d'urbanisation notamment dans le Sud-Ouest. Le pouvoir royal veut également imposer son autorité, notamment dans les comtés comté de Toulouse, de Carcassonne et de Foix. Les luttes contre les cathares battent leur plein.
C’est donc dans un contexte de tensions sporadiques et de rivalité que la bastide de Saint-Ybars est construite en 1241. Saint-Ybars doit attirer des habitants. Il faut donc tout mettre en œuvre pour que l’économie y prospère. Le comte ne peut pas espérer une victoire politique avec une implantation durable de son pouvoir en vallée de la Lèze sans réussite économique.
En Modèle:Date-, on offre des avantages aux nouveaux habitants dans le cadre d’une charte de coutumes fixant les règles de fonctionnement de la communauté.
Il est nécessaire de délimiter et partager l’espace. Pierre de Dalbs ne veut rien laisser au hasard dans la gestion des affaires de l'abbaye. On mène donc l’enquête auprès des anciens du lieu. Ainsi, deux d’entre eux, Bernardo del Garrigas à pied et Raimunde Johanne juchée sur un cheval (car « atteinte par la décrépitude de l'âge », indique-t-on), arpentent-ils la campagne avec les représentants du comte et de l'abbé. Leur grand âge permet de remonter aux plus lointains souvenirs de ces limites.
Par ailleurs, on définit la taille des parcelles de terrain que l’on va accorder aux nouveaux venus à l’intérieur et à l’extérieur du bourg selon leurs destinations : pour construire une maison, implanter un jardin, un champ, un pré, une vigne. Les habitants se voient dotés du privilège de ne payer aucun péage dans leurs déplacements en comté de Foix.
Il faut mettre en place une administration. Chaque coseigneur est représenté par un bayle dont la mission est de gérer les affaires de la ville, et par un viguier, magistrat responsable de l’ordre public, chargé de rendre la justice. Toute victime d’un délit devait obtenir réparation. Si le coupable n’était pas retrouvé, la commune devenait alors responsable et devait indemniser la victime. On fixe également tout ce qui est nécessaire à la bonne marche du commerce. Le comte est responsable du déroulement des foires et marchés. Il doit protéger les marchands dans leurs déplacements pour venir à Saint-Ybars et en repartir. Il doit également leur garantir la sécurité sur place et le logement. Un marché doit se tenir tous les jeudis et une foire en novembre, à la Saint-Martin. Ces dispositions sont particulièrement avantageuses pour les habitants.
Cela dit, les coseigneurs s’octroient certains privilèges : les bouchers devaient leur réserver les filets des porcs abattus, ainsi que la poitrine des bœufs. Leur pain était cuit gratuitement au four banal s’ils résidaient dans la ville.
De 1910 à 1938, la commune a bénéficié d'une gare sur la ligne de Toulouse-Roguet à Sabarat à voie métrique exploitée par la compagnie des chemins de fer du Sud-Ouest. Partagée avec la commune haut-garonnaise de Massabrac sur laquelle elle se trouvait, elle était située entre les deux villages au lieu-dit l'embranchement.
Héraldique
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Saint-Ybars est membre de la communauté de communes Arize Lèze<ref name="meta2" group=I/>, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Le Fossat. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie<ref group=I name="meta2">Modèle:Lien web.</ref>.
Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Arize-Lèze pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="meta2" group=I/>, et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la communauté de communes de la vallée de la Lèze et du canton d'Arize-Lèze (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Ybars faisait partie de l'ex-canton du Fossat).
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Jumelages
- Modèle:Jumelage, en Corrèze.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section |
Enseignement
Saint-Ybars fait partie de l'académie de Toulouse et dispose d'une école maternelle et élémentaire publique d'une centaine d'élèves.
Santé
Culture et festivités
Sports
Écologie et recyclage
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 80,9 % d'actifs (66,7 % ayant un emploi et 14,1 % de chômeurs) et 19,1 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 112 en 2013 et 88 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 282, soit un indicateur de concentration d'emploi de 29,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,1 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 282 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 52 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 87,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7 % les transports en commun, 4,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
46 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Saint-Ybars au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 46 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
11 | 23,9 % | (12,9 %) |
Construction | 8 | 17,4 % | (14,2 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
9 | 19,6 % | (27,5 %) |
Information et communication | 3 | 6,5 % | (1,8 %) |
Activités immobilières | 4 | 8,7 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
3 | 6,5 % | (13,2 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
5 | 10,9 % | (14,4 %) |
Autres activités de services | 3 | 6,5 % | (8,8 %) |
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,9 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 46 entreprises implantées à Saint-Ybars), contre 12,9 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- TCTCP, construction de maisons individuelles (Modèle:Unité)
- SARL De Fantilhou, production d'électricité (Modèle:Unité)
- SARL De Burret, production d'électricité (Modèle:Unité)
- Mto Securite, activités de sécurité privée (Modèle:Unité)
Agriculture
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Coteaux de l'Ariège »<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 49 lors du recensement agricoleModèle:Note de 1988 à 33 en 2000 puis à 25 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 49 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et bâtiments
- Église Saint-Ybars ou Saint-Éparche, des {{#switch: XVI
| e | er | = {{#switch: XVI
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
| Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
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}} au centre du dispositif de la bastide, comprend la chapelle Sainte-Anne. Elle est classée monument historique.
- Chapelle de Saint-Sernin, reconvertie en un lieu d'exposition<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Pont sur l'Arize construit en 1765.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Bonsom de Donnaud (1553-1630), né sur la commune, évêque d'Agen, puis de Mirepoix.
- Isidore Latour, connu sous le nom de Latour de Saint-Ybars (1807-1891), né et mort à Saint-Ybars, avocat à Toulouse. Critique pour les journaux du Midi. Poète, auteur. Il restaura la tragédie classique.
Pour approfondir
Articles connexes
Lien externe
Modèle:Autres projets Modèle:Liens
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes