Transport en commun
Le transport en commun ou transport public est un mode de transport consistant à transporter plusieurs personnes ensemble sur un même trajet. Il est généralement accessible en contrepartie d'un titre de transport comme un billet, un ticket ou une carte. Néanmoins il peut être mis à disposition du public à titre gracieux dans certaines circonstances (pic de pollution par exemple).
Le transport collectif est souvent confondu avec le transport en commun, cependant il peut désigner une réalité plus large.
Histoire
Les premiers moyens de transport collectifs sont les bateaux et les véhicules à traction animale.
L'origine du transport collectif provient du Français Blaise Pascal qui propose en 1662 après avoir obtenu du roi Louis XIV des « carrosses à cinq sols » comportant 8 places et tirés par 4 chevaux pour circuler dans les rues de Paris avec des passages à horaires réguliers ; à la suite de la hausse des prix, le service est délaissé et disparaît<ref>Direct matin N° 1749 du 28 septembre 2015.</ref>.
John Greenwood, en 1824, instaure en Angleterre (Manchester) un service régulier de voituresModèle:Référence souhaitée. À Nantes, en 1826, l'omnibus apparaît, mis en place par Stanislas Baudry et s'installe à Paris en 1828. Les premiers tramways aux États-Unis apparaissent au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Ils sont tirés par des animaux (en général, des chevaux).
Transport en commun, public ou collectif ?
Le « transport collectif » peut être distingué du « transport en commun » car un transport collectif désigne un « ensemble des modes de transport mettant en œuvre des véhicules adaptés à l'accueil simultané de plusieurs personnes »<ref>Modèle:Lien web</ref>. Parmi ces modes de transports, on retrouve les « transports en commun (bus urbains, rames de métro, tramways et trains de banlieue) et l'utilisation d'avions, de bateaux, de trains et de véhicules routiers »<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, le terme « transport public » est souvent utilisé en France pour désigner le « transport en commun » affrété par une entité publique (commune, départementModèle:Etc). Cela peut prêter à confusion car tous les types de transport en commun ne sont pas forcément confiés au pouvoir public, et le transport public peut aussi être associé au transport de marchandises »<ref name=":0" />.
Infrastructure
Modes de transport
Modèle:Article détaillé Un transport en commun peut utiliser divers moyens de transport : avion, bateau, train ...
Transport routier
Historiquement, les premiers transports terrestres ont été à traction hippomobile, aujourd'hui celui-ci subsiste essentiellement sous forme touristique, comme le transport en roulotte par exemple.
On utilise aujourd'hui surtout des véhicules à moteur : autobus (pour les services urbains), autocar (pour les services inter-urbains), trolleybus, taxi collectif, véhicule léger affecté au transport public de personnes, voiture de tourisme avec chauffeur… On peut aussi citer le pédibus qui consiste à organiser un ramassage scolaire à pied.
Leur principal avantage est leur flexibilité et la modicité des investissements. Ils peuvent en effet emprunter la voirie existante sans nécessiter d'infrastructure spécifique.
Le transport de personnes par navire inclus :
- Transport maritime : paquebot, navette maritime (continuité territoriale) ;
- Transport en commun par voie d'eau : bateau-mouche, ferry.
Aérien
Le transport aérien utilise aujourd'hui principalement l'avion. Il a autrefois utilisé le ballon dirigeable. La montgolfière est encore utilisée pour les déplacements touristiques.
Site propre
Modèle:Article détaillé Un transport en commun en site propre (TCSP) est un transport en commun qui emprunte une voie ou un espace qui lui est réservé.
Exploitation
Transport nolisé et régulier
Un transport nolisé est affrété pour un voyage spécifique ou pour une période donnée. Ce peut être par exemple un vol charter seulement commercialisé pendant les vacances.
Une ligne régulière est organisée selon un calendrier prédéterminé.
Desserte point-à-point et réseau
Les dessertes point-à-point s'opposent à l'exploitation en réseau, par l'intermédiaire de correspondance.
Dans le transport aérien le hub est un exemple d'exploitation en réseau.
L'intermodalité est la mise en réseau de plusieurs moyens de transport. Un horaire cadencé permet d'optimiser les correspondances d'un réseau de transport.
Périmètres
Transports urbains
Les transports urbains sont les différents moyens de transport qui sont propres à une ville ou un milieu urbain, adaptés à cet environnement. Ces transports en commun intra-agglomération peuvent être : le métro, le tramway, l'autobus, le trolleybus…
Transport interurbains
Les transports interurbains ont pour caractéristiques de répondre aux besoins de transport à l'extérieur des agglomérations, en général d'une ville à une autre. Ce sont des lignes express régionales et inter-régionales comme les TER français, les vols court-courrier…
Grandes lignes
Dans le secteur aérien les grandes lignes regroupent les vols long-courrier et moyen-courrier.
Transport public en zone rurale
L'organisation du transport public en zone rurale est souvent complexe car l'habitat y est diffus et la population peu dense. Il faut donc mettre en œuvre des solutions spécifiques pour préserver un bilan socio-économique acceptable pour la communauté.
Pour les petites lignes ferroviaires, ce peut être un signal d'arrêt sur demande actionné par un client dans le train ou sur le quai, comme sur la ligne Bière – Apples – Morges.
Mais la desserte des zones rurales se fait le plus souvent par autocar. Les transports à la demande (TAD) sont utilisés dans les zones les moins denses. Ils n’empruntent pas d’itinéraire fixe et ne respectent pas un horaire précis : un système centralisé se charge de la planification des trajets afin de prendre en charge l’ensemble des voyageurs ayant réservé un voyage.
Voyages touristiques
Une croisière est un voyage planifié entre différents ports (d'un même pays ou de plusieurs pays) afin de découvrir les merveilles d'une culture, grâce à des sorties organisées.
Il est possible d'utiliser un transport urbain pour visiter une ville en bénéficiant de commentaires sur les quartiers traversés, par exemple en bateau-mouche ou en bus à impériale.
Il existe aussi des chemins de fer touristiques.
Distribution
Information
Elle peut passer par des plans, des calculateurs d'itinéraire.
Commercialisation
Billet et abonnement
Un titre de transport est un document qui permet au voyageur de justifier du paiement de son trajet. C'est en quelque sorte la matérialisation du contrat de transport passé entre le voyageur et le transporteur. Dans le cadre de l'initiative Cityzi, un système de paiement en NFC a été mis en place à Nice, pour permettre aux voyageurs de payer directement leur trajet avec leur téléphone portable<ref>Veolia transport propose bpass pour prendre les transports en commun grâce à son mobile, sur le site cityzi.fr</ref>. Un titre de transport peut être valable pour un trajet simple, un aller et retour ou plusieurs trajets. Il peut aussi être valable pour une période de temps déterminée (carte d'abonnement).
Pour une ligne donnée il y a souvent d'importantes disparités de la demande (heure de pointe, week-end, nuit…). Le yield management est un système de gestion des capacités disponibles qui a pour objectif l'optimisation du chiffre d'affaires.
La réservation, quand elle existe, peut être obligatoire ou facultative.
Classes
Dans un moyen de transport, la classe correspond à l'ensemble des prestations offrant un niveau de confort identique et proposées au client au même tarif. Ce niveau de confort peut s'appliquer à une cabine (dans un bateau par exemple) ou à une place (dans un train ou un avion).
Caractéristiques
Pour répondre aux besoins de déplacements, les transports en commun présentent divers avantages et des inconvénients au regard des transports individuels.
Impacts environnementaux
Consommation énergétique
Modèle:Article connexe La consommation d'énergie des transports en commun par personne et par kilomètre dépend du taux d'occupation moyen. Dans le cas des déplacements domicile-travail, ce taux peut être réduit sur certains itinéraires quand les déplacements se font dans un sens le matin et dans l'autre en fin de journée. On parle alors de mobilité pendulaire, un problème qui affecte également l'efficacité énergétique des modes de transport individuels car il favorise la congestion du réseau routier.
Le taux d'occupation est souvent faible pendant les heures creuses : afin de proposer une grande amplitude horaire et une fréquence elle aussi importante, les transporteurs sont amenés à affréter des véhicules parfois peu remplis. Cela est notamment le cas pour certaines petites lignes d'autocars de campagne, mais des trains et certains avions (sur une petite à moyenne distance) sont également victimes de ces faibles taux d'occupation.
Pollution
Les modes de transport en commun électriques (tramway, métro, trolleybus, autobus électriquesModèle:Etc) contribuent moins à la pollution que les moyens de transport individuels motorisés reposant sur des énergies fossiles, à condition que la production d'électricité repose sur des énergies bas carbone et donc peu polluantes (renouvelable ou nucléaire). Le mix électrique de la France est l'un des moins polluants d'Europe grâce à son parc nucléaire et ses barrages hydroélectriques notamment ; au contraire, l'Allemagne, la Pologne et l'Italie émettent nettement plus de Modèle:CO2 par kWh du fait de leur production électrique essentiellement basée sur les énergies fossiles (le plus souvent gaz et charbon)Modèle:Refnec.
Pendant les périodes d'absence de transport en commun, telles que les grèves, les admissions aux urgences pour affections aiguës des voies respiratoires augmentent significativement<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Fluidité du trafic
Les transports en commun permettent de fluidifier le trafic<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. À Montréal, une étude de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain estime en 2010 qu'une augmentation de 3 % de la part modale du transport public permet de réduire les coûts de la congestion routière de plus de 60 millions de dollars canadiens par an<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Coûts
Coûts individuels
Utiliser les transports en commun coûte plutôt moins cher que d'utiliser sa voiture mais plus cher que d'utiliser le vélo (mode qui reste adapté à la majorité des trajets puisque 50 % des trajets en voiture font moins de Modèle:UnitéModèle:Référence souhaitée). Le gain des transports en commun par rapport à la voiture individuelle provient de la collectivisation des dépenses sur un grand nombre d'usagers, ainsi que d'un coût facturé à l'usager ne représentant qu'une faible partie des coûts de fonctionnement (énergie, conduite, maintenance des véhicules). En ce qui concerne la vie quotidienne, les dépenses liées à l'utilisation d'une voiture sont assez élevées (environ Modèle:Euro par an)<ref>Le budget transport des ménages depuis 40 ans, sur le site insee.fr</ref> pour une voiture plus petite<ref>non trouvé le 8 octobre 2012, sur le site automobile-club.fr</ref>, ce qui explique que les transports en commun sont plus avantageux (de l'ordre de Modèle:Unité pour des agglomérations « chères » mais assez efficaces)<ref>À Lyon, le coût annuel d'un abonnement adulte est Modèle:Euro, à Paris il est bien plus élevé, suivant les zones de déplacement, en province il est de l'ordre de Modèle:Euro, à Toulouse ou Grenoble.</ref>. Il faut bien sûr relativiser le fait qu'utiliser les transports en commun n'est pas incompatible avec le fait d'utiliser une voiture (familiale) pour des trajets plus longs ou moins faciles en transport en commun, ce qui implique de ne comparer que le coût en carburant et entretien de la voiture. Cependant, la location de voiture et les services d'autopartage qui se développent actuellement permettent de supprimer ces coûts fixes pour les usagers réguliers des transports en commun n'utilisant qu'occasionnellement une voiture.
Investissements
Les transports en commun demandent des investissements importantsModèle:Référence nécessaire, variables selon la technique utilisée et, de ce fait ne se justifient que dans les zones de densité de population assez élevée. Cependant, même si la comparaison est rarement réalisée, ce coût d'investissement existe pour le transport individuel, de manière indirecte, car notamment le renouvellement et l'entretien du réseau routier ont un coût ; celui des aires de stationnement aussi. On peut noter que les transports en commun bénéficient du réseau routier d'une manière générale (du moins pour les autobus, autocars…) mais que les investissements pour le matériel roulant et les modes de transport en site propre sont la plupart du temps réalisés par les collectivités locales impliquées, contrairement au financement du réseau routier qui est souvent partagé entre plusieurs institutions.
Expériences de gratuité de transports en commun
Modèle:Article détaillé Outre des tarifs sociaux qui existent depuis longtemps, quelques collectivités ont expérimenté la gratuité des transports en commun, pour tout ou partie de la population ou à certaines conditions. Le cas le plus exemplaire de par son envergure est celui de la capitale de l'Estonie, la ville de Tallinn<ref>Tallinn, première capitale de l'UE à inaugurer les transports publics gratuits, sur lemonde.fr du 9 janvier 2013</ref>. La liste des villes ayant opté pour la gratuité totale ou partielle des déplacements en transports publics pour les usagers<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} liste internationale des villes ayant opté pour la gratuité des transports publics pour les usagers, sur freepublictransports.com</ref> est en augmentation.
En France, une vingtaine de villes<ref>cartographie des 22 villes, sur lefigaro.fr du 6 mars 2014.</ref> proposent des services de transport en commun gratuits pour les usagers<ref>Modèle:Lien web</ref>. C'est le cas d'Aubagne où pour diminuer l'empreinte écologique des transports dans la ville, le bus est maintenant gratuit pour les usagers<ref>article de Spirale Alternatives : notice</ref>. En Modèle:Nombre, leur fréquentation a augmenté de 175 %, avec 35 % des usagers l'utilisant comme report modal. Le service se développe avec 15 % de bus supplémentaires et un tramway (inauguré en 2014), ce qui prouve qu'il peut y avoir compatibilité entre la gratuité et le développement de services. Compiègne (depuis 1975) et Châteauroux ont fait de même mais avec des buts plutôt socioéconomiques (Modèle:Citation<ref>Marie-Jo Sader (2013) Transports en commun gratuits et report modal : un exemple à suivre ?, Actu-environnement, 2013-06-05, consulté 2013-07-03 ; Actu-Environnement</ref>) .
Albert Jacquard a pu apporter sa contribution lors d'un entretien conduit par Jacques Lacarrière diffusé le Modèle:Date-<ref>Rediffusée sur France Culture dans l'émission À voix nue : Albert Jacquard (5/5) - Hommage du Modèle:Date-, 19:30.</ref> : Modèle:Citation bloc
En Modèle:Date-, François Bausch, ministre luxembourgeois des transports, a annoncé la gratuité des transports publics nationaux au Grand-duché à partir du Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette mesure avait été arrêté dans l’accord de coalition entre les partis de la coalition regroupant le Parti démocratique, le Parti ouvrier socialiste luxembourgeois et Les Verts à la suite des élections législatives du 14 octobre 2018<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Fréquentation
Certains dispositifs de transport en commun accueillent plusieurs dizaines de millions de passagers annuellement, par exemple :
Ville/région | Fréquentation annuelle (millions) |
Remarques |
---|---|---|
New-York | 1 760 (2015) soit 4,82 millions de voyageurs par jour<ref name="Ridership2013">Modèle:Lien web.</ref> | |
Boston | 352 (2014)<ref name="bluebook">Modèle:Lien web.</ref> | Inclut la Modèle:Lien et le trolleybus de Boston |
Montréal | 383 (2018), soit 1,36 million par jour ouvrable<ref group="Note">Les chiffres de l'American Public Transportation Association (APTA) comptabilisent les trajets en plusieurs étapes comme autant de trajets distincts (i.e. un transfert entre deux lignes compte comme deux trajets, deux transferts comptent tripleModèle:Etc).</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> | |
Toronto | 216 (2018)<ref name="2017ridership">Modèle:Lien web.</ref> | |
Paris/Île de France | 1 518 (2016)<ref name="strmtg">Modèle:Lien web, première ligne du tableau.</ref> | N'inclut pas le RER/Transilien (Modèle:Unité en 2016) ni le tramway d'Île-de-France (287 millions). |
Londres | 1 378 (2016)<ref name="auto3" group="Note">Modèle:Lien web.</ref> | N'inclut pas Docklands Light Railway (122 millions), London Overground (189 millions), Tramlink (29 millions), ou le National Rail du Grand Londres. |
En Asie, la fréquentation peut être encore plus élevée (Pékin, Shanghai, Séoul, Canton, Tokyo, Moscou, Hong-Kong, Shenzhen), mais les lignes de métro y sont plus récentes.
Problèmes sociaux
Comme les trains de nuit ou les autocars peuvent être moins chers que les hôtels, il arrive parfois que des personnes sans-abri les utilisent comme abris de nuit, comme c'est le cas avec la célèbre ligne 22 (« Hôtel 22 ») dans la Silicon Valley<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>
Impact de la pandémie de Covid-19
La pandémie de Covid-19 a eu un impact considérable sur les systèmes de transport en commun, les infrastructures et les revenus dans différentes villes du monde<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La pandémie a eu un impact négatif sur l'utilisation des transports en commun en imposant la distanciation sociale, le télétravail ou le chômage aux États-Unis. Au début de l'année 2020, on a constaté une baisse de 79 % du nombre de passagers dans les transports en commun. Cette tendance s'est poursuivie tout au long de l'année, avec une réduction de 65 % de la fréquentation par rapport aux années précédentes<ref>Modèle:Lien web.</ref>. De même, à Londres, au début de l'année 2020, la fréquentation du métro de Londres et des bus a diminué respectivement de 95 % et de 85 %<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Une baisse de 55 % de la fréquentation des transports en commun par rapport à 2019 a été constatée au Caire, en Égypte, après une période d'arrêt obligatoire. À Nairobi, au Kenya, l'Autorité nationale des transports et de la sécurité routière (NTSA) a imposé des systèmes de paiement sans numéraire pour réduire la propagation de la Covid-19 par contact avec de l'argent liquide. Les transports en commun ont été interrompus pendant trois mois en 2020 à Kampala, en Ouganda, et les gens ont dû se déplacer à pied ou à vélo. Après la quarantaine, la rénovation des infrastructures de transport en commun a conduit à l'attribution de routes spécifiques aux minibus-taxis. La situation était difficile dans les villes où les gens dépendent fortement du système de transport en commun. À Kigali, au Rwanda, les exigences de distanciation sociale ont entraîné des restrictions de capacité de 50 %, mais à mesure que la situation de la pandémie s'améliorait, la limite d'occupation a été augmentée pour répondre à la demande. Addis-Abeba, en Éthiopie, connaissait également des services de bus insuffisants par rapport à la demande et des temps d'attente plus longs en raison des restrictions de distanciation sociale, et prévoyait de déployer plus de bus. Addis-Abeba et Kampala visent toutes deux à améliorer les infrastructures de marche et de cyclisme à l'avenir en tant que moyens de transport complémentaires aux bus<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Notes et références
Notes
<references group="Note" />
Références
Voir aussi
Articles connexes
- Transport
- Transport en France
- Transport en commun en Île-de-France
- Transports publics en Guyane
- Transport scolaire
- Groupement des autorités responsables de transport (GART)
- Efficacité énergétique dans les transports
- Écomobilité
- Transport à la demande
- Mobilité partagée
- Urbanloop
Liens externes
- Syndicat professionnel des entreprises de transport public de voyageurs et de transport ferroviaire (U.T.P.)
- Groupement des Autorités Responsables de Transport (G.A.R.T.)
- CERTU
- Ecocomparateur de l'ADEME qui informe sur les émissions de Modèle:CO2 et sur l'énergie primaire consommée.
- Statistiques des infrastructures de transport en commun en France extrait des données GTFS publiées par les territoires et les opérateurs