Velaine-sur-Sambre

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}
Révision datée du 7 août 2023 à 19:47 par >H Coeur (→‎Personnalités)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Modèle:Voir homonymes {{#invoke:Bandeau|ébauche}} Modèle:Sources à lier Modèle:Infobox Localité de Belgique Velaine-sur-Sambre (en wallon Velinne) est une section de la commune belge de Sambreville située en Région wallonne dans la province de Namur.

C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977.

Géographie

Velaine-sur-Sambre se situe à une altitude de Modèle:Unité (au seuil de l'école communale). Contrairement à ce qu'indique son nom, la Sambre ne passe pas sur le territoire de Velaine ou plutôt ne passe plus. Voilà plusieurs siècles, Velaine avait son moulin au niveau de la rue du Grogneau. Canalisée par la suite la Sambre a été déviée et ne passe plus par Velaine.

Histoire

Modèle:...

Époque néolithique

Le site néolithique de la « Pierre qui tourne » se trouve sur le territoire de Velaine-sur-Sambre.

Géographiquement, le site est situé aux confins de la Hesbaye occidentale, sur le plateau agricole (Modèle:Unité d’altitude) s’étendant entre le village de Velaine et la vallée de l’Orneau. Il s’agit d’un bois de feuillus classé en 1980, comprenant des terrains agricoles (cultures et prairies) découpés par de gros bosquets et un ensemble d’anciennes excavations où l’on extrait du grès. À la lisière du bois dit « Bois Rougi » se dresse le menhir de Velaine, encore appelé « Pierre qui tourne » ou « Roche qui tourne ».

Le menhir de la « Pierre qui tourne »

Le menhir de « la roche qui tourne » est un gros bloc en grès quartzite de forme quadrangulaire d’une hauteur d’environ Modèle:Unité et d’une circonférence de Modèle:Unité. Il a été classé en 1960. Son état général est bon malgré la présence de graffitis visibles sur certaines faces.

Des fouilles pratiquées en 1904 et en 1906 ont mis au jour des silex néolithiques (lames et éclats retouchés, hachette en silex poli, retaillée), une partie de meule en grès et de nombreux fragments de vases grossiers. Il est probable que cette pierre a été dressée par l’intervention humaine et que la région comptait d’autres mégalithes sans doute détruits pour faciliter les cultures. Il n’est pas prouvé que ce site a servi de lieu de culte ou de nécropole.

Une légende a donné son nom au mégalithe. Elle raconte que cette roche faisait un tour sur elle-même lorsque minuit sonne à la cloche de la ferme de Fayat, située au nord, sur le territoire de Saint-MartinModèle:Refnec.
Un récit populaire essaie aussi d’expliquer le nom du menhir : un paysan travaillait dans un champ de très bonne heure. Fatigué, il décida de faire une sieste au soleil, au pied du menhir. À son réveil, il constata que le soleil se trouvait derrière lui. Ne pouvant imaginer qu’il avait dormi douze heures, il conclut que la pierre avait tournéModèle:Refnec.

Le polissoir

À une centaine de mètres de la « Pierre qui tourne », un polissoir néolithique a été identifié en 1927 par une équipe de l’université de Liège. Ce bloc de pierre en grès quartzique est de forme allongée, il mesure environ Modèle:Unité de long, Modèle:Unité de large et Modèle:Unité de haut. Il comporte une trentaine de rainures dont certaines sont plus apparentes et profondes. La plupart sont disposées parallèlement et plus ou moins rapprochées. Ce polissoir a permis à des hommes du néolithique de polir des outils (haches, lames) pour en affiner les surfaces et les contours. À proximité du polissoir, quelques silex (déchets de la taille) et quelques tessons de poteries ont été trouvés.

Personnalités

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Palette Commune de Sambreville

Modèle:Portail