Club Atlético Independiente
Modèle:Homon Modèle:Infobox Club de football
Le Club Atlético Independiente est un club omnisports argentin basé à Avellaneda, dans la province de Buenos Aires. Créé le 4 août 1904 et fondé officiellement le Modèle:Date, le club est particulièrement connu pour les succès de son équipe de football, désignée [[Clubs de football du XXe siècle (IFFHS)|deuxième meilleur club sud-américain du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle]] par l'IFFHS en 2009<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>.
L'équipe première a évolué sans interruption en première division du championnat d'Argentine depuis l'avènement du professionnalisme en 1931 jusqu'en 2013 où le club est relégué en deuxième division avant de remonter dès l'année suivante. Vainqueur en 2002 de son quatorzième championnat professionnel, ce qui en fait le troisième club le plus titré d'Argentine après River Plate et Boca Juniors, Independiente compte également à son palmarès sept Copa Libertadores (ce qui constitue un record), deux Coupes intercontinentales (remportées en 1973 et 1984) et sept autres titres internationaux majeurs.
Les Diablos Rojos Modèle:En fr ont pour grands rivaux le Racing Club, dont le stade ne se trouve qu'à quelques centaines de mètres du leur<ref>Independiente stadium</ref>. Ce derby, qui oppose deux des Modèle:Citation, est connu comme le Modèle:Lang. Le stade Libertadores de América, inauguré en 1928, connaît d'importants travaux d'agrandissement à la fin des années 2000.
Plusieurs joueurs majeurs argentins ont évolué à Independiente, parmi lesquels les champions du monde Daniel Bertoni (en 1978), Jorge Burruchaga et Ricardo Bochini (en 1986). Ce dernier est particulièrement populaire auprès des supporters pour avoir réalisé toute sa carrière au club. Plus récemment le club a vu éclore Sergio Agüero, Esteban Cambiasso ou encore Gabriel Milito.
Historique
Premières années
Le Club Atlético Independiente voit le jour au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle à Buenos Aires, de l'envie d'un groupe de jeunes employés frustrés de ne pouvoir jouer dans le club de leur société, le Maipú Banfield. Le Modèle:Date, ils décident de prendre leur Modèle:Citation en créant leur propre club : el Independiente Football Club. L'acte de fondation officiel du club, constitué le Modèle:1er janvier 1905, est officiellement déposé le 25 mars<ref name="fifa"/>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} fundacion, site officiel</ref>. Arístides Langone en devient le premier président.
Le club inscrit son équipe première en deuxième division du championnat d'Argentine, alors amateur. Le 9 juin 1907, il dispute (et remporte 3-2) son premier match face au Racing Club, qui deviendra son grand rival. En 1912, la fédération argentine propose au club d'intégrer la première division, qu'ils n'ont pas quittée depuis.
Au cours des années 1920, Independiente, dont les deux joueurs majeurs sont Manuel Seoane et Raimundo Orsi, remporte à deux reprises le championnat de première division, en 1922 et 1926<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Argentina - List of Champions and Runners-Up, rsssf.com</ref>. En 1928, Orsi part à Italie, à la Juventus<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} década del 20, site officiel</ref>, avant de remporter avec l'Italie la coupe du monde en 1934.
L'essor du professionnalisme
En 1931 le championnat d'Argentine devient professionnel. Independiente participe à la première édition, dont il termine à la sixième place. L'année suivante il termine premier ex-aequo avec Club Atlético River Plate, face auquel il dispute (et perd) le titre lors d'un match d'appui. Le club termine de nouveau à la seconde place en 1934, 1935 et 1937.
Le club remporte son premier championnat professionnel en 1938 et conserve son titre la saison suivante. Ces titres lui permettent de disputer et remporter à deux reprises la Copa Aldao, opposant le club champion argentin au champion d'Uruguay<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} década del 30, site officiel</ref>. Le paraguayen Arsenio Erico est le joueur le plus célèbre de cette équipe : meilleur buteur du championnat en 1937, 1938 et 1939 (au cours desquels il inscrit 130 buts en 96 matchs...), il est à ce joueur le tenant du record du nombre de buts inscrits en première division argentine.
Les années 1940 sont plus difficiles, même si les diables rouges évoluent chaque année en haut de tableau. Ils doivent attendre 1948 pour remporter un nouveau titre de champion, dans une saison marquée par la participation de joueurs amateurs à la suite de problèmes extra-sportifs<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} década del 40, site officiel</ref>.
Le club ne remporte aucun trophée dans les années 1950, malgré le talent d'Ernesto Grillo, transféré au Milan AC en 1957. La saison 1954 voit le club terminer à la deuxième place derrière Boca Juniors (0-3), qu'il bat pourtant à Buenos Aires puis le 15 août 1954 au stade Libertadores de América (3-1), devant une affluence record de Modèle:Nombre<ref>Argentina 1954, rsssf.com</ref>.
Une des meilleures équipes du monde (1960-1984)
Grâce à une nouvelle génération de joueurs, Independiente remporte un quatrième titre de champion d'Argentine en 1960, puis un cinquième en 1963. Independiente est à cette époque devenu un club solide, comptant Modèle:Nombre et un stade moderne.
Les Diables rouges réalisent une performance importante en remportant face aux Uruguayens de Nacional la Copa Libertadores 1964, ce qu'aucun club argentin n'avait réussi à faire, et en conservant leur titre l'année suivante face au Club Atlético Peñarol. En coupe intercontinentale, ils sont battus à deux reprises par l'Inter Milan. En 1964, les Argentins l'emportent à domicile (1-0) mais s'inclinent en Italie (2-0), puis en match d'appui, à Madrid, après prolongation (1-0). En 1965, ils ne parviennent pas à l'emporter à Avellaneda, avant de s'incliner de nouveau à Milan.
En 1967, le championnat d'Argentine est scindé en deux phases : Metropolitano puis Nacional. Lors de la première édition de la nouvelle formule, Independiente est éliminé en demi-finale du Metropolitano avant de remporter le Nacional. Le titre est officialisé au soir de la dernière journée, qui voit les Diables rouges écraser le Racing Club (4-0) lors d'un clásico mémorable<ref>Argentina 1967, rsssf.com</ref>. C'est alors une des dernières équipes à évoluer en 2-3-5<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} década del 60, site officiel</ref>.
En 1970, Independiente remporte le Metropolitano. Ce succès introduit une décennie qui voit Independiente, emmené par le duo Bochini-Bertoni<ref name=fifa1973>Modèle:Lien web</ref>, atteindre des sommets : c'est la Modèle:Citation (l'« âge d'or »"« ») du club. Metropolitano 1971, Copa Libertadores 1972, 1973, 1974 et 1975, Coupe intercontinentale 1973, Copa Interamericana 1973, 1974 et 1975, Nacional 1977 et 1978. Parmi ces trophées l'exploit le plus important est la série de quatre victoires en Copa Libertadores, ce qu'aucune autre équipe n'a jamais réalisé.
Ces succès permettent au club de prendre le dessus sur son rival du Racing en termes de palmarès national et continental. Le 18 mars 1973, face à Gimnasia y Esgrima La Plata, le joueur Eduardo Maglioni inscrit trois buts en moins d'une minute et cinquante secondes, ce qui le fait entrer au livre Guinness des records. Cette même année, le club remporte sa première Coupe intercontinentale à sa quatrième tentative ! En 1972, les Diables rouges se sont inclinés en deux matchs face à l'Ajax Amsterdam de Johan Cruijff (1-1 / 0-3). En 1973, ils affrontent la Juventus à Rome, qu'ils battent grâce à un but de Ricardo Bochini (1-0)<ref name=fifa1973/>. Les deux tentatives suivantes seront vaines : en 1974, ils sont battus par les Espagnols de l'Atlético Madrid (1-0 / 0-2) ; en 1975, Independiente et Bayern Munich ne trouvent pas de date pour organiser la finale<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} década del 70 primera parte, site officiel</ref>.
Une des rencontres les plus mémorables de cette époque est la finale du tournoi Nacional en 1977, disputée le 25 janvier 1978 face à Talleres de Córdoba. Après un match nul (1-1) à Avellaneda, les Diables rouges se déplacent à Córdoba. À 15 minutes de la fin, alors que le score est de 1-1, l'arbitre valide un but controversé pour les locaux, ce qui provoque la fureur des joueurs d'Independiente, dont trois sont exclus. À huit contre onze, ces derniers parviennent à égaliser par Bochini, sur une passe décisive de Bertoni, ce qui leur offre le titre grâce à la règle des buts marqués à l'extérieur<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} década del 70 segunda parte, site officiel</ref> !
En 1978, le titre de champion Nacional d'Argentine est remporté lors d'une finale face à River Plate. Après un match nul et vierge au stade Monumental, les Diables rouges l'emportent à La Doble Visera grâce à deux nouveaux buts de Bochini.
En 1983, Independiente remporte un nouveau tournoi Metropolitano, et à ce titre se qualifie pour la Copa Libertadores 1984, que les Diables rouges remportent face aux Brésiliens de Grêmio, portant à sept leur record de victoires dans cette compétition. Qualifiés pour la Coupe intercontinentale, ils sont opposés aux Anglais du Liverpool FC. Il s'agit de la première confrontation footballistique opposant Britanniques et Argentins depuis la Guerre des Malouines. Le 9 décembre 1984 à Tokyo, les Diables Rouges argentins viennent à bout des Reds sur la plus petite des marges (1-0, but de Percudani à la Modèle:6e)<ref name=fifa1984>Modèle:Lien web</ref> et enlèvent ainsi le trophée pour la deuxième fois. Cette victoire va cependant signer la fin de l'âge d'or d'Independiente<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} década del 80, site officiel</ref>.
Les années suivantes sont plus difficiles et le club rentre dans le rang. Cependant, en 1989, ils remportent un douzième titre national, dans le cadre d'un système de poule unique. L'année suivante, ils sont deuxièmes derrière River Plate. En 1991, Ricardo Bochini prend sa retraite à 37 ans. En vingt saisons au club, il a remporté quatre championnats et huit titres internationaux.
L'après Bochini (depuis 1991)
En 1994, Independiente remporte le tournoi de clôture du championnat argentin. Il remporte également la Supercopa Sudamericana en 1994 et 1995, grâce à des victoires sur Boca Juniors et Flamengo, et enfin la Recopa en 1995<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} década del 90, site officiel</ref>.
Le club rencontre par la suite des sérieuses difficultés financières. Après sept années sans titre, les diables rouges, menés par Américo Gallego, remportent l'Apertura en 2002. En février 2006, il est fait état d'un déficit d'environ 26 millions de dollars. Le club est obligé de céder sa pépite Sergio Agüero à un club européen pour rembourser ses dettes, l'Atlético de Madrid l'emporte<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Atletico sign Argentine prodigy Aguero, espn</ref> avec un transfert de plus de 22 millions d'euros, un montant record pour l'Argentine.
Malgré le recours à des anciennes gloires (Jorge Burruchaga par exemple en 2006-2007). Les entraîneurs se succèdent sans obtenir les résultats espérés. L'équipe navigue généralement en milieu de tableau, la saison 2008-2009 étant à ce titre particulièrement décevante, le club terminant Modèle:18e au classement cumulé.
2010, le retour du Roi
Fin 2009 marque le retour de Américo Gallego, dernier entraîneur en date à avoir gagné un titre avec Independiente. Les résultats sont au rendez-vous, et le club d'Avellaneda manque à deux reprises de gagner le titre national. Grâce à leurs bons parcours en championnat, les Rojos se classifient pour l'édition 2010 de la Copa Sudamericana.
Arrivé au terme de son contrat, Américo Gallego laisse sa place à Daniel Garnero, ancienne gloire du club. Cependant, le jeune entraîneur connait un départ de championnat catastrophique. Antonio Mohamed le remplace la veille du clásico d'Avellaneda contre Racing, qu'Independiente remporte 1-0 à domicile. Non content de cette victoire, Antonio Mohamed emmène Independiente vers des sommets internationaux que le club atteindra un soir de 8 décembre 2010 en remportant la Copa Sudamericana 2010 contre Goiás dans un stade Libertadores de América en ébullition. Independiente avait notamment éliminé en demi-finale le tenant du titre Liga Deportiva Universitaria de Quito. 15 ans après leur dernier titre international Independiente redevient El Rey de Copas, le Roi des coupes, surnom donné au club argentin pour son impressionnant palmarès, riche en succès internationaux.
2017, seconde Copa Sudamericana
En décembre 2017, Independiente remporte la finale de la Copa Sudamericana 2017 face à Flamengo. À l'aller, Independiente s'impose 2 buts à 1, (buts de Gigliotti et de Meza pour les Argentins et de Réver pour les Brésiliens)<ref>Copa Sudamericana 2017 : tout se jouera au Maracanã, www.lucarne-opposee.fr, 7 décembre 2017.</ref>. Au retour, dans le mythique stade Maracanã, les deux équipes font match nul 1-1 (buts de Barco pour Independiente et de Paquetá pour Flamengo) et Independiente s'adjuge le trophée<ref>Copa Sudamericana 2017 : le Roi Independiente retrouve sa couronne, www.lucarne-opposee.fr, 14 décembre 2017.</ref>, son deuxième dans cette épreuve après celui de 2010.
Palmarès
National | International |
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Compétitions actuelles
Compétitions anciennes
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Compétitions actuelles
Compétitions anciennes |
Identité
Pendant les premières années, Independiente utilise un maillot à moitié blanc et bleu. Selon la légende, en 1907, le président du club Arístides Langone aurait été séduit par le football produit par l'équipe anglaise de Nottingham Forest, en tournée en Argentine, et aurait décidé de reprendre leurs couleurs. En 1908, les joueurs utilisent pour la première fois le maillot rouge et blanc contre les Uruguayens de Bristol<ref name="fifa"/>, tandis que le maillot initial est conservé comme deuxième maillot.
Dans ces premières années, le club arbore un écusson blanc à croix de saint André bleue. À la suite du changement de couleur du maillot, de nouveaux écussons sont utilisés. En 1935, le club opte définitivement pour le logo actuel, rouge barré de blanc<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} historia del escudo, site officiel</ref>.
Infrastructures
Stades
Le club est résident du stade Libertadores de América, surnommé la Doble Visera, depuis son inauguration le Modèle:Date. Il est à cette époque le seul stade en ciment d'Amérique du Sud. Il remplace le stade précédent, situé à la Crucecita, détruit par le feu en 1923.
La Doble Visera a pu contenir Modèle:Nombre avant que sa capacité ne soit réduite à Modèle:Nombre. Fermé pour travaux en 2008, il doit être agrandi pour atteindre Modèle:Nombre<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Estadio De Independiente Avellaneda, somosdiablos.com.ar</ref>.
Installations
Le CA Independiente gère, en dehors de son stade, cinq installations sportives et sociales<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} instalaciones, site officiel</ref>, situé dans le district de Avellaneda et dans la ville de Buenos Aires :
- Le siège social, créé en 1936, où se trouve une salle de gymnastique, un auditorium, une piscine couverte...
- Le complexe de tennis, près du stade, où est établie une école de tennis
- Le complexe de Wilde, situé dans la Modèle:Lien : un parc sportif de 27 hectares ouvert en 1987, comprenant notamment une grande piscine, une piste d'athlétisme et des terrains dédiés à la pratique de différents sports.
- Le complexe Santo Domingo, à Modèle:Lien, où se trouvent un pensionnat, une bibliothèque, des consultations médicales, etc.
- Le complexe éducatif (écoles primaire et secondaire), situé sur l'avenue Boyacá de la ville de Buenos Aires
Personnages du club
Présidents
L'historique complet des présidents du CA Independiente est le suivant : Modèle:Début de colonnes
- 1905-1909 : Arístides Langone
- 1910 : Arturo Fernández Silva
- 1910-1911 : Antonio Cafferata
- 1911-1912 : Juan R. Mignaburu
- 1913-1916 : Manuel Mesples
- 1917-1918 : Juan R. Mignaburu
- 1919 : Pedro Canaveri
- 1920-1921 : Juan R. Mignaburu
- 1922-1933 : Pedro Canaveri
- 1934 : Alfredo Roche
- 1935-1936 : Carlos S. Bottaro
- 1937 : Carlos Castagnino
- 1938-1941 : Miguel Martinicorena
- 1942-1945 : Pedro Canaveri
- 1946-1949 : Santiago García
- 1950-1951 : Angel Boggiano
- 1952-1955 : Alfredo Roche
- 1956-1957 : Héctor Sande
- 1958-1960 : Carlos Radrizzani
- 1961-1963 : Aurelio Demaría
- 1964-1966 : Herminio Sande
- 1967-1968 : Carlos Radrizzani
- 1969 : Nicolás Arias
- 1970-1972 : José Cortés
- 1973-1976 : Oscar Tomás Sobral
- 1976-1981 : Julio Grondona (président de l'AFA depuis 1979)
- 1982-1984 : Pedro Joaquín Iso
- 1985-1987 : Jorge Eduardo Bottaro
- 1988-1990 : Pedro Joaquín Iso
- 1991-1993 : Horacio Sande
- 1994-1996 : Jorge Eduardo Bottaro
- 1997-1999 : Héctor Emilio Grondona
- 2000-2001 : Pedro Joaquín Iso
- 2001-2002 : Roberto Oscar Galano
- 2003-2005 : Modèle:Lien
- 2005-2011 : Julio Comparada
- depuis 2011 : Javier Cantero
Entraîneurs
Comme d'autres clubs argentins, Independiente fait preuve d'une grande instabilité au poste d'entraîneur depuis les années 1990. Miguel Ángel Santoro, ancien grand gardien argentin et idole du club d'Avellaneda, a par exemple occupé à six reprises le rôle d'entraîneur d'Independiente (1980, 2001, 2005, 2007, 2008, 2008-2009) lorsque le club n'allait pas bien sportivement parlant. Il est ainsi surnommé par le peuple rouge El Bombero Modèle:En fr, pour le rôle qu'il incarnait à chacune de ses apparitions.
Les entraîneurs suivants, argentins sauf indication contraire, ont eu en charge la direction des Diablos Rojos<ref>https://www.transfermarkt.fr/ca-independiente-de-avellaneda/mitarbeiterhistorie/verein/1234</ref> : Modèle:Début de colonnes
- Modèle:HUN-d Modèle:Lien (1936)
- Guillermo Ronzoni (1938-1939)<ref name="arg-coach-champ">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Argentina - Coaches of Championship Teams - First Level, rsssf.com</ref>
- Fernando Bello (1948)<ref name="arg-coach-champ"/>
- Roberto Sbarra (1960)<ref name="arg-coach-champ"/>
- Modèle:BRA-d Osvaldo Brandão (1961-1963)
- Manuel Giudice (1963-1966)
- Modèle:BRA-d Osvaldo Brandão (1967)
- Pedro Dellacha (1970-1972)
- Vladislao Cap (1971)
- Humberto Maschio (1972-1973)
- Roberto Ferreiro (1973-1974)
- Pedro Dellacha (1975)
- José Omar Pastoriza (1976-1979)
- Miguel Ángel Santoro (1980)
- Miguel Ángel López (1981)
- Modèle:Lien (1982)
- José Omar Pastoriza (1983-1984 et 1985-1987)
- Jorge Solari (1987-1989)
- José Omar Pastoriza (1990-1991)
- Modèle:Lien et Ricardo Bochini (1991)
- Modèle:Lien (1992)
- Pedro Marchetta (1992-1993)
- Miguel Ángel Brindisi (1993-1995)
- Ricardo Pavoni (1995)
- Miguel Ángel López (1995-1996)
- Gregorio Pérez (1996)
- César Luis Menotti (1996-1999)
- Enzo Trossero (1999-2000)
- Osvaldo Piazza (2000-2001)
- Miguel Ángel Santoro (2001)
- Néstor Clausen (2001-2002)
- Américo Gallego (2002-2003)
- Miguel Ángel Santoro (2003)
- Oscar Ruggeri (2003)
- Modèle:Lien (2003)
- José Omar Pastoriza (2004)
- Daniel Bertoni (2004)
- Pedro Monzón (2004)
- César Luis Menotti (2004-2005)
- Miguel Ángel Santoro (2005)
- Julio César Falcioni (2005-2006)
- Jorge Burruchaga (2006-2007)
- Miguel Ángel Santoro (2007)
- Pedro Troglio (2007-2008)
- Miguel Ángel Santoro (2008)
- Claudio Borghi (2008)
- Miguel Ángel Santoro (2008-2009)
- Américo Gallego (2009-2010)
Joueurs emblématiques
Sur son site officiel, le club distingue vingt et un joueurs en tant que Modèle:Citation de l'histoire du club<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Leyendas, site officiel</ref>. Le milieu de terrain Ricardo Bochini est probablement la première d'entre elles<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Ricardo Bochini tendrá calle propia en Avellaneda, perfil.com</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Bochini sigue entrando en la historia roja, infobae.com</ref>, du fait de ses vingt ans de carrière à Independiente (1972-1991), de ses 740 matchs et ses 107 buts. Avec Independiente, Bochini remporte notamment quatre championnats d'Argentine, quatre Copas Libertadores et deux coupes intercontinentales (1973 et 1984). Même s'il fait partie de l'équipe d'Argentine championne du monde en 1986, il ne compte à la fin de sa carrière que onze sélections. Sa carrière internationale relativement réduite s'explique notamment par la concurrence à son poste de Jorge Burruchaga, Diego Maradona et Jorge Valdano.
Les vingt autres joueurs distingués sont Sergio Agüero, Fernando Bello, Daniel Bertoni, Jorge Burruchaga, Vicente de la Mata, Arsenio Erico, Ernesto Grillo, Luis Islas, Gustavo López, Eduardo Maglioni, Gabriel Milito, Raimundo Orsi, José Omar Pastoriza, Ricardo Pavoni, Miguel Ángel Santoro, Antonio Sastre, Enzo Trossero, Oscar Ustari, Albeiro Usuriaga, Hugo Villaverde.
Par ailleurs, les joueurs suivants ont disputé au moins cinquante matchs pour Independiente : Modèle:Début de colonnes
- Modèle:Drapeau Modèle:Drapeau Raimundo Orsi (1920-28, 1935)
- Modèle:Drapeau Manuel Seoane (1921-33)
- Modèle:Drapeau Roberto Porta (1931-33)
- Modèle:Drapeau Antonio Sastre (1931-42)
- Modèle:Drapeau Arsenio Erico (1934-46)
- Modèle:Drapeau Modèle:Lien (1937-41)
- Modèle:Drapeau Vicente de la Mata (1937-50)
- Modèle:Drapeau Ernesto Grillo (1949-57)
- Modèle:Drapeau Rodolfo Micheli (1952-57)
- Modèle:Drapeau José Varacka (1952-60)
- Modèle:Drapeau Rubén Marino Navarro (1952-66)
- Modèle:Drapeau Roberto Ferreiro (1958-1968)
- Modèle:Drapeau Modèle:Lien (1961-71)
- Modèle:Drapeau Miguel Ángel Santoro (1962-74)
- Modèle:Drapeau Ricardo Pavoni (1965-76)
- Modèle:Drapeau Modèle:Lien (1966-70)
- Modèle:Drapeau Luis Artime (1966-68)
- Modèle:Drapeau Aníbal Tarabini (1966-70)
- Modèle:Drapeau José Omar Pastoriza (1966-72)
- Modèle:Drapeau Héctor Yazalde (1967-71)
- Modèle:Drapeau Modèle:Lien (1968-1975)
- Modèle:Drapeau Modèle:Lien (1969-74)
- Modèle:Drapeau Eduardo Maglioni (1969-73)
- Modèle:Drapeau Luis Garisto (1971-74)
- Modèle:Drapeau Agustín Balbuena (1971-75)
- Modèle:Drapeau Francisco Sá (1971-76)
- Modèle:Drapeau Ricardo Bochini (1972-91)
- Modèle:Drapeau Daniel Bertoni (1973-78)
- Modèle:Drapeau Percy Rojas (1975-76)
- Modèle:Drapeau Enzo Trossero (1975-85)
- Modèle:Drapeau Hugo Villaverde (1976-91)
- Modèle:Drapeau Omar Larrosa (1977-80)
- Modèle:Drapeau Antonio Alzamendi (1978-82)
- Modèle:Drapeau Modèle:Lien (1978-82)
- Modèle:Drapeau Jorge Olguín (1979-83)
- Modèle:Drapeau Néstor Clausen (1980-88, 1995-96)
- Modèle:Drapeau Ricardo Giusti (1980-91)
- Modèle:Drapeau Gabriel Calderón (1981-83)
- Modèle:Drapeau Modèle:Lien (1982-83)
- Modèle:Drapeau Jorge Burruchaga (1982-85, 1995-98)
- Modèle:Drapeau Carlos Enrique (1982-88)
- Modèle:Drapeau Modèle:Lien (1982-88)
- Modèle:Drapeau José Alberto Percudani (1982-88)
- Modèle:Drapeau Modèle:Lien (1983-87, 1992)
- Modèle:Drapeau Franco Navarro (1986-88)
- Modèle:Drapeau Luis Islas (1986-95, 2003)
- Modèle:Drapeau Rogelio Delgado (1987-92)
- Modèle:Drapeau Carlos Alfaro Moreno (1988-91, 1993-94)
- Modèle:Drapeau Hermes Desio (1989-94)
- Modèle:Drapeau Néstor Craviotto (1991-95)
- Modèle:Drapeau Gustavo López (1991-95)
- Modèle:Drapeau Sebastián Rambert (1991-95, 2000-01)
- Modèle:Drapeau Modèle:Lien (1991-95, 1997-99, 2000-01)
- Modèle:Drapeau Eber Moas (1992-94)
- Modèle:Drapeau Pablo Rotchen (1992-99)
- Modèle:Drapeau Hugo Pérez (1993-95)
- Modèle:Drapeau José Serrizuela (1993-96)
- Modèle:Drapeau Albeiro Usuriaga (1994-95, 1996-98)
- Modèle:Drapeau Faryd Mondragón (1994-98, 1999-00)
- Modèle:Drapeau Modèle:Drapeau Roberto Acuña (1995-97)
- Modèle:Drapeau Modèle:Lien (1995-00)
- Modèle:Drapeau Jorge Daniel Martínez (1995-98, 2000-01, 2004-05)
- Modèle:Drapeau Gabriel Milito (1997-03)
- Modèle:Drapeau Esteban Cambiasso (1998-01)
- Modèle:Drapeau José Luis Calderón (1996-97, 1998-99, 2003)
- Modèle:Drapeau Diego Forlán (1998-02)
- Modèle:Drapeau Modèle:Drapeau Mariano Pernía (2000-02)
- Modèle:Drapeau Modèle:Drapeau Vicente Matías Vuoso (2000-02)
- Modèle:Drapeau Pablo Guiñazú (2001-03)
- Modèle:Drapeau Juan Eduardo Eluchans (2000-05, 2006-07)
- Modèle:Drapeau Andrés Silvera (2001-03, 2009-)
- Modèle:Drapeau Daniel Montenegro (1999, 2002-03, 2006-09)
- Modèle:Drapeau Federico Insúa (2002-03, 2004-05)
- Modèle:Drapeau Modèle:Lien (2002-03, 2007-)
- Modèle:Drapeau Sergio Agüero (2003-06)
- Modèle:Drapeau Oscar Ustari (2005-07)
- Modèle:Drapeau Germán Denis (2006-08)
- Modèle:Drapeau Lucas Mareque (2007-)
- Modèle:Drapeau Cristian Rodríguez (2015-)
Voir aussi Modèle:Cl.
Effectif actuel
Culture populaire
Supporters
Le barra brava d'Independiente est connu comme La Barra del Rojo<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} INDEPENDIENTE, barra-bravas.com.ar</ref>.
Rivalités
Le principal rival du club est l'autre club de la ville d'Avellaneda : le Racing Club. Le nom donné à leur rencontre est le Clásico de Avellaneda<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Heaven and Hell: El (Super)Clásico de Avellaneda, theargentimes.com</ref>.
La première rencontre entre les deux équipes a lieu le 9 juin 1907 lors du tournoi de la troisième division de l'Association du football argentin<ref>Modèle:Lien web</ref>. Independiente s'impose trois buts à deux. Ce derby ne fut pas disputé entre 1910 et 1915 car Independiente était membre de la Federación Argentina de Fútbol, une fédération dissidente de l'Association du football argentin. Entre 1931 et 2009, le derby a été disputé à 173 reprises en championnat ; Independiente en a remporté 65 contre 46 au Racing<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Independiente v Racing Club - Avellaneda Derby, rsssf.com</ref>.
Ce derby s'inscrit dans les rivalités entretenues entre les « cinq grands du football argentin ».