Monlaur-Bernet
Modèle:Infobox Commune de France
Monlaur-Bernet (Montlaur e Vernet en gascon) est une commune française rurale, située dans le sud du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par, le ruisseau de l'Arriouat et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Monlaur-Bernet est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1831. Ses habitants sont appelés les Montlaurais ou Montlauraises.
Géographie
Localisation
La commune est limitrophe du département des Hautes-Pyrénées.
La grande ville la plus proche, Auch, se trouve à Modèle:Unité de distance.
Communes limitrophes
Modèle:Carte communes limitrophes
Géologie et relief
La commune se trouve à environ Modèle:Unité du mont Cassin situé à une altitude de Modèle:Unité, point le plus élevé du Gers.
Sur le point culminant du Gers (380m) se trouve la chapelle Saint-Roch.
La superficie de la commune est de Modèle:Unité et l'altitude moyenne est de 339 m<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Monlaur-Bernet se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)<ref>Plan séisme</ref>.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le ruisseau de l'Arriouat, le ruisseau de Goule, le ruisseau d'en Bertrand, le ruisseau de Pey Crabé, le ruisseau des aygues vives, le ruisseau du Bois de Monlaur le ruisseau du Hauret et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnau-Magnoac », sur la commune de Castelnau-Magnoac, mise en service en 1986<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : les « bois et landes des Argudes, Téchéné et les Lannes » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont deux dans le Gers et deux dans les Hautes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Monlaur-Bernet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,9 %), zones agricoles hétérogènes (35,1 %), forêts (15,7 %), prairies (3,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Monlaur-Bernet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 92 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1993 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
Histoire
Des traces du Paléolithique (outils de pierre) ont été retrouvées près du château de Bernet. En outre, des objets de l'époque gallo-romaine tels que des débris de poteries, mortier et meules à grains du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle montrent des traces de vie à cette époque. D'autres objets attestent également d'une présence au Moyen Âge comme des poteries et des armes.
Du Xe au XIIIe siècle, les seigneurs de Bernet étaient les Panassac. Bertrand de Panassac fit don de l'église à l’abbaye de Simorre en Modèle:Date-. Au XIIIe leur ont succédé les seigneurs de Castelbajac qui restèrent jusqu’en 1755, année au cours de laquelle le château a été racheté par le capitaine Joseph d’Abadie de Castelnau-Magnoac, dont les descendants sont toujours les actuels propriétaires du château. S'agissant de Monlaur, le livre Terrier de 1671 et le livre des mutations de 1749 mentionnent l'existence d’un château à l'endroit de l'ancien presbytère<ref>http://www.cc-valdegers.fr/communes-val-de-gers/monlaur-bernet/historique-monlaur-bernet/</ref>.
Les communes de Monlaur (nom qui vient du nom gallo-romain Laurus qui signifie laurier ou bien du nom Mont-Lauré qui signifie Mont labouré) et Bernet (qui trouve son origine dans le nom celtique verna qui signifie aulne) ont été rassemblées en 1822 par un édit royal.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Elu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section |
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 76,1 % d'actifs (72,7 % ayant un emploi et 3,4 % de chômeurs) et 23,9 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 32 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 65, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,3 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 65 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 15 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 92,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
19 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Monlaur-Bernet au Modèle:Date-<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 47,4 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 19 entreprises implantées à Monlaur-Bernet), contre 12,3 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Agriculture
La commune est dans l'Astarac, une petite région agricole englobant tout le Sud du départementdu Gers, un quart de sa superficie, et correspond au pied de lʼéventail gascon<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 25 en 2000 puis à 21 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 13 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 62 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 38 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption est un édifice néo-gothique du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle qui comprend une chapelle de la Vierge et une chapelle de Saint-Joseph.
- La chapelle romane Saint-Roch a été construite sur le point culminant du Gers : le Mont Cassin et ses Modèle:Unité d'altitude. Elle se situe sur un chemin de randonnée. Elle a été détruite à l'époque de la Révolution puis par un incendie, elle a été restaurée grâce à un donateur. Autrefois, Saint Roch était célébré tous les mois, en pèlerinage. Des offices ont lieu régulièrement dans cette chapelle.
- Le cadran solaire, propriété privée.
- Le Pigeonnier, propriété privée<ref>http://www.cc-valdegers.fr/communes-val-de-gers/monlaur-bernet/</ref>.
- Le château de Bernet a été en partie reconstruit après 1843 « avec tout un luxe de mâchicoulis, créneaux, échauguettes et clocheton »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, dans un style néo-gothique tardif : « Les deux façades les plus en évidence, l’une au sud-est, l'autre au sud-ouest, constituent un véritable festival […] de styles – où le castillan, le mauresque et le haut-normand le disputent vainement à l’écossais d’opéra […]. Les flammes discrètes [du] gothique ultime [de la chapelle attenante] se mélangent sans scrupule importun au flamboiement néo-tout-ce-que-l’on-veut – mais d’esprit baroque éternel, essentiellement, sur le mode troubadour highlandais –, de ce Balmoral ou Cecilienhof gascon. »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> Propriété privée, ne se visite pas.
- Site castral de Monlaur. Le cadastre de Monlaur de 1748<ref>Archives départementales du Gers, C 191.</ref> fait état d'un château, palissade et fossés à l'emplacement de l'ancien presbytère. Aucun vestige de l'ancien château n'est aujourd'hui visible en élévation.
- L'église Sainte-Foy, près du château, date du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle à l'initiative de Pierre-Arnaud de Castelbajac, évêque de Pamiers de 1483 à 1494. Un blason placé au-dessus du portail serait celui de Pierre-Arnaud de Castelbajac ou de François-Philibert de Savoie. L’église est décorée de semis d’étoiles, fleurs stylisées, blasons ainsi que de peintures murales du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. L'église comprend également une chapelle de la Vierge et deux fenêtres gothiques, l'une de style rayonnant et l'autre de style flamboyant.
- Le canal de Monlaur, construit au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle par l’ingénieur Montet pour ravitailler les troupes napoléoniennes en eau, mesure Modèle:Unité. Le canal a été prolongé jusqu’à Ornézan dans les années 1950 et sert à présent pour l'irrigation. C'est la compagnie d'aménagement des coteaux de Gascogne qui a la charge de la gestion des canaux<ref>http://www.cc-valdegers.fr/communes-val-de-gers/monlaur-bernet/patrimoine-onlaur-bernet/</ref>.
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Ours à la chapelle Saint-Roch.
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Vue depuis le Mont Cassin avec le château de Bernet.
Les produits régionaux
Les produits de la région sont le canard à foie gras du Sud-Ouest, les volailles de Gascogne et du Gers, le jambon de Bayonne, les haricots tarbais. Les vins de la région sont le comté-tolosan, les côtes-de-gascogne et le Gers.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Monlaur-Bernet sur le site de l'Institut géographique national
- Monlaur-Bernet sur le site de la Communauté de Communes Val de Gers
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes