Dark City
Modèle:Infobox V3/Début Modèle:Infobox V3/Image Modèle:Infobox V3/Séparateur Modèle:Infobox V3/Tableau début Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau fin {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} Modèle:Infobox V3/Séparateur
Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Modèle:Infobox V3/Fin Modèle:Langue, ou Cité obscure au Québec, est un film de science-fiction australo-américain co-écrit, co-produit et réalisé par Alex Proyas, sorti en 1998.
Malgré des critiques globalement positives, le film est un échec commercial.
Synopsis
Présentation générale
John Murdoch se réveille amnésique dans un hôtel. En cherchant à en savoir plus sur lui-même, il découvre qu'il est suspecté d'être un tueur en série. Il est notamment poursuivi par l'inspecteur Bumstead. Dans sa quête pour retrouver la mémoire, Murdoch fait la connaissance du docteur Schreber, qui semble en savoir beaucoup sur lui-même. De plus, Murdoch découvre des créatures douées de pouvoirs surnaturels effrayants et aux sombres desseins.
Synopsis détaillé
Un homme se réveille dans son bain, une goutte de sang perle sur son front. Il ne se souvient de rien, il met des vêtements neufs déposés dans sa chambre d'hôtel quand il reçoit un appel téléphonique anonyme. On le prévient qu'« ils » arrivent et qu'il ne doit jamais « les » laisser l'attraper. Au moment où il prend la fuite, il aperçoit le corps d'une femme sur le sol. Il est poursuivi à la fois par un détective qui enquête sur les meurtres qu'il aurait prétendument commis, et par d'étranges hommes pâles et chauves, tous habillés de la même façon.
Plus tard, il apprend que son nom est John Murdoch et qu'il a une compagne, nommée Emma. Recherché par l'inspecteur de police Frank Bumstead, ce dernier l'accuse d'être un tueur en série. John découvre ensuite qu'il est un mutant psychokinétique qui a la capacité de modifier les environnements. Il fait ensuite face à d'étranges hommes en noir, chauves et à la peau très pâle. Alors que ces hommes étranges cherchent à l'assassiner, John réussit à s'en débarrasser et fuit.
John Murdoch explore ensuite la ville, perpétuellement sombre. Personne ne semble se rendre compte qu'il y fait toujours nuit. À minuit, tous les citoyens dorment, sauf John Murdoch et ces mystérieux hommes pâles et chauves. Ces derniers ont eux aussi le pouvoir de modifier les environnements, la mémoire des gens et leurs identités. John Murdoch fait ensuite des découvertes sur son passé : il apprend qu'il est originaire de la ville de Shell Beach. Mais personne ne semble se rappeler comment se rendre à cet endroit. De leur côté, les hommes pâles et chauves injectent les souvenirs de John Murdoch sur l'un des leurs, M. Main, afin de mieux le connaître et ainsi le localiser.
John Murdoch est capturé par l'inspecteur Frank Bumstead, qui semble être convaincu de l'innocence de ce dernier et comprend que des choses anormales ont lieu dans cette ville. Ils rencontrent ensuite le Modèle:Dr Daniel Schreber, qui leur explique que ces hommes pâles et chauves sont en réalité des extraterrestres. Schreber précise qu'ils utilisent les humains comme cobayes d'expériences. Le docteur ajoute que John Murdoch est une anomalie réveillée par inadvertance.
En cassant un mur avec des masses, Murdoch et Bumstead découvrent un passage vers l'espace. Les aliens surgissent alors et M. Main se sert d'Emma comme bouclier humain. Après une lutte entre l'inspecteur Frank Bumstead et l'un des aliens, ceux-ci sont aspirés dans l'espace. On découvre alors que la ville est sur une station spatiale entourée d'un champ de force.
Les aliens emmènent John Murdoch dans le souterrain de la ville et obligent le Modèle:Dr Daniel Schreber à lui injecter leur mémoire collective car ils pensent que John Murdoch est le point culminant de leurs expériences. Schreber trahit finalement les aliens en injectant un remède à la place des faux souvenirs. Cela déclenche le retour de souvenirs de John Murdoch. Il se réveille et parvient à se délivrer grâce à ses propres pouvoirs psychiques. Il affronte et parvient à vaincre les aliens et leur leader M. Livre.
Le Modèle:Dr Daniel Schreber apprend ensuite à John Murdoch qu'Emma a été réimprimée et ne peut pas être restaurée. John Murdoch utilise alors ses pouvoirs, amplifiés par la machine extraterrestre, pour créer un environnement rappelant Shell Beach. M. Main, mourant, retrouve ensuite John Murdoch à Shell Beach. Il l'informe qu'ils ont cherché en vain au mauvais endroit Modèle:Incise pour comprendre l'Humanité. Murdoch fait alors pivoter la station spatiale vers une étoile dont elle avait été détournée. La ville est touchée par la lumière du soleil, pour la première fois.
John ouvre ensuite une porte menant hors de la ville et sort pour admirer le lever du soleil. Sur une jetée, il retrouve la femme qu'il connaissait sous le nom d'Emma. Elle dit alors se nommer Anna. Murdoch se présente à nouveau à elle et ils marchent ensemble jusqu'à Shell Beach.
Fiche technique
- Titre original et français : Modèle:Langue
- Titre québécois : Cité obscure
- Réalisation : Alex Proyas
- Scénario : Lem Dobbs, David S. Goyer et Alex Proyas
- Musique : Trevor Jones
- Décors : George Liddle et Patrick Tatopoulos
- Costumes : Liz Keogh
- Photographie : Dariusz Wolski
- Montage : Dov Hoenig
- Production : Andrew Mason et Alex Proyas
- Sociétés de production : Mystery Clock Cinema ; New Line Cinema (coproduction)
- Société de distribution : New Line Cinema
- Budget : Modèle:Unité<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Dark City sur The Numbers</ref>
- Pays de production : Modèle:Pays, Modèle:Nobr
- Langue originale : anglais
- Format : couleur - 2,35:1 - 35 mm - DTS / Dolby Digital / SDDS
- Genre : science-fiction, néo-noir
- Durée : 95 minutes, 111 minutes (version director's cut 2008)
- Dates de sortie :
- États-Unis : Modèle:Date
- France : Modèle:Date
- Canada : Modèle:Date (sortie en DVD<ref>Modèle:Lien web</ref>)
- Suisse : Modèle:Date
- Australie : Modèle:Date
- Classification :
- France (CNC)<ref>Modèle:Lien web.</ref> : tous publics<ref>Lors de la sortie du director's cut en Blu-ray en France, l'éditeur Metropolitan Films a émis une interdiction aux moins de 12 ans, notée au verso de la jaquette.</ref>, Art et essai
Distribution
- Rufus Sewell (VF : Jean-Philippe Puymartin ; VQ : Daniel Picard) : John Murdoch
- William Hurt (VF : Féodor Atkine ; VQ : Jean-Marie Moncelet) : l'inspecteur Frank Bumstead
- Kiefer Sutherland (VF : Emmanuel Jacomy ; VQ : Pierre Auger) : Modèle:Dr Daniel P. Schreber
- Jennifer Connelly (VF : Brigitte Berges ; VQ : Christine Bellier) : Emma Murdoch / Anna
- Richard O'Brien (VF : François Dunoyer ; VQ : Hubert Gagnon) : M. Main (Mr. Hand en Modèle:VO)
- Ian Richardson (VF : Jean Négroni ; VQ : Yves Massicotte) : M. Livre (Mr. Book en Modèle:VO)
- Bruce Spence (VF : Gilles Tamiz ; VQ : Sylvain Hétu) : M. Mur (Mr. Wall en Modèle:VO)
- Colin Friels (VF : Hervé Bellon ; VQ : Luis de Cespedes) : le détective Eddie Walenski
- John Bluthal (VF : Raoul Delfosse) : Karl Harris
- Mitchell Butel : l'officier Husselbeck
- Melissa George : May
- Frank Gallacher : l'inspecteur Stromboli
- Ritchie Singer : le gérant de l'hôtel
- Justin Monjo : le chauffeur de taxi
- Nicholas Bell : M. Pluie
Production
Genèse et développement
Alex Proyas a eu l'idée du film lors du tournage de Modèle:Langue<ref name="trivia">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:trivia|trivia|reference}} {{#if:||Trivia}} sur l’Modèle:Lang.</ref>. Il écrit une première ébauche de scénario. Lem Dobbs retravaille considérablement son projet et organise le script. Enfin, David S. Goyer est engagé pour finaliser le scénario et ajouter des scènes d'action pour avoir un budget plus important<ref name="trivia" />.
Alex Proyas cite plusieurs films des années 1940-1950 comme influences majeures (notamment Le Faucon maltais), mais également d'autres œuvres comme Metropolis (1927), la série La Quatrième Dimension (1959-1964) et le film d'animation Akira (1988)
Attribution des rôles
Modèle:… Kiefer Sutherland, grand fan de William Hurt, aurait immédiatement accepté le rôle lorsqu'il apprit que celui-ci faisait partie de la distributionModèle:Réf nécessaire.
Modèle:Langue marque les débuts sur grand écran de Melissa George<ref name="trivia" />.
Tournage
Le tournage débute le Modèle:Date- et se déroule à Los Angeles et Sydney (notamment aux Fox Studios Australia)<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:locations|locations|reference}} {{#if:||Modèle:Titre sans précision}} sur l’Modèle:Lang (consulté le 7 février 2011).</ref>.
Certains décors du film seront revendus et réutilisés pour l'équipe de Matrix (1999) : notamment pour la scène d'introduction où Trinity échappe aux agents en sautant d'immeuble en immeuble<ref name="trivia" />,<ref>Secrets de tournage - Allociné</ref>.
Musique
Accueil
Modèle:Langue reçoit un accueil globalement favorable dans la presse. Sur l'agrégateur américain Rotten Tomatoes, il récolte 76% d'opinions favorables pour 85 critiques et une note moyenne de Modèle:Frac. Le consensus du site est le suivant : Modèle:Citation. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de Modèle:Frac pour 23 critiques<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le célèbre critique américain Roger Ebert le qualifie comme le meilleur film sorti en 1998<ref name="trivia" />.
Malgré cela, le film est un échec commercial, rapportant environ Modèle:Unité au box-office mondial, dont Modèle:Unité en Amérique du Nord, pour un budget de Modèle:Unité<ref>Dark City sur Box Office Mojo.</ref>. En France, il a réalisé Modèle:Unité<ref>Dark City sur JP‘s Box-Office.</ref>.
Distinctions
Source : Internet Movie Database<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:awards|awards|reference}} {{#if:||Awards}} sur l’Modèle:Lang</ref>
Récompenses
- Festival du film fantastique d'Amsterdam 1998 : meilleur film
- Saturn Awards 1999 : meilleur film de science-fiction
- Prix Bram Stoker 1999 : meilleur scénario
- Festival international du film fantastique de Bruxelles : prix du public
Nominations
- Saturn Awards 1999 : meilleure réalisation, meilleur scénario, meilleurs costumes, meilleur maquillage, meilleurs effets visuels
- Prix Hugo 1999 : meilleur film
- Saturn Awards 2009 : meilleure édition spéciale DVD pour la version 'director's cut
Version director's cut
Une version director's cut sort en DVD et Blu-ray en 2008. Elle contient 15 minutes de scènes inédites mais aussi la suppression de la voix hors champ dans la scène d'ouverture<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Dark City - Comparison : Theatrical Version / Director's Cut - Movie-censorship.com</ref>. En effet, le réalisateur estimait que son personnage y dévoilait beaucoup trop d'informations sur le contenu de l'intrigue. Cela lui avait été imposé par le studio<ref name="trivia" />.
Commentaires
- La scène finale sur la jetée avec Jennifer Connelly a été reproduite quasiment à l'identique dans Requiem for a Dream (film dans lequel elle a joué également) et dans House of Sand and FogModèle:Réf nécessaire.
- Le nom du personnage incarné par Kiefer Sutherland, Modèle:Dr Daniel P. Schreber, est un clin d’œil à Daniel Paul Schreber, un juriste allemand notamment connu pour son ouvrage Mémoires d'un névropathe<ref name="trivia" />.
Notes et références
Annexes
Bibliographie
- Delphine Fellay, Stéphanie Ginalski et Valérie Niederoest, « Dark City : parcours entre architecture, urbanisme et science-fiction », dans Gianni Haver et Patrick J. Gyger (dir.), De beaux lendemains ? Histoire, société et politique dans la science-fiction, Lausanne, Antipodes, 2009, p. 173-183
- Modèle:Article