Ahmed Ouyahia

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Ahmed Ouyahia (en Modèle:Langue avec nom), né le Modèle:Date à Iboudraren (actuelle wilaya de Tizi Ouzou), est un homme d'État algérien.

Haut fonctionnaire diplômé de l'École nationale d'administration d'Alger en 1976, il est quatre fois chef du gouvernement entre 1995 et 2019, ministre de la Justice de 1999 à 2002, directeur de cabinet du président de la République de 2014 à 2017. Il est la seule personnalité à avoir été à la tête du gouvernement plus d'une fois<ref group=N>N'est pas inclus Abdelmalek Sellal, dont le mandat fut brièvement interrompu par l'intérim de Youcef Yousfi dans le contexte de l'élection présidentielle algérienne de 2014, où il était directeur de campagne du président-candidat Abdelaziz Bouteflika, avant de reprendre ses fonctions à la suite de la réélection de celui-ci.</ref> et détient le record de durée à cette fonction. Il est par ailleurs secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND) entre 1999 et 2019.

Dans le cadre des manifestations de 2019 en Algérie, il est contraint de quitter la tête du gouvernement. Arrêté dans la foulée pour corruption, il est incarcéré.

Biographie

Enfance et éducation

Ahmed Ouyahia naît le Modèle:Date- dans le village de Bouadnane (commune d'Iboudraren, dans l'actuelle wilaya de Tizi Ouzou, en Kabylie, région berbèrophone du Nord est de l'Algérie). La famille déménage ensuite à Alger, où naît son frère Laïfa<ref>Modèle:Lien web</ref> (1963-2020)<ref name=dec/>. Après des études primaires dans cette ville de 1958 à 1965, il entre au lycée El-Idrissi et obtient le baccalauréat ès lettres en 1972.

La même année, il passe le concours d'entrée à l'École nationale d'administration d'Alger, qu'il réussit, parmi les trois premiers avec Ahmed Attaf (futur ministre des Affaires étrangères et membre du RND). Il se spécialise alors dans la diplomatie et sciences politiques en 1976. Il fait son service de 1977 à 1978, qu'il passe à l'enceinte d'El Mouradia de la présidence algérienne où il intègre l'équipe des relations publiques.

Carrière diplomatique

En 1978, il entre à la présidence de la République au département des Affaires africaines en tant qu'administrateur stagiaire<ref>JO 1978-27 du 4-juillet-1978, arrêté du 7-juin-1978 portant mouvement dans le corps des administrateurs</ref>. Il est ensuite envoyé en 1981, comme conseiller aux Affaires étrangères à l'ambassade d'Algérie en Côte d'Ivoire, puis en 1984, à la direction de la Mission permanente de l'Algérie aux Nations unies à New York. De 1988 à 1989, il devient co-représentant algérien au Conseil de sécurité des Nations unies, puis le Modèle:Date- il est nommé comme chargé d'études au cabinet du ministre des Affaires étrangères, Sid Ahmed Ghozali à Alger<ref>JO 1990-47, arrêté du 3 novembre 1990, portant nomination de chargé d'études au cabinet du ministre des Affaires étrangères</ref> avant de devenir moins d'un mois plus tard le directeur général du département africain du ministère le Modèle:Date-<ref>JO 1990-47 du 6-février-1991 décret présidentiel du 1-février-1991 portant nomination du directeur général de l'Afrique au ministère des Affaires étrangères</ref>.

Il dirige le département Afrique jusqu'au Modèle:Date-<ref>JO 1992-70 du 1-octobre-1992, décret présidentiel du 1-septembre-1992 mettant fin aux fonctions du directeur général de l'Afrique au Ministère des affaires étrangères</ref> lorsqu'il est envoyé comme ambassadeur au Mali<ref>JO 1992-70 du 1-octobre-1992, décret présidentiel du 1-septembre-1992 portant nomination d'ambassadeurs exceptionnels et plénipotentiaires</ref> chargé de négocier la paix comme intermédiaire dans le conflit entre le gouvernement malien et le mouvement touareg, Azaouad, et abouti avec la création du traité de « Pacte national » de Bamako.

Parcours politique

Entrée au gouvernement

Il est rappelé en Algérie en Modèle:Date- pour servir dans le gouvernement de Redha Malek comme sous-secrétaire d'État aux Affaires arabes et africaines. Il entre en Modèle:Date-, en pleine décennie noire, au cabinet directeur du président de l'État, Liamine Zéroual, où il est chargé des affaires politiques, notamment pour les négociations avec le Front islamique du salut (FIS) et la préparation de l'élection présidentielle que le président Zéroual remporte en Modèle:Date-.

Chef du gouvernement

Nommé chef du gouvernement le Modèle:Date- par le président de la République, Liamine Zéroual, poste qu'il conserve jusqu'au Modèle:Date-, lorsque le président Liamine Zéroual annonce qu'il ne se représentera pas pour l'élection de 1999.

C'est sous l'administration Ouyahia qu'a été promulguée la loi de généralisation de la langue arabe, visant essentiellement à l'arabisation de la Kabylie. Son entrée en vigueur en 1998 ainsi que l'assassinat le Modèle:Date- du chanteur engagé kabyle Matoub Lounès ont déclenché un soulèvement en Kabylie et créé une vive émotion en Kabylie et dans la diaspora.

Il applique une cure d'austérité pour réduire l'inflation et favoriser le libre-marché, ce qui amène environ 500 000 personnes à perdre leur emploi, mais les réserves de change étrangères augmentent<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Ministre de la Justice

Le 26 janvier 1999, il prend la tête du RND<ref>Modèle:Lien web</ref>, à l'issue d'une fronde du Conseil national du parti contre le secrétaire général Tahar Benaibèche, sur fond de désaccord de celui-ci sur le soutien de la candidature d'Abdelaziz Bouteflika<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Alors qu'Abdelaziz Bouteflika est élu président de la République en Modèle:Date-, il est nommé ministre d'État et ministre de la Justice du premier gouvernement d'Ali Benflis. Dirigeant du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed Ouyahia est élu secrétaire général du parti. Durant le conflit entre l'Éthiopie et l'Érythrée, le président Bouteflika, alors président de l'Organisation de l'unité africaine (OUA), le charge de mener les négociations de résolution du conflit qui aboutissent à la signature d'un accord de cessation des hostilités à Alger en Modèle:Date-.

Ahmed Ouyahia remet sa démission de sa fonction de ministre de la Justice au président après la défaite de son parti, le RND, aux élections législatives de juin 2002. Il est nommé ministre d'État du nouveau gouvernement et représentant spécial du président, poste honorifique mais sans budget ni pouvoir de décision.

Chef du gouvernement

Fichier:Donald Rumsfeld with Ahmed Ouyahia in Algiers 2006.jpg
Ouyahia avec Donald Rumsfeld à Alger (2006).

Après la crise politique entre le président Bouteflika et Ali Benflis, devenu un sérieux prétendant à la présidence, ce dernier est écarté et Ahmed Ouyahia est nommé chef du gouvernement pour la seconde fois. Il remet sa démission le Modèle:Date-, après des négociations entre les partis de la coalition présidentielle, son parti, le RND, le FLN et le MSP.

Premier ministre

Fichier:Dmitry Medvedev with Ahmed Ouyahia in Algiers 6 October 2010.jpg
Ouyahia avec Dmitri Medvedev, à Alger, en 2010.

Il est nommé Premier ministre le Modèle:Date- par le président Bouteflika en vue de la révision de la Constitution, mission accomplie le Modèle:Date-, permettant ainsi à Bouteflika de briguer un troisième mandat. Il est remplacé par Abdelmalek Sellal en Modèle:Date-<ref>Algérie : Abdelmalek Sellal nommé Premier ministre, Le Figaro, 3 septembre 2012.</ref>.

Directeur de cabinet du président de la République

Le Modèle:Date-, à l'issue d'une fronde interne consécutive à son départ du gouvernement<ref>Modèle:Lien web.</ref>, il démissionne de son poste de secrétaire général du Rassemblement national démocratique<ref>Algérie : changement à la tête du RND, Le Figaro, 3 janvier 2013.</ref>. Abdelkader Bensalah lui succède. Le Modèle:Date-, après la démission de Bensalah, il redevient secrétaire général, en assurant l'intérim dans un premier temps<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le Modèle:Date-, candidat unique, il est formellement élu à l'unanimité à la tête de son parti<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En mars 2014, dans le contexte de l'élection présidentielle algérienne de 2014 et de la maladie du président Bouteflika, il est nommé directeur de cabinet du président de la République<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Il est présenté comme le principal animateur du mouvement anti-français exigeant une repentance de la France pour « les crimes de la colonisation »<ref name="Pons">Frédéric Pons, « L'inquiétant héritage de Bouteflika », Conflits, Modèle:N°, janv.-mars 2017, Modèle:P.</ref>.

Le Modèle:Date-, il affirme que les Modèle:Citation, que Modèle:Citation et qu'Modèle:Citation, ce qui conduit Amnesty International à dénoncer des propos Modèle:Citation et Modèle:Citation<ref name=propos>Modèle:Lien web</ref>. Enfin, Abdelmoumene Khelil, secrétaire général de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme (LADDH), estime pour sa part que ces propos Modèle:Citation<ref name=propos/>. Le Modèle:Date-, il reçoit le soutien du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, qui déclare que Modèle:Citation, ajoutant que Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Premier ministre

Il redevient Premier ministre le Modèle:Date-, à la suite du limogeage d'Abdelmadjid Tebboune<ref>Algérie: le premier ministre limogé, Le Figaro, 15 août 2017.</ref>. L'une de ses premières mesures est de dissoudre l'Inspection générale du Premier ministre<ref>Modèle:Lien web</ref>. Se qualifiant d'Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>, il se distingue par ses déclarations controversées, comme celles affirmant que Modèle:Citation, Modèle:Citation, de même que par son soutien au cinquième mandat de Bouteflika ou encore ses dénégations sur l'état de santé de celui-ci<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Alors qu'il fait partie des figures contestées par les manifestations de 2019 en Algérie, il dresse un parallèle entre le mouvement en cours, la guerre civile algérienne et la guerre civile syrienne<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>. Dans le cadre de ces manifestations de masse, il démissionne de sa fonction de Premier ministre, après le retrait d'Abdelaziz Bouteflika de l’élection présidentielle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Procès et condamnations

Le Modèle:Date-, il est renvoyé devant la Cour suprême<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date- suivant, il est arrêté pour des affaires de corruption liées notamment aux hommes d’affaires algériens Mahieddine Tahkout et Ali Haddad<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le juge d’instruction auprès la Cour suprême ordonne sa mise en détention provisoire, et il est incarcéré dans la foulée à la prison d'El-Harrach<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Son premier procès pour une affaire de corruption en lien avec des usines de montage automobile commence le 2 décembre 2019<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis est ajourné au 4 décembre<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ahmed Ouyahia est condamné à 15 ans de prison ferme le 10 décembre<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sa condamnation est confirmée en appel le 25 mars<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Son frère Laïfa, qui est aussi son avocat Modèle:Incise, meurt le 21 juin d'un arrêt cardiaque lors de son procès. Ahmed Ouyahia assiste menotté à ses obsèques<ref name=dec>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette séquence est largement commentée, les uns se réjouissant de la déchéance de l'ancien chef du gouvernement, les autres dénonçant une humiliation d'un homme jeté en pâture à la vindicte populaire, voire une atteinte à la dignité humaine<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le tribunal de Sidi M'Hamed le condamne le 24 juin pour cette affaire de corruption en lien avec Sovac à douze ans de prison ferme<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Dans l'affaire Haddad le tribunal de Sidi M'Hamed le condamne à douze ans de réclusion criminelle pour corruption<ref>Modèle:Lien web</ref>, peine réduite en appel à huit ans le 3 novembre 2020<ref>Amara Benyounès retrouve la liberté, site tsa-algerie.com, 3 novembre 2020.</ref>.

Dans l'affaire Tahkout, il est condamné à dix ans d'emprisonnement pour des faits de corruption<ref>Modèle:Lien web</ref>, peine ramenée à cinq ans en appel<ref>Tahkout condamné à 14 ans de prison ferme, Ouyahia et Sellal à 5 ans de réclusion, site aps.dz, 18 novembre 2020.</ref> puis portée à sept ans de prison lors d'un nouveau jugement le 12 décembre 2021<ref>Affaire Tahkout: Ouyahia et Sellal condamnés à 7 ans de prison ferme, site aps.dz, 12 décembre 2021.</ref>. Lors de son procès en 2020, il a déclaré être touché par un cancer<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 30 novembre 2020, il est condamné à cinq ans de prison pour Modèle:Citation<ref>Affaire du groupe Condor : Cinq ans de prison ferme contre Ouyahia et Sellal, site aps.dz, 30 novembre 2020.</ref>.

Le 4 janvier 2021, poursuivi dans des affaires de corruption dans le secteur du tourisme à Skikda, il est condamné à sept ans de prison<ref>Pillage d'un foncier touristique à Skikda: des peines allant de 3 à 7 ans de prison ferme, site aps.dz, 4 janvier 2021.</ref>.

En 2022, ses biens sont confisqués<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En avril 2022, poursuivi pour Modèle:Citation, il est condamné à quatre ans de prison dans l'affaire dite Modèle:Citation<ref>Les deux anciens Premiers ministres Sellal et Ouyahia condamnés respectivement à 5 et 4 ans de prison ferme, site aps.dz, 13 avril 2022.</ref>.

En décembre 2022, il est condamné à douze ans de prison pour, notamment, Modèle:Citation<ref>Tribunal de Sidi M'hamed : 12 ans de prison ferme contre Ouyahia et 10 ans de prison ferme contre Sellal et Bedoui, site aps.dz, 1er décembre 2022.</ref>.

Détail des mandats et fonctions

Gouvernement

Fonction gouvernementale Début Fin
Secrétaire d'État à la Coopération et aux Affaires maghrébines (gouvernement Malek) Modèle:Date Modèle:Date
Chef du gouvernement (gouvernement Ouyahia I) Modèle:Date<ref name="F1996001">http://www.joradp.dz/FTP/Jo-Francais/1996/F1996001.pdf</ref> Modèle:Date<ref name="F1997044">http://www.joradp.dz/FTP/Jo-Francais/1997/F1997044.pdf</ref>
Chef du gouvernement (gouvernement Ouyahia II) Modèle:Date<ref name="F1997044" /> Modèle:Date
Ministre d'État, ministre de la Justice (gouvernement Benbitour) Modèle:Date Modèle:Date
Ministre d'État, ministre de la Justice (gouvernement Benflis I) Modèle:Date Modèle:Date
Ministre d'État, ministre de la Justice (gouvernement Benflis II) Modèle:Date Modèle:Date
Ministre d'État, représentant personnel du président de la République (gouvernement Benflis III) Modèle:Date Modèle:Date<ref name="F2003032">http://www.joradp.dz/FTP/jo-francais/2003/F2003032.pdf</ref>
Chef du gouvernement (gouvernement Ouyahia III) Modèle:Date<ref name="F2003032" /> Modèle:Date<ref name="F2004027">http://www.joradp.dz/FTP/jo-francais/2004/F2004027.pdf</ref>
Chef du gouvernement (gouvernement Ouyahia IV) Modèle:Date<ref name="F2004027" /> Modèle:Date<ref name="F2005032">http://www.joradp.dz/FTP/jo-francais/2005/F2005032.pdf</ref>
Chef du gouvernement (gouvernement Ouyahia V) Modèle:Date<ref name="F2005032" /> Modèle:Date<ref name="F2006035">http://www.joradp.dz/FTP/jo-francais/2006/F2006035.pdf</ref>
Premier ministre (gouvernement Ouyahia VI) Modèle:Date<ref name="F2008035">http://www.joradp.dz/FTP/jo-francais/2008/F2008035.pdf</ref> Modèle:Date<ref name="F2008064">http://www.joradp.dz/FTP/jo-francais/2008/F2008064.pdf</ref>
Premier ministre (gouvernement Ouyahia VII) Modèle:Date<ref name="F2008064" /> Modèle:Date<ref name="F2009025">http://www.joradp.dz/FTP/jo-francais/2009/F2009025.pdf</ref>
Premier ministre (gouvernement Ouyahia VIII) Modèle:Date<ref name="F2009025" /> Modèle:Date<ref name="F2010036">http://www.joradp.dz/FTP/jo-francais/2010/F2010036.pdf</ref>
Premier ministre (gouvernement Ouyahia IX) Modèle:Date<ref name="F2010036" /> Modèle:Date<ref name="F2012049">http://www.joradp.dz/FTP/JO-FRANCAIS/2012/F2012049.pdf</ref>
Ministre d'État, Directeur de cabinet du président de la République (gouvernement Sellal III) Modèle:Date Modèle:Date
Ministre d'État, Directeur de cabinet du président de la République (gouvernement Sellal IV) Modèle:Date Modèle:Date
Ministre d'État, Directeur de cabinet du président de la République (gouvernement Tebboune) Modèle:Date Modèle:Date
Premier ministre (gouvernement Ouyahia X) Modèle:Date Modèle:Date

Rassemblement national démocratique

Autres

  • 1978 - 1981 : administrateur civil à la présidence du Conseil
  • 1981 - 1984 : conseiller aux affaires étrangères à l'Ambassade d'Algérie à Abidjan
  • 1984 - 1989 : conseiller à la mission permanente de l'Algérie auprès de l'ONU (New York)
  • 1988 - 1989 : représentant adjoint au Conseil de sécurité des Nations unies
  • 1989 - 1990 : conseiller au cabinet du ministre des Affaires étrangères
  • 1990 - 1991 : directeur général Afrique à l'administration centrale du ministère des Affaires étrangères
  • 1992 : médiateur au nom de l'Algérie dans le règlement du conflit du Nord du Mali
  • 1992 - 1993 : ambassadeur d'Algérie au Mali
  • 1994 - 1995 : directeur de cabinet de la présidence de la République
  • 1999 - 2000 : médiateur au nom du président de l'OUA dans le règlement du conflit Éthiopie-Érythrée
  • 2014 - 2017 : directeur de cabinet de la présidence de la République (Modèle:2e)

Notes et références

Notes

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Références

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Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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