Échourgnac
Modèle:Infobox Commune de France
Échourgnac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Généralités
En plein cœur de la forêt de la Double, au croisement des routes départementales 38, 41 et 708, Échourgnac se trouve à une quinzaine de kilomètres au nord-ouest de Mussidan, au nord-est de Montpon-Ménestérol et au sud-ouest de Ribérac.
Son territoire, parsemé de nombreux étangs, est essentiellement forestier.
Communes limitrophes
Échourgnac est limitrophe de six autres communes, dont Saint-André-de-Double à l'est, par un simple quadripoint. Modèle:Carte communes limitrophes Modèle:Communes limitrophes
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Échourgnac est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e4b(1), est la formation de Guizengeard inférieur (Yprésien supérieur continental). La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « Modèle:N° - Montpon-Ménestérol » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref> et 14 sous-unités<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune fait partie de la Double, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les Modèle:Unité pour les plus élevées (Modèle:Nobr au sud de Tocane-Saint-Apre). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Duche, le ruisseau de la Cigale, la Bauronne, la Gauille, le ruisseau de la Forêt et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique d'environ Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Duche, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans le nord-ouest de la commune et se jette dans l'Isle en rive droite, en limite de Montpon-Ménestérol et du Pizou, face à Ménesplet<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle sert de limite naturelle à la commune à l'ouest, la séparant de Servanches sur plus de trois kilomètres et demi.
Son affluent de rive gauche le ruisseau de la Forêt baigne le sud du territoire communal sur près d'un kilomètre et demi dont un kilomètre en limite de Saint-Barthélemy-de-Bellegarde.
La Bauronne, affluent de rive gauche de la Rizonne, borde le territoire communal à l'est et au nord sur deux kilomètres et demi, face à La Jemaye-Ponteyraud, en deux tronçons.
Son affluent de rive gauche la Gauille arrose le nord sur plus de trois kilomètres et demi dont deux kilomètres et demi en limite de La Jemaye-Ponteyraud.
Le ruisseau de la Cigale prend sa source un kilomètre et demi au sud-est du bourg et traverse la commune en direction du sud sur deux kilomètres et demi dont Modèle:Nobr face à Saint-Michel-de-Double.
Comme pour les autres communes de la Double, le territoire d'Échourgnac est parsemé de nombreux étangs ; le plus étendu avec une vingtaine d'hectares est le Grand Étang, dans le nord-ouest.
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La Duche au pont de la Modèle:Nobr, en limite d'Échourgnac (à gauche) et de Servanches.
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L'étang des Eymouchères.
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Réseaux hydrographique et routier d'Échourgnac.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Aulaye », sur la commune de Saint Aulaye-Puymangou, mise en service en 1969<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Échourgnac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpon-Ménestérol, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (64,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,4 %), zones agricoles hétérogènes (17,9 %), prairies (9,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,2 %), terres arables (3,9 %), zones urbanisées (1,3 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Prévention des risques
Le territoire de la commune d'Échourgnac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Échourgnac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 1992, 1997, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom d'Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Eschornhac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Histoire
Le Modèle:Date, des soldats allemands abattent une habitante et brûlent sa maison<ref name="CarnetsCharente">Carnets de guerre en Charente par Francis Cordet</ref>.
Échourgnac, par sa position géographique est considérée comme la capitale du pays doubleaud. Dans la vaste et profonde forêt qui couvre la Double, de nombreux camps de maquisards s'installèrent durant l'occupation allemande (1940-1944). Les attaques nombreuses et par petits groupes des convois ennemis obligèrent les autorités occupantes à fixer sur le secteur un grand nombre de soldats pour tenter d'anéantir la résistance des « hommes des bois ». Non seulement, la résistance s'intensifia mais elle priva l'armée allemande d'un renfort important, lorsque les alliés débarquèrent sur la côte normande. De nombreux combattants de la forêt de la Double suivirent l'ennemi durant son repli, depuis ses dernières poches de Royan, de La Rochelle et de Saint-Nazaire, et jusqu'en Allemagne pour certains d'entre eux.
Politique et administration
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et Modèle:Unité au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 2 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 28 octobre 2020.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Équipements et services publics
Justice
Dans le domaine judiciaire, Échourgnac relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Périgueux ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Emploi
En 2015<ref>Dossier complet - Commune d'Échourgnac (24159) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 10 octobre 2018.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 43,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-cinq) a diminué par rapport à 2010 (vingt-huit) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,3 %.
Établissements
Au Modèle:Date-, la commune compte quarante-trois établissements<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont quinze au niveau des commerces, transports ou services, quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept dans la construction, quatre dans l'industrie, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale<ref>Dossier complet - Commune d'Échourgnac (24159) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 10 octobre 2018.</ref>.
Entreprises
Dans le secteur agroalimentaire, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la « Société agricole de la Double » (fabrication de fromage) implantée à Échourgnac se classe en Modèle:33e quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec Modèle:Unité<ref>« Agroalimentaire », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, Modèle:P..</ref>.
Spécialités de la commune
Le Trappe Échourgnac est un fromage français, fabriqué depuis 1868 et affiné au vin de noix depuis les années 1990 à l'abbaye d'Échourgnac.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Abbaye Notre-Dame de Bonne-Espérance, abbaye cistercienne de style néo-gothique, fondée en 1868 par une quinzaine de moines originaires de l'Abbaye du Port-du-Salut en Mayenne. En 1910, les moines quittent Échourgnac, l'abbaye est relevée en 1923 par une communauté de moniales cisterciennes-trappistines<ref>Abbaye Notre Dame de Bonne-Espérance.</ref>.
- Domaine du Parcot, inscrit aux monuments historiques, ferme typique de la forêt de la Double avec maison doubleaude, grange, four, étang et écluse<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption. L'église est citée en 1108 dans un acte de donation de l'évêque de Périgueux à l'abbaye de La Sauve-Majeure. De nouveau citée lors d'une visite canonique, en 1688. En 1903, l'architecte Guillaume Clément réalise un devis de travaux de restauration avec la reconstruction du clocher et du chevet. Les travaux sont terminés en 1934<ref>Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption d'Échourgnac</ref>.
- Prieuré Saint-Jean-Baptiste, fondé en 1969, communauté de moines bénédictins de la Congrégation Notre-Dame d'Espérance.
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Vue générale de la Trappe de Bonne-Espérance -
Porche de la chapelle Notre-Dame de Bonne-Espérance -
La nef de la chapelle -
Vue latérale de la chapelle -
Ferme du Parcot : maison doubleaude. -
Ferme du Parcot : mur en torchis de la grange. -
Ferme du Parcot : le four.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Pour approfondir
Articles connexes
- Dordogne (département)
- Périgord
- Liste des communes de la Dordogne
- Liste de massacres perpétrés par les forces allemandes en France durant la Seconde Guerre mondiale
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes