Équipe de Nouvelle-Zélande de football

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Modèle:En-tête label Modèle:Confusion Modèle:Infobox Équipe nationale de football

L'équipe de Nouvelle-Zélande de football est constituée par une sélection des meilleurs joueurs néo-zélandais sous l'égide de la Fédération de Nouvelle-Zélande de football. Surnommée les « Modèle:Langue » (par opposition aux « Modèle:Langue ») ou les « Kiwis », elle représente le pays lors des compétitions continentales et internationales.

L'équipe nationale dispute la première rencontre de son histoire le Modèle:Date face à l'Australie, match remporté sur le score de trois buts à un. Affiliée à la FIFA en 1948, la Fédération néo-zélandaise est membre fondateur de la Confédération du football d'Océanie en 1966. La sélection néo-zélandaise dispute ses premières qualifications à une phase finale de Coupe du monde en 1970.

Elle remporte son premier trophée en Coupe d'Océanie en 1973 et compte quatre autres victoires dans cette compétition en 1998, 2002, 2008 et 2016. Elle compte également deux participations à une phase finale de la Coupe du monde, en 1982 et en 2010.

Meilleure nation de la Confédération du football d'Océanie depuis le départ de l'Australie vers la Confédération asiatique de football en 2006, la sélection a terminé l'année 2020 au Modèle:118e mondial du classement FIFA. Les Néo-Zélandais disputent leurs rencontres à domicile au Westpac Stadium, stade de Modèle:Unité places situé à Wellington, ou au North Harbour Stadium d'Auckland, d'une capacité de Modèle:Unité places. L'équipe est entraînée depuis Modèle:Date- par Danny Hay.

Histoire

Les débuts de la Nouvelle-Zélande (1904-1969)

La Fédération de Nouvelle-Zélande de football est fondée en octobre 1891 pour gérer l'ensemble des rencontres se disputant dans la colonie britannique<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>. L'équipe nationale dispute sa première rencontre le Modèle:Date au Caledonian Ground de Dunedin, à l'occasion de la tournée de la sélection de Nouvelle-Galles du Sud en Nouvelle-Zélande<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les Néo-Zélandais s'inclinent sur le score d'un but à zéro devant environ 300 à 400 spectateurs<ref>Modèle:Article</ref>, puis obtiennent un match nul trois buts partout la semaine suivante. Après une tournée néo-zélandaise en Nouvelle-Galles du Sud l'année suivante, les confrontations internationales s'interrompent jusqu'en 1922 et la venue, le Modèle:Date-, de l’Australie. Les Néo-Zélandais remportent cette première rencontre internationale, disputée sous la pluie au stade de Carisbrook à Dunedin devant Modèle:Unité spectateurs, sur le score de trois buts à un<ref name="une">Modèle:Article</ref>. Deux autres rencontres sont disputées lors de cette tournée des Australiens et se concluent par un match nul et une autre victoire des Néo-Zélandais sur le score de trois buts à un<ref name="rsssf">Modèle:Lien web</ref>. L'année suivante, en Modèle:Date-, les Néo-Zélandais se rendent en Australie pour une tournée de trois mois au cours de laquelle ils disputent seize rencontres, dont trois face à l'Australie. La sélection remporte « Modèle:Langue<ref group="note">Modèle:Langue, en français « les cendres », sont à l'origine une boîte à cigares que le secrétaire de la Queensland Football Association se trouvait avoir sur lui lors de la bataille de Gallipoli, en 1915. Lors des deux réceptions organisées pendant la tournée de 1923, les capitaines des deux sélections fument un cigare dont les cendres sont recueillies dans cette boîte, qui est ensuite montée sur un support composé d'érable australien et de chèvrefeuille néo-zélandais. Remis en jeu à chaque confrontation entre les deux nations jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, ce trophée n'est plus mentionné par la suite<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.</ref> », un trophée remis en jeu à chaque confrontation entre les deux nations jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, en s'imposant à deux reprises pour une défaite<ref>Modèle:Article</ref>.

photo en noir et blanc d'hommes en costume alignés sur trois rangs
La sélection du Canada (ici en 1924) est la seconde équipe nationale rencontrée par les Néo-Zélandais, en 1927.

Après une tournée d'une sélection des universités chinoises en 1924<ref>Modèle:Lien web</ref>, et l'échec de l'organisation de la venue de l'équipe d'Afrique du Sud en Nouvelle-Zélande en 1926<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, le Canada est la seconde nation affrontée par les Néo-Zélandais, en 1927. Les Néo-Zélandais remportent une des quatre rencontres organisées, pour un match nul et deux défaites<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il faut ensuite attendre 1933 pour de nouvelles rencontres internationales. La sélection se rend en Australie le Modèle:Date-<ref>Modèle:Article</ref> pour disputer une tournée de treize dates dont trois rencontres face à l'équipe nationale hôte. Contrairement à 1923, les Néo-Zélandais, qui souffrent d'un manque de confiance et d'une préparation physique insuffisante<ref>Modèle:Article</ref>, s'inclinent lors des trois matchs, quatre buts à deux le Modèle:Date-<ref>Modèle:Article</ref>, six buts à quatre le Modèle:Date-<ref>Modèle:Article</ref>, et de nouveau quatre buts à deux, le Modèle:Date-<ref>Modèle:Article</ref>. L'année suivante, l'Australie se rend de nouveau en Nouvelle-Zélande et conserve « Modèle:Langue » en s'imposant lors des trois rencontres organisées<ref>Modèle:Article</ref>. Lors du deuxième match à Wellington, le Modèle:Date, la Nouvelle-Zélande est battue sur le large score de dix buts à zéro<ref>Modèle:Article</ref>. En 1937, l'équipe d'Angleterre amateur est la première équipe européenne à venir en Océanie ; elle dispute dix matchs en Nouvelle-Zélande dont trois face à la sélection. Facile victorieuse des trois rencontres, elle fait subir, lors du premier match le Modèle:Date, la plus lourde défaite de l'histoire de la sélection néo-zélandaise, en s'imposant sur le score de douze buts à zéro<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>.

Les confrontations internationales s'interrompent avec la Seconde Guerre mondiale et, ne reprennent qu'en 1947, avec la tournée de l'Afrique du Sud sur le sol néozélandais, qui se conclut sur quatre défaites des « Kiwis »<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'année suivante, la Fédération de Nouvelle-Zélande de football adhère à la FIFA. Après quatre nouvelles défaites face à l'Australie en 1948, la Nouvelle-Zélande réalise sa première tournée dans les îles de Mélanésie en 1951 où elle rencontre la Nouvelle-Calédonie, les Nouvelles-Hébrides et les Fidji. Le FK Austria Vienne est le premier club européen à affronter la Nouvelle-Zélande en 1957. Les « Kiwis » réalisent ensuite en mars et en Modèle:Date- une tournée en Asie, en Europe et aux États-Unis où ils affrontent des clubs et des sélections régionales<ref name="ultimate">Modèle:Lien web</ref>. Après trois ans sans rencontre internationale, la Nouvelle-Zélande, membre fondateur de la Confédération du football d'Océanie en 1966, dispute en 1967 un match de prestige face à Manchester United, le champion d'Angleterre en titre. Les « Kiwis » s'inclinent lourdement sur le score de onze buts à zéro, leur plus large défaite depuis 1937<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Premières confrontations internationales et qualification en Coupe du monde (1969-1982)

Modèle:Article détaillé La Nouvelle-Zélande s'inscrit pour la première fois à une compétition internationale lors des éliminatoires de la Coupe du monde 1970. Opposée dans le groupe 2 de la zone Asie-Océanie à Israël, la sélection dirigée par l'Anglais Barrie Truman s'incline sur le score de six buts à zéro sur les deux matchs. Pays organisateur de la première Coupe d'Océanie en 1973, la Nouvelle-Zélande remporte son premier trophée en s'imposant en finale face à Tahiti sur le score de deux buts à zéro. La sélection enchaîne avec les éliminatoires de la Coupe du monde 1974. Placée dans le sous-groupe D en compagnie de l’Australie, de l’Indonésie et de l’Irak, elle termine dernière de son groupe avec trois matchs nuls et trois défaites.

L'année suivante, la Nouvelle-Zélande réalise une tournée en Chine<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis dispute la Coupe du Président Park, un tournoi amical en Corée du Sud<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 1977, en tour préliminaire de la Coupe du monde 1978, elle bat à deux reprises six buts à zéro l'équipe de Taïwan, mais doit ensuite s'incliner devant son rival australien. L'entraîneur anglais John Adshead est nommé sélectionneur des « Kiwis » en 1979. Sous sa direction, l'équipe dispute la seconde édition de la Coupe d'Océanie en 1980, dont elle est éliminée dès le premier tour après des défaites face à Tahiti et les Fidji. En août, lors d'un match amical face au Mexique, John Adshead fait débuter Ricki Herbert, Keith Mackay, Grant Turner, Steve Wooddin et John Hill et l'équipe réalise une des performances majeures de son histoire en s'imposant sur le score de quatre buts à zéro<ref>Modèle:Lien web</ref>.

portrait en buste d'un homme souriant aux cheveux gris
Wynton Rufer, ici en 2009, inscrit quatre buts lors des qualifications de la Coupe du monde en 1982.

La Nouvelle-Zélande débute les éliminatoires de la Coupe du monde 1982 lors de la Journée de l'ANZAC en accueillant l'Australie, le favori du groupe<ref name="nzhis">Modèle:Lien web</ref>. Les deux équipes se séparent sur un match nul trois buts partout. La Nouvelle-Zélande enchaîne ensuite sur un nul face à Taïwan puis deux victoires sur l'Indonésie et les Fidji. Lors des matchs retour du groupe, les « Kiwis » créent la surprise en s'imposant sur le terrain des Australiens, invaincus sur leur sol en match officiel depuis trente-cinq matchs, sur le score de deux buts à zéro<ref name="gloire">Modèle:Lien web</ref>. Les Néo-Zélandais l'emportent ensuite lors des trois derniers matchs, en battant notamment les Fidji sur le score de treize buts à zéro, dont six buts du capitaine Steve Sumner. Cette victoire est la plus large de l'histoire de la sélection mais également des matchs officiels de la Coupe du monde, devant la victoire douze buts à zéro des Allemands de l'Ouest face à Chypre en 1969<ref>Modèle:Lien web</ref>. Surnommés les « Modèle:Langue » par les médias en référence à leurs maillots, les Néo-Zélandais terminent ce tour de qualification avec trente-et-un buts inscrits pour seulement trois encaissés<ref name="nzhis"/>. Lors du deuxième tour de qualification, la sélection est versée dans un nouveau groupe de qualification. Elle obtient un match nul zéro partout en Chine, puis s'impose à domicile face à la même équipe. C'est le neuvième match d'éliminatoires d'affilée sans que le gardien Richard Wilson n'encaisse de but, ce qui constitue un record pour la Coupe du monde<ref name="nzhis"/>. Après leurs rencontres face au Koweït et à l'Arabie Saoudite, les Néo-Zélandais se retrouvent lors de la dernière journée à deux points des Chinois avec une différence de but défavorable de cinq buts. Face à des Saoudiens démobilisés, ils s'imposent sur le score de cinq buts à zéro, dont deux du seul professionnel de la sélection, Wynton Rufer<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ils obtiennent ainsi le droit de disputer un match de barrage sur terrain neutre face aux Chinois. À Singapour, devant Modèle:Unité spectateurs, les « Kiwis » dominent la rencontre et se qualifient pour la Coupe du monde en l'emportant sur le score de deux buts à un<ref>Modèle:Article</ref>.

Pour la première phase finale de leur histoire, les Néo-Zélandais héritent d'un groupe difficile. S'ils font douter un temps les Écossais, en revenant à trois buts à deux lors du premier match, grâce à Sumner et Wooddin, ils s'inclinent finalement cinq buts à deux<ref>Modèle:Article</ref>. Lors de leur deuxième rencontre, les « Modèle:Langue » ne parviennent pas à faire douter les Soviétiques et s'inclinent sur le score de trois buts à zéro<ref>Modèle:Article</ref>. Enfin, pour leur dernier match de poule, ils connaissent une lourde défaite, quatre buts à zéro, face au Brésil<ref>Modèle:Article</ref>.

Échecs mondiaux, succès continentaux (1983-2008)

vue d'une rencontre de football, un joueur en bleu pousse le ballon poursuivi par un joueur en blanc
L'attaquant israélien Ronny Rosenthal lors de la rencontre Israël-Nouvelle-Zélande du 5 mars 1989.

L'exploit de cette première qualification à une phase finale de la Coupe du monde n'est pas confirmé lors des éliminatoires suivants. Lors des éliminatoires de la Coupe du monde 1986, l’équipe de Nouvelle-Zélande termine troisième de son groupe, derrière l’Australie et Israël, tout comme en 1990. Éliminés lors du tour final des éliminatoires de la Coupe du monde 1994 par l’Australie, quatre buts à zéro sur les deux matchs, les « Modèle:Langue » sont ensuite battus en demi-finale de la Coupe d’Océanie 1996, puis aux éliminatoires de la Coupe du monde 1998, par le même adversaire.

portrait en buste d'un homme en chemise blanche souriant
Le défenseur Ryan Nelsen, ici en 2004, inscrit le but de la victoire face aux Australiens en finale de la Coupe d'Océanie 2002.

L'année suivante, les « Kiwis », dirigés par l'Anglais Ken Dugdale, remportent le second trophée de leur histoire lors de la Coupe d’Océanie. Premiers du groupe A, les Néo-Zélandais battent en demi-finale les îles Fidji, un but à zéro, puis battent enfin en finale l’Australie sur le même score, grâce à une réalisation de Mark Burton. La sélection se qualifie ainsi pour la Coupe des confédérations 1999 où elle termine dernière de son groupe après trois défaites face aux États-Unis, à l'Allemagne et au Brésil. Manquant d'expérience internationale, elle n'inscrit qu'un seul but par l'intermédiaire de son capitaine Chris Zoricich pour six encaissés<ref name="Confederation">Modèle:Lien web</ref>. Lors de la Coupe d’Océanie 2000, l’équipe de Nouvelle-Zélande atteint de nouveau la finale en s'imposant en demi-finale face aux Îles Salomon sur le score de deux buts à zéro, avec un doublé de Simon Elliott. En finale, face aux Australiens, elle ne parvient pas à conserver son titre et s'incline deux buts à zéro. La sélection enchaîne avec les éliminatoires de la Coupe du monde 2002. Première du groupe 2 avec notamment une victoire sept buts à zéro sur le Vanuatu, elle est battue lors du tour final par les Australiens, sur le score de six buts à un sur les deux rencontres.

Ken Dugdale démissionne alors et laisse la place de sélectionneur à son adjoint Mick Waitt<ref name="confed"/>. Pays organisateur de la Coupe d’Océanie 2002, la Nouvelle-Zélande termine première de son groupe puis bat en demi-finale le Vanuatu sur le score de trois buts à zéro. En finale, elle prend sa revanche sur les Australiens en s'imposant sur le score d'un but à zéro grâce à Ryan Nelsen à la Modèle:78e. À la suite de ce succès, elle atteint en Modèle:Date- la Modèle:47e du classement FIFA, soit la meilleure position de son histoire<ref>Modèle:Lien web</ref>. Qualifiés pour la Coupe des confédérations 2003 grâce à ce succès, les Modèle:Langue finissent la compétition avec trois défaites face au Japon, à la Colombie et à la France. La sélection encaisse en tout onze buts pour un seul inscrit par l'intermédiaire de Raffaele de Gregorio face à la Colombie. Elle dispute ensuite la Coupe du challenge AFC-OFC face à l'Iran avec une équipe peu expérimentée et s'incline sur le score de trois buts à zéro<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Lors de la Coupe d’Océanie 2004 comptant également pour les éliminatoires de la Coupe du monde 2006, les « Kiwis » subissent une contre-performance en étant battus par l'Australie, mais surtout par le Vanuatu sur le score de quatre buts à deux<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ricki Herbert succède alors à Mick Waitt au poste de sélectionneur au départ pour une seule rencontre, celle contre l'Australie, la seule disputée par la sélection en 2005<ref>Modèle:Lien web</ref>. Sous ses ordres, l'équipe réalise l'année suivante une tournée en Europe qui voit les « Modèle:Langue » s'imposer face à la Géorgie sur le score de trois buts à un, leur première victoire sur le sol européen<ref>Modèle:Lien web</ref>. Malgré cette performance, le faible nombre de rencontres internationales disputées en raison de l'éloignement géographique font chuter la sélection à la Modèle:116e du classement FIFA<ref name="fifa1">Modèle:Lien web</ref> puis en Modèle:Date- à la Modèle:156e<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Deuxième qualification à une Coupe du monde (depuis 2009)

Modèle:Article détaillé

portrait en buste d'un homme noir au crane rasé en maillot gris aux bandes jaunes
Winston Reid, ici en 2010 sous les couleurs de West Ham United, est le premier buteur néo-zélandais de la Coupe du monde 2010.

Après l'adhésion en 2006 de l'Australie à la Confédération asiatique de football<ref>Modèle:Lien web</ref>, la Nouvelle-Zélande devient le favori de l'OFC, la Confédération océanienne. Les « Kiwis » dominent les éliminatoires de la Coupe du monde de football 2010 couplés à la Coupe d'Océanie 2008. Menés par leur attaquant Shane Smeltz, ils remportent le trophée océanien avec cinq victoires pour une seule défaite. En barrage de qualification pour la Coupe du monde, la sélection affronte le Bahreïn. Après un match nul et vierge au match aller, elle se qualifie avec une victoire un but à zéro au retour en Nouvelle-Zélande. Lors de ce match équilibré, le but décisif est inscrit par Rory Fallon à la Modèle:45e, le gardien de but Mark Paston détournant un penalty en seconde mi-temps<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Championne d'Océanie, la sélection dispute en Modèle:Date- la Coupe des confédérations. Elle s'incline lors des deux premiers matchs avant de terminer la compétition sur un match nul, zéro partout, face à l'Irak.

Pour préparer la Coupe du monde 2010, les Néo-Zélandais effectuent un stage en Autriche et disputent plusieurs matchs amicaux. Ils s'imposent face à la Serbie, alors Modèle:15e au classement FIFA, sur le score d'un but à zéro et réalisent ainsi la meilleure performance de leur histoire d'après leur entraîneur<ref>Modèle:Lien web</ref>. Lors de la phase finale, l'équipe néo-zélandaise affronte dans le groupe F la Slovaquie, l'Italie et le Paraguay. Elle remporte, pour la première fois de son histoire, un point en Coupe du monde grâce à l'égalisation de son défenseur latéral Winston Reid à la dernière minute du premier match de poule contre la Slovaquie<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le sélectionneur Ricki Herbert déclare après le match : Modèle:Citation Les « Modèle:Langue » créent la sensation lors de leur deuxième match en obtenant un nouveau match nul, un but partout, avec l'Italie, championne du monde en titre, et obtiennent ainsi leur second point en Coupe du monde. La troisième rencontre oppose la Nouvelle-Zélande au Paraguay et les deux équipes se séparent sur un score de zéro but partout. La Nouvelle-Zélande ne se qualifie pas pour les huitièmes de finale, mais elle quitte la deuxième Coupe du monde de son histoire invaincue et à la troisième place de son groupe, devant les Italiens<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est d'ailleurs la seule nation sans défaite de cette phase finale puisque l'Espagne, vainqueur de la compétition, perd son premier match de poule contre la Suisse<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Lors de la Coupe d'Océanie de football 2012, les Néo-Zélandais sont battus par la Nouvelle-Calédonie en demi-finale de la compétition sur le score de deux buts à zéro et terminent troisièmes après une victoire difficile, quatre buts à trois, sur les îles Salomon. Cette défaite est le plus mauvais résultat de la sélection depuis l'arrivée de Ricki Herbert au poste de sélectionneur<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les « Kiwis » se reprennent lors des éliminatoires de la Coupe du monde de football 2014. Ils remportent les six rencontres du groupe et se qualifient ainsi pour le barrage intercontinental disputé contre le Mexique. Les Néo-Zélandais sont éliminés à ce stade de la compétition sur le score de neuf buts à trois sur les deux matchs et Ricki Herbert annonce son départ<ref name="départ">Modèle:Lien web</ref>.

Tenues, emblèmes et symboles

L'équipe de Nouvelle-Zélande évolue à ses débuts en maillot noir et short blanc comme les autres équipes nationales néo-zélandaises. Surnommée à ses débuts les « Modèle:Langue », comme les rugbymen<ref>Modèle:Article</ref>, elle est ensuite appelée les « Kiwis », en référence à l'animal emblématique de la Nouvelle-Zélande, surnom qu'elle a conservé.

Lors des qualifications pour la Coupe du monde de 1982, où elle est équipée par Adidas, la Nouvelle-Zélande évolue pour la première fois dans une tenue entièrement blanche lors de la rencontre à l'extérieur disputée face à Taïwan et garde cette tenue pour la suite des éliminatoires. Elle reçoit alors le surnom des « Modèle:Langue », par opposition aux rugbymen dont les rencontres face à l'Afrique du Sud, en plein apartheid, provoquent une controverse nationale<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Contrairement aux autres équipes nationales néo-zélandaises, la sélection n'interprète pas le haka avant les matchs. Ryan Nelsen, capitaine des « Modèle:Langue » lors de la Coupe du monde 2010, déclare ainsi : Modèle:Citation. Le rite maori a cependant été déjà exécuté par des sélections au cours de l'histoire<ref name="ultimate"/> et d'après Leo Bertos, un des joueurs maoris de la sélection, la réalisation du haka par l'équipe nationale n'est qu'une question de temps<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La sélection est sous contrat avec l'équipementier sportif américain Nike depuis 2004<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle évolue à domicile en maillot blanc et short blanc et, à l'extérieur, en maillot noir et short noir. Les maillots arborent sur leur gauche la fougère argentée, symbole de la Nouvelle-Zélande.

Emblèmes de l'équipe de Nouvelle-Zélande

Composition de l'équipe de Nouvelle-Zélande

Joueurs

Modèle:Article détaillé

Provenance des joueurs

À ses débuts, la sélection est composée exclusivement de joueurs évoluant en Nouvelle-Zélande sous le statut amateur. La mise en place d'un championnat local en 1970 entraîne une semi-professionnalisation des joueurs bénéfique à la sélection<ref name="Sumner">Modèle:Lien web</ref>.

Lors des éliminatoires de la Coupe du monde 1982, un seul joueur, Wynton Rufer, évolue en Europe, au sein du club anglais de Norwich City. Lors de la phase finale en Espagne, l'ensemble des joueurs évolue en Océanie dans des clubs australiens ou néo-zélandais. La sélection s'appuie également sur de nombreux joueurs nés au Royaume-Uni et ayant évolué dans un championnat britannique avant de rejoindre la Nouvelle-Zélande. C'est le cas de huit des sélectionnés pour la Coupe du monde 1982Modèle:Référence nécessaire.

À la fin des années 1990, le nombre de joueurs évoluant à l'étranger augmente. Ils sont ainsi cinq à jouer en Europe lors de la Coupe des confédérations 1999<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2003, la majorité des joueurs cadres évolue soit aux États-Unis<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Modèle:Lien archive</ref>, soit en Europe, les autres joueurs sélectionnés disputant le championnat d'Australie avec la franchise néo-zélandaise du Kingz Football Club<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le nombre croissant de joueurs évoluant à l'étranger pose cependant un problème à la Fédération qui ne peut aligner ses meilleurs joueurs lors des matchs amicaux<ref name="fifa1"/>. La sélection ne dispute ainsi les qualifications de la Coupe du monde 2010 qu'avec des joueurs évoluant en Océanie, sept joueurs évoluant en Europe rejoignant le groupe pour la Coupe du monde<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Joueurs importants

Au début des années 1950, Jock Newall, attaquant d'origine écossaise, inscrit 28 buts en 17 apparitions sous le maillot néo-zélandais, dont 17 buts en 10 matchs officiels disputés lors des deux tournées organisées dans les îles du Pacifique. Son record en match officiel n'est battu qu'en 1981 par Brian Turner et celui en matchs officiels et non officiels par Vaughan Coveny en 2004. Mort en 2004, Newall rejoint la même année le temple de la renommée du football néo-zélandais<ref>Modèle:Lien web</ref>.

photo en tronc d'un homme souriant aux cheveux courts portant un maillot gris
Vaughan Coveny, ici en 2008 sous le maillot du Wellington Phoenix FC, est le meilleur buteur de l'histoire de la sélection.

L’attaquant Brian Turner, né en 1949 en Angleterre, débute en sélection en 1967 lors d'un tournoi au Sud-Viêt Nam. Après une expérience professionnelle en Angleterre, notamment au Brentford FC, il retourne en Nouvelle-Zélande et remporte avec ses coéquipiers la Coupe d'Océanie 1973. Milieu offensif ou attaquant possédant une bonne technique<ref>Modèle:Article</ref>, il est élu meilleur joueur de Nouvelle-Zélande à trois reprises, en 1974, 1979 et 1980<ref>Modèle:Lien web</ref> et fait partie de l'équipe sélectionnée pour disputer la Coupe du monde 1982. Comptant 59 sélections pour 21 buts inscrits en sélection officielle, il est introduit au temple de la renommée en 1995<ref name="hall95">Modèle:Lien web</ref>.

photo d'un footballeur en short noir et maillot blanc et jaune levant la tête en attendant un ballon
Simon Elliott, ici sous les couleurs des Crew de Columbus, est le deuxième joueur le plus capé de l'histoire de la sélection.

L'ensemble de l'équipe ayant disputé les éliminatoires puis la phase finale de la Coupe du monde 1982 a rejoint le temple de la renommée en 2002<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le gardien de but Richard Wilson reste, durant les éliminatoires, invaincu pendant 921 minutes, ce qui constitue un record en Coupe du monde<ref name="nzhis" />. Il ne dispute cependant aucun match de la phase finale, le sélectionneur John Adshead lui préférant Frank van Hattum. Le défenseur Ricki Herbert inscrit deux buts décisifs lors des éliminatoires face à l'Arabie Saoudite et à la Chine<ref name="nzsoccer">Modèle:Lien web</ref>. Il est le quatrième joueur le plus capé de l'histoire avec 61 sélections. Il est ensuite nommé en 2005 entraîneur de l'équipe nationale. Le milieu offensif Steve Sumner, né également en Angleterre, est le capitaine de la sélection. Il inscrit six buts lors de la victoire 13 buts à zéro contre les Fidji pendant la campagne de qualification, ce qui constitue un autre record mondial, puis marque le premier but en Coupe du monde d'un Néo-Zélandais lors de la défaite cinq buts à deux face à l'Écosse<ref name="Sumner"/>. Recordman des apparitions sous le maillot à la fougère argentée avec 105 matchs joués dont 58 officiels, il est élu joueur néo-zélandais de l'année en 1983 et rejoint le temple de la renommée en 1991<ref name="Hall91">Modèle:Lien web</ref>. L'attaquant Wynton Rufer, né en 1962, est le seul professionnel de cette sélection dont il est également le benjamin. Buteur décisif lors des éliminatoires, il connaît une longue carrière en Europe et remporte la Coupe des Coupes en 1992 avec le club allemand du Werder Brême. Nommé meilleur joueur océanien à trois reprises en 1989, 1990 et 1992<ref name="oceanien">Modèle:Lien web</ref>, il est élu footballeur océanien du siècle par l'IFFHS<ref>Modèle:Lien web</ref> et devient le premier footballeur à entrer au temple de la renommée du sport néo-zélandais en 2005<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

L'attaquant Vaughan Coveny effectue la majorité de sa carrière en Australie, notamment au South Melbourne FC avec qui il gagne la Coupe des champions d'Océanie 1999. Avec l'équipe nationale, il remporte la Coupe d'Océanie 1998 et est le meilleur buteur de l'histoire de la sélection avec 28 buts inscrits en 64 sélections<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le défenseur central ou milieu de terrain défensif Simon Elliott est le capitaine de l'équipe lors de la Coupe d'Océanie 2002. Né en 1974, il fait la majorité de sa carrière en Major League Soccer et remporte également la Coupe d'Océanie 2008. Deuxième joueur le plus capé de l'histoire avec 69 sélections, il met un terme à sa carrière en 2011 après avoir disputé la Coupe du monde 2010. Également défenseur ou milieu de terrain, Ivan Vicelich remporte à trois reprises la Coupe d'Océanie en 1998 mais également en 2002 et en 2008. Il met fin à sa carrière internationale en 2008 avant de revenir sur sa décision à la demande du sélectionneur Ricki Herbert l'année suivante<ref>Modèle:Lien web</ref>. Élu footballeur océanien de l'année en 2009, il fait partie de l'effectif à la Coupe du monde 2010 et détient le record de rencontres disputées en équipe nationale (88 capes pour six buts inscrits en Modèle:Date-). Le défenseur Chris Zoricich est le capitaine de la sélection lors des titres en Coupe d'Océanie 1998 et 2002 et lors des participations aux Coupe des confédérations 1999 et 2003. Il compte 58 sélections pour quatre buts inscrits<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le défenseur Ryan Nelsen, né en 1977, fait l'essentiel de sa carrière en Europe, notamment au Blackburn Rovers FC. Il inscrit le but de la victoire face aux Australiens en finale de la Coupe d'Océanie 2002 et est capitaine de la sélection lors de la Coupe du monde 2010. Meilleur joueur océanien à deux reprisesModèle:Référence nécessaire, il prend sa retraite en 2013 après avoir disputé 49 matches pour 6 buts inscrits. L'attaquant Shane Smeltz est le deuxième meilleur buteur de l'histoire de l'équipe nationale néo-zélandaise. Toujours en activité, il est élu meilleur joueur océanien en 2007<ref name="oceanien"/> et inscrit le but de la victoire historique face à la Serbie en match amical.

Records

Les Modèle:Nobr les plus capés au Modèle:Date-
Modèle:Blanc Modèle:Blanc Modèle:Blanc Modèle:Blanc Modèle:Blanc
1 88 Ivan Vicelich 1995-2013 6
2 70 Chris Wood 2009- 33
3 69 Simon Elliott 1995-2011 6
4 64 Vaughan Coveny 1992-2006 29
5 61 Ricki Herbert 1980-1989 7
6 60 Chris Jackson 1992-2003 10
7 59 Brian Turner 1967-1982 21
8 58 Shane Smeltz 2003-2017 24
9 58 Steve Sumner 1976-1988 22
10 58 Duncan Cole 1978-1988 4
Meilleurs buteurs au Modèle:Date-
Modèle:Blanc Modèle:Blanc Modèle:Blanc Modèle:Blanc Modèle:Blanc
1 33 Chris Wood 2009- 70
2 29 Vaughan Coveny 1992-2006 64
3 24 Shane Smeltz 2003-2017 58
4 22 Steve Sumner 1976-1988 58
5 21 Brian Turner 1967-1982 59
6 17 Jock Newall 1951-1952 10
7 16 Keith Nelson 1977-1983 20
8 16 Chris Killen 2000-2013 48
9 15 Grant Turner 1980-1988 42
10 12 Wynton Rufer 1980-1997 23

Les joueurs en gras sont encore en activité.

Effectif

Sélection

Modèle:Feff sélection début Modèle:Feff sélection joueur Modèle:Feff sélection joueur

Modèle:Feff sélection joueur Modèle:Feff sélection joueur Modèle:Feff sélection joueur Modèle:Feff sélection joueur Modèle:Feff sélection joueur Modèle:Feff sélection joueur Modèle:Feff sélection joueur Modèle:Feff sélection joueur Modèle:Feff sélection joueur

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Appelés récemment

Les joueurs suivants ne font pas partie du dernier groupe appelé mais ont été retenus en équipe nationale lors des 12 derniers mois.

Pos. Nom Date de Naissance Sél. Buts Club (au moment de leur dernière convocation) Dernier appel

Sélectionneurs

Vingt techniciens ont exercé la fonction de sélectionneur de l’équipe nationale depuis 1957<ref name="coach">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="seleccoach">Modèle:Lien web</ref>. Peu d'entre eux ont effectué de longs mandats. Le record de longévité est détenu par le Néo-Zélandais Ricki Herbert, à la tête de la sélection de 2005 à 2013.

Rang Nom Période
1 Modèle:ENG-d Ken Armstrong 1957-1964
2 Modèle:YUG-d Ljubiša Broćić 1965-1966
3 Modèle:HUN-d Modèle:CHI-d Juan Schwanner 1967-1968
4 Modèle:YUG-d Ljubiša Broćić (2) 1969
5 Modèle:ENG-d Barrie Truman 1970-1976
6 Modèle:ENG-d Wally Hughes 1977-1978
7 Modèle:ENG-d John Adshead 1979-1982
Sélectionneurs de l’équipe de Nouvelle-Zélande<ref name="coach"/>,<ref name="seleccoach"/>
Rang Nom Période
8 Modèle:ENG-d Allan Jones 1983-1984
9 Modèle:ENG-d Kevin Fallon 1985-1988
10 Modèle:ENG-d John Adshead (2) 1988-1989
11 Modèle:SCO-d Ian Marshall 1990-1993
12 Modèle:SCO-d Bobby Clark 1994-1995
13 Modèle:SCO-d Keith Pritchett 1996-1997
14 Modèle:IRL-d Joe McGrath 1997-1998
Rang Nom Période
15 Modèle:ENG-d Ken Dugdale 1998-2002
16 Modèle:ENG-d Mick Waitt 2002-2004
17 Modèle:NZL-d Ricki Herbert 2005-2013
18 Modèle:ENG-d Neil Emblen (interim) 2014
19 Modèle:ENG-d Anthony Hudson 2014-2017
20 Modèle:SUI-d Fritz Schmid 2018-2019
21 Modèle:NZL-d Danny Hay 2019-2022
Rang Nom Période
22 Modèle:ENG-d Darren Bazeley 2023-

L'équipe néo-zélandaise est, à ses débuts, dirigée par un comité de sélection comprenant des membres des différentes ligues de Nouvelle-Zélande<ref>Modèle:Article</ref>. C'est dans ce cadre que l'ancien professionnel anglais du Chelsea FC Ken Armstrong dirige l'équipe nationale<ref group="note">Ken Armstrong est considéré comme le premier sélectionneur pour le site ultimatenzsoccer.com mais pas pour la Fédération néo-zélandaise.</ref>. Également international néo-zélandais, il met en place des dispositifs tactiques plus modernes<ref name="ultimate"/> et est intronisé au temple de la renommée du football néo-zélandais en 1991<ref name="Hall91"/>. Le premier véritable sélectionneur national est le Yougoslave Ljubiša Broćić, nommé en 1965 mais, durant les deux saisons où il reste en poste, l'équipe nationale ne dispute aucune rencontre<ref name="coach"/>. Le Hongrois naturalisé Chilien Juan Schwanner lui succède durant deux saisons puis, Ljubiša Broćić revient en poste et dirige l'équipe lors des éliminatoires de la Coupe du monde 1970.

En Modèle:Date-, l'Anglais Barrie Truman, membre jusqu'alors de la direction technique de la Fédération anglaise de football, est nommé sélectionneur de l'équipe nationale. Sous ses ordres, la sélection remporte la Coupe d'Océanie 1973, puis échoue à se qualifier pour la Coupe du monde 1974. Il quitte son poste en fin d'année 1976 sur un bilan de 20 victoires et 16 défaites en 49 matchs<ref name="coach"/>. Adjoint de Barrie Truman lors des qualifications de la Coupe du monde, l'Anglais Wally Hughes lui succède en 1977 et mène l'équipe lors des éliminatoires de la Coupe du monde 1978<ref>Modèle:Lien web</ref>.

L'Anglais John Adshead devient sélectionneur en Modèle:Date-. Ancien joueur de deuxième division anglaise, il devient ensuite entraîneur et remporte la Coupe de Nouvelle-Zélande avec Manurewa AFC en 1978 et fait monter le club en première division<ref name="Hall91"/>. Très bon meneur d'hommes<ref>Modèle:Article</ref>, le défenseur néo-zélandais Adrian Elrick déclare à son propos que Modèle:Citation. Incorporant de nombreux jeunes joueurs, il remporte, en Modèle:Date- en match amical, une victoire de prestige face au Mexique sur le score de quatre buts à zéro. Ce succès est annonciateur de la campagne de qualification de la Coupe du monde 1982 qui voit les Néo-Zélandais se qualifier pour la première fois à une phase finale de la compétition mondiale. Il quitte la sélection après la Coupe du monde et est remplacé par Allan Jones, qui dirige l'équipe pendant deux saisons.

portrait en buste d'un homme aux cheveux roux en survêtement vert
Ricki Herbert, ici en 2008, est le sélectionneur des « Modèle:Langue » de février 2005 à novembre 2013.

L'Anglais Kevin Fallon, adjoint de John Adshead de 1979 à 1982, devient sélectionneur en Modèle:Date-. Entraîneur adepte de la préparation physique, il échoue à qualifier les « Modèle:Langue » à la Coupe du monde 1986 et quitte son poste en Modèle:Date-. Il est tout de même introduit au temple de la renommée du football néo-zélandais en 1995<ref name="hall95"/>. John Adshead fait alors son retour à la tête de la sélection et dirige l'équipe nationale lors des éliminatoires de la Coupe du monde 1990 mais ne parvient pas à rééditer l'exploit de 1982. Il fait lui aussi partie du temple de la renommée du football néo-zélandais<ref name="Hall91"/>. L’Écossais Ian Marshall lui succède en Modèle:Date-. Entraîneur de Christchurch United de 1986 à 1989<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien archive</ref>, il dirige l'équipe nationale pendant trois ans et quitte son poste après l’élimination au tour préliminaire de qualification de la Coupe du monde 1994. L'ancien international écossais Bobby Clark devient sélectionneur de l'équipe en Modèle:Date- pour deux saisons. Il quitte son poste après l'élimination de la Nouvelle-Zélande par l'Australie en Coupe d'Océanie 1996. Son compatriote Keith Pritchett dirige ensuite l'équipe jusqu'en Modèle:Date- et une défaite face à la Papouasie-Nouvelle-Guinée lors des éliminatoires de la Coupe du monde 1998. Il est remplacé par l'Irlandais Joe McGrath qui occupe le poste jusqu'en Modèle:Date- et une défaite cinq buts à zéro face à l'Indonésie.

L’Anglais Ken Dugdale, entraîneur de Western Suburbs SC et ancien entraîneur-adjoint de la sélection en 1994<ref name="confed">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien archive</ref>, est nommé en Modèle:Date- sélectionneur des « Kiwis ». Sous ses ordres, les Néo-Zélandais remportent la Coupe d'Océanie en battant en finale l'Australie sur le score d'un but à zéro puis disputent la Coupe des confédérations 1999. Lors de cette compétition, l'équipe évolue au départ en 3-5-2 puis évolue vers un 4-4-2 se transformant en 4-5-1 en phase défensive<ref name="Confederation"/>. Finaliste de la Coupe d'Océanie 2000, il quitte son poste après l'échec en qualification pour la Coupe du monde 2002 et son adjoint, l'Anglais Mick Waitt<ref name="confed"/>, le remplace. Vainqueur de la Coupe d'Océanie 2002, il occupe son poste jusqu'en Modèle:Date- et l'élimination lors des qualifications de la Coupe du monde 2006<ref>Modèle:Lien web</ref>.

photo de deux hommes assis, celui du premier plan parlant dans deux micros
Anthony Hudson, ici en 2012, est nommé sélectionneur de la Nouvelle-Zélande en août 2014.

Son adjoint, le Néo-Zélandais Ricki Herbert, ancien international ayant disputé la Coupe du monde 1982, est nommé par la Fédération sélectionneur en Modèle:Date-<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien archive</ref> avec pour objectif la qualification pour la prochaine Coupe du monde<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les « Kiwis » débutent, sous sa direction, par une défaite face à l'Australie en juin sur le score d'un but à zéro. L'année suivante, la sélection remporte pour la première fois une rencontre en Europe en s'imposant face aux Géorgiens sur le score de trois buts à un<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien archive</ref>. L'équipe nationale remporte ensuite la Coupe d'Océanie 2008, la quatrième victoire de la Nouvelle-Zélande dans cette compétition, puis dispute la Coupe des confédérations 2009 où elle obtient son premier point dans la compétition en faisant match nul avec l'Irak. Il devient en Modèle:Date-, grâce à une victoire sur le Bahreïn en barrage, le deuxième sélectionneur à qualifier une équipe de Nouvelle-Zélande à une phase finale de la Coupe du monde. La Nouvelle-Zélande, organisée en 3-5-2 avec des latéraux offensifs<ref>Modèle:Article</ref>, créé la surprise en phase finale en étant la seule équipe invaincue de la Coupe du monde après trois matchs nuls en phase de groupe. En contact avec plusieurs clubs, il prolonge son contrat avec la Fédération de Nouvelle-Zélande en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>. De nouveau prolongé en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>, la sélection connaît le premier échec sous sa direction en demi-finale de la Coupe d'Océanie 2011 en étant battu par la Nouvelle-Calédonie. Elle termine ensuite en tête du groupe Océanie lors des qualifications de la Coupe du monde 2014 et se qualifie ainsi pour les barrages disputés face au Mexique. À la suite de cette élimination de la sélection sur le score de neuf buts à trois sur les deux matchs, il démissionne de son poste<ref name="départ"/>. En Modèle:Date-, il est remplacé à titre intérimaire par son adjoint l'Anglais Neil Emblen<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Modèle:Lien archive</ref> puis, en août l'Anglais Anthony Hudson, ancien sélectionneur de Bahreïn, prend en charge l'équipe nationale<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il est préféré à ce poste aux techniciens australiens Franck Farina et Modèle:Lien et signe un contrat de quatre ans<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Infrastructures

Modèle:Début d'illustration Modèle:Début de carte[[Fichier:Modèle:Géolocalisation/Nouvelle-Zélande|180px]] Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:Fin de carte Modèle:Fin d'illustration

La sélection néo-zélandaise dispute sa première rencontre à domicile le Modèle:Date au Caledonian Ground de Dunedin face à la sélection de Nouvelle-Galles du Sud, puis sa première rencontre internationale officielle le Modèle:Date face à l'Australie au stade de Carisbrook, également à Dunedin<ref>Modèle:Lien web</ref>. La sélection évolue ensuite dans différents stades au cours des décennies dont l'Athletic Park de Wellington, le Queen Elizabeth II Park de Christchurch, l'Eden Park et le Carlaw Park d'Auckland, celui-ci à la fin des années 1950<ref name="homes">Modèle:Lien web</ref>.

Lors des éliminatoires de la Coupe du monde 1982, la sélection dispute la totalité de ses rencontres à domicile au Mount Smart Stadium d'Auckland et continue à jouer dans ce stade jusqu'au début des années 1990. Les « Modèle:Langue » disputent ensuite la plupart de leurs rencontres au North Harbour Stadium, autre stade situé à Auckland d'une capacité de Modèle:Unité places<ref name="homes"/>. Ils évoluent aussi au Westpac Stadium de Wellington, enceinte inaugurée en 2000 et d'une capacité de Modèle:Unité places. C'est dans ce stade qu'ils se qualifient pour la Coupe du monde 2010 en battant le Bahreïn.

Résultats

Parcours en Coupe du monde

La sélection néo-zélandaise dispute le Modèle:Date face à Israël sa première rencontre de qualification à une Coupe du monde<ref>Modèle:Lien web</ref>. Engagée à douze reprises dans les éliminatoires de la compétition, elle devient en 1982 la deuxième nation de l'Océanie, après l'Australie en 1974, à se qualifier pour une phase finale de Coupe du monde.

Parcours de l'équipe de Nouvelle-Zélande en Coupe du monde
Année Position Année Position Année Position
Modèle:Drapeau 1930 Non inscrite Modèle:Drapeau 1970 Non qualifiée Modèle:Drapeau Modèle:Drapeau 2002 Non qualifiée
Modèle:Drapeau 1934 Non inscrite Modèle:Drapeau 1974 Non qualifiée Modèle:Drapeau 2006 Non qualifiée
Modèle:Drapeau 1938 Non inscrite Modèle:Drapeau 1978 Non qualifiée Modèle:Drapeau 2010 [[Équipe de Nouvelle-Zélande de football à la Coupe du monde 2010|Modèle:1er]]
Modèle:Drapeau 1950 Non inscrite Modèle:Drapeau 1982 [[Équipe de Nouvelle-Zélande de football à la Coupe du monde 1982|Modèle:1er]] Modèle:Drapeau 2014 Non qualifiée
Modèle:Drapeau 1954 Non inscrite Modèle:Drapeau 1986 Non qualifiée Modèle:Drapeau 2018 Non qualifiée
Modèle:Drapeau 1958 Non inscrite Modèle:Drapeau 1990 Non qualifiée Modèle:Drapeau 2022 Non qualifiée
Modèle:Drapeau 1962 Non inscrite Modèle:Drapeau 1994 Non qualifiée Modèle:Drapeau Modèle:Drapeau Modèle:Drapeau 2026 À venir
Modèle:Drapeau 1966 Non inscrite Modèle:Drapeau 1998 Non qualifiée Modèle:ARG-d Modèle:PAR-d Modèle:URU-d
Modèle:ESP-d Modèle:POR-d Modèle:MAR-d 2030
À venir


Parcours en Coupe d'Océanie

La Coupe d'Océanie est créée en 1973. Après une seconde édition en 1980, elle disparaît jusqu'en 1996 où elle est recréée sur un rythme bisannuel, servant de qualification pour la Coupe des confédérations. La Nouvelle-Zélande compte cinq victoires dans la compétition, dont deux succès en tant que pays organisateur<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Parcours de l'équipe de Nouvelle-Zélande en Coupe d'Océanie
Année Position Année Position Année Position
Modèle:Drapeau 1973 Vainqueur Modèle:Drapeau 2000 bgcolor="Modèle:Fc" |Finaliste Modèle:Drapeau 2012 bgcolor="Modèle:Fc" |Demi-finale (Modèle:3e)
Modèle:Drapeau 1980 Modèle:1er Modèle:Drapeau 2002 Vainqueur Modèle:Drapeau 2016 Vainqueur
1996 Demi-finale Modèle:Drapeau 2004 bgcolor="Modèle:Fc" |Demi-finale (Modèle:3e) Modèle:Drapeau 2020 Annulée
Modèle:Drapeau 1998 Vainqueur 2008 Vainqueur
En rouge encadré et en gras italique, les éditions de la Coupe d'Océanie des nations que l'équipe de Nouvelle-Zélande a disputées à domicile.

Parcours en Coupe des confédérations

La sélection néo-zélandaise dispute à quatre reprises la Coupe des confédérations en tant que vainqueur de la Coupe d'Océanie. Son bilan dans la compétition est de onze défaites, dont deux sur le score de cinq buts à zéro face à la France en 1999 et face au Brésil en 2009, et un match nul face à l'Irak, zéro but partout en 2009.

Parcours en Coupe des confédérations
Année Position Année Position
Modèle:Drapeau 1992 Non qualifié Modèle:Drapeau 2003 [[Équipe de Nouvelle-Zélande de football à la Coupe des confédérations 2003|Modèle:1er]]
Modèle:Drapeau 1995 Non qualifié Modèle:Drapeau 2005 Non qualifié
Modèle:Drapeau 1997 Non qualifié Modèle:Drapeau 2009 [[Équipe de Nouvelle-Zélande de football à la Coupe des confédérations 2009|Modèle:1er]]
Modèle:Drapeau 1999 [[Équipe de Nouvelle-Zélande de football à la Coupe des confédérations 1999|Modèle:1er]] Modèle:Drapeau 2013 Non qualifié
Modèle:DrapeauModèle:Drapeau 2001 Non qualifié Modèle:Drapeau 2017 [[Équipe de Nouvelle-Zélande de football à la Coupe des confédérations 2017|Modèle:1er]]

Statistiques

Modèle:Article détaillé

Nations rencontrées

Au niveau mondial

La sélection néo-zélandaise a eu l'occasion de rencontrer de nombreuses équipes à travers le monde, majoritairement lors de matchs amicaux. Après avoir affronté les autres dominions britanniques, l'Australie, le Canada et l'Afrique du Sud à ses débuts puis les nations du Pacifique en 1951 et 1952<ref name="rsssf"/>, la Nouvelle-Zélande affronte ses premières nations asiatiques, Singapour, le Sud-Viêt Nam et la Malaisie lors du tournoi de la fête nationale vietnamienne en 1967<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle rencontre ensuite sa première nation africaine, le Maroc, lors du tournoi Merdeka 1980 se disputant en Malaisie puis sa première nation sud-américaine, le Brésil et sa première nation européenne, l’Écosse, lors de la Coupe du monde 1982.

La sélection néo-zélandaise obtient les plus grands succès de son histoire en battant le Mexique quatre buts à zéro en 1980 et la Serbie un but à zéro en 2010. Elle a également partagé les points lors de la Coupe du monde de 2010 avec la Slovaquie, l'Italie et le Paraguay.

En Océanie

La Nouvelle-Zélande a disputé fort logiquement le plus de rencontres face à des sélections membres de la Confédération du football d'Océanie. En dehors de l'Australie, elle affronte pour la première fois la Nouvelle-Calédonie, les Nouvelles-Hébrides et les Fidji en 1951 lors d'une tournée dans les îles de Mélanésie puis, lors d'une deuxième tournée, Tahiti en 1952<ref name="rsssf"/>. En Coupe d'Océanie ou lors des éliminatoires de la Coupe du monde ou des Jeux olympiques, elle a également affronté les îles Salomon, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, les Samoa et les îles Cook. Seules les Samoa américaines et les Tonga n'ont jamais disputé de rencontres face aux Néo-Zélandais si l'on ne tient compte que des nations membres de la FIFA.

Souvent vainqueur des confrontations avec les autres nations de l'OFC, la Nouvelle-Zélande a enregistré le plus large succès de son histoire en 1981 face aux Fidji, une victoire 13 buts à zéro lors des éliminatoires de la Coupe du monde 1982. Elle a subi sa défaite la plus significative lors de la Coupe d'Océanie 2012 en étant battu en demi-finale de la compétition par la Nouvelle-Calédonie sur le score de deux buts à zéro.

Rivalité avec l'Australie

vue d'un match de football entre une équipe évoluant en blanc et une en jaune dans un stade aux tribunes à moitié pleine
Match Australie-Nouvelle-Zélande disputé à Craven Cottage, stade de Londres le 9 juin 2005.

La Nouvelle-Zélande entretient une rivalité en football avec l'Australie comme dans les autres sports où les rencontres entre les deux pays sont nombreuses, notamment le rugby à XV, le rugby à XIII et le cricket<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'Australie est la première nation rencontrée par la sélection néo-zélandaise le Modèle:Date. Elle s'impose dans ce premier match sur le score de trois buts à un<ref name="une"/>. Un trophée, « Modèle:Langue », est mis en jeu entre les deux nations à chaque tournée. Dominateurs lors des premières rencontres en 1922 et 1923 les Néo-Zélandais subissent à partir de 1933 de nombreuses défaites face à leur voisin notamment un dix buts à zéro à domicile en 1936, le plus lourd revers de leur histoire en matches officiels.

Régulièrement éliminés des compétitions internationales par l'Australie, les « Kiwis » créent la surprise lors des éliminatoires de la Coupe du monde 1982 en s'imposant chez leur voisin sur le score de deux buts à zéro, ce qui provoque la démission du sélectionneur australien Rudi Gutendorf<ref name="gloire"/>.

En 1983, un nouveau trophée, la Coupe Trans-Tasman, est mis en jeu entre les deux sélections. Six éditions sont disputées entre 1983 et 1995, dont quatre sont remportées par l'Australie<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2002, en finale de la Coupe d'Océanie, la Nouvelle-Zélande connaît un nouveau succès de prestige en s'imposant sur le score d'un but à zéro sur les « Socceroos ». Avec le départ de l'Australie vers la Confédération asiatique de football en 2005, les confrontations entre les deux nations se font ensuite plus rares mais restent cependant des matchs de prestige<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Classements FIFA

La sélection néo-zélandaise a longtemps été la deuxième meilleure nation océanienne derrière l'Australie. Depuis le départ de cette dernière vers la Confédération asiatique de football en 2006, elle s'est toujours classée au premier rang du classement mondial de la FIFA annuel pour la Confédération du football d'Océanie.

Au niveau mondial, les « Modèle:Langue » obtiennent leur meilleur classement en 2002 en atteignant la Modèle:47e, le Modèle:Date-, à la suite de sa victoire en Coupe d'Océanie face à l'Australie. Dès l'année suivante, elle retombe aux alentours de la Modèle:80e en raison de contre-performances et du peu de matchs amicaux disputés face à des équipes mieux classées et connaît, en Modèle:Date-, son plus mauvais classement avec une Modèle:156e qui la situe alors au sixième rang de l'OFC. Revenue au Modèle:95e et au premier rang océanien en Modèle:Date-, la sélection se situe depuis autour de la Modèle:100e du classement FIFA<ref name="classement">Modèle:Lien web</ref>.

Classement FIFA de l'Équipe de Nouvelle-Zélande
Année 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020
Classement mondial<ref name="classement"/> 77 99 bgcolor=Modèle:Fc|102 bgcolor=Modèle:Fc|132 bgcolor=Modèle:Fc|120 bgcolor=Modèle:Fc|103 bgcolor=Modèle:Fc|100 91 84 bgcolor=Modèle:Fc|49 88 95 bgcolor=Modèle:Fc|120 bgcolor=Modèle:Fc|131 95 86 82 63 bgcolor=Modèle:Fc|119 91 90 bgcolor=Modèle:Fc|134 bgcolor=Modèle:Fc|151 bgcolor=Modèle:Fc|109 bgcolor=Modèle:Fc|121 bgcolor=Modèle:Fc|122 bgcolor=Modèle:Fc|122 bgcolor=Modèle:Fc|118
Classement en Océanie 2 2 2 2 2 2 2 2 2 1 2 2 2 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1

Légende du classement mondial :

Modèle:Légende

Modèle:Légende

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Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références Modèle:Références

Annexes

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail Modèle:Bon article