Amorots-Succos
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Amorots-Succos est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Le nom des habitants est Amoroztar<ref name="Jobbé">Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name="Toponimia (leku-izenak)" />.
Géographie
Localisation
La commune d'Amorots-Succos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine<ref name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle se situe à Modèle:Unité par la route<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.</ref> de Pau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, à Modèle:Unité de Bayonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture, et à Modèle:Unité de Saint-Palais<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais<ref name=meta/>.
Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Béguios (Modèle:Unité), Masparraute (Modèle:Unité), Luxe-Sumberraute (Modèle:Unité), Orègue (Modèle:Unité), Arraute-Charritte (Modèle:Unité), Méharin (Modèle:Unité), Garris (Modèle:Unité), Labets-Biscay (Modèle:Unité).
Sur le plan historique et culturel, Amorots-Succos fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque<ref group=Note>Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones<ref name="topo">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).</ref>. La commune est dans le Pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.
Hydrographie
La commune est drainée par le Lihoury, l'Aphatarena, Isaakenbordako erreka, un bras du Laharan, Jeloseko erreka, Othegiko erreka, Xirritako erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail.</ref>.
Le Lihoury, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune d'Iholdy et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune sur une petite section, au sud-ouest du territoire communal, et se jette dans la Bidouze à Came, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.
L'Aphatarena, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Béguios et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle longe la commune sur son flanc nord-est et se jette dans Le Lihoury à Bidache, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993<ref>Modèle:Lien web.</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref> : les « landes, bois et prairies du Pays de Mixe » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Amorots-Succos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,6 %), zones agricoles hétérogènes (31,1 %), forêts (29,1 %), terres arables (3,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Voies de communication et transports
Amorots-Succos est desservie par la route départementale D14.
Lieux-dits et hameaux
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Amorots-Succos est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Lihoury et l'Apatharena. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Amorots-Succos est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030<ref>Modèle:Lien web</ref>. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Amorots apparaît sous les formes :
- Sanctus Vicentius de Maroz, Maroth et Morotz (1160<ref name="Orpustan">Modèle:Ouvrage.</ref>),
- Amoros (1268<ref name="Orpustan"/>),
- Amarotz (1305 et 1306<ref name="Orpustan"/>),
- Amaroz (1350<ref name="Orpustan"/>),
- Amoroz (1402<ref name="Raymond">Modèle:Dictionnaire topographique des Basses-Pyrénées.</ref>, titres de Soule) et
- Amorotz (1413<ref name="Orpustan"/>, ou 1513<ref name="Raymond"/>, titres de Pampelune<ref name="Pampelune">Titres publiés par don José Yanguas y Miranda</ref>).
Brigitte Jobbé-Duval<ref name="Jobbé"/> propose pour Amorots, une origine végétale, « le lieu de chênes ».
Le toponyme Succos apparaît sous les formes :
- Sanctus Martinus de Trussecalau (1160<ref name="Orpustan"/>),
- Sucox (1268<ref name="Orpustan"/>),
- Succos (1304<ref name="Orpustan"/>),
- Ssucos (1350<ref name="Orpustan"/>),
- Çucoz (1413<ref name="Orpustan"/>) et
- Suquos (1513<ref name="Raymond"/>, titres de Pampelune<ref name="Pampelune"/>).
Pour Brigitte Jobbé-Duval<ref name="Jobbé"/>, Succos pourrait provenir du basque zoko, signifiant « lieu écarté »
Autres toponymes
La croix d’Ichobox désignait un pèlerinage<ref name="Raymond"/>, tout comme la croix Goïty.
Ospitaléa est une ferme mentionnée sous les graphies :
- Zabala y l’Ospital (1513<ref name="Raymond"/>, titres de Pampelune<ref name="Pampelune"/>),
- L’Hôpital d’Amorots (1708<ref name="Raymond"/>, règlement de la commanderie d'Irissarry<ref name="Irissarry">Titres de la commanderie d'Irissarry - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques</ref>) et
- Ospital (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque<ref name="Raymond"/>).
- Paul Raymond<ref name="Raymond"/> indique la présence d'une chapelle près de cette ferme, dépendant de la commanderie d’Irissarry.
Troussecaillau est un fief, vassal du royaume de Navarre, cité en 1863<ref name="Raymond"/> par Paul Raymond.
Graphie basque
Son nom basque actuel est Amorotze-Zokotze<ref name="Toponimia (leku-izenak)">- Académie de la langue basque</ref>.
Pierre Lhande, dans son dictionnaire basque-français<ref name="Lhande">Modèle:Ouvrage.</ref>, indique pour Succos la forme Sokueze.
Histoire
La commune actuelle a été créée le Modèle:Date<ref> Ordonnance du 16 août 1841 (Bulletin des lois de la République française).</ref> par la réunion des communes d' Amorots et de Succos.
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Intercommunalité
La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale, du syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze et du syndicat de regroupement pédagogique d'Amorots-Succos, Arraute-Succos, Arraute-Charrite, Béguios, Masparraute et Orègue<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Population et société
Démographie
En 1350, 5 feux sont signalés à Amorots et 10 à Succos<ref name="JB Orpustan">Jean-Baptiste Orpustan, Modèle:Ouvrage, page 77</ref>.
Le recensement<ref>Recensements cités par Modèle:Ref-Goyhenetche-Histoire PB3. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.</ref> à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé<ref>Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993</ref> sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports<ref>Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54</ref>, révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Amorots la présence de 4 feux, le second de 13 (12 + 1 feu secondaire). De même à Succos, le recensement de 1412-1413 relève 5 feux et celui de 1551 19 (16 + 3 feux secondaires).
Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695<ref>Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Modèle:Ref-Goyhenetche-Histoire PB3.</ref> dénombre 40 feux à Amorots et 32 à Succos. Le rôle de la taille de 1758 recense, quant à lui, 74 feux<ref>Recensement cité par Modèle:Ref-Goyhenetche-Histoire PB3.</ref> à Amorots.
Modèle:Population de France/section De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Amorots, encore séparé de Succos, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous<ref name="Cassini2">Modèle:Cassini-Ehess.</ref>.
Enseignement
Amorots-Succos, Masparraute, Orègue, Béguios et Arraute-Charritte se sont associées pour créer un regroupement pédagogique intercommunal (R.P.I. AMOBA<ref>Site du R.P.I. AMOBA</ref>).
Économie
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Langues
D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Amorots-Succos est le bas-navarrais oriental.
Lieux et monuments
- L'église de Succos<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, et plus particulièrement sa benoiterie avec son mur servant de fronton est inscrite aux monuments historiques depuis le Modèle:Date-. L'église est dédiée à saint Martin de Tours.
- L'église Sainte-Lucie<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, à Amorots, date, quant à elle, de 1880, et est inscrite à l’Inventaire général du patrimoine culturel depuis 2003. L'église est dédiée à sainte Lucie de Syracuse.
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Stèle discoïdale à Amorots.
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Stèle discoïdale à Succos.
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Stèle basque à Succos.
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L'église Sainte-Luce à Amorots, et le fronton.
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Une ferme d'Amorots.
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L'église de Succos, avec à gauche, au fond, la benoiterie et son fronton.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes