Argein
Modèle:Infobox Commune de France
Argein (Argen de Coserans en Occitan) est une commune française, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie.
Localisée dans le nord-ouest du département, la commune fait partie, sur le plan historique et culturel, du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne). Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Argein est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons. Ses habitants sont appelés les Argenois ou Argenoises.
La commune fait partie de la communauté de communes Couserans-Pyrénées. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
La commune d'Argein se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Foix<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité de Saint-Girons<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture.
Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Villeneuve (Modèle:Unité), Aucazein (Modèle:Unité), Sor (Modèle:Unité), Illartein (Modèle:Unité), Audressein (Modèle:Unité), Buzan (Modèle:Unité), Salsein (Modèle:Unité), Arrout (Modèle:Unité).
Sur le plan historique et culturel, Argein fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Modèle:Carte communes limitrophes Modèle:Communes limitrophes
Commune située dans les Pyrénées en Couserans sur la Bouigane, se trouvant dans la vallée de la Bellongue entre les pics de l'Arraing (Modèle:Unité d'altitude) à l'est et celui du Moussaou (Modèle:Unité) à l'ouest. La RD 618 traverse le village vers le col du Portet-d'Aspet.
Géologie
La roche se trouvant sous la commune est majoritairement de l'ardoise ferreuse.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu<ref>Modèle:Lien web</ref>. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après<ref name=Joly/>.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Augirein », sur la commune d'Augirein, mise en service en 1990<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, créé en 2009 et d'une superficie de Modèle:Unité, qui s'étend sur Modèle:Unité du département. Ce territoire unit les plus hauts sommets aux frontières de l’Andorre et de l’Espagne (la Pique d’Estats, le Mont Valier, etc) et les plus hautes vallées des avants-monts, jusqu’aux plissements du Plantaurel<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> :
- le « réseau hydrographique de la Bouigane en aval de Saint-Lary » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 13 dans l'Ariège et 1 dans la Haute-Garonne<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- la « soulane de Balaguères au Char de Liqué » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>,
- le « sud de la vallée de la Bellongue » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 13 dans l'Ariège et 3 dans la Haute-Garonne<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
et deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> :
- le « massif d'Arbas » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 48 dans l'Ariège et 42 dans la Haute-Garonne<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- les « montagnes entre la haute vallée de la Garonne et la haute vallée du Lez » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 15 dans l'Ariège et 6 dans la Haute-Garonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Argein.
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Argein est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,1 %), prairies (28,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %), zones urbanisées (2,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Hameaux et lieux-dits
Les hameaux sont : Estrade, Burra, Bardère, Bach et le Juncalas (hameaux de granges, signifiant jonchaie en français).
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 196, alors qu'il était de 192 en 2013 et de 180 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.
Parmi ces logements, 51,8 % étaient des résidences principales, 40,7 % des résidences secondaires et 7,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,6 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Argein en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (40,7 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,5 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.
Typologie | Argein<ref name="LogT2" group="I"/> | Ariège<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lien web.</ref> | France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lien web.</ref> |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 51,8 | 65,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 40,7 | 24,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 7,5 | 9,7 | 8,2 |
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Argein est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)<ref name=DDRM-Liste>Modèle:Lien web, chapitre Liste des risques par commune.</ref>,<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune d'Argein<ref name=DDRM-Ind>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
- Argein provient de l’occitan Argen, lui-même venant du latin argentum, i, n. en français l'argent, ce nom est lié à l’exploitation de mines d'argent au lieu-dit de Caours durant les époques pré-romaine et romaine (Rome conquiert la région entre 125 av. J.-C. et 121 av. J.-C, puisqu'elle fait partie de la Gaule transalpine, qui deviendra la Gaule Narbonnaise). Le nom passerait par une forme proche de l'occitan "argent" se prononçant "argint", avant que le "t" ne tombe au fil du temps).
Histoire
L’origine d’Argein semble être au moins d'époque gallo-romaine ; une inscription antérieure au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle découverte en 1990 dans l’église Saint-Pierre démontre son ancienneté. Argein se trouvait sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle arrivant de Fanjeaux pour traverser l’actuel département de l’Ariège.
L'église Saint-Pierre d'Argein est composée de deux nefs, la plus ancienne partie est antérieure au XIe siècle, elle est séparée en deux, dans la partie occidentale (avec la porte d'entrée au sud côté cimetière) sert de dépôt (y sont entreposés un corbillard ancien, des statues de saints, diverses pierres taillées, des chaises, .), la partie orientale servant aujourd'hui de sacristie est composée des restes de l'ancienne fonction de cette partie en tant que lieu de culte avec des boiseries et un autel de style baroques, l'état déplorable du toit entraîne une détérioration des boiseries. La grande nef où est aujourd'hui pratiqué le culte fut bâtie entre le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Les vitraux sont signés de « L. Victor Gesta à Toulouse » et portent le nom des donateurs qui ont permis leur création (personnalités du village), on peut y lire les noms autochtones.
Ancienne châtellenie de Castillon, Argein était le siège, en 1753, de la justice royale avec prévôté et casernes. Un château, appartenant à la famille de Méritens, comtes, seigneurs de Montégut, (barons de Rozès au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) ayant donné un maire à la commune, se trouvait sur la rive droite de la Bouigane : il a été totalement démoli à la Révolution. Lors de la réforme du code forestier de 1829, les habitants participent à ce qui fut appelé la « guerre des Demoiselles ». Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, deux instituteurs et un curé sont présents pour Argein et ses hameaux.
Traces de mines de fer à Caours. En 2002, un incendie détruit le moulin de Roques<ref name="rQ9FJNH">Modèle:Lien web</ref>.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune d'Argein est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées<ref name="meta2" group=I/>, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie<ref group=I name="meta2">Modèle:Lien web.</ref>.
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Couserans Ouest pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="meta2" group=I/>, et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.
Administration municipale
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section |
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 78,4 % d'actifs (69,1 % ayant un emploi et 9,3 % de chômeurs) et 21,6 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Girons, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 31 en 2013 et 28 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 70, soit un indicateur de concentration d'emploi de 54,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,5 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 70 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 22 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 90 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 4,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises
La principale activité du village est l'élevage des brebis et vaches. Jusque dans les années 1950, une entreprise coupait du bois dans la montagne et le descendait grâce au téléphérique dont le câble est toujours le long du chemin de la Tire et de la Pauze. Aujourd'hui, la scierie a été achetée par une entreprise de menuiserie notamment spécialisée dans la construction de fenêtres.
Au village, restaurant "L'Estacade" (et livraison à domicile), épicerie "Au temps de vivre", "L'éléphant numérique", webmaster et graphiste..
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre : ancienne église romane (restes de fresques ; Retable ordonné par l'évêque de Couserans Joseph de Vercel en 1774; Église avec porche et peintures murales du Modèle:S mini-) du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle fait aujourd'hui partie intégrante d'une église bâtie au XVIIIe siècle. L'abside semi-circulaire d'origine constitue le bas-côté sud de l'édifice actuel. On peut observer un autel votif portant une inscription très ancienne (antérieure au IVe siècle), remployé dans le mur sud de l'église, rénovée en 2021.
- Un château<ref name="rQ9FJNH" /> se trouvait sur la rive droite de la Bouigane : il a été totalement démoli à la Révolution.
- Statue de Notre-Dame de Lourdes.
- Fontaine et abreuvoir.
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Chevet de l'église.
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Monument avec une croix en fer.
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Monument aux morts.
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Statue de Notre-Dame de Lourdes, fontaine et abreuvoir avec poissons rouge.
Personnalités liées à la commune
- François Ille (1743-1802), député de l'Ariège de 1791 à 1792, mort à Argein.
- Honoré Laffont, né le Modèle:Date- à Argein et décédé le Modèle:Date-. International de rugby à XV (1 sélection en 1926 contre le Pays de Galles). Il a été deux fois finaliste du championnat de France avec Narbonne (1932 et 1933). Il jouait demi de mêlée (Modèle:Unité - Modèle:Unité). Il fut également entraîneur du Racing Club Narbonnais.
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes