Caecilius Statius
Modèle:AvJC Modèle:Infobox Écrivain
Caecilius Statius (v. 230 – v. 168 av. J.-C.) est un poète et un dramaturge latin de la fin du {{#switch: e
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Il est le premier auteur de latin d'origine gauloise. Il s'est spécialisé, comme Plaute avant lui, dans le genre de la fabula palliata, style de comédie d'inspiration grecque. Accueillies initialement avec froideur, ses œuvres furent portées ensuite au succès par l'impresario théâtral Lucius Ambiuius Turpio et atteignirent ainsi une grande renommée. Des œuvres de Caecilius Statius, il reste 42 titres et divers fragments pour un total d'environ 280 vers.
Par la langue et le style, son théâtre est resté proche de celui de Plaute, mais il témoigne de la pénétration progressive de la culture hellénistique à Rome, en laissant les titres des originaux grecs qui servaient à l'élaboration de ses œuvres et en mettant en évidence les prémices d'un idéal qui, grâce à l'influence de stoïcisme et à l'action du cercle des Scipions, prendra par la suite le nom d’humanitas. L'œuvre de Caecilius a été diversement accueillie par les auteurs antiques qui virent en lui parfois un des meilleurs dramaturges de la littérature latine et parfois un mauvais exemple de style. La critique actuelle, fortement limitée par la rareté des fragments d'œuvres disponibles, tend néanmoins à souligner l'importance de son rôle dans le passage de la fabula palliata de Plaute à celle de Térence, annonçant le début d'une nouvelle phase dans l'hellénisation de la littérature latine.
Biographie
Caecilius Statius est né vers l'an 230 dans le territoire des Insubres, probablement à Mediolanum, selon des témoignages anonymes rapportés par Jérôme de Stridon dans ses Chroniques<ref name="Girolamo">Jérôme, Chronicon, 179 av. J.-C.</ref> : Modèle:Citation bloc (Modèle:Citation étrangère)<ref name="Pontiggia_286">Modèle:Harvsp.</ref>
Il fut fait prisonnier au cours des guerres entre les Celtes et les Romains, probablement après la bataille de Clastidium (222) et 219<ref name="Beare_100">Modèle:Harvsp.</ref>,<ref name="Pontiggia_286" /> et fut emmené à Rome comme esclave, selon le témoignage d'Aulu-Gelle, qui écrit dans ses Nuits Attiques<ref>Modèle:Ouvrage, IV, 20, 13.</ref> : Modèle:Citation (Modèle:Citation étrangère).
Il est néanmoins impossible d'affirmer si les écrits d'Aulu-Gelle reflètent la vérité ou si elles sont une simple déduction du fait que le cognomen de Statius, dont la signification littérale est « attendant », était souvent attribué aux esclaves<ref name="Beare_100" />.
De la gens qu'il intégra, Statius tira le nomen de Caecilius.
On a peu d'informations sur sa vie. Il se dédia exclusivement à la composition de la « palliata », mais l'accueil de ses compositions fut d'abord plutôt réservé à une époque où Plaute était au sommet de sa célébrité avec ses comédies.
Le public romain friand des farces truculentes du théâtre de Plaute ne pouvait pleinement apprécier les pièces de Caecilius Statius, plus attentif à la psychologie des personnages et à une intrigue plus réaliste de la mise en scène <ref name="Pontiggia_286" />.
Toutefois, l'organisateur de spectacles Lucius Ambiuius Turpio, qui avait acheté ses œuvres et qui avait la charge de les présenter, réussit finalement à les faire jouer et les mener au succès.
Dans le prologue d’Hecyra de Térence, Turpion, qui joue lui-même le rôle du prologue, racontait les péripéties du début de carrière de Caecilius, en les comparant à celles qu'il avait vécues par la suite pour porter au succès les œuvres de Térence<ref>Térence, Hécyre, vers 9-27.</ref> :
L’apogée du succès est atteint vers l'an 179 av. J.-C., après la mort de Plaute en 184 av. J.-C.<ref name="Girolamo" />. Caecilius se lia d'amitié avec le poète et dramaturge Ennius, avec lequel il a été à la tête du collegium scribarum histrionumque, une sorte de syndicat fondé en 207 à la suite de la composition de l’hymne à Iuno Regina par Livius Andronicus. Cette association réunissait les acteurs et auteurs des représentations dramatiques présents à Rome à l'époque <ref name="Pontiggia_286" />.
L'anecdote rapportée par Suétone dans sa Vita Terentii<ref>Suétone, Vita Terentii, 3.</ref>, qui fait un lien direct entre l'activité de Térence et la personne de Caecilius, est à prendre avec réserve<ref name="Beare_101">Modèle:Harvsp.</ref>
Selon le témoignage de saint Jérôme<ref name="Girolamo" />, Caecilius est mort en 168, une année après Ennius, mais si l'on devait se fier à l'anecdote de Suétone la date devrait être reportée au moins à l'an 166 car l'Andria a été représentée pour la première fois cette année-là<ref name="Pontiggia_286" />,<ref name="Beare_101" />. Le dramaturge a été enterré à proximité du Janicule<ref name="Girolamo" />.
Œuvres
Le très grand succès que les comédies de Plaute recueillaient auprès du peuple romain contribua à créer une émulation pour le genre comique et certaine aversion pour la tragédie<ref name="Beare_100" />. Plaute avait défini un standard difficilement atteignable par les auteurs de comédies qui lui succédèrent, souvent en concurrence entre eux, ils essayaient d'atteindre le niveau de Plaute « sur le même terrain »<ref name="Beare_100" />, ou cherchaient de nouvelles voies afin de parvenir au succès.
C'est dans ce contexte que se situe l'œuvre littéraire de Caecilius Statius qui en se cimentant dans le genre palliata comme Plaute, introduisit des importantes innovations.
Caecilius Statius a laissé une vaste œuvre de laquelle nous sont parvenues peu de témoignages écrits et seuls des fragments comportant environ 280 vers nous sont parvenues<ref name="Beare_101" />.
Nous connaissons les titres de quarante-deux palliate : Aethrio, Andrea, Androgynos, Asotus, Chalcia, Chrysion, Dardanus, Davos, Demandati, Ephesio, Epicleros, Epistathmos, Epistola, Ex hautu hestos, Exul, Fallacia, Gamos, Harpazomene, Hymnis, Hypobolimaeus sive Subditivos, Hypobolimaeus Chaerestratus, Hypobolimaeus Rastraria, Hypobolimaeus Aeschinus, Imbrii, Karine, Meretrix, Nauclerus, Nothus Nicasio, Obolostates sive Faenerator, Pausimachus, Philomena, Plocium, Polumeni, Portitor, Progamos, Pugil, Symbolum, Synaristosae, Synephebi, Syracusii, Titthe et Triumphus.
Technique littéraire
Dans le domaine technique, l'œuvre de Caecilius Statius détermine un significatif virage dans l'histoire de la littérature latine et du Théâtre latin qui rencontrait de gros problèmes littéraires avec les originaux grecs<ref name="Traina_9596">Modèle:Harvsp.</ref>:. Naevius et Plaute avaient traduit les originaux grecs avec une certaine désinvolture en latinisant les titres, dénaturant la trame en insérant des faits d'actualité et optant pour les coutumes romaines<ref name="Beare_101" />.
Caecilius opta pour une plus grande fidélité envers les écrits originaux desquels dans la plupart des cas il ne traduisit pas les titres, témoignant de fait d'une progressive hellénisation de la culture romaine<ref name="Pontiggia_286" />,<ref name="Traina_9596" />
Dans ses œuvres on constate la présence de la seule Rastraria et la limitation de titres avec la forme indigène -aria, très fréquente chez Nevius et Plaute<ref name="Traina_9596" />.
Varron<ref name="Varrone" />, a assigné à Caecilius Statius la palme in argumentis, c'est-à-dire pour les trames. Il est probable que l'auteur ne fasse pas usage comme ses contemporains du contaminatio, une figure de style qui enrichissait la comédie et permettait de présenter un plus grand nombre de situations comiques mais qui en même temps affaiblissait la trame<ref name="Pontiggia_286" />,<ref name="Traina_9596" />. .
Cette interprétation est confirmée par le fait que Caecilius Statius n'est pas cité dans la liste des auteurs qui ont fait usage du contaminatio, liste inscrite dans l'Andria de Térence, sur laquelle figurent Naevius, Plaute et Ennius<ref name="Andria">Térence, Andria, v. 18.</ref>.
Le modèle principal duquel Caecilius Statius s'inspira pour traduire ses œuvres est la comédie grecque de l'époque hellénistique Ménandre : on peut lui attribuer seize parmi les quarante-deux titres connus <ref name="Beare_101" />. Cicéron cita dans plusieurs des œuvres de Caecilius Statius et Térence comme traducteurs de Ménandre<ref name="Cic_19">Cicéron, De optimo genere oratorum, 19.</ref>,<ref name="De_finibus">Cicéron, De finibus bonorum et malorum, I, 2, 4.</ref>, et Aulu Gelle dans ses Noctes Atticae fit une comparaison entre certains pas de Plocium de Caecilius Statius et l'original de Ménandre<ref name="Gellio">Aulu-Gelle, Noctes Atticae, II, 23.</ref>.
Au niveau métrique, Caecilius Statius employa surtout le sénaire iambique, déjà particulièrement diffus dans les œuvres des dramaturges précédents et du septénaire trochaïque;
Néanmoins son œuvre comporte aussi des parties chantées les cantica, polymétriques au rythme vivace<ref name="Pontiggia_288">Pontiggia; Grandi, Modèle:P. 288.</ref> semblables aux cantica déjà utilisés par Plaute.
Au niveau de la rhétorique, on trouve les figures typiques de l'époque pré littéraire latine et de toute l'histoire de la littérature archaïque latine (240 - 78 av. J.- C.), comme l'allitération<ref name="Plocium_150">Plocium, v. 150 Ribbeck:Modèle:Citation bloc</ref>,<ref>Synephebi, vv. 213-214 Ribbeck:Modèle:Citation bloc</ref> et l'’’omoteleutus’’ <ref name="Plocium_150" />,<ref name="Pontiggia_288" />; Dans les fragments on trouve des figures figures étymologiques<ref name="Pontiggia_289">Pontiggia; Grandi, Modèle:P. 289.</ref> et des accumulations synonymiques<ref>Synephebi, v. 212 Ribbeck:Modèle:Citation bloc</ref>,<ref name="Pontiggia_292">Modèle:Harvsp</ref>.
Au niveau du style, l'œuvre de Caecilius Statius a tiré son inspiration de celle de Plaute. En effet les situations comiques et les échanges verbaux salaces, grossiers et vulgaires sont nombreux<ref name="Beare_104">Modèle:Harvsp.</ref>, comme attesté par le passage suivant de Plocium:Modèle:Citation bloc
De la palliata de Plaute, Caecilius réutilisa aussi le langage varié, vivace et exubérant<ref name="Pontiggia_287">Pontiggia; Grandi, Modèle:P. 287.</ref>, son attention centrée sur la recherche de la parole colorée et soudaine <ref name="Traina_9596" />, mais évita toute référence à l'actualité romaine à laquelle Plaute avait souvent fait recours<ref name="Beare_104" />.
En outre, sa majeure fidélité aux originaux grecs, sa prédilection pour Ménandre et le premier approfondissement psychologique des personnages sont un témoignage des développements que Caecilius apporta au modèle de Plaute <ref name="Pontiggia_287" />. Il se préoccupa d'apporter un meilleur soin aux pensées et aux actions de ses personnages en analysant finement les sentiments<ref name="Pontiggia_291">Modèle:Harvsp.</ref> et en les rendant cohérents avec les faits racontés<ref name="Pontiggia_290">Modèle:Harvsp.</ref>.
Les détails qui distinguent l'œuvre de Caecilius de celle de son modèle Plaute sont toutefois nombreux :
- Dans Synephebi le personnage de meretrix (courtisane), dans la palliata traditionnellement avide et vénale, apparaît
a contrario généreux et désintéressé, prêt à se sacrifier pour l'adulescens aimé<ref>Synephebi, vv. 211-214 Ribbeck: Modèle:Citation bloc</ref>.
Caecilius est aussi l'auteur de quelques textes au ton grave et pathétiques sur le thème de la vieillesse <ref>Ephèse vv. 28-29 Ribbeck:Modèle:Citation bloc</ref>,<ref>Plocium, vv. 173-175 Ribbeck:Modèle:Citation bloc</ref> et d'autant de caractère plus général sur l'existence humaine <ref>Plocium, v. 177 Ribbeck:Modèle:Citation bloc</ref>,<ref>Fabula incognita, v. 266 Ribbeck:Modèle:Citation bloc</ref>: de situations comiques et farceuses, il sut donc prendre prétexte pour ébaucher des réflexions sérieuses<ref name="Pontiggia_293">Modèle:Harvsp.</ref>.
L'œuvre de Caecilius se situe enfin à mi-chemin entre Plaute et Térence en ce qui concerne l'élaboration de l'idéal qui au Modèle:Lien siècle av JCModèle:Vérification siècle aurait pris le nom de humanitas: Plaute avait écrit Asinaria, «lupus est homo homini, non homo, quom qualis sit non novit» («l'homme est un loup pour l'homme, au cas où l'on ignore qui il est »)<ref>Plaute, Asinaria, v. 495.</ref>, en soutenant qu'un homme inconnu devrait être traité comme une bête sauvage<ref name="Pontiggia_293" />. Caecilius par contre écrivit «homo homini deus est, si suum officium sciat» (« l'homme est un dieu pour l'homme, s'il connaît son propre devoir »)<ref>Fabula incognita, v. 265 Ribbeck.</ref> : influencé par la philosophie stoïque, dont les enseignements étaient probablement repris et relaborés par les représentants du ‘’circolo degli Scipioni’’ et par Térence qui aurait enfin écrit : « homo sum, humani nihil a me alienum puto»<ref>Térence, Heautontimorumenos, v. 77.</ref>, Caecilius soutint que les hommes devaient être solidaires entre eux et se rendre service mutuellement : cela devait être le devoir de tout homme<ref name="Pontiggia_293" />.
Postérité
Le prologue de Hecyra de Térence témoigne comme les comédies de Caecilius parallèlement à ce qui était arrivé à Ménandre en Grèce<ref name="Beare_104" /> eurent du mal à atteidre le succès tant que Plaute était en vie <ref name="Hecyra">Térence, Hecyra, vv. 9-27.</ref>: Le public romain qui appréciait le caractère comique de la palliata plautine, ne pouvait apprécier pleinement l'approfondissement psychologique que Caelius réservait à ses personnages, ni la recherche de la vraisemblance des trames <ref name="Pontiggia_286" />. Après la mort de Plaute, les œuvres de Caecilius eurent un important succès et finirent par s'affirmer par rapport à celles d'autres auteurs. Au cours de la première moitié du Modèle:Lien siècle av JCModèle:Vérification siècle, l'érudit Volcatius Sedigitus rédigea une liste des principaux poètes comiques en reconnaissant la supériorité de Caecilius par rapport à tous les autres <ref name="Pontiggia_447">Modèle:Harvsp.</ref>: Modèle:Citation bloc
Bien qu'il s'agisse d'une opinion personnelle, il est probable que les vues de Volcacius étaient partagées par les autres philologues contemporains<ref name="Beare_133">Modèle:Harvsp.</ref>.
- Varron : Peu de temps après, Varron soutint que Caecilius méritait parmi tous les comédiographes la palme in argumentis, c'est-à-dire pour l'intrigue <ref name="Varrone">Varron, Satires Ménippées, v. 399 Bücheler.</ref>: Varron donc reconnaissait probablement à Caecilius le mérite d'avoir effectué un choix attentif parmi les originaux grecs à traduire, donnant la préférence à ceux où l'intrigue était plus vraisemblable ou mieux construite<ref name="Beare_101" />.
- Cicéron avait un avis différent. Il considérait la langue de Caecilius encore « impure » et attribuait ce défaut aux origines étrangères du dramaturge <ref name="Pontiggia_286" />:
Modèle:Citation bloc Modèle:Citation bloc
Toutefois, le même Cicéron reconnut, comme Volcacius Sedigitus et les philologues de son époque, la supériorité de Caecilius sur les autres poètes comiques<ref name="">Cicéron, De optimo genere oratorum, 2.</ref>.
- Horace donna un avis positif sur l'œuvre de Caecilius :
- Velleius Paterculus était du même avis :
- Quintilien exprima lui un avis négatif, étendu à tout le genre comique. Il estima en particulier que les œuvres de Térence étaient supérieures à celles des autres auteurs :
Critique moderne
Par rapport à la critique antique, celle moderne et contemporaine se trouve dans l'impossibilité d'évaluer l'œuvre de Caecilius dont il ne reste que quelques fragments, insuffisants pour se faire une idée précise<ref name="Traina_9596" />. Sa figure apparaît plutôt ambiguë, en partie liée au modèle de Plaute et en partie anticipatrice de celui de Térence : son style se distingue par une « tension » qui n'arrive pas à atteindre pleinement la créativité de Plaute ni la correction et la naturalité de Térence<ref name="Traina_9596" />. À Caecilius on reconnaît le mérite d'avoir agi comme passage entre la palliata de Plaute et celle de Térence, permettant le développement successif dans tous les genres d'une littérature complètement hellénisée dans son contenu et dans son style<ref name="Beare_104" />.
Notes et références
Modèle:Traduction/Référence Modèle:Références
Annexes
Bibliographie
Sources antiques
- Modèle:Ouvrage Modèle:Plume
- Modèle:Ouvrage Modèle:Plume
- Jérôme de Stridon, Chronicon Modèle:Plume
- Modèle:Ouvrage Modèle:Plume
- Cicéron, Brutus de eloquentia, De finibus bonorum et malorum, De optimo genere oratorum, Epistulae ad Atticum
- Jérôme de Stridon, Chronicon
- Plaute, Asinaria
- Quintilien, Institution oratoire
- Suétone, Vita Terentii
- Varron, Saturae Menippeae
- Velleius Paterculus, Historiae romanae ad M. Vinicium libri duo
Éditions critiques des fragments
Littérature critique
Publications scientifiques en langue italienne
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Articles connexes
- Auteurs latins par ordre chronologique
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